Monthly Archives: avril 2010

La vie c’est la fusion avec le Créateur

Laitman_504 La Science de la Kabbale définit la vie et la mort uniquement en relation avec la liaison au Créateur. Un état similaire au Créateur est appelé vie, tandis qu’un tout autre qui Lui est opposé s’appelle mort. Aussi les désirs égoïstes (Klipot) sont-ils considérés comme la mort, pour lequel le  » poison de la mort  » fait référence à la force qui sépare la créature du Créateur.

La mort n’est pas la perte d’existence, telle qu’on observe la disparition de la forme de quelqu’un dans ce monde (à notre degré / niveau) .Tout ce qui à été crée (désire) change uniquement dans le but de se rapprocher ou s’éloigner encore plus du Créateur dans son intention de donner ; dans tout le reste (dans son désir), la créature reste la même. Ainsi s’éloigner du Créateur, perdre l’état d’adhésion avec Lui, est appelé « Mort », alors que l’adhésion avec Lui, acquérir la qualité de don est appelée « Vie ».

Dans son article, « L’Essence de la Science de la Kabbale », le Baal HaSoulam écrit que la science de la Kabbale est un moyen pour la créature de révéler le Créateur dans ce monde. Révéler le Créateur signifie acquérir Ses qualités.

Bien que nous existons dans un monde de matière figé, végétatif, et animé, en acquérant le niveau humain de similitude avec le Créateur, nous arriverons à nous sentir nous, ainsi que notre existence comme parfait et éternel,comme le Créateur. La science de la Kabbale nous change pour faciliter notre ascension au prochain niveau (degré) où nous commençons à voir que nous ne disparaissons pas, mais simplement changeons le niveau de notre existence.

Une chanson, c’est le travail intérieur

Laitman_183_03Une question que j’ai reçue: Qu’est-ce qu’une chanson? Est-ce une prière (MAN), un reveil d’en bas ?Ma réponse: L’ensemble du processus de l’œuvre spirituelle est inclus dans une chanson. Comparable à notre travail spirituel, une mélodie contient toujours la collision de sons différents avec des emplacements de modification et de pauses, sans lesquels on n’entendrait pas une mélodie, mais seulement un bruit.
Pourquoi une mélodie nous donne-t-elle un sentiment d’harmonie et réveille-t-elle nos émotions? Pourquoi une séquence particulière de sons est-elle capable soudainement de nous faire rire ou pleurer? Un son est une onde aérienne, mais d’une fréquence particulière qui agit sur le tympan. Quel est ce mécanisme interne par lequel les actions mécaniques et les réactions électrochimiques à l’intérieur du cerveau se transforment en émotions? En outre, l’émotion n’est pas contenue dans les sons eux-mêmes, mais les sons éveillent les émotions en nous.

Comment quelqu’un d’autre nous transmet-il un sentiment via ce mécanisme essentiellement inanimé, à travers ce processus inanimé, qui pénètre à l’intérieur de notre vie, anime l’organisme et réveille en lui des sentiments au niveau de l’homme

 
Il s’agit d’un processus compliqué. Tout cela n’est possible que parce que la mélodie contient des sons distincts avec des tonalités et des arrêts variables ou des pauses entre les deux. Autrement dit, elle contient les mêmes qualités qui sont présentes dans notre travail avec les trois lignes: droite, gauche et médiane.

Le Chant de l’ascension

Laitman_069_05Le Zohar , Chapitre  » Shemot (Exode), « Point 333: Les ministres d’en bas sont appelés «lévites» parce qu’ils accompagnent et rejoignent au -dessus comme un [Livoui veut dire accompagner], et parce que celui qui entend le chant devient accompagné et son âme adhère en Haut, au Créateur.

Une chanson, c’est la révélation de la Lumière de Hokhma à la Lumière de Hassadim, c’est la plus grande révélation. « Le Cantique des Cantiques » est le sommet de l’adhésion, de la connexion et de l’unité entre la créature et le Créateur. Les Psaumes sont des chants que le roi David (Malkhout) a révélés sur la ligne médiane, ils sont la révélation de la Lumière de Hokhma dans la Lumière de Hassadim.

Parfois, il nous semble que le roi David pleure, ne sachant pas quoi faire, et se cache de ses ennemis, et pourtant dans cette obscurité, il révèle Hassadim, la miséricorde du Créateur. Ainsi, c’est une chanson.

Nous avons besoin d’abord de révéler la ligne droite, la foi ou Hassadim, tout en supprimant la ligne gauche et en tenant la seule ligne droite. Lorsque Hassadim est révélée complètement, nous nous élevons dans Bina et voyons que nous pouvons rester dans la miséricorde dans tous les désirs, sur ce degré entier (dans les désirs de GE). Puis nous commençons à travailler avec les désirs de la réception (AHP) et éveillons la ligne gauche. En d’autres termes, nous commençons à réveiller les forces de Malkhout et à accepter la lumière du Hokhma dans ces désirs de réception.

En élucidant nos désirs de réception et en les joignant à la ligne droite, ainsi nous construisons la ligne médiane.Cet état, lorsque la lumière de Hokhma se révèle à la lumière de Hassadim, lorsque la ligne gauche se connecte à la ligne droite et donne lieu à la ligne médiane, est appelé une chanson. C’est ce qu’on appelle une «croisade» puisque nous passons d’un état à l’autre à la suite de ces mouvements, avançant ainsi par les trois lignes: Ibour, Yenika et Mokhin. Nous avons d’abord préparé les désirs, et nous les remplissons de Lumière.

Par conséquent, les Psaumes du roi David décrivent les différents états au cours de la correction de Malkhout dans les trois lignes. Ils contiennent l’immense Lumière qui déborde du Kli, ce qui signifie que la correction est si élevée que le Kli devient complètement comme la Lumière.

Il n’y a pas la mort, seulement un nouveau degré

Laitman_730Une question que j’ai reçue: Beaucoup de choses sont écrites sur la mort dans la Torah. En fait la Torah et la Créateur sont éternels et parfaits, la réalité qu’Il a créé est également parfaite et éternelle. par conséquent, il semble que la vie et la mort sont des états d’un processus éternel.

Ma réponse: Nous voyons comme les objets inanimés perdent leurs formes, les animaux et les plantes perdent la vie. ils naissent aussi sous une nouvelle forme. nous apprenons que rien ne disparait, tout ce qui existe change uniquement de forme. Comme nous ne percevons pas certaines de ces formes, nous imaginons qu’elles disparaissent et n’existent plus.

Une âme ou un Partsouf perd l’écran et la lumière (Ohr Pnimi) le quitte. Cette ancienne forme reste, mais elle est cachée derrière la nouvelle forme qui est née. cependant, à la réparation finale, toutes les anciennes formes s’unissent et forment l’état final corrigé.

C’est pourquoi, il n’y a pas de mort, juste la disparition de la forme précédente pour celui qui observe car il n’est pas au niveau de son futur état . Si nous étions capables de regarder ces états « de côté » nous verrions la transformation.

L’univers entier est en nous

Laitman_133Une question que j’ai reçue: Comment puis-je devenir semblable au Créateur s’il n’a pas de forme? 

Ma réponse: Le Créateur n’a pas de forme comme nous l’entendons habituellement, dans ce monde. La Lumière n’a pas de forme, pas plus que le degré supérieur. Le Rabash écrit que tous les mondes, quand ils ne sont pas révélés dans nos désirs (Kelim), sont la Lumière de l’Infini.

Il n’y a pas de mondes qui existent en dehors de l’homme. En ce qui concerne son système interne ou Ame, »les mondes » est un système externe à l’intérieur de lui. Pour cette raison, nous donnons forme à tout, y compris le Créateur.

Le Créateur (Bo-Re) signifie «venir» (Bo) et «vois» (). En modifiant et en améliorant nos qualités, nous construisons une forme extérieure de notre désir non corrigé de recevoir du plaisir. Comme nous corrigeons notre attitude envers cette forme extérieure (c’est-à-dire, la correction de notre désir égoïste), cette forme externe se connecte en nous.

Chaque degré apparaît d’abord comme extérieur à nous. Ensuite, à travers notre travail avec notre environnement, nous devons élever sa valeur à nos yeux, et la voir comme suprême et désirable. Ce faisant, nous atteignons l’amour à partir d’un nouveau degré de haine. Nous voulons ce degré et changer notre attitude égoïste envers lui en aspirant à lui donner. Ainsi, nous atteignons ce niveau Supérieur. C’est ainsi que nous l’absorbons, ou nous « tournons un haineux en quelqu’un d’aimant. »

Nous le faisons encore et encore jusqu’à ce que nous intégrions l’univers tout entier en nous-mêmes et commençons à le percevoir comme le nôtre.

Le choix de l’environnement détermine notre avenir

Laitman_524_03L’environnement et le professeur sont les seuls facteurs qui déterminent l’avenir d’une personne. A chaque instant donné, une personne doit évaluer l’état où elle est, car elle a déjà tout ce dont elle a besoin et sa seule responsabilité est de se connecter avec le bon environnement. Un tel environnement est toujours à proximité et disponibles, notre tâche consiste à faire le bon choix. Il s’agit de la seule liberté de choix que nous possédons. Le reste est la conséquence et le résultat des choix que nous faisons.C’est pourquoi nous devrions nous soucier de rien, sauf d’où nous recevons la « nourriture », à qui nous connecter, et qui nous influence. En d’autres termes, nous devons ne pas penser à nous-mêmes, mais plutôt à quel environnement nous sommes connectés. Si une personne veut contrôler sa croissance, sa vie et son destin, elle doit penser seulement avec qui elle est en contact.

Toutefois, ces pensées ne sont pas naturelles pour nous. Nous sommes constamment à penser à nous-mêmes, « Qui suis-je, pourquoi, et que va-t-il m’arriver? Quelle est la raison pour ma la vie? « Nous nous demandons ces questions à l’intérieur et elles sont toutes correctes. Mais comment sommes-nous censés y répondre? A quoi connectons-nous leur solution?

Les kabbalistes expliquent que la solution ne dépend que de l’environnement. C’est pourquoi nous devons porter notre attention sur des forces extérieures qui nous contrôlent, puisque c’est leur influence qui définit notre avenir.

En fait, elles ne sont pas «externes», mais comprennent plutôt un système unifié d’âmes, une partie intégrante de notre corps spirituel. C’est là qu’a eu lieu la brisure des récipients et là ce qui doit être corrigé. C’est le seul endroit où nous pouvons apporter des changements puisque nous sommes incapables de modifier nos autres désirs. C’est comme de fouiller dans des archives et lire un compte rendu d’événements qui ont déjà été prédéterminés.

Nous ne pouvons influencer notre environnement que d’une certaine façon. C’est dommage de perdre notre attention sur autre chose, sauf sur cela.

Un monde d’égalité des chances

Laitman_077Une question que j’ai reçue: Que doit faire une personne, si elle estime que l’environnement qu’elle a choisi pour son développement spirituel ne favorise pas sa croissance? 

Ma réponse: Aujourd’hui, deux conditions rendent sans importance notre association physique avec un groupe particulier. La première condition c’est que, à notre époque, tout le monde doit atteindre la correction. A cause de cela, la deuxième condition est qu’une connexion virtuelle entre nous donne à tous la possibilité de nous contacter par Internet, par les livres et la télévision. Ceci vient en plus de la possibilité de se connecter ou de se joindre physiquement pour la formation, de venir à une convention en vue de participer à diverses activités ensemble ou de se former dans l’un de nos campus.

Ce n’est pas comme dans les temps précédents lorsqu’une personne était limitée en vivant dans un endroit et ne pouvait seulement se lier qu’avec son environnement immédiat. Aujourd’hui, vous pouvez rester connecté avec le monde entier. Vous pouvez nous voir et nous entendre, ou venir nous rendre visite, le reste dépend de vous.

Aujourd’hui, c’est le moment où tout le monde dans le monde doit atteindre la correction. Les lieux et les distances ne nous limitent pas du tout. Nous voulons clarifier qui nous sommes et à quoi nous appartenons, sous l’influence de qui nous vivons.

 

La liberté de la volonté est garantie à tout le monde et, par conséquent, tout dépend de l’individu. En ce moment, nous sommes en train de construire un système virtuel sur Internet pour les étudiants de la Kabbale qui permettra à chacun de rester vraiment proche.

La science de la réception de la Lumière

Laitman_120Zohar chapitre Shemot [Exode] point 177 : Dans le jardin sur terre, chacun se tient dans et sous la forme qu’ils avaient dans ce monde. Et cette dissimulation et secret est donnée aux sages. L’esprit qui descend aux gens, qui est du côté de la femelle, est toujours gravé dans une gravure telle un sceau, dont les lettres sont immergées. C’est parce que l’image du corps dans ce monde est protubérante dehors et l’esprit est gravé dans son intériorité. Quand l’esprit se diffuse du Gouf [corps] et s’élève au Jardin d’Eden, cet esprit est apparent dans le Jardin d’Eden sur la terre sous la forme et image de l’actuel Gouf dans ce monde, car il est toujours comme un sceau.

«Le corps» (désir) et «l’esprit» (Lumière qui remplit le désir) correspondent l’un à l’autre comme un sceau et son empreinte. Ils se sont séparés afin de se reconnecter. La sagesse de la Kabbale nous apprend à les faire correspondre. C’est ce qu’on appelle « la Kabbale » (réception) parce que nous sommes ceux qui organisent et qui contrôlent l’entrée de la Lumière dans le désir, en définissant la forme de l’entrée de la Lumière dans les désirs et leur remplissage.Pour cette raison, nous étudions la nature de la Lumière et la nature du désir, car leur nature nous est inconnue à l’avance. Nous devons nous connecter avec la Lumière et le désir, recevoir un forme précise de la Lumière et du désir, et les « accorder » l’un à l’autre afin que l’un puisse entrer dans l’autre. Le résultat est appelé la «science de la réception de la Lumière », qui est la science de la Kabbale.

Le collisioneur interne

Laitman_509Une question que j’ai reçue: Y a-t-il une chance de faire quelque chose au-delà des limites du film dans lequel nous vivons? Peut-on « améliorer » le script? 

Ma réponse: Mis à part le script, il y a une opportunité de se plonger plus profondément dans la science «interne» en nous étudiant nous-mêmes. Nous ne pouvons pas limiter notre étude aux «sciences extérieures» comme la psychologie, la culture, la sociologie ou la politique. Tous ces éléments sont les formes «extérieures » à travers lesquelles nous percevons le monde. En fait, ils ne nous disent pas grand-chose de ce monde, ce qui est la raison de beaucoup d’erreurs que nous commettons. Ces sciences ne nous éclairent pas sur les lois de ce monde, et elles ne nous montrent pas la direction des changements que nous subissons.

Les psychologues, sociologues, politiciens, et d’autres tirent une image «externe» de ce qu’ils perçoivent en fonction de leurs normes et de leurs objectifs personnels, de leur propre point de vue. C’est pourquoi nous avons désespérément besoin de la sagesse de la Kabbale car elle nous permet d’aller plus loin en nous-mêmes, au niveau des « particules de base », et d’étudier les documents authentiques avec lesquels nous sommes construits; cela est plus proche de la vérité que nos fantasmes psychologiques subjectifs.

Nous nous arrêterions de faire des erreurs si nous étions capables d’aller plus loin à l’intérieur de nous-mêmes et de commencer à réaliser ce qui se passe en nous, au niveau le plus profond, si nous brisions toutes les coquilles dont nous sommes revêtus, comme les pelures d’un oignon, par l’intermédiaire des diverses formes de perception du monde extérieur, nous apprendrions à nous faire confiance et à comprendre ce qui se passe et pourquoi, ce qui nous permet d’avancer, ce qui est bénéfique ou nuisible.

Cela devient possible seulement si une personne obtient la capacité de voir à l’intérieur. Afin d’atteindre ce résultat dans les limites des sciences «extérieures », nous devons construire un accélérateur de particules à l’aide de notre vision intérieure. Un collisionneur est en moi. J’ai besoin d’atteindre le degré de précision qui me permette de resentir les forces qui agissent en moi, qui effectuent le travail d’un collisionneur.

 

C’est ce que la sagesse de la Kabbale nous permet de réaliser. Ce n’est qu’en atteignant ce point que nous serons en mesure de comprendre l’origine de la création, notre place en elle, où nous allons et où nous arriverons – notre Chemin complet. Ce faisant, nous serons en mesure de nous orienter correctement et de cesser de faire des erreurs.

La Lumière nous enseigne la sagesse

Laitman_102Zohar chapitre Djemot [Exode] point 177 : Cependant, dans ce monde, dans Nefesh et Rouakh qui revêtent le corps de l’homme, l’illumination de Nefesh est légère et s’inclut dans Rouakh. C’est parce que Rouakh est l’intérieur de l’homme et le Gouf [corps] est son extérieur. Par conséquent, Rouakh est immergé comme une empreinte, car il est l’intérieur et le Gouf est protubérant car il est l’extérieur. Quand un homme décède, le corps est enterré et Nefesh ne peut s’élever au Jardin d’Eden mais reste errante au dessus de la tombe à proximité du corps, alors que Rouakh s’élève au Jardin d’Eden sur terre,

Il est semblable à la pâte qui est pressée par un moule. Si le moule a la forme d’une étoile, la pâte sort sous la forme d’une étoile, si le moule est rond, la pâte devient ronde. En d’autres termes, la lumière qui était présente dans le désir (Kli) est acceptée par elle dans la Lumière Réfléchie (un récipient spirituel) et c’est pourquoi la Lumière devient révélée. Elle prend la forme que le «corps» (le désir) avait. Même après que la Lumière a laissé le désir, elle conserve encore un « souvenir « (Reshimo) sur la forme du désir dans lequel elle avait l’habitude d’être habillée. 

Il s’agit d’une Lumière particulière. Ce n’est pas la Lumière abstraite et simple qui n’a jamais été acceptée par le corps. Le corps a déjà reçu cette Lumière et se corrige dans sa forme. Il a terminé un certain type de correction. Maintenant, la Lumière qui, auparavant,a « visité » le corps et le corps lui-même s’opposent l’un à l’autre. Le corps continue de se corriger sur un nouveau niveau et de manière plus avancée, mais la forme précédente ne disparaît pas.

Les formes précédentes nous aident à nous corriger encore puisque la lumière qui a visité le corps habille le même corps et l’aide à atteindre des états supérieurs. Il en est de même de notre expérience de vie précédente qui nous aide à prendre des décisions futures, même si les prochaines étapes peuvent être de nature totalement différente.

La même chose concerne la Lumière la sagesse spirituelle) qui avait l’habitude d’être habillée dans notre corps et nous aide à poursuivre notre chemin plus loin. Chaque état reste intact, « rien ne disparaît dans la spiritualité. » Chaque niveau d’avant laisse une «forme» qui nous aide à atteindre de nouveaux états. La comparaison, la clarification et la connexion de ces formes conduisent à la sagesse qui est la science de la Kabbale.