Monthly Archives: juin 2011

Clarifier le désir des femmes

Dr. Michael LaitmanQuestion: Si tous les désirs ne cessent de changer et de prendre des teintes différentes, dois-je désirer quelque chose de spécifique, ou ai-je besoin de renforcer le désir dans la forme qui est la plus proche de moi en ce moment?

Réponse: Non, le désir des femmes doit être formé dans le désir collectif, global, intégral des femmes visant précisément le but. Chaque femme doit analyser ses désirs à l’intérieur d’elle-même et les diriger au maximum vers l’objectif, autant qu’il est possible à tout niveau donné, dans chaque état où elle se trouve.
Cependant, après que ces désirs sont essentiellement formés, ils doivent être ressentis par les hommes. Et les hommes vont sans aucun doute les ressentir car ils sont construits de cette façon, ils ressentent progressivement le désir des femmes. C’est comme dans une famille où la femme n’a pas besoin de dire un mot à son mari, mais il ressent la façon dont elle exerce tranquillement une pression sur lui, comme si elle pointait du doigt, voulait et attendait quelque chose de lui. Il le ressent, et il ne se décontractera pas jusqu’à ce qu’il s’acquitte de son désir. D’une certaine manière il doit finalement le résoudre.
De la même façon, les hommes doivent ressentir cela venant des femmes, et les femmes doivent constamment travailler pour cristalliser en elles-mêmes un désir de plus en plus précis.
Du 2ème cours de la Convention de Moscou du 10/06/11

D’où vient la crainte du Zohar ?

Dr. Michael LaitmanQuestion: En participant à la semaine du livre hébraïque, j’ai observé un phénomène intéressant: une personne passe devant le stand de livres, voit le livre « Ouvrir le Zohar », et sa réaction montre qu’elle avait attendu ce moment toute sa vie. Elle regarde le livre, n’osant pas le prendre dans ses mains, puis elle marche, et tourne en rond pour revenir à lui. Il est évident qu’il y a une lutte interne.
Beaucoup de gens hésitent à prendre ce livre, ressentant quelque crainte face à lui, bien qu’inconsciemment quelque chose leur dit que la vérité est cachée en lui. Ils marchent même avec de la douleur en n’ayant pas pris le livre avec eux. Comment expliquez-vous cette crainte?
Réponse: C’est l’un des problèmes auquel nous avons à faire face pour aider les gens à surmonter cette peur. Ceci est la correction. Personne n’est à blâmer, comme il est dit: « Va à l’artisan qui t’a fait ».
Nous existons dans la nature égoïste qui doit ressentir le déni, la peur, le rejet de ce qui est censé nous apporter la correction. Cela advient revêtu dans une sorte de peur du livre et des résultats de sa lecture, comme si il ne pouvait que nous nuire. En essence, c’est la préparation pour la correction.
Cette crainte survient non pas parce que les gens ont parlé de l’interdiction de toucher le livre. Rien n’arrive sans raison. Au contraire, notre ego, notre désir de plaisir, nous a préparé de telle façon pour que nous gardions une certaine distance par rapport aux corrections.
Il n’y a pas de choix: Nous aurons à travailler sur elle, l’expliquer, et faire des efforts en elle. Mais en tout cas, ne blâmez personne. Personne ne fait ne cela à dessein. La nature même de notre ego, de notre volonté de profiter, nous met à l’encontre de tout ce qui est associé à la correction, nous forçant à rester le plus possible éloigné d’elle.
Il est intéressant d’étudier ce comportement. Un jeune homme moderne qui ne s’inquiète de rien ressent soudain une peur inexplicable, devant le Zohar. C’est la nature. Même s’il n’avait pas entendu parler de ce livre, il découvre en lui certains préjugés primitifs et médiévaux, comme s’il n’était plus du tout une personne moderne.

De la 2ème partie du cours quotidien de Kabbale du 22/06/2011, Le Zohar

Les kabbalistes sur la nature de l’homme et celle du Créateur, partie 10

Dr. Michael LaitmanChers amis, s’il vous plaît posez des questions sur ces passages des grands kabbalistes. Les commentaires entre crochets sont de moi.
La supériorité de l’homme sur l’animal

Tous les animaux font totalement confiance à la nature et sont totalement incapables de progresser au-delà de la nature, ce qui signifie au-delà des qualités avec lesquelles ils ont été créés. L’homme, cependant, a été doué du pouvoir de la pensée. En utilisant ce pouvoir, il se libère progressivement des chaînes de sa nature et il se développe depuis la réception jusqu’au don sans réserve. Sa tâche est de prendre exemple sur la nature et d’agir comme elle.
Il n’attend pas que la nature lui donne des poussins, la poule à venir et les œufs à incuber. Au lieu de cela, il construit une machine qui couve les œufs et lui sert des poussins, tout comme la poule naturelle. Ayant appris au sujet du but de son développement, l’homme n’attend pas de la nature pour l’amener à similitude avec le Créateur par la voie lente et les maux de la souffrance, mais plutôt s’empresse d’améliorer son développement par la puissance de la Lumière.
– Baal HaSoulam, « La Nation »

Vous avez un plan Monsieur bricolo?

Dr. Michael LaitmanQuestion: Comment pouvons-nous nous aligner en conformité avec la loi que nous n’avons pas suivi depuis un long moment, et avec laquelle nous n’avons pas l’équivalence de forme?

Réponse: Ce n’est pas une loi, c’est un état. Une «loi» signifie que vous agissez et vous vous insérez dans une certaine formule qui vous devez respecter indépendamment de votre désir. En d’autres termes, une loi est l’actualisation d’une certaine formule qui se trouve entre la cause et l’effet: Y = fonction de X.

Aujourd’hui d’autres personnes commencent à découvrir la loi révélée par les kabbalistes. Beaucoup savent déjà que nous devons arriver à l’équilibre avec la nature, s’unir, et développer le don sans réserve. Le besoin pour cela s’est d’ores et déjà manifesté, mais les gens ne seront pas en mesure de l’actualiser, sans la bonne méthode.

Les anciens Babyloniens s’étaient trouvés dans le même état: «Si nous ne nous unissons pas, nous périrons ici. » La même chose a été révélée quand la Torah a été donnée à Israël: «Si vous ne s’unissent pas, ce sera le lieu de votre enterrement.  »

Ceci est déjà clarifier, mais avons-nous une méthode? Si nous l’appliquons, nous savons comment aller de l’avant, mais si nous ne l’appliquons pas, ce sera vraiment notre tombe. Nous allons plonger dans une guerre mondiale tout simplement parce que nous n’aurons pas d’autre choix.

C’est le point dont nous nous rapprochons: Soit l’humanité accepte la méthode et s’embarque sur le chemin en se hâtant, ou elle ne l’accepte pas et suit la voie naturelle du développement. C’est l’un ou l’autre.

Le problème est que nous devons diffuser la sagesse de la Kabbale dans le monde à l’avance. Après tout, les gens ne savent pas qu’il y a un objectif et une méthode qui nous permet d’y accéder sans guerres ou sans souffrances. Pour l’essentiel, ils seront même capables de comprendre le but parce que nos yeux sont capables de reconnaître l’harmonie actuelle dans le monde dont l’homme est le seul composant déviant. Mais comment pouvons-nous nous unir dans cette harmonie?

La place entre le réel et le souhaitable, doit être rempli avec la méthode. En d’autres termes, ici vous avez besoin de la Lumière supérieure, la force qui agit au-dessus de notre nature. Elle a créé notre nature en tant que désir de recevoir, et elle créera en nous la qualité de l’union universelle. Et nous ne trouverons ce moyen que dans la méthode kabbalistique car elle n’existe pas dans notre monde.

 
De la 5ème partie du cours quotidien de Kabbale, du 21.06.11  «Matan Torah (Le Don de la Torah) »

Limitations systématiques

Dr. Michael LaitmanQuestion: Supposons que je veuille acheter une voiture de luxe qui est deux fois plus chère qu’une voiture normale. En quoi je fais du mal à d’autres personnes par cette action?

Réponse: Nous sommes tous dans une économie mondiale, intégrale, un système limité de la nature qui est interconnecté en une seule «sphère» que vous ne pouvez pas briser. Vous êtes obligés d’être dans cette sphère et d’être connecté avec les autres de façon très précise. Il n’y a rien de plus ou moins que cela.

Par conséquent, lorsque vous achetez une voiture qui est deux fois plus chère, vous devenez une cellule cancéreuse, car dans ce cas, vous ne l’achetez pas par pour mener une vie normale et servir les autres mais pour «arracher une autre bouchée. » Plus vous «consommer » au-delà de la nécessité, plus vous devenez une tumeur maligne.

L’organisme collectif est construit de façon idéale: Toute personne doit recevoir les nécessités vitales et d’une autre côté, elle doit penser aux autres uniquement. Le Créateur a créé le désir et sa satisfaction. Alors, pourquoi prenez-vous soudainement davantage que ce qui vous est attribué?

Tous les désirs sont réunis en un seul. La Lumière les remplit et leur donne vie dans la forme unique. Mais, soudain, vous «tirez la couverture vers vous », souhaitant plus. En conséquence, votre excédent se fera au détriment des autres.

Aujourd’hui, on nous le montre clairement: Un milliard de personnes sont au bord de la famine, et en attendant, les ressources de la terre sont presque épuisées. Bientôt, nous allons toutes les épuiser et nous nous retrouverons sans rien.

Nous arrivons à la fin de l’ensemble de notre production de consommation. Et que va-t-il se passer ensuite?

Par conséquent, si vous voulez atteindre la vie dans les limites de la nécessité vitale contre votre volonté, c’est ce qui va arriver. Tout est fini, limité et utilisé. Tout a une fin, et elle s’approche.

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale, du 22.06.11 «Matan Torah (Le Don de la Torah) »

Préparation pour la lecture du Livre du Zohar

Dr. Michael LaitmanQuestion: Qu’est-ce que je peux faire durant la journée pour me préparer au cours du matin, en particulier pour la lecture du Livre du Zohar, pour obtenir le maximum de résultats?
Réponse: Il est souhaitable pour une personne de garder toujours un livre avec des passages choisis du Zohar ou des dires des kabbalistes à côté d’elle. Si pendant la journée, une personne peut entendre une leçon enregistrée, qu’elle lécoute, et si elle peut lire, qu’elle  lise; si elle ne peut que penser,  qu’elle pense!
Il y a des gens qui ne peuvent ni  lire, ni écouter, ni penser à la spiritualité au travail, car celui-ci les absorbe entièrement, et ils ne reviennent que parfois seulement à l’intention. Il y a des situations différentes.
Le Rabash disait toujours qu’il était souhaitable de choisir un emploi physique simple qui ne nécessite aucun effort mental ou émotionnel. Mais aujourd’hui, nous n’avons guère d’emplois comme ça. Ainsi, une personne doit établir un calendrier précis, par exemple, se déconnecter de son travail à chaque heure et se connecter avec la spiritualité pendant cinq minutes.
Chaque personne doit essayer de faire tout son possible dans la situation où elle  se trouve. Ces efforts sont sa contribution.

De la 2ème partie du cours quotidien de Kabbale du  22/06/2011, Le Zohar

Le Zohar aidera tout le monde

Dr. Michael LaitmanQuestion: Peut-on utiliser la lecture du Livre du Zohar pour corriger des conditions très difficiles dans lesquelles beaucoup de gens dans le monde se trouvent aujourd’hui? La sagesse de la Kabbale a été révélée, et tout le monde peut lire Le Zohar. Serait-ce une aide pour une personne qui ne ressent pas la nécessité pour le groupe, l’étude et la compréhension?
Réponse: Nous devons réaliser que dans la réalité, l’usage de la sagesse de la Kabbale n’est efficace que si une personne veut avancer vers la correction. Nous voyons qu’il faut du temps avant que les gens ne viennent étudier la sagesse de la Kabbale et rejoignent le groupe et commencent à comprendre et à entendre ce qui se passe. Ce sont des changements très lents, internes, étape par étape dans une personne.
Par conséquent, nous devons comprendre que «Segoula », « un effet spécial de la Lumière», commence beaucoup plus tôt avant qu’une personne se rende compte qu’il ou elle est sous son influence. La Lumière qui travaille sur elle comme sur un bébé qui ne sait pas encore comment il se développe, pour quoi, ni l’endroit où il devrait avancer. Il est attiré par un jeu intéressant et joue avec ses jouets et ses amis dans le groupe.
Nous sommes dans le groupe, et cela est notre environnement. Il y a des gens qui n’ont pas de groupe, mais ce n’est pas grave. L’essentiel est que d’une certaine manière ils utilisent les moyens d’attirer la Lumière qui attire le Bien : Le Livre du Zohar, les œuvres du Baal HaSoulam, des articles  et les lettres du  Rabash, la musique et  les chansons kabbalistiques.
Ainsi, la lecture du Livre du Zohar dans n’importe quelle condition, même si une personne ne pense pas encore au  groupe ni à l’unité, mais veut améliorer sa vie, aide toujours. Si le monde entier est déjà entré dans le stade de développement où nous devons réaliser l’unité entre nous, alors toute utilisation des sources qui apporte la Lumière de la correction est bénéfique.
Il n’y a pas d’obligation pour que tout le monde s’assoit avec nous ni que des milliers de personnes dans le monde soient  au cours de nos leçons le matin. Nous devons aussi éveiller les gens qui n’ont aucun lien avec nous, qui n’ont jamais entendu que l’on devrait étudier pour le bien de l’unité entre les gens. Le Baal HaSoulam dit que nous sommes entrés dans la période du Messie, et l’humanité tout entière doit avancer dans cette direction.
Par conséquent, il est souhaitable pour une personne d’être connectée avec les sources originelles, même sans aucune intention.

De la 2ème partie du cours quotidien de Kabbale du 22/06/2011, Le Zohar

S’élever pour tout justifier

Dr. Michael LaitmanDans la lettre du Baal HaSoulam # 1, il y a  une fable à propos d’un roi dont l’amitié  pour son serviteur avait  tellement grandi qu’il voulait l’élever au-dessus de tous les ministres ….


Il a nommé le serviteur  garde à la porte de la ville, et dit à un ministre qui était un farceur intelligent de faire semblant de se rebeller contre le royaume …


Le ministre fit ce que le roi avait ordonné, et avec une grande sagesse et ruse, fit semblant de se rebeller contre la maison du roi. Le serviteur a risqué sa vie et sauvé le roi, en combattant  avec dévouement et courage contre le ministre, à tel point que  son grand amour pour le roi  fut évident pour tous.


Ensuite, le ministre enleva son costume et il y eu de grands rires car il avait combattu si âprement, et maintenant il réalisait que ce n’était qu’une fiction, ici, pas la réalité. … Chaque élément unique dans cette terrible guerre devint une ronde de rires et de  grande joie. …

[Puis une deuxième fois le roi] a dit à ce ministre qu’il devait  se déguiser en voleur et en  meurtrier, et mener une  guerre acharnée contre lui. Le roi  savait que dans la deuxième guerre, il allait montrer une  merveilleuse sagesse (Hokhma), et  mériterait d’être à la tête de tous les ministres.


Dans l’intervalle, le serviteur a hérité de  la « sagesse » (Hokhma) de l’après-connaissance, et «l’amour»  à partir de la prescience, et a ensuite été érigé pour l’éternité.

Il est vrai que toutes les guerres  de cet  l’exil  sont un spectacle merveilleux, et chacun sait en son for intérieur  que tout cela est une sorte d’humour et de joie qui n’apporte que du bien. Pourtant, il n’y a pas de tactique pour alléger le poids de la guerre et de la menace sur soi.
Nous ne savons pas vraiment pourquoi nous avons à passer par toutes les souffrances, les problèmes, les guerres et la confusion, et de l’autre côté de cela, la clarification, les réussites et les échecs …. Quelle est l’utilité de toute cette souffrance?
Mais plus tard, sur ce chemin nous allons  progressivement réaliser à quel point à partir de cela nous acquérons des connaissances, la sagesse, la puissance et la compréhension du système général. Nous étudions les actions du Créateur qui nous ont été faites, et en conséquence nous L’atteignons et Le comprenons, comme il est écrit: «Par Tes actions nous Te connaîtrons  » Dans la mesure où nous Le comprenons, nous commençons à Le ressentir.
Pourtant, la raison pour laquelle nous  devions  certainement atteindre ceci par un tel chemin difficile n’est pas claire pour nous. Et maintenant, alors que nous sommes toujours sur le chemin de la correction, nous ne sommes pas capables de le comprendre, mais seulement quand nous nous élèverons au-dessus de ses limites à l’état de la  perfection. Puis nous gagnerons l’esprit et les sentiments nécessaires, les moyens nous permettant de découvrir la justification de cette voie.

De la 1ère partie du cours  quotidien de  Kabbale du  26/06/11, «une fable à propos d’un roi »

Le message de la lumière

Dr. Michael LaitmanLes désirs des gens  ne sont pas encore suffisamment développés  pour saisir le message altruiste. Et ils ne pourraient pas le supporter non plus. Ils partiraient immédiatement en courant. C’est pourquoi il y a une dissimulation nous empêchant de percevoir la Loi de l’amour. Les personnes commencent à ressentir cet appel et sont en train de changer peu à peu.

Tout ce qui arrive vient de la Lumière supérieure. Cependant, sous son influence, les individus ne deviennent pas plus intelligents car nous ne parlons pas de la Sagesse habituelle. Les sensations spirituelles ne peuvent être saisies qu’avec l’aide de la Lumière. Quand elle descend sur moi, je commence à comprendre quelque chose et c’est de cette façon que cela fonctionne encore et encore. Après une période de désespoir et de pression, je sens soudain que le temps n’est pas passé en vain. Il s’avère que c’était une transition propice et nécessaire à une nouvelle phase de développement intérieur.

Chacun éprouve, ressent, expérimente ces transitions. Nous sommes toujours incapables de nous préparer à elles, les contrôler afin de réguler ces montées et descentes, les remplissages et les révélations. Cependant, le temps viendra ou vous pourrez contrôler ces états, car comme il est écrit, « j’éveille l’aube plutôt que l’aube me réveille ».

De la 5ème partie du cours quotidien de Kabbale du 27/06/11, « Matan Torah (le Don de la Torah)

L’âme de tout ce qui vit

Dr. Michael LaitmanLe Livre du Zohar, Chapitre « Trouma [Don] », point 217 : « l’âme de tout ce qui vit ». L âme qui sort de celui qui vit pour toujours, Yessod de ZA. Et parce qu’il est Sien, car toutes les bénédictions viennent de Lui et sont en Lui et Il arrose et bénit en bas, vers Malkhout, cette âme qui sort de Lui a la permission de bénir cet endroit, Malkhout.

Malkhout est le désir qui prend chaque fois de nouvelles formes dans son intention de donner et ensuite elle se sent remplie par Yessod. Cela signifie que Malkhout devient semblable à Yessod selon la loi d’équivalence de forme. En réalité, elle devient comme les neuf premières Sefirot car Yessod comprend tous les attributs de ces neuf Sefirot.

Quand Malkhout ressemble à ces neuf premières Sefirot, cela signifie que la créature devient semblable au Créateur dans un certain degré. Dans l’extension de leurs ressemblances, Malkhout obtient l’équivalence de formes des neuf premières Sefirot et est en Dvékout avec elles.

De la 2ème partie du cours quotidien de Kabbale, Zohar du 21/6/11