Monthly Archives: avril 2010

Un laisser-passer pour le nouveau monde

Laitman_420_04Jusqu’à présent, notre égoïsme a été développé par le moteur de ce monde. Cette force a augmenté notre égoïsme d’une génération à l’autre au cours des millénaires. Mais maintenant cela en est fini et notre ego ne voit plus nulle part où continuer. Il a atteint la finale des limites de la sphère dans laquelle il a grandi et a rempli le tout.
Nous sommes traités d’une manière nouvelle qui nous montre à quel point nous sommes connectés l’un avec l’autre dans la sphère égoïste. Cette force de compression nous poussera sans cesse à nous rapprocher, nous refermant de l’intérieur et nous montrant comment nous sommes incapables de se cacher les uns des autres.
La nature révèle à présent un toute nouvelle une attitude envers nous, et donc nous nous sentirons encore plus mal avec chaque année qui passe. C’est pourquoi tous les pays et les gouvernements sont en désarroi et ne savent pas quoi faire avec le monde. La seule façon de corriger le monde est d’attirer une force qui va nous corriger, ce qui va se passer dans la mesure où nous le voulons. Donc, nous devons désirer!
Toute personne sera forcée de se connecter avec les autres via une connexion de bonté. Cela se produira de manière coercitive ou par la réalisation qu’il est nécessaire de le faire. En étudiant, en se rassemblent ensemble, en chantant, et en ayant une chaîne de télévision, on se connecte au système à partir duquel cette force vient à nous et nous corrige.
Chaque personne doit savoir ceci et découvrir le Créateur. De la même manière que nous nous sentons maintenant, le monde, les gens et la nature, nous aurons à révéler un autre niveau de réalité, un monde de plus.

Pourquoi est-il si important pour une femme d’être belle ?

Laitman_183_04Une question que j’ai reçue : Pourquoi les femmes consacrent autant de temps à leur apparence ? Pourquoi est-il si important pour une femme d’être belle à ses propres yeux et aux yeux d’un homme ? Est-ce que ce phénomène a une racine spirituelle ?

Ma réponse : Le désir d’une femme de s’habiller et de s’embellir découle de la racine Supérieure. « Pour embellir » signifie « se corriger » et de parvenir à la similitude avec le Créateur, le pouvoir de l’amour et du don sans réserve.

Cette aspiration trouve sa racine dans la profondeur de l’âme. Notre « point dans le cœur » nous oblige à nous embellir et décorer notre « dégoûtante » nature égoïste. Être belle signifie être semblable au Créateur. Une personne devient belle quand la Lumière du Créateur l’illumine.

Pourquoi particulièrement les femmes ressentent-elles le besoin de s’embellir ? C’est parce que dans notre monde, les femmes symbolisent Malkhout, la racine de la création. Un homme et une femme, une épouse et un époux servent d’illustration de la relation entre le Créateur et la création. La création est une femme, le Créateur est un homme. Ainsi, il s’ensuit que chacun de nous (hommes et femmes) a besoin d’embellir son âme et de devenir beau !

Gain perpétuel

Laitman_420_02L’égoïsme, qui est enraciné dans notre nature, est la raison de notre souffrance. Comme la nature est inévitable, les gens tentent de limiter l’utilisation de l’égoïsme en atteignant toutes sortes d’accords, on réalise que, autrement, l’égoïsme conduira à la confrontation et la guerre.Les pays font tous les efforts possibles pour signer des traités tout en même temps qu’ils se rendent compte de ces traités ne sauront pas changer radicalement la situation, mais ils comprennent qu’il est nécessaire de se contre-s’opposer à la puissance et l’égoïsme, pour l’enrayer par la force.

Si seulement les gens savaient qu’il est possible de corriger notre nature, que le mal se révèle à travers nous précisément pour qu’elle puisse être corrigée et nous amener à quelque chose de grand et suprême! Si seulement nous savions que nous ne pouvons échapper à des difficultés, s’élever au-dessus de mort, et d’atteindre la vie éternelle et parfaite!
Si seulement les gens savaient qu’il est possible de corriger notre nature, que le mal se révèle à travers nous précisément pour qu’il puisse être corrigé et nous amener à quelque chose de grand et suprême! Si seulement nous savions que nous ne pouvons échapper à des difficultés, s’élever au-dessus de la mort, et d’atteindre la vie éternelle et parfaite!
C’est cette connaissance que nous essayons d’apporter aux autres, parce que la seule compréhension qu’elle apportera à l’humanité un immense soulagement. Personne ne sait combien de temps cela prendra puisque de nos jours le temps accélère de façon exponentielle. C’est pourquoi nous devons continuer à travailler et ne désespérer, nous verrons les fruits de notre travail dans un avenir proche.

Nous devons expliquer aux gens pourquoi les choses se produisent comme elles le font (pour notre correction), ce qu’est l’objectif (la vie éternelle et parfaite), et le bon chemin pour s’y rendre (la façon de réaliser l’objectif avec l’aide de la lumière). Ensuite, les gens vont comprendre ce qu’est la vie réelle, et qu’elle n’est pas juste quelque chose que nous percevons à un moment donné dans nos désirs égoïstes limités.
Nous sentons la transition d’un Partsouf à l’autre comme la mort et la perte de tout ce que nous possédons. Mais si nous percevions le monde par le désir de donner, cette transition ne serait pas ressenti comme une perte, puisque nous ne percevrions système plus large, un système général. Lors de la perte d’un Partsouf, une personne reste toujours dans le système et entre dans une nouveau Partsouf. Si l’on se connecte d’autres personnes à son désir, il se sent le flux éternel dans tout ce qu’il entreprend.
Aujourd’hui, nous ne percevons pas l’éternité, et le fait de perdre notre Partsouf nous semble comme désastre et les dix Sefirot que nous envisageons comme «cette vie. » Nous ne connaissons pas autre chose que lui.

Ce n’est pas si difficile à expliquer. Toute personne a tant à gagner en écoutant cette information qu’elle voudra en savoir plus. En fin de compte, tout le monde rêve de l’éternité et la perfection.

La réalisation spirituelle avant la Machsom

Laitman_029Une question que j’ai reçue: Est-ce que nous atteignons les propriétés que nous lisons dans le Zohar au cours de la période de préparation ou après le passage de la Machsom

Ma réponse: Nous commençons à discerner en nous des réactions diverses à tous ces noms et à ces termes avant même de franchir la Machsom. Dans la mesure où nous voulons aller au-delà de notre désir de recevoir du plaisir, nous commençons à distinguer les désirs de donner et de recevoir. En fin de compte, il n’y a rien de plus à examiner.

 
Il est dit: « Dans l’avenir, l’ange de la mort devient un ange de sainteté. » Cela signifie qu’il n’y a pas de désirs bons ou mauvais, mais seulement des désirs de donner sans réserve ou de recevoir. Tout dépend de la façon dont nous les utilisons. «Aman», «Terah», «Abraham», «Eléazar », « Rachel » et « Laban » ne diffèrent que par leur intention de donner sans réserve ou de recevoir, et par leur force.

Par conséquent, en essayant de garder son intention pour le don sans réserve – pour apprendre, comprendre et discerner à travers le groupe – une personne réagira également différemment à chaque nom et définition, si bien qu’elle dévoilera ses « goûts » ou ses sensations: agréable et pas tellement, brillant et irritant. Elle va commencer à discerner différentes teintes en eux.

Cependant, après la Machsom, la personne les atteint d’une manière claire et précise. Ensuite, ils sont revêtus en elle et elle les découvre dans la pratique.

Rien ne disparaît dans la spiritualité

Laitman_177_17Le Zohar, chapitre « Bahar » (sur le mont Sinaï) », Point 78: Et même s’il est appelé « un fils », un fils premier-né du Créateur, comme il est écrit: «Mon fils, mon premier-né, Israël », Il ne doit pas exclure d’être un esclave, au service de son père dans toutes les œuvres qui glorifient son Père. Ainsi, chaque personne doit être un fils pour son père, à la recherche de ses secrets et pour connaître les secrets de Sa maison, s’exercer pour eux et être comme un esclave pour son père.Tout dépend de ses propriétés et de ses désirs. Dans les petits désirs, quand une personne n’a pas les écrans anti-égoïstes, elle est un esclave. Lors de l’acquisition de grands désirs et des écrans, elle est un fils. Pourtant, il n’y a pas un seul degré spirituel, peu importe sa grandeur, qui efface les précédents. Rien ne disparaît dans la spiritualité: les degrés coexistent sans s’annuler les uns les autres.
Quel est l’avantage de préserver les petits degrés (Katnout) sur un grand degré (Gadlout)? A la réparation finale, ils viennent tous ensemble en une seule image qui contient tous les degrés et les acquis antérieurs.

La raison en est qu’une fois que nous commençons à comprendre nos états antérieurs et à corriger les « méchants » (les péchés et les transgressions), ils ne disparaissent pas. Nous voyons comment nous étions bons ou mauvais à ces degrés, comment nous avons béni ou maudit le Créateur. L’échelle de l’ensemble des propriétés – à la fois à l’extrême droite et à l’extrême gauche, du passé ou de l’avenir – se réunissent, nous offrant toute la puissance et la richesse de la révélation.

Un long chemin vers l’unité

Laitman_733Une question que j’ai reçue: Pourquoi faut-il parfois plusieurs années avant qu’une personne commence à entendre parler de la nécessité de s’unir? 

Ma réponse: Nous existons dans ce processus tout au long de l’histoire. D’une génération à l’autre, dans toutes nos réincarnations, tout est fait dans notre développement pour nous amener à un état où nous serons contraints de nous unir. Toute notre histoire a commencé avec la brisure de l’âme commune, notre récipient spirituel. Depuis ce temps, tous ces fragments entrent en collision les uns avec les autres, se haïssent les uns les autres, et ne comprennent pas qui ils sont, d’où ils sont venus et pourquoi ils existent. La chose la plus importante pour ces fragments, c’est la bataille constante entre eux.
Petit à petit, étape par étape, nous devons parvenir à une compréhension approfondie qu’en raison de notre haine et de notre égoïsme, nous manquons beaucoup de choses, en fait, si bien que nous devons nous unir. Pourquoi? C’est parce que progressivement, dans le processus de notre développement, nous découvrons que nous sommes connectés. Nous pouvons soit nous tuer les uns les autres ou vivre ensemble en paix.
Cependant, il y a un problème pour ceux qui ressentent une aspiration vers la spiritualité. Le monde entier progresse vers l’unité par la voie de Beito (en temps voulu). Sortant du désespoir, par la pensée logique, une personne voit que le monde doit s’unir. Pourtant, d’autre part, on montre que nous en sommes incapables. C’est ce que tout le monde ressent. Ceux en qui un point dans le cœur s’est éveillé commencent à entendre que nous devons nous unir, et que c’est seulement en s’unissant que la spiritualité peut être atteinte.

Toutefois, ils ne ressentent pas le besoin d’unité. Il s’avère que certains révèlent un besoin de s’unir, mais ils ne savent pas comment faire car ils n’ont aucun moyen pour cela, tandis que d’autres ont les moyens pour s’unir, mais ils manquent de nécessité intérieure pour s’unir, même si le reste du monde l’a.
Il semble que ces deux groupes, les parties extérieures et intérieures, devront se réunir et se compléter l’une avec l’autre. Nous vous les présentons avec une méthode d’unification, et elles nous donnent un besoin de nous unir de la même manière qu’un bébé transmet ses besoins à ses parents, et cela aide les parents à obtenir ce dont le bébé a besoin.

Par conséquent, la société extérieure est le transporteur d’une nécessité intérieure d »union, et nous sommes possesseurs de la méthode d’union. De cette façon, nous nous complétons.

La majorité de la société et une poignée d’élus

Dr. Michael LaitmanEcrits du Rabash, Vol.3. Dargot Ha Soulam Articles, pg. 1774 (extrait): En ce qui a trait à la réalisation spirituelle, la société se divise entre la majorité et une poignée d’élus. La majorité a besoin d’être éduquée, d’apprendre à observer mécaniquement la Torah et les commandements. L’éducation qu’une personne reçoit l’oblige à mettre en œuvre ces actions.Une personne justifie son comportement, le pourquoi derrière les gestes qu’elle pose, en citant la manière dont elle a été éduquée – incluant les traditions qu’elle a apprises de l’environnement dans lequel elle a été élevée. Pour cette raison, l’éducation, l’habitude, empêchent une personne de ne pas garder la tradition, car l’habitude devient une seconde nature. Donc, toutes les habitudes, les mots, et les actions qu’une personne acquiert au fil de son éducation ne sont pour elle pas difficiles à observer.

Toutefois, si une personne veut effectuer des actions qui ne lui sont pas familières depuis le temps de son enfance, son corps questionne chaque action jusqu’à la plus infime : « Pourquoi fais-tu cela? » ou, en d’autres mots, « Qu’est-ce qui te pousse à le faire? ». Si une personne ne reçoit pas d’appui de son environnement, il doit se tourner vers le Créateur.

C’est pourquoi une telle personne est choisie et ne fait pas partie de la majorité. Elle a besoin de l’aide du Créateur, comme il est dit : « Celui qui vient pour se purifier (de l’égoïsme) reçoit de l’aide d’en Haut .» Il est incapable de puiser de l’aide de son environnement et cela oblige l’aide à venir d’en Haut.

Toute la journée est une préparation pour l’étude

Laitman_013_01Une question que j’ai reçue: Est-ce que le travail sur l’intention pendant la lecture du Zohar devrait commencer pendant la journée, bien avant le début du cours?

Ma réponse: On devrait travailler sur l’intention toute la journée. Le monde est agencé de telle manière que nous sommes en contact avec le groupe et avec les études seulement pour une courte période de temps.

Des milliers de gens à travers le monde étudient avec nous présentement. Beaucoup d’entre eux écoutent des traductions simultanées. Il y en a qui peuvent à peine comprendre les traductions, parce que le cours n’est disponible que dans les principales langues. Cela toutefois ne fait aucune différence à leur avancement spirituel. En ce qui a trait au Livre du Zohar, nous sommes tous à armes égales. Nous venons à le cours comme on va à la station-service. Nous effectuons le plein de Lumière et ensuite nous vivons dedans pour les heures restantes.

Notre monde est organisé de manière à ce que nous travaillions un tiers de notre vie, nous dormons un autre tiers, et nous gaspillons l’autre tiers sur une variété de stupidités. Il ne nous reste qu’une heure ou deux, que nous sabrons de nos heures de sommeil et nous l’utilisons pour étudier.

Quand nous commençons l’étude, nous devons toutefois comprendre que toute notre vie est organisée correctement, et que nous ne devrions pas travailler faute d’un meilleur choix. Le Créateur a ainsi organisé le processus à dessein pour nous. Si nous venons étudier ne serait-ce que pour une heure, cela devrait être suffisant pour rester en adhésion avec le but pour les vingt-quatre heures suivantes et pour préparer notre désir pour cette heure d’étude.

Il y a plus de 2000 ans, il vivait dans le désert du Néguev un individu du nom de Bar Ben Yoma (l’étudiant d’un jour). Il était un paysan qui travaillait aux champs. Quand son travail était terminé pour la saison et qu’il pouvait quitter son foyer, il se rendait à Jérusalem. Après le long voyage à Jérusalem, il ne lui restait qu’une seule journée de disponible pour étudier la Torah; le lendemain il se dépêchait de retourner chez lui pour travailler.

En honneur à cette personne, il existe aujourd’hui une tradition pour chacun d’étudier pour une journée dans l’année. À cette époque les sages dirent que son étude d’un jour était égale en valeur à une étude continue d’une année parce qu’il aspirait à ce jour pendant toute l’année.

Donc, si nous anticipons cette heure d’étude pendant les autres vingt-trois heures de la journée, les 24 heures en entier comptent en notre faveur. Cela nous démontre combien d’heures sont nécessaires à la préparation du désir pour une heure d’étude.

Or, tout dépend de la préparation. Nous devrions passer toutes les autres heures à nous préparer pour une heure d’étude du Livre du Zohar.

La prière à la place du sacrifice

Laitman_028_02«Exil» est un état dans lequel une personne n’a pas un écran anti-égoïste et n’a aucun contact avec la Lumière. Une personne est incapable de se corriger et d’accomplir l’acte du sacrifice.
« Sacrifice » signifie un désir corrigé. Au fil du temps, une personne doit prendre une part de son désir du niveau minéral, végétal ou animé pour l’élever au niveau de la parole. Mais pendant l’exil, une personne n’a la force de corriger aucun de ses désirs. C’est parce qu’elle est totalement dépourvue de pouvoirs spirituels jusqu’à ce que La lumière environnante arrive à elle et l’emmène hors de son état.
Sortir de l’exil et obtenir le pouvoir de résister à un désir, de s’élever au-dessus de lui et de travailler pour le don sans réserve, signifie qu’une personne a atteint le «désert» (un état dans lequel les désirs sont encore petits comme dans un desert) ou qu’il est arrivé à la « terre d’Israël « (un état de désirs plus hauts et de travail à un niveau supérieur). Là où une personne arrive après être sorti de l’exil dépend uniquement de la taille du désir qu’il est capable de surmonter en s’élevant au-dessus, afin de travailler avec un souci de don sans réserve.

Après 40 ans de sa correction et de réorientation vers le don sans réserve, le désir qui était auparavant un « désert », se transforme en un désir qui est appelé la « terre d’Israël. » Cela signifie que le désir devient apte à travailler avec un souci de don sans réserve.

Jusqu’à présent, nous n’avons pas le pouvoir de correction, et, par conséquent, nous restons « loin de la terre d’Israël » (la terre -« Eretz » est dérivé du mot « Ratzon »- Le désir). Nous n’avons pas le pouvoir de travailler avec nos désirs pour le don sans réserve, nous imaginons seulement ce qu’est un « travail spirituel correct ». Cela signifie qu’à la place du sacrifice, nous prions. Nous remplaçons le travail réel avec nos désirs et notre demande d’obtenir le pouvoir d’effectuer une correction réelle.

Se préparer pour être un récipient sacré

Laitman_052Nous travaillons sur nos désirs au cours de la nuit, dans les ténèbres de l’exil, sans force. Alors que nous sommes dans l’obscurité, nous nous préparons à accueillir le matin, ce qui signifie, nous trouvons les désirs que nous pouvons sacrifier.

Nous ne parlons pas du lever ou du coucher de soleil physique, ni ne nous faisons référence à des morceaux de chair des animaux sacrifiés. Nous ne parler que de l’utilisation de la Lumière de la correction dans laquelle une personne peut se voir comme un récipient sacré.

En d’autres termes, une personne atteindra le Temple, viendra à l’autel de l’holocauste, et sera prête à travailler avec son désir, en l’élevant au niveau du don sans réserve. L’élévation des parties (les « morceaux ») de notre désir vers le niveau du don sans réserve c’est ce qu’on appelle « offrande ».