J’atteindrai quelque chose de bon

Dr. Michael LaitmanNous procédons à la lecture Le Zohar après nous y être préparés par l’étude d’articles du Rabash au cours de la première partie du cours, c’est à dire, après être prêts à recevoir la Lumière qui ramène vers le bien. 

Qu’est-ce que ça veut dire, « Nous sommes prêts » ? Cela signifie que nous avons un désir pour cela, un désir pour la dimension intérieure, en particulier, pour acquérir la propriété du don sans réserve au delà de notre esprit et de nos sensations terrestres. Nous voulons que cette propriété règne sur nous.

Que faire si une personne n’en a pas le désir ? Et si elle ne sent pas qu’il lui manque l’attribut du don sans réserve et ne veut même pas ressentir ce manque ? Que doit-elle faire? Elle doit également rester avec ceux qui veulent acquérir la propriété de don. Une personne qui ne sent presque aucun rapport avec cela doit s’accrocher comme un nouveau-né à ceux qui étudient. Il est dit au sujet de la science de la Kabbale « Elle va guérir toute chair.  »
Dans notre monde, même une personne en bonne santé subit un examen médical à l’occasion : Que faire si on trouve une maladie ? Pourquoi en avez-vous besoin si vous êtes en bonne santé ? Je veux être sûr que je n’ai pas de maladie qui progresse alors que ne je suis pas au courant de celle-ci.  »

La même chose s’applique à nous. Même si nous ne pensons pas qu’il nous manque l’attribut du don sans réserve et que nous nous considérons comme «en bonne santé», nous faisons confiance aux grands kabbalistes qui nous conseillent de nous interroger. Ainsi, on peut lire Le Livre du Zohar même si nous n’en éprouvons pas de besoin. Peut-être, que grâce à de cette lecture qui ne me concerne pas particulièrement, ni pour laquelle je ne ressens ni goût ou nécessité, je vais néanmoins m’examiner et voir ce que je possède des propriétés négatives. En les corrigeant, je vais arriver à quelque chose de bon (j’irai mieux).

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