Monthly Archives: juin 2011

Le chemin vers le cœur du monde

Dr. Michael LaitmanQuestion: Il y a des limites pour que les gens puissent entendre parler de nous. Ces limites s’élargissent-elles lors d’un pic de crise, comme par exemple en Espagne où, récemment ont eu lieu des manifestations de masse ?

Réponse: Si une personne a un problème ou une maladie, elle veut toujours entendre les bonnes nouvelles sur le remède. Idéalement, pas nous, mais nos amis espagnols doivent s’adresser au peuple espagnol. A savoir, ils seront en mesure de diffuser la méthode de correction parmi leur peuple, doucement et de manière accessible. Ils savent comment communiquer avec leur peuple. Nous devons seulement les former, leur donner des instructions afin qu’ils se mettent au travail.
Cela devrait être fait dans le monde entier. C’est pourquoi le Créateur éveille les points dans le cœur parmi toutes les nations afin qu’ils agissent au niveau local. Et à partir de maintenant, nous devons les préparer à cette mission. Ils savent comment parler aux gens, il n’y a pas de barrières entre eux et leur peuple. Leur peuple ce sont leur famille, amis, connaissances. Nous avons seulement à leur préparer un semble de documents et une base de support.
Tous nos groupes du monde entier doivent être convertis en centres de diffusion afin qu’ils sachent comment expliquer aux manifestants et aux nécessiteux la raison de leur souffrance, avec des mots très simples et sans mentionner le mot Kabbale. Sinon, les gens vont juste se détourner et ne seront pas capables d’écouter. Même vous, qui êtes prêts à écouter, vous avez des difficultés à saisir les mots de kabbalistes. Que pouvons-nous attendre des autres? ..

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale du 30/05/2011, « La Paix »

Changer sans la Lumière est impossible

Dr. Michael LaitmanBaal HaSoulam, «la Paix»: La résistance difficile et égoïste entre les personnes, le long de laquelle se détériorent les relations internationales, tout cela ne cessera pas de ce monde par un quelconque conseil humain ou une tactique, quelle qu’ils soient.
Ne croyez pas que le monde sera en mesure de se corriger. Même si les gens réalisent que notre égoïsme est le mal du monde, la correction est impossible sans l' »épice », c’est à dire sans la méthode de la Kabbale. Nous devons donner au monde la Lumière qui ramène vers le Bien, mais cela ne peut être fait que par l’étude de la sagesse de la Kabbale sous une forme ou une autre, selon les différents types de désirs, c’est-à-dire, les gens de notre monde.
Dans tous les cas, nous devons leur donner la Lumière. L’égoïsme ne peut être corrigé par aucune autre voie. Rien d’autre ne peut aider ici, ni la psychologie ou la sociologie, ni les efforts merveilleux ou les troubles. La seule chose qui peut aider est d’attirer la Lumière qui ramène vers le Bien. Nous n’avons aucune chance sans elle.
En effet, la Lumière comprend l’objectif et le programme pour y parvenir, toutes les étapes que nous avons à traverser. Sans la Lumière, nous sommes comme des animaux qui ne peuvent pas faire un seul mouvement. La Lumière doit venir et nous influencer. Ensuite, nous allons entrer en mouvement.
Alors, pourquoi faisons-nous l’expérience des troubles et de toutes sortes de changements? En fait, ce ne sont pas des changements, mais nommément des troubles qui vont s’intensifier jusqu’à ce que nous, du moins certains d’entre nous, commencions à attirer la Lumière, au moins une petite partie de Celle-ci.
Le développement est effectué uniquement par la Lumière. Nous devons être bien conscients de cela. Il n’y a aucune chance que le désir égoïste, lui -même, trouve une voie de développement. Tout au long des siècles, cette occasion a été constatée par la Lumière qui est venue sans attendre d’être appelée et qui ne cesse de nous pousser vers l’avant.
Aujourd’hui, nous avons franchi le seuil à partir duquel nous avons à précéder l’arrivée de la Lumière par notre propre désir adressé précisément à la Lumière. A partir de maintenant, tout commence avec « notre initiative», avec «une prière et des bonnes actions ». Cette définition signifie que nous, nous-mêmes, avons envie d’évoluer, pas dans la poursuite égoïste de nouveaux plaisirs, mais au-dessus de l’égoïsme. L’éveil, l’élévation, doivent venir de notre côté.
En outre, nous ne serons pas en mesure d’évoluer à moins que nous ne formions une demande en nous-mêmes, en espérant qu’en retour, la force de la Lumière viendra et nous influencera, nous donnant de nouvelles propriétés d’unité et d’amour afin que nous fusionnions dans un tout global et intégral. Seule cette Lumière porte nos états futurs. Nous ne savons pas ce qu’ils sont, ni comment passer à travers eux, mais notre travail, en substance, est simple: nous sommes à la recherche de la force qui nous développe.
C’est tout, nous n’avons pas besoin de sagesse particulière. Je ne sais pas à l’avance ce qui m’attend. Parfois, je remarque quelque chose de nouveau dans mon esprit et mes sentiments, je révèle une nouvelle couche mince de compréhension et de sensation. Cela ressemble un peu à l’effet de la Lumière qui éveille et corrige nos désirs. Nous ne devons pas interférer dans son travail, mais plutôt accélérer notre développement autant que possible.
La Lumière ne nous affectera pas jusqu’à ce que nous Lui demandions de le faire. Nous devons être les premiers à exiger. C’est ce qu’elle demande. Cette demande, cette nécessité initie une action spirituelle sur la question du désir. Grâce à elle, nous révélons qui nous sommes et qui est le Créateur.
A notre faible degré, nous comprenons à un degré au moins un peu plus élevé, afin de fusionner avec Lui. Nous ne le comprenons pas complètement, mais seulement à l’endroit où nous y sommes attachés. Pour adhérer à un point dans le ventre de la mère, on doit devenir égal en propriétés avec elle.
De cette façon, les êtres créés font un gros travail, désirant fusionner avec le Supérieur dans un petit segment de la perception. Ensuite, ils veulent que le Supérieur les annule, les remplisse avec ses Lumières de développement. Comme un embryon, nous demandons les Lumières qui apportent le développement, pas celles qui procurent du plaisir. De cette manière, nous arrivons à l’équivalence avec le Créateur.

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale du 29/05/2011, «la Paix»

Se laver les « mains » avec la Lumière

Dr. Michael LaitmanToutes les coutumes traditionnelles dans le judaïsme sont une empreinte des actions kabbalistique spirituelles, mais seulement dans le désir corporel égoïste. Les véritables actions spirituelles sont réalisées dans deux domaines: la réception et le don sans réserve.
Après que nous ayons perdu la connexion avec l’amour des autres, avec le don sans réserve et le monde supérieur, ce qui nous reste dans le cadre de ce monde est appelé le judaïsme. C’est la forme sous laquelle la Kabbale existe pour une personne au cours de la période d’exil. Cependant, pour quelques-uns, elle se révèle dans deux sphères: spirituelle et corporelle.
C’est pourquoi, dans la religion, il existe certaines coutumes effectuées conformément à la tradition. Au lieu d’exécuter ces actions à l’intérieur de soi-même, comme des actions spirituelles, elles sont effectuées à l’extérieur.
Le Choul’han Aroukh ( la table dressée ), livre de lois religieuses, décrit les actions spirituelles, mais sous une forme matérielle. Quand on dit « lavez les mains», cela signifie que vous devez prendre votre récipient spirituel de la réception («mains») et le nettoyer par trempage ou lavage dans la Lumière de Hassadim (Miséricorde). Il explique comment faire le dais nuptial, la Houppah, pour la connexion avec le Créateur, comment séparer le désir pur (casher) de l’impur, ou comment abattre un «animal», qui signifie son propre égoïsme, de la bonne façon.
Toute action effectuée tout au long de la journée est le reflet des processus spirituels. C’est pourquoi le Choul’han Aroukh décrit la vie d’une personne en détail à partir du moment où elle se réveille et remercie le Créateur: de quel pied elle doit se lever en premier ens ortant du lit au réveil, comment mettre ses chaussures, et la façon de s’habiller, en mettant d’abord la main droite, un symbole de la volonté de donner, et puis la gauche, un symbole du désir de recevoir.
Tout est décrit dans les moindres détails parce que cela fait suite à la correction de l’âme. Le « corps » est l’âme, et le livre explique comment la corriger, comment l’habiller, la laver, comment la nourrir (ce qui signifie la façon de la remplir et avec quelle Lumière, Hokhma ou Hassadim, et dans quel ordre), et comment bénir différents types d’aliments, les types de satisfaction pour le désir de recevoir. C’est ce dont parle le Choul’han Aroukh.
Avant la destruction du Temple, la nation tout entière avait réalisé ces actions, chacun à son niveau et en travaillant sur son âme. Tout le monde savait ce que cela signifiait en relation avec son âme et la Lumière.
Toutefois, au moment où nous avons perdu une connexion avec le monde spirituel et où nous sommes tombés dans la réception égoïste, nous n’avons plus eu d’âme, il n’y avait donc rien à corriger, en effectuant toutes ces actions. C’est pourquoi les gens ont commencé à effectuer les mêmes actions sur leur corps, avec cette chair corporelle, dans le monde matériel, et à la table matérielle où ils mangent, au lieu de remplir l’âme avec la Lumière.
Si nous ouvrons le Talmud, nous allons voir un ensemble de règles que nous devons suivre par rapport aux autres (par exemple, la façon de payer votre voisin si votre animal l’a blessé), mais cela implique un niveau spirituel. L’ensemble du Talmud parle des actions d’une personne qui travaille sur la correction de son âme, mais elles sont décrites à travers les animaux ou travaux dans le champ, en utilisant le langage de l’allégorie.
Si vous êtes dans le monde spirituel, il est clair pour vous que cela a trait au monde spirituel, à l’âme. Pour vous, c’est comme si ce monde n’existait pas. Vous comprenez qu’il est impossible de corriger quoi que ce soit, en versant alternativement de l’eau sur une main, puis sur l’autre, et que ces actions sont effectuées uniquement comme un signe de la similitude du monde matériel avec le monde spirituel.
Si quelqu’un existe dans le monde spirituel, il ou elle agit ainsi de la même façon dans le monde corporel. Cependant, une action matérielle ne corrige pas l’âme. Il s’agit simplement d’une tradition culturelle, l’histoire d’une nation, un mode de vie auquel on est habitué depuis l’enfance.
En réalité, nous réalisons ces actions dans notre correction interne. En d’autres termes, nous prenons les parties de notre volonté et avec des actions comme celles-ci, nous les sortons du niveau égoïste, les remplissons au niveau du don sans réserve envers les autres et le Créateur. C’est exactement ce dont parlent le Choul’han Aroukh et toute la Torah, qui nous enseigne comment le faire.
Cependant, lorsque nous avons perdu notre lien spirituel, nous avons commencé à traiter cela comme des actions matérielles. La main droite, la main gauche, le taureau, ou un âne, une personne les a compris et les a étudiés comme s’ils étaient des lois corporelles.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale du 29/05/2011, Shamati # 40

L’idéal puissant et exalté du don sans réserve

Dr. Michael LaitmanQuestion: Quelle est la «foi» dont parle la Kabbale ?
Réponse: La foi est la Lumière de Hassadim (Miséricorde), la force du don sans réserve ou Bina, la propriété du Créateur, la nature. Si la propriété de la foi commence à surmonter votre désir de recevoir du plaisir, vous en venez à comprendre ce qu’est vraiment le don sans réserve.
Pour recevoir une empreinte du don sans réserve, vous devez d’abord commencer à le sentir et à connaître son goût. Ainsi, vous saurez ce que c’est. Une telle union de contraires inconciliables peut sembler impossible, mais l’intention de donner sans réserve commence régner au-dessus de votre désir pour le plaisir, et il tient à être utilisé pour donner sans réserve.
Une telle propriété est observée même dans un désir égoïste qui ressent un autre en tant que partie de lui -même. Dans ce cas, cela ne peut pas être un don sans réserve authentique. C’est comme une mère que l’on considère comme étant quelqu’un qui donne car la nature la force à sentir que son enfant est une partie essentielle d’elle-même. C’est comme si il était encore en elle, et c’est pourquoi elle donne sans réserve à elle-même. Elle se soucie plus pour lui que pour elle car elle le considère comme la plus précieuse partie d’elle-même.
Par conséquent, même si une mère donne à son enfant, quelqu’un extérieur à elle-même, on ne considère pas qu’elle ait atteint des degrés spirituels et agit dans l’intérêt du don sans réserve. Il s’agit simplement d’un instinct naturel.
Pour que le désir de recevoir commence à travailler avec l’intention de donner sans réserve, il doit recevoir la Lumière supérieure, la force spéciale. Nous disons seulement qu’il provient d’un endroit extérieur. En fait, il se réveille dans une personne et engendre en elle le désir de donner sans réserve à l’autre, l’amour pour lui.
« Un autre » est une personne pour qui j’ai déjà ressenti de la haine, du ressentiment, et de la distance. Je ne l’ai pas ressenti comme relié à moi, mais plutôt l’ai senti comme un extra terrestre, un étranger. Malgré tout cela, je ressens soudain le désir, la capacité et l’aspiration à lui donner sans réserve et à le combler. Je veux le voir comme moi-même, tout en me rendant compte que je n’ai pas besoin de quelque chose en retour.
Si je m’attends à recevoir du plaisir en retour, c’est comme si j’agissais égoïstement. En d’autres mots, le don sans réserve ne devrait m’apporter aucun plaisir. Au contraire, il me fait souffrir puisqu’afin de donner à un autre, je dois me priver. Alors, qu’est-ce qui pourrait bien me donner envie de donner?
Il en est ainsi car nous recevons une force spécifique, appelé la Lumière qui ramène vers le Bien. Je commence à sentir que d’une part, je parle avec un étranger de qui je désire recevoir, prendre quelque chose dont il dispose. Cependant, à la place, je reçois une force extérieure qui me permet de lui donner sans réserve, sans en recevoir aucun plaisir ou en bénéficier directement.
Si je devais profiter du don sans réserve immédiatement et directement, ce serait égoïste. Cependant, je ne le ressens pas naturellement en tant que partie de moi-même et ne profite pas du fait de lui donner sans réserve. C’est dans l’autre sens. Je surmonte mon désir égoïste, qui n’est pas comblé et devient encore plus vide qu’avant, et je transfère tous mes efforts et tout mon accomplissement vers lui.
Si on devait me demander pourquoi je le fais, je n’aurais pas de réponse venant de ma volonté égoïste de recevoir. Il y a une autre réponse, cependant. Ce que je me sens est la grandeur du Créateur, ma connexion avec le Supérieur ; j’accomplis le désir de Celui qui est plus élevé que moi. Je suis motivé par un idéal beaucoup plus élevé. Cependant, les mots ne peuvent pas l’expliquer car l’ego voudra toujours le tourner de manière à obtenir une certaine compensation de cela.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale du 29/05/2011, Shamati # 40

Connaître toutes les formes du Supérieur et s’y conformer

Dr. Michael LaitmanLe désir ne se déploie pas avant d’avoir passé les quatre stades de développement sous l’influence de la Lumière et d’avoir atteint un état de conscience, la sensation de soi, quand il est en mesure de prendre des décisions autonomes et de répondre à la Lumière dans une certaine mesure. Cela veut dire que dans n’importe quel point de la création, là où la phase « racine » (zéro) est trouvée, cela signifie le don sans réserve venant du Créateur, qui veut provoquer une certaine réaction dans la créature, dans «l’existence ex nehilo » (Yesh Mi Ain).
Pour partir de la phase zéro, de la «pointe de la lettre Youd » ainsi appelée, il est nécessaire de passer à travers les quatre phases de HaVaYaH (Youd, Hey, Vav, Hey), c’est-à-dire les phases première, deuxième, troisième et quatrième de la Lumière directe. C’est seulement lors de la phase quatre (Behina Dalet) que le désir répond vraiment.

 

À n’importe quel endroit dans la création, peu importe quel point nous prenons dans l’univers entier, nous allons découvrir un stade zéro en elle: la connexion du Créateur avec un certain point « ex nehilo» (Yesh Mi Ain). De là, touchés par la Lumière, un désir de recevoir commence à se développer et doit passer les quatre étapes afin de se former dans un être créé, de commencer à ressentir, et de répondre à l’effet de la Lumière.
Ainsi, tout part de la «pointe de la lettre Youd », « l’existence de l’existence », la Pensée de la Création, Sa pensée. Puis, cela commence à travailler, et les étapes un, deux, trois, et quatre sont révélées, soit : Youd-Hey-Vav-Hey, jusqu’à atteindre la quatrième phase, Dalet qui à ce stade s’expérimente elle-même comme existant.

Know All Forms Of The Upper One And Conform

Il y a deux forces ici, celle qui conduit et celle qui est conduite. Chacune d’elles est active et potentielle en même temps. Les trois premières phases, zéro, un et deux (Kéter, Hokhma, Bina) s’appliquent toujours au Créateur. Les étapes trois et quatre (Zeir Anpin et Malkhout)font référence à la créature.
Une division similaire peut être observée plus tard dans tous les entités spirituelles, les Partsoufim, les mondes. Les trois premiers degrés (GAR) ont trait à la pensée ou au programme du Supérieur. ZAT (Zeir Anpin et Malkhout) se réfèrent à l’inférieur, la créature, où ZA sert d’adaptateur entre le Supérieur et l’inférieur.
Le Supérieur est Kéter. Son attribut de don sans réserve est Hokhma (la Sagesse). La forme sous laquelle il veut donner sans réserve est Bina. La forme sous laquelle Il se rapporte à l’inférieur est Zeir Anpin. Il s’agit d’une relation multidimensionnelle: Hessed, Guevoura, Tifféret, Netsah, Hod, Yessod, Malkhout. Quant à Malkhout, c’est la matière qui absorbe toutes les formes précédentes, car elle veut les connaître et les construire en son sein afin d’obtenir la forme des phases précédentes.
Ainsi, Malkhout met en œuvre la présente loi intérieurement. Par conséquent, il faut faire l’expérience de l’ensemble des phases précédentes, recevoir une impression de leur part, se conformer, et développer le désir d’être comme eux. Ainsi, en réponse, cela crée une connexion identique à la racine, devenant la racine elle-même.
La créature ne peut pas se déployer avant que toutes les quatre phases soient venues avant lui. Ce n’est qu’à la dernière phase, Dalet, du développement, quand j’ai à la fois le désir et l’intention (ce qui signifie que tout vient de moi), à partir de là, que nous pouvons parler de la créature. Jusque-là, il n’y a que les propriétés du Créateur par lesquelles Il fonde la création.

De la 3e partie du cours quotidien de Kabbale du 26/05/2011, Talmud Esser Sefirot