Monthly Archives: décembre 2010

Laissez la lumière entrer !

Dr. Michael LaitmanQuestion: Comment les Reshimot (données d’information spirituelle) se matérialisent-elles ?

Réponse: Tous les Reshimot sont triés par la Lumière Supérieure (la lumière d’AB – SAG). Imaginez ce genre de travail qui est de trier tous les Reshimot qui restaient après l’éclatement de Malkhout collectif, et qui souhaitaient effectuer une correction complète (Gmar Tikkoun).

Malkhout de l’Infini a effectué un « Zivoug « (accouplement) avec la Lumière de la Fin de la Correction dans son volume complet créé par le Créateur, dans sa phase de totalité Dalet (4/4). Et tout cela a fait irruption dans les moindres fragments. Il n’y a aucune de ses propriétés, Sefira ou ses sous- Sefira, qui restera liée à l’autre. Elles se détestent les unes les autres.

Quelle multitude infinie de propriétés diverses sont maintenant dans Rosh de SAG à partir de la multiplication de ces Lumières qui se sont élevées à elle après la brisure ! C’est impossible de compter et d’imaginer. La Lumière de la Fin de la Correction est opposée au Kli(la volonté de recevoir, le désir) à la Fin de la Correction, et au lieu de l’union, il y a de la haine entre eux. Et tout ce Kli est complètement détruit, écroulé en fragments.

Et maintenant, Rosh de SAG doit trier les Kelim brisés dans toutes ses Sefirot individuelles : quoi recueillir d’elles afin de faire le premier Partsouf, au moins quelque peu corrigé, en vertu de la seconde restriction et de diverses limites. Comme c’est un travail énorme et complexe !

D’autre part, lorsque la Lumière Supérieure arrive, elle illumine toute cette multitude de brisures, les Reshimot, et ils ont immédiatement mis en ligne dans sa Lumière en prenant chacun sa place correcte. La Lumière les organise, en éclairant qui donne plus et qui donne moins, et dans cette optique, ils vont tous être alignés à la fois en ligne droite.

Puis, à partir de la multitude innombrable de ces formes, SAG sélectionne les bonnes formes et les met en ordre. Mais comment les choisir ? Ce travail, toujours effectué par la Lumière Supérieure qui illumine d’En-Haut les Reshimot, discerne le plus merveilleusement ce qui est juste et ce qui ne l’est pas, selon quelle propriété, dans quelle direction, et de quelle manière pour les aligner sur les trois lignes, de Haut en bas, avec les écrans de sorte que tous soient reliés entre eux.

La Lumière collecte les pièces cassées dans la première goutte de sperme, qui est le début d’un embryon. Il contient tout, sauf le travail qui doit être ajouté. Pourtant, tout le tri est effectué par la Lumière. Et ensuite, l’inférieur est capable de travailler. En ce qui concerne le discernement, l’inférieur ne peut jamais y parvenir.

Par conséquent, si l’on veut discerner quelque chose, trier, et s’unir les uns avec les autres dans notre monde, nous ne serons jamais en mesure de le faire. Rien et jamais! Nous avons besoin de la Lumière Supérieure pour connecter toutes les parties séparées depuis que nous sommes aussi restés dans le monde brisé. Pendant ce temps, nous souhaitons organiser, restaurer et le faire revivre nous-mêmes … Quel effort insensé!

Ce n’est pas facile d’être d’accord avec La Lumière.

Dr. Michael LaitmanQuestion: Comment ressentons-nous que la Lumière travaille sur nous, en triant les Reshimot en nous?Réponse: Afin d’atteindre un état où la Lumière trie nos Reshimot (données d’information spirituelle), une personne doit y être prête. En réalité, je ne discerne pas mes Reshimot ; la Lumière si. Ce n’est pas moi qui décide, mais cette dernière. Je suis prêt à accepter sa décision et je demande à la Lumière de le faire pour moi. Cela se produit à la suite de la brisure la plus puissante.

Nous avons à subir la brisure afin d’être d’accord avec tout ce que le Supérieur discerne en nous pour notre propre bien.

Un voyage dans le passé

Dr. Michael LaitmanQuestion: Qu’est-ce que le Reshimo (réminiscence)?

Réponse: Un Reshimo est ce qui a déjà eu lieu, un état spirituel précédent car rien ne disparaît dans la spiritualité. Les états antérieurs qui émergent dans les moindres détails, mais ne se manifestent pas dans la vie en raison de l’absence d’écran qui sert comme moyen de leur réalisation, sont appelés  » Reshimot.  »

Supposons qu’hier, j’étais dans un état, et qu’aujourd’hui je suis en train le revivre. Dans la spiritualité, cet état se dégage en moi dans ses moindres détails, comme si je le vivais juste en ce moment. Ce qui se passe est tout à fait clair pour moi, à 100%, et rien n’est perdu je ne peux tout simplement pas le réaliser car il manque l’écran. C’est ce qu’on appelle le  » Reshimo.  »

Ce n’est pas un souvenir du passé comme dans le monde corporel quand je me rappelle « vaguement » quelque chose. Un Reshimo, c’est quand je ne doute pas de quoi que ce soit, tout est révélé comme dans le présent, sauf pour sa réalisation.
De la 2e partie du cours de Kabbale quotidien 12/19/10 Talmud Esser Sefirot

Donner du pain tout en étant affamé

Dr. Michael LaitmanAucun mouvement qui tente d’unir les peuples sans la sagesse de la Kabbale n’a une chance de réussir. Seule cette sagesse vous fournit la connexion à la Lumière Supérieure en décrivant les actions qu’elle effectue. Quand vous lisez à propos de ces actions et que vous désirez les réaliser vous-même, vous commencez à changer constamment. Il n’y a pas d’autres moyens.Les gens peuvent s’assembler en divers groupes, mais il faut d’abord se demander: Quel est leur but et quels sont les moyens pour y parvenir? Pensent-ils qu’ils sont capables de changer la nature humaine eux-mêmes? Si oui, où vont-ils obtenir l’endurance nécessaire pour le faire si nous sommes tous égoïstes? Si non, cela n’ira pas plus loin que de parler.

Il y a des gens qui aiment donner selon ce que leur nature leur dicte, «altruistes égoïstes ». Et ils ne comprennent pas qu’ils agissent au sein de leur ego, parce qu’ils n’ont pas une seconde nature, l’étincelle d’En-Haut. Ils sont vraiment prêts à tout donner.

Au temps de ma jeunesse, quand je vivais à Leningrad (Saint-Pétersbourg, Russie), j’ai eu une conversation avec une vieille femme qui avait été révolutionnaire. Elle m’a raconté comment elle avait l’habitude de donner du pain aux soldats qui partaient pour la guerre. Elle mourait de faim, mais ne se permettait pas, même en pensée, de prendre une miette de ce pain.

Les gens sont prêts à donner leur vie parce que notre ego est au-dessus du niveau animé. L’ego réside au niveau parlant(l’homme), tandis que la vie du corps reste au niveau animé. Et si une personne estime que son «moi» est blessé, elle ignore son corps. Si elle voit que le corps animé essaye de surmonter l’être humain en lui, elle détruit cette bête. Il n’y a pas d’altruisme en cela.

Unis par l’amour ou la haine

Dr. Michael LaitmanQuestion: Il y a des mouvements qui rassemblent jusqu’à deux mille personnes dans leurs réunions et également appellent à l’amour et à l’union, en ne mentionnant pas un mot de la Kabbale. Une telle union est-elle possible sans employer les sources?Réponse: Vous ne voyez pas qu’ils n’y réussissent pas? Peut-être, deux à trois milliers peuvent se réunir comme ça. Une grande catastrophe peut aussi forcer les gens à s’unir. Mais l’union véritable n’est possible qu’avec l’aide de la Lumière Supérieure, la force que nous ne possédons pas. Où, nous pouvons le faire s’ils sont présentés avec des avantages égoïstes énormes, comme la peur de l’invasion ou une récompense formidable.

C’est pourquoi, une telle unité est temporaire. Dès que la cause qui l’a créée, se dissout, la connexion se dissipe immédiatement. Par conséquent, l’unité ne peut être atteinte.

Il y a toujours eu diverses organisations «altruistes». Le Baal HaSoulam écrit qu’il y a 10% d’altruistes naturels dans le monde qui souhaitent s’unir, mais c’est tout à fait égoïste. En examinant de l’intérieur, derrière toute la conversation sur l’unité, vous pourrez voir un égoïsme solide. Nous avons de nombreux exemples de ce qui suit: la Russie communiste (jadis), qui approche maintenant le fascisme, et les kibboutzim en Israël.

Toute tentative visant à créer l’unité sans avoir recours à la Lumière va échouer. Laissé sans choix, ils seront obligés d’employer la force violente et la dictature, sinon, un tel système ne sera pas en mesure de durer.

Nous sommes constamment confrontés à un dilemme: soit nous réformons la nature de l’homme ou nous l’obligeons à s’unifier par la force. Et toute conformité forcée, le régime nazi, conduira inévitablement à la guerre. Le Baal HaSoulam a écrit à ce sujet, même quand il était encore en vie. Et la Russie n’aura pas d’autre choix que de continuer à se développer selon le même scénario. La correction ne devient possible qu’à une condition: si les gens utilisent la sagesse de la Kabbale.

Si nous ne nous corrigeons pas nous-mêmes et ne nous unissons pas grâce à la Lumière, nous allons être unis d’une manière différente: Le monde sera submergé par les régimes fascistes. Après tout, le nazisme est une autre forme d’unification, bien qu’étant l’unité d’un groupe contre l’autre.

Les gens vont sentir qu’ils doivent s’unir, que l’unité apporte le salut et l’ascension, et c’est correct. Mais ils ne seront pas en mesure de s’élever et de se sauver sans la force extérieure qui sera la haine de quelqu’un d’autre. Sinon, ils n’auront pas de raison pour s’unir ! Pour ce faire, ils ont besoin d’un ennemi visible et haï qui les unissent ensemble contre lui.

C’est ainsi que l’ego fonctionne ou bien il ne ressent pas la nécessité de s’unir. Par conséquent, la société commence à pencher vers le nazisme et le fascisme. Si les dirigeants du monde n’accepte pas la méthode de correction par la Lumière et de révéler la source, en mettant leurs citoyens « au bureau » pour l’étudier, alors très vite, ils devront faire face à un régime nazi qui va immédiatement conduire à la guerre.
De la 4e partie du cours de Kabbale quotidien 12/19/10″une servante qui hérite de sa maîtresse »

1 + 1 = 3 (Le Créateur entre nous)

Dr. Michael LaitmanVous avez besoin de vous habituer au fait que si vous commencez à examiner quelque chose, vous trouverez toujours deux attributs opposés à l’intérieur qui, néanmoins, sont unis. C’est une sorte de «clivage».Si vous travaillez avec un désir égoïste, alors tout se passe bien: 1 +1 = 2. Mais si vous combinez le désir de recevoir avec l’intention de donner, ils sont opposés et ne peuvent pas s’unir. En d’autres termes, 1 + 1 = 3! Le troisième est le Créateur. Vous devez vous habituer à ce paradoxe et l’accepter comme naturel, c’est une norme pour nous.

Nous sommes témoins d’un tel «paradoxe» dans la société humaine. D’une part, tout le monde fait tout pour se séparer des autres, mais de l’autre, les gens sont à la recherche de contacts les uns avec les autres.

C’est devenu une manie. Il y a eu un cas où un système de communication de téléphonie mobile est tombé en panne, les gens se sont retrouvés sans les téléphones cellulaires, et ils ont juste commencé à devenir fous. Comment se peut-il que tout le monde veuille être seul, et d’autre part, ne peut pas le faire sans communication avec d’autres personnes?

Le fait est que la personne veut être seule pendant une courte période, afin que personne n’interfère. Mais en même temps les gens ont tendance à vivre ensemble: dans une grande ville, dans une culture de masse. Ils ont tendance à s’imiter les uns les autres et à faire tout de la même manière que les autres. Par conséquent, on ne nie pas l’autre.

Une personne a besoin de son coin où elle peut se cacher, comme une abeille, chacune dans sa cellule personnelle. Mais dès que l’on reçoit une telle «indépendance», on doit ressentir qu’on existe parmi tous les autres.

De la 4e partie du cours de Kabbale Quotidien 12/19/10  » une servante qui hérite de sa maîtresse « 

Le bouclier de protection d’une personne

Dr. Michael LaitmanLe Baal HaSoulam, Beit Shaar HaKavanot (La porte des intentions), article 87 : la Sefira Keter avec la lumière de Nefesh s’appelle l’état d’Ibour [embryon] de chaque degré, qui n’a pas encore contrôlé son « corps » et est complètement situé dans Klipat Noga, où le bien est mélangé au mal.
Seule la racine est corrigée en elle actuellement, pas le corps lui-même, et c’est pourquoi le corps entier s’appelle la « peau » actuellement. Mais quand il atteint l’état de Yenika [alaitement] et qu’il reçoit le Kli de Hokhma, dans lequel la Lumière de Rpuakh se revêt, il reçoit alors le « corps. »

Dans l’état d’« embryon » (Ibour), le bien est mélangé au mal, et nous ne savons pas le différencier. Cependant, dans l’état de « alaitement» (Yenika, dessin de la sustentation), nous commençons déjà à distinguer le bien et le mal et à employer les bons désirs. En raison de nos clarifications, nous nous développons, et c’est pourquoi cet état s’appelle « alaitement.»
Ce n’est pas un bébé corporel qui naît et change son endroit, en sortant de la mère vers l’extérieur. Un « embryon » spirituel et un « enfant en bas âge » qui reçoit la nourriture sont des modes différents de connexion entre le supérieur et l’inférieur.
Si je ne peux rien contrôler par moi-même et que le supérieur le fait pour moi, alors cet état s’appelle un « embryon. » Si je participe aux clarifications moi-même et différencie le bon du mal, en utilisant le bon, alors ceci « alaitement. »

Si je clarifie Klipat Noga (la coquille de Noga) afin de fabriquer un « bouclier » à partir de lui, à partir des trois Klipot (coquilles) impurs , en transformant le mal choisi en « peau » qui me protège, alors je peux commencer à me construire,en choisissant à partir du mélange des bons et mauvais désirs .

C’est un mélange spécial puisqu’en lui les qualités du Créateur et de la créature sont entremêlées. C’est précisément hors de ceci que je dois construire quelque chose de nouveau : un homme indépendant (Adam, signifiant « semblable » au Créateur).

Là où tout est sombre et déroutant

Dr. Michael LaitmanBaal HaSoulam, Beit Shaar HaKavanot (la porte des intentions), article 87 : et sache que le mal total qui se clarifie, dans lequel il n’y a rien de bon [c’est l’examen minutieux des trois Klipot (coquilles) externes qui seront uniquement corrigées à la fin de la correction (Gmar Tikkoun)], mais la quatrième Klipa n’est pas entièrement clarifié, et c’est pourquoi elle reste sous la forme de « vêtement » et de « peau. »
Cela signifie qu’il y a quelque chose de bon en elle , mais cela n’a pas encore été examiné, et c’est pourquoi elle est appelée Klipa (coquille).Cependant, ce n’est toujours pas une Klipa comme les trois Klipot impurs qui manifestement ne portent aucun bien en elles, et par conséquent, nous ne pouvons pas les corriger avant la correction finale.
Cependant, nous pouvons examiner la quatrième Klipa, Klipat Noga, et nous avons besoin de travailler avec elle. Ce sont les Kelim brisés (récipients ) qui sont tombés dans les mondes de BYA (Beria, Yetzira, Assiya), où le bien et le mal sont mélangés. Nous les clarifions en particulier dans la Klipat Noga appelée le tiers médian de la Sefira Tifferet.

C’est le seul endroit de notre libre de choix. Au-dessus, il y a la sainteté ; il n’y a rien à y examiner. En-dessous, il y a l’impureté complète, la Klipa ; il n’y a rien à y trier non plus. Nous pouvons travailler seulement dans la Klipat Noga où il y a encore un mélange du bien et du mal.
Il s’avère que c’est précisément le lieu où nous devons constamment résider : au lieu de la confusion et du doute, où tout est mixte, imprécis et sombre. C’est là où nous apporterons des éclaircissements. C’est précisément le lieu de notre travail

Où dirigerons-nous la force qui nous a été donnée ?

Dr. Michael Laitman

Nous détruisons le monde avec notre attitude. Chaque jour, nous enregistrons des disparitions d’autres espèces d’animaux et de plantes de la surface de la terre. Le monde devient chaque jour plus pauvre, perdant la diversité de ses formes. Même si nous ne les éliminons pas directement, nous créons les conditions dans lesquelles ils ne peuvent tout simplement pas exister. Certains disent que la situation devient irréversible.

Et c’est seulement par ces résultats regrettables que nous voyons que nous avons fait quelque chose de mal. Après tout, nous avons cru que nous avions le droit de faire ce que nous voulions avec la nature. Nous l’avons fait au lieu d’examiner d’abord la nature et nous-mêmes pour voir où nous devons diriger les forces que nous possédons.

Devrions-nous modifier l’environnement ou nous changer nous-mêmes au moyen d’un environnement correct ? C’est là que réside toute la distinction entre la bonne et la mauvaise approche. Soit j’essaie de contrôler tous les gens et le monde, de les faire danser selon ma musique, soit je me rends compte que tout ce que je n’aime pas dans le monde est quelque chose que j’ai besoin de corriger en moi-même.

L’égoïsme est en moi. Par conséquent, j’ai besoin de la Lumière qui ramène vers le bien pour y remédier. C’est le fondement de la bonne approche.

L’humanité a juste commencé à se réconcilier avec cela ; on a commencé à comprendre que le monde est un système fermé où tout est solidaire. Beaucoup de temps s’écoulera à partir du moment où nous commencerons à le voir jusqu’au moment où cela va nous obliger à changer.

Nous sommes comme un petit enfant têtu qui voit qu’il fait quelque chose de mal, mais qui continue à le faire et reçoit à chaque fois une fessée. Il lui faudra un certain temps pour finalement devenir sage.

Les kabbalistes au sujet de la Torah et des commandements, partie 4

Dr. Michael LaitmanChers amis, s’il vous plaît poser des questions sur ces passages des grands kabbalistes. Les commentaires entre crochets sont de moi.L’essence du travail dans la Torah et les Mitsvot

Il faut avoir un besoin maladif de mériter la récompense d’une Mitzva (Commandement/bonne action) [en réalisant une correction]. Cela signifie qu’en gardant les Mitsvot [corrections] on sera récompensé de [on devra demander ] l’adhésion au Metzaveh (Commandant) [Comme il est dit: « La récompense en accomplissant un commandement, c’est de connaître Celui qui les prescrit »].
– Baal HaSoulam, Shamati (J’ai entendu, article no. 227, « La récompense pour une Mitzva-une Mitzva »

Quand on peut avoir pour but de donner sans réserve [Au profit d’un autre], cet acte est appelé « une Mitzva (Bonne action).  »
– Rabash, Les Barreaux de l’Echelle, « En ce qui concerne la récompense des receveurs  »

Le travail dans la Torah et les Mitsvot [en corrigeant l’égoïsme par la Lumière Supérieure ] commence d’abord après avoir mérité la repentance de l’amour [Actions qui découlent de l’amour des autres]. C’est seulement ainsi qu’ilest possible de s’engager dans la Torah et les Mitsvot avec amour et crainte, comme il nous est commandé.