Daily Archives: 9 août 2010

Les kabbalistes sont des âmes qui font revivre la génération

Dr. Michael LaitmanL’article du Baal Ha Soulam , «Introduction au Livre Panim Meirot ouMasbirot » « Point 8: Par conséquent, viens et vois combien nous devrions être reconnaissants à nos enseignants, qui nous donnent leurs lumières sacrées et consacrent leur âme à faire du bien à nos âmes. Ils se situent dans le milieu entre le chemin des durs tourments et le chemin de la repentance. Ils nous sauvent de l’enfer, qui est plus fort que la mort, et nous accoutument à atteindre les plaisirs célestes, la douceur sublime et la douceur qui est notre part, prêts et qui nous attendent dès le début, comme nous l’avons dit ci-dessus.
Nous ne devons pas considérer ces grands kabbalistes comme des gens qui ont vécu il ya quelque temps, ils font partie d’un énorme système: l’âme. Un kabbaliste est une âme qui atteint le Créateur, le sait et le sent, et réside dans le système collectif des âmes, Adam HaRishon. Il est en fait partie intégrante et agit comme un inter-support qui nous lie au monde spirituel à un moment où nous ne réalisons pas ou nous ne le percevons pas.

En d’autres termes, un kabbaliste ne nous laisse pas seulement ses écrits, il réalise également un lien entre nos âmes et le système collectif. Nous ne percevons pas les âmes des kabbalistes. Pourtant, elles se connectent à nos âmes (points dans le cœur) avec le système commun, ce qui nous permet de nous connecter les uns avec les autres et en faire partie. Ainsi, un flot de lumière qui coule dans le système nous atteint et nous fait revivre afin que nous puissions devenir intégralement ses parties actives.
Cela constitue le travail des kabbalistes de toutes les générations: ils assurent notre vie spirituelle au sein de ce système. Pour le moment, nous existons en lui comme de simples points sans conscience. Mais les kabbalistes nous aident en transmettant la proximité et les Lumières intérieures et Environnantes qui sont présentes dans le système ce qui nous réveille.

Par conséquent, la vie d’un kabbaliste ne prend pas fin avec la mort de son corps physique. Lorsque nous parlons d’un kabbaliste, nous parlons d’une âme qui existe dans l’ensemble commun des âmes et de ses actes, que son corps matériel existe ou pas dans le monde matériel. Cette âme est la participation active et la partie du système plus proche de nous(comme, par exemple, le Baal HaSoulam ou le Rabash).
Notre groupe Kabbalistique représente un certain organe spirituel de l’âme collective, et ils prennent soin de nous spirituellement. C’est écrit à propos de nous: «Nous devons être reconnaissants à nos enseignants qui nous donnent de leurs lumières sacrées. » Ils sont en train de nous les donner, juste maintenant !

Nous n’avons pas à passer d’un système à l’autre. Nous sommes toujours dans le même système et nous nous éveillons simplement à plus de conscience

Les kabbalistes sur l’essence de la sagesse de la Kabbale, partie 17

Dr. Michael LaitmanChers amis, s’il vous plaît posez des questions sur des passages des grands kabbalistes. Je vous promets d’y répondre. Les commentaires entre parenthèses sont de moi.La sagesse de la Kabbale et la philosophie

Non seulement ce n’est pas le bon endroit pour discuter avec eux [les philosophes] au sujet de leurs conjectures fabriquées, mais aussi le temps des partisans de tels points de vues [pratiquement infondées] est déjà dépassé et leur autorité a été révoquée. Nous devons également remercier les experts de la psychologie matérialiste pour cela, ceux qui ont bâti son socle [réaliste] sur les ruines de l’ancienne philosophie [in fondée en pratique], en gagnant la faveur du public..Maintenant tout le monde admet la vacuité de la philosophie [ses conclusions], car elle n’est pas construite sur des fondations en béton [dans la pratique] [mais provient des hypothèses de l’intelligence humaine].

Cette vieille doctrine est devenue une pierre d’achoppement et une épine mortelle [pour qu’une personne ordinaire comprenne la Kabbale ]parce que là ils auraient été humiliés devant les sages de la Kabbale [c’est-à dire se corriger avec son aide, modifier leurs propriétés d’égoïstes à altruistes, puis étudier la Kabbale à travers leurs récentes qualités acquises puisque c’est la seule façon de comprendre l’essence de la Kabbale], et assumer l’abstinence et la prudence, la sainteté [de la propriété du don sans réserve] et la pureté avant que les sages divulguent, même la plus petite chose dans la spiritualité [la nature de don sans réserve et de l’amour], ils ont facilement obtenu ce qu’ils voulaient[ une connaissance externe instantanée ] de la philosophie formatrice [sans se corriger eux-mêmes]. Sans le paiement ou le prix [sans exercer l’effort nécessaire en eux-mêmes en se corrigeant], ils ont eux-mêmes arrosé leur source de la sagesse [les livres kabbalistiques] à satiété, et [sans fixer un objectif de correction] en s’auto abstenant de plonger dans la sagesse de la Kabbale [ autocorrection] jusqu’à ce que la sagesse ait presque été oubliée parmi Israël [remplacée par des arguments et des observations inutiles ].
Par conséquent, nous sommes [nous devons être] reconnaissants à la psychologie matérialiste de lui donner un coup mortel [à la philosophie inutile et sans fondement]. À l’heure actuelle, nous voyons que les contemplations philosophiques ne sont plus prises en considération. La «science» de la philosophie continue d’exister par inertie, et le mot «philosophie» a acquis un sens méprisable.
– Baal HaSoulam « La sagesse de la Kabbale et de la philosophie »

Dans les griffes de la nature

Dr. Michael LaitmanQuestion: Les incendies éclatent à Moscou, les gens se promènent avec des masques respiratoires et quittent la ville. Il y a des inondations en Inde et des glissements de terrain en Chine en raison de fortes pluies . Est-il possible de corriger la situation ? 

Réponse : La nature se referme sur nous de tous côtés afin de nous montrer un fait simple : nous sommes à l’intérieur d’elle, nous sommes très petits et nous existons dans une zone minuscule où nous dépendons les uns des autres et de la sage nature qui enveloppe tout (le Créateur)et qui nous entoure.
Nous sommes obligés de trouver la seule raison de tous nos ennuis et de comprendre la seule chose que nous ayons à faire afin de prévenir les catastrophes mondiales. Il est déjà clair que le déversement de pétrole e Amérique, l’éruption du volcan en Islande, les incendies en Russie, et les tsunamis et les inondations en Asie et en Europe ne peuvent pas être appelés « troubles locaux ». C’est une influence globale de la nature sur nous tous. En outre, ils continueront sans aucun doute, personne ne sera capable de rester insensible et de se sentir en sécurité.
Lorsque la crise financière a éclaté en Amérique, les gens étaient heureux en Russie, en pensant que seulement l’Amérique était touchée et que cela ne leur arriverait pas. Mais leur vision à court terme leur fut révélée quelques semaines plus tard sur leurs propres comptes bancaires !

Quelqu’un pourrait penser « Que m’importe si un volcan entre en éruption en Inde ? tous les volcans peuvent éclater, je m’en moque !  » Toutefois cela a touché tout le monde, comme le font les incendies et les inondations. Et l’hiver est encore devant nous…
A la fin de tout cela nous devons comprendre que notre planète est ronde, et que nous devons nous unir et réfléchir à la survie tous ensemble. Le Créateur ou la nature( ce qui revient au même ) a un esprit, des sentiments, une direction et un but. Il va nous obliger à devenir de « bons enfants ». Espérons que nous pourrons comprendre cela rapidement et deviendrons plus intelligents.

Les Kabbalistes sur l’essence de la sagesse de la Kabbale, partie 16

Dr. Michael LaitmanChers amis, s’il vous plaît posez des questions sur des passages des grands kabbalistes. Je vous promets d’y répondre. Les commentaires entre parenthèses sont de moi. La sagesse de la Kabbale et la philosophie

Je ne suis pas un adepte de la philosophie formatrice, car je n’aime pas les études fondées sur la théorie [ qui sont des conjectures de l’esprit humain, non fondées sur des études pratiques], et il est bien connu que la plupart de mes contemporains sont d’accord avec moi car nous sommes trop familiers avec ces fondations [dont nous avons souffert tout au long de notre histoire], qui sont des fondements branlants [ne reposant pas sur la pratique]; et quand la fondation fluctue, l’ensemble du bâtiment tombe [c’est pourquoi la philosophie est en constante évolution, exposant ainsi ses sophisme passés].

Par conséquent, je [comme un kabbaliste et non pas comme un philosophe] suis venu ici pour ne parler que par une critique de la raison empirique.

– Baal HaSoulam « La Paix« 

N’attendez pas d’être obligé d’évoluer

Dr. Michael LaitmanSi nous ne parvenons pas à éveiller le monde à l’évolution spirituelle, à la Lumière qui brille devant, il sera poussé par derrière par la souffrance et de ce fait contraint d’avancer. Ce chemin est très long, jusqu’à ce que le tourment force l’homme à contempler pourquoi il souffre et quoi faire. Imaginez combien de temps cela durera et combien de douleur cela apportera!Toutefois, si l’on peut aider au développement de l’humanité par la diffusion de la science de la Kabbale nous allons rapidement susciter l’avancement, et éviter tous ces coups.Nous savons que tout ce qui se produit au degré inanimé (minéral) équivaut à un acte unique au degré végétal. Tout ce qui se passe au niveau végétal est égal à un seul acte au degré animé. Pensez seulement à la différence entre ces états.
Il doit y avoir des guerres, des tourments, et des catastrophes terribles pour nous déplacer d’un cran, sur le plus haut degré. Au lieu de cela, nous pouvons tirer la Lumière Supérieure et éviter tous ces problèmes au niveau de ce monde. Nous pouvons remplacer une décennie de souffrances avec notre seul effort individuel minuscules vers l’évolution spirituelle avec l’aide de la Lumière.

C’est ainsi que la différence est grande entre les degrés de la nature : minéral, végétal, animé, et celui de la parole. Par conséquent, nous devons prendre une lourde responsabilité pour les possibilités que nous sont transmises.