Monthly Archives: mai 2011

Les tentatives d’atténuer les coups

Dr. Michael LaitmanQuestion: Je suis étonné qu’une série de tels changements dramatiques dans le monde entraine une telle réaction de faiblesse des grandes nations. Que va t-il-nous arriver?

Réponse: Je pense que les «décideurs et les agitateurs » du monde ont compris qu’ils n’avaient pas le contrôle de la situation, et ils essaient d’atténuer le coup. Ils sont particulièrement préoccupés par la forte baisse de la production de pétrole et la baisse marquée de l’économie mondiale.

Sans aucun doute cela aura un impact sur la reconstruction globale. Les industries de l’automobile et de l’aéronautique seront détruites et un nouveau mode de transport public devra être mise en œuvre. Les gens n’achèteront que le strict nécessaire, ce qui fera s’effondrer de nombreux secteurs de l’économie.

Un dixième de la population aux des États-Unis travaille dans l’industrie automobile. Une succession de faillites va briser l’économie nationale et faire surgir la montée des partis politiques extrémistes, du même type que ceux qui ont émergé dans des circonstances similaires dans les années 1920 en Allemagne.

Ce n’est pas un hasard que la Kabbale affirme que la prochaine étape dans le développement collectif mondial est soit la correction par la méthode de la Kabbale ou soit le fascisme! Je soupçonne les États-Unis d’avoir délibérément mis fin à leur propre industrie, se rendant compte qu’ils seraient les premiers à succomber à la crise mondiale imminente. Ce constat de leurs autres industries et de leurs travailleurs permet de réaliser à temps une transition à partir de secteurs de l’économie tellement dépendante du pétrole, tels que l’automobile, à d’autres modes de fabrication et de consommation plus simples, plus naturels, et directs. Quant aux médias, ils ont simplement exécuté les ordres de ceux qui les paient.

Qui engendre la prière

Dr. Michael LaitmanRabash, Shlavey HaSoulam (les marches de l’échelle), l’article « qui engendre la prière »: Dans cet état de réflexion, quand il sent combien il est éloigné de tout recueillement pour l’œuvre du Créateur, il commence à se réveiller et penser, « Quelque chose doit être fait. Je ne peux pas rester dans cet état de bassesse pour le restant de ma vie. « 
Il est certain que c’est le moment où une personne commence à prier le Créateur pour se rapprocher de lui et demander de l’aide d’en haut, comme nos sages ont dit: «Celui qui vient d’être purifié est aidé. »


Une personne sait ce qu’elle doit être amenée à penser : que le Créateur est «bon et fait le bien» et s’attachera à lui. Cela signifie que notre objectif est de révéler le Créateur. Sinon, nous n’atteindrons pas ce pourquoi nous sommes destinés.
Cette tâche ne peut être accomplie que s’il existe une équivalence de forme. Par conséquent, une personne souffre car elle n’a pas encore atteind la foi, l’attribut de don sans réserve, dans lequel elle peut trouver le Créateur et Le remercier. C’est ainsi,elle ne peut pas chercher cette révélation de façon égoiste, mais seulement dans le but véritable  d’atteindre la grandeur du Créateur.
Puis, elle voit les «nations du monde» contredire son « Israël » la partie qui aspire au Créateur. Jusqu’à présent, on ne peut pas gagner sur l’autre, la volonté de donner sans réserve ne peut vaincre la volonté de recevoir.
Cependant, l’homme n’a aucun pouvoir sur ses pensées et ses sentiments tels qu’elles sont. Il ne choisit pas telle expérience de l’esprit et du  cœur. Chaque Etat est formé d’en haut, ce qui signifie non pas par la personne elle-même, mais par la force supérieure qui la place dans une situation spécifique et s’attend à une certaine action, une sorte de réponse à ce qu’elle a fait. C’est ce qu’on appelle: «Je suis le premier. »

De la 1ète partie du cours quotidien de Kabbale du 24/5/11 Ecrits du Rabash

Les nombreux visages du désir

Dr. Michael LaitmanIl n’y a qu’un seul désir de recevoir, mais il se manifeste sous différentes formes, y compris le désir actuel, la forme finale que nous ressentons aujourd’hui. Toutes nos sensations ne sont rien, mais le désir de recevoir revêt une multitude de facettes différentes. Je vois un monde plein de personnes, moi-même, et beaucoup d’autres choses, actions, causes et conséquences. Toutes ces perceptions viennent du même désir de recevoir c’est ce qui existe dans le monde spirituel.
Ce n’est que lorsqu’il revêt une forme matérielle que nous appelons un corps humain. La forme supérieure est ce que nous appelons une âme, mais dans tous les cas, nous parlons strictement du désir de recevoir.
Tous les degrés sont identiques dans leur raison d’être (le désir) et dans leur réalisation (la lumière). Seul le dernier degré, le plus bas diffère, en ce qu’il donne à l’homme un sentiment de séparation de tous les autres degrés ou le laisse sans ce sentiment complet dans la réalité de ce monde. Ce degré a ses propres détails de la perception, mais faut-il encore que les hommes le perçoivent  par rapport au désir de recevoir et de la Lumière qui existent dans leur état ​​le plus bas

Qu’il n’y ait pas de riches ni de pauvres ?

Dr. Michael LaitmanL’essence de la méthode est de vous éveiller à agir aussi rapidement que possible, de prendre la force du développement en mains et de la contrôler. C’est pourquoi j’organise un environnement composé de gens comme moi, pour qu’il m’influence et  me donne plus de force. Autrement dit, tout dépend de mon impression de l’environnement, voilà dans quelle mesure je suis capable d’avancer.

Mais j’existe dans un système de forces et dois savoir comment obtenir de celui-ci l’influence la plus efficace pour ne pas me nuire ni à l’environnement. En effet, les dommages infligés à l’environnement se retourneront contre moi. Dans cette influence existe une force appelée «le mauvais œil», signifiant l’égoïsme non corrigé de l’homme non couvert par un écran, qu’une personne peut mettre en mouvement sans le savoir. Ou la personne peut même être consciente de ces actions, mais ne peut s’en empêcher.

Si une personne voit que quelqu’un a plus de succès que lui, elle devient jalouse, qu’elle le veuille ou non. Cela peut être bon, une jalousie productive, poussant la personne à se développer. Autrement dit, elle pourrait être «le bon œil », quand j’envie quelqu’un et tente aussi d’avancer. Ou elle peut être «le mauvais œil », quand je suis jaloux au point de vouloir le tuer parce qu’il est plus grand que moi et que cela empoisonne mon esprit.

Il y a une blague à ce sujet : « Faites-vous une révolution pour qu’il n’y ait pas de gens riches ?  Nous rêvions d’un monde sans pauvre … « Quel état désirez-vous qu’il fasse toute la différence:. Qu’il n’y ait ni riche ou qu’il n’y ait ni pauvre ? De quel œil regardez-vous?

C’est la même chose dans le travail spirituel : Lorsque vous êtes à la recherche d’un ami qui est plus grand que vous, voulez-vous l’abattre ou avancer vous-même ?

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 26/05/2011, Écrits du Rabash

Ne croyez pas ce vous que voyez

Dr. Michael LaitmanDans la Kabbale, nous parlons du travail intérieur d’une personne. Il faut aller plus à l’intérieur de soi-même et, là, créer des images d’amis, du groupe, de soi-même, de son monde intérieur, et de son impression de la spiritualité, ne prêtant aucune attention aux impressions extérieures qui peuvent même être opposées.

Les impressions que l’on reçoit de l’environnement extérieur ne peuvent pas être vraies parce que ce sont des sentiments qui résultent de l’état (Reshimot, gènes d’informations) s’éveillant en eux. On ne peut pas se fier à ces impressions. On doit plutôt s’appuyer sur les images des amis, du groupe, de soi-même, du Créateur, et du lien entre nous, que l’on a construites en soi-même.

Je compte beaucoup sur ce que je ressens aujourd’hui et sur ce que je vois autour de moi. Après tout, qui voit cela ? C’est moi, qui vois, et je me trompe complètement. Ainsi, ce que je vois maintenant, ne fait aucune différence. Je dois construire en moi un modèle du monde futur, où nous sommes tous liés par l’amour mutuel et l’attribut du don, un monde à l’intérieur duquel nous révélons le Créateur, comme étant dans la Divinité (Shekhina).

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 26/05/2011, Écrits du Rabash

Ne jouez pas avec le feu

Dr. Michael LaitmanIl y a une interdiction formelle : Vous ne devriez jamais parler des états intérieurs dans lesquels vous existez. Après tout, beaucoup de vos amis n’ont pas encore d’écran anti-égoïste, et pourraient vous faire du mal avec leur jalousie, leur haine, et leur fierté, même sans le vouloir.

Ils semblent ne pas vouloir vous faire du mal, mais l’absence de leur correction interne les oblige à le faire s’ils voient que vous êtes au-dessus d’eux et que vous avez plus d’inspiration, si vous avez atteint plus de connexion et si vous vous êtes rapprochés de l’objectif. Celui qui n’a pas encore atteint la correction ne peut pas tolérer cela et vous fera du mal.

Si vous commencez à partager vos sensations personnelles, vous déclenchez le feu sur vous. Il est écrit que 99% de tous les échecs se produisent en raison du «mauvais œil». Ce n’est pas une superstition mystique à laquelle les gens croient, mais plutôt la jalousie normale de quelqu’un envers vous.

En fait, nous existons dans un système de forces et de désirs connectés. Celui qui vous envie diminue votre pouvoir. Au lieu d’amour et de connexion, il vous transmet une force négative.

Si cela se produit seulement dans le monde extérieur, il n’y a rien que nous puissions faire à ce sujet parce que le monde est toujours non corrigé. Toutefois, si cela se produit avec les amis dans un groupe, et qu’en plus, vous ayez commis la faute d’avoir provoqué une telle réaction, il s’avère que vous nuisez aux deux, au groupe et à vous-mêmes. Vous êtes celui qui a causé ce «mauvais œil», et ce n’est pas la faute de vos amis, parce qu’il n’ont pas encore atteint la correction.

Les lois du système nous force à agir de cette façon. Les forces de l’envie, de la haine, de l’orgueil, de la soif de pouvoir et de la gloire s’opposent aux forces positives de l’amour et du don. Afin de permettre aux forces positives d’agir en nous, nous devons être modestes. Les kabbalistes expliquent comment nous devrions utiliser toutes ces forces pour qu’elles facilitent une progression correcte, efficace et rapide.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 26/05/2011, Écrits du Rabash

Il n’y a pas de piston

Dr. Michael LaitmanChercher la façon de s’attacher à l’enseignant est le travail de l’étudiant. Et ce n’est certainement pas sur l’adoration et le respect de l’enseignant, mais plutôt sur l’adhésion à son point de vue. C’est quelque chose de totalement différent et se rapportant à la spiritualité.

Pourtant, c’est un peu dangereux, car vous pourriez penser que vous suivez l’enseignant alors qu’en fait, vous écoutez plutôt votre ego. Par conséquent, vous devez faire une évaluation interne: Quelle est votre opinion et celle de l’enseignant, et comment déterminez-vous et évaluez-vous l’une par rapport à l’autre ?

Vous examinez alors avec quelle opinion vous êtes en accord ou non. Et là où évidemment, vous êtes en désaccord avec le professeur, vous l’acceptez avec bonheur et commencez à l’appliquer dans votre vie. C’est ce que veut dire accepter le point de vue des enseignants.

Si vous n’avez rien qui diffère de votre avis et rien à réprimer, il n’y a alors pas de véritable choix. Vous devez être conscient de ce qui vous tient en désaccord et de ce que vous feriez différemment !

S’il n’y a pas ces deux versions, quand vous voulez faire quelque chose d’une façon, mais que vous êtes absolument obligés de faire le contraire, il n’y a pas de foi au-dessus de la raison. Ce n’est que lorsque vous savez avec certitude comment l’enseignant aimerait que vous agissiez, et que vous souhaitiez encore faire le contraire, que vous avez une chance d’agir au-dessus de votre propre raison.

Après tout, pour arriver à l’équivalence de forme, vous devez connaître son contraire. C’est alors seulement que vous pourrez savoir avec certitude à quoi cette équivalence ressemble. En fait, l’équivalence est toujours opposée à ma forme et va à l’encontre de ma perception.  Comme si en campant sur ma propre position, je me trouvais en même temps au-dessus. Je suis ma propre résistance et cultive un nouvel esprit plus élevé en moi.

Il n’y a rien que nous puissions faire à ce sujet : c’est la loi de la nature. Le supérieur reste à son niveau et l’inférieur au sien. Afin de monter à un degré plus élevé, vous devez accepter la pensée du degré supérieur avec la foi au-dessus de la raison. Bien sûr, vous pouvez penser qu’il agit étrangement et qu’il ne comprend pas tout. Mais est-ce vraiment important pour votre progrès spirituel de bien comprendre comment ce qu’il fait ?

Vous n’avez aucune autre chance de vous élever au degré suivant, sans l’aide de l’enseignant, le supérieur, que le Créateur a mis en opposition à vous. Et il n’y a aucune place pour un quelconque compromis ni de piston.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 25/5/11, Shamati # 25

Les deux faces de la pensée de la création

Dr. Michael LaitmanQuestion : Quelle est la différence entre la pensée de la création et le Créateur ?

Réponse : Tout ce que nous disons l’est par rapport à nous. Nous ne savons rien, sauf ce qui se passe au sein de notre désir. Et même lorsque nous révélons l’existence de la lumière, «l’existence de l’existence», qui a créé le désir, «l’existence de l’absence», nous nous basons aussi sur le désir qui nous révèle ce qui est supposé arrivé (devant nous) dans cette voie. Tous nos acquis proviennent de la sensation de la matière dans notre désir.

Pour cette raison, lorsque nous parlons de la perception, une sensation au sein du désir, nous divisons notre entière perception en trois éléments :

 

  • celui qui perçoit (je suis celui qui perçoit),
  • ce qui est perçu (ce que je perçois du Créateur),
  • de quoi vient la perception (la source de la sensation, le Créateur).

Comme j’apprends ma capacité à changer ma perception du Créateur, que je ressens comme ce qu’Il attend d’une connexion avec moi, je commence à avoir une connexion avec Lui et à changer la relation entre nous. Comment puis-je savoir ce que je change ? Cela vient de mes sensations. Comment puis-je savoir ce qu’Il ressent et en même temps comment Il réagit ? Cela vient aussi de mes sensations. Tout est basé uniquement sur mes sensations, je n’ai pas d’autres attributs pour percevoir. Tout n’existe que dans le désir.

C’est pourquoi nous disons que HaVaYaH (le nom de quatre lettres du Créateur, « Youd-Hey-Vav-Hey») sont les quatre étapes de l’élaboration du désir. La révélation du Créateur dans l’homme (Créateur ou « BoRéh» renvoie à «viens et vois») ne se produit que par la suite.

Les mondes aussi n’existent que dans notre perception sous forme de révélations ou de dissimulations (« monde » ou « Olam » vient du mot «Alama» ou «dissimulation»). L’échelle des degrés spirituels existe aussi dans l’homme. Le groupe, l’humanité, toute la réalité, le monde de l’infini, tout est en nous.

Mais qu’est-ce que j’atteins à travers tous mes efforts à désirer apprendre qui et ce que je suis, qui est le Créateur, ce qu’il veut de moi, et quel est mon lien avec lui ? En résultat à tous ces efforts et au long voyage, lorsque nous réalisons toutes les possibilités offertes, nous atteignons une perception unique, une compréhension unique, une sensation unique, appelée « la pensée de la création est d’apporter satisfaction aux êtres créés. « Ce plan comprend tout : Qui est celui qui réjouit les créatures, quelle sorte de plaisir est-ce, qui sont ces créatures, on y trouve tout.

L’état où nous atteignons la pensée de la Création est appelé « le point d’adhésion» ou «une goutte d’adhésion » parce que dans notre perception tout est centré sur ce point unique qui est la pensée de la création. Nous l’atteignons grâce à nos efforts, alors que nous désirons nous unir avec le Créateur, et c’est pourquoi nous l’appelons «une goutte d’adhésion. »

De la 3ème partie du cours quotidien de Kabbale 25/5/11, Talmud Esser Sefirot

La spiritualité ne peut être exprimée avec des mots

Dr. Michael LaitmanQuestion: Si je dois m’annuler devant l’opinion de l’enseignant, est-il normal que certains amis me disent qu’ils sont prêts à faire ce que l’enseignant leur dit, mais pas ce que d’autres dirigeants leur disent?

Réponse : Un enseignant ne doit être le gérant personnel de personne. Il ne doit pas expliquer à tout le monde ce qu’il attend d’eux. Il peut être presque aussi caché que le Créateur et ne rien dire du tout. Celui, qui le veut, peut de lui-même s’annuler et révéler l’opinion de l’enseignant.

Ceci peut être observé dans le comportement des kabbalistes passés, le groupe de Kotzk ou le Baal HaSoulam, qui ne donnait qu’une leçon hebdomadaire, voire mensuelle, à ses élèves. Un enseignant révèle à peine son opinion, et le reste est le travail de l’élève. Si l’élève comprend ce qu’il doit rechercher, comment découvrir l’opinion de l’enseignant pour l’aider à atteindre lui-même l’objectif, il sera capable de le faire. Sinon, il ne le sera pas.

La spiritualité ne peut pas être exprimée en mots. Comment pouvez-vous expliquer comment diriger votre cœur vers l’objectif?
De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 25/5/11, Shamati # 25

Atteindre les élites

Dr. Michael LaitmanQuestion: Comment les changements se produiront dans le système éducatif – par l’initiative du gouvernement supérieur, ou par la pression du peuple d’en bas?

Réponse: Les dirigeants n’ont peur que pour leur «fauteuil» et rien d’autre. Si le peuple sortait dans la rue et commençait à ébranler ces fauteuils, et qu’il ne mettrait pas seulement les voitures en feu, mais commencerait à faire des actions plus sérieuses, les dirigeants commenceraient à écouter leurs revendications. De toute façon, ils devront les accepter. La question est : Serons-nous capables de leur offrir notre explication concernant les mesures nécessaires ? Nous devons essayer de le faire autant que nous le pouvons.

D’une façon ou une autre, nous devons atteindre les dirigeants, mais des deux côtés : depuis le bas, à travers les masses qui sortiront dans la rue, et directement en haut. Après tout, nous parlons d’une étude globale du monde, de changements dans l’éducation, et de construire un système mondial d’éducation, dans lequel chacun étudiera tout en recevant un salaire fixe pour cela, les moyens de subsistance.

Cet apprentissage prendra la place du travail, mais en réalité, il deviendra le travail des gens au sens spirituel. Toute personne attirera la lumière dans la mesure de ses forces et de ses capacités, et celle-ci sera sa récompense. Après tout, la lumière contient toute l’abondance possible.

Combien de personnes sont nécessaires pour subvenir aux besoins vitaux de tous les habitants de la terre ? Vêtements, nourriture, construction, services – tout ce qui est nécessaire dans le cadre d’une existence normale ? Par exemple, les gens travailleront une demi-journée et étudieront une demi-journée. Et tout le monde fera ainsi.

Toutefois, cela ne peut être atteint qu’à travers les dirigeants, ou plus précisément, à travers l’opinion publique, par le biais des gens qui pensent, y compris les scientifiques, sociologues, politologues, et tous ceux qui s’élèvent au-dessus de la masse, mais pas trop haut. Après tout, le sommet est occupé par les « destructeurs », alors que nous parlons surtout des milieux universitaires.
De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale 26/5/11, «Préface à la sagesse de la Kabbale »