Monthly Archives: juillet 2011

Poussé par la souffrance, la curiosité, ou le point dans le cœur

Dr. Michael LaitmanLa seule chose qui est exigée de nous est d’adhérer au Créateur. C’est pourquoi tout ce qui nous arrive est agencé de manière à nous obliger à nous tourner vers Lui, à ressentir maintenant le besoin de Lui, alors que nous ne  sommes pas dans l’attribut du  don sans réserve.
Une personne vit complètement liée et enchevêtrée par cette vie. Et toute cette confusion, ces problèmes dans la vie, son ordre et son désordre la poussent progressivement  à un état où  elle voit qu’elle est incapable de faire face à cette vie. Elle  ne peut pas comprendre, ressentir son but et la raison, et venir à sa racine. Et puis elle sent qu’elle doit trouver la racine de la vie, Celui qui détient cette vie, et Le révéler et Le connaître.
Les souffrances, la curiosité, même le point dans le cœur caché à l’intérieur d’une personn qui souffre en raison d’un manque d’adhésion  avec le Supérieur, ou autre chose conduit progressivement  une personne à comprendre qu’elle  ne peut plus prétendre qu’elle  dirige sa vie elle-même, comme Pharaon souverain qui dit: «Qui est le Créateur que je devrais écouté ? Je suis le seul maître ici ! »
Voilà comment notre ego pense, jusqu’à ce qu’il reçoive  les coups qui me font voir que le Créateur est le juste et que  je suis le méchant. Et puis une personne comprend qu’elle doit révéler le Créateur.
Même quand une personne se lance sur cette voie et fait ses premiers pas,  en se trouvant dans un groupe et en commençant à étudier la Kabbale, elle passe beaucoup de temps avant de commencer à réaliser qu’elle est dans un environnement complètement déterministe,  un système fermé où tout est déjà prédéterminé. Ce système n’accepte pas de mouvements libres ou de hasards dans aucune de  toutes ses parties: minérale, végétale, animale ou humaine. Toutes d’entre elles existent en fonction de la loi parfaite qui fait progresser la création toute entière à un état où tous ses éléments atteignent une adhésion  à la racine supérieure.
Cette adhésion est réalisée par le niveau  humain, le plus grand élément de ce système, qui comprend toutes les étapes précédentes. Mais  cela ne se passe pas à cause de ses propres efforts. Il doit demander au Créateur d’exécuter toutes les actions.

De la 1ère partie du cours  quotidien de  Kabbale du  27/07/2011, article  n°50 Shamati

Jouer le jeu est une affaire sérieuse

Dr. Michael LaitmanLe jeu est la tâche la plus importante pour nous. Par conséquent, lorsque nous lisons le Zohar, nous devons  jouer à être de  grands kabbalistes et imaginer que nous résidons dans le même état que les auteurs du Livre du Zohar, ceux qui les premiers ont révélé combien ils se haissaient les uns les autres, mais se sont  réunis par la suite.
Au début, ils se  détestaient les uns les autres et, par conséquent, ne ressentaient rien au-delà de leur état animé,  l’état de ce monde. D’une telle profonde  descente , ils ont commencé à  s’élever au niveau spirituel du don sans réserve mutuel et de garantie, et c’est alors que leur lien est devenu si fort qu’ils ont révélé ce qui est décrit dans le Zohar.
Par conséquent, de notre manque de connexion, nous aussi nous devons essayer de réaliser un lien aussi fort que le leur, et puis nous allons découvrir ce que le Zohar raconte, nous allons atteindre le niveau des auteurs du Livre. S’ils ont commencé avec la haine, en voulant littéralement se  tuer les uns les autres, même si nous n’atteignons pas une telle prise de conscience profonde du mal, autant que nous sommes en mesure de le faire et de le corriger, nous allons atteindre au moins un certain degré de compréhension de ce qu’ils ont écrit  à ce sujet, puis nous monterons au  même degré qu’ils ont révélé.
Question: Comment le jeu est-il connecté  avec le fait de tirer la Lumière environnante?

Réponse: Le jeu est tout. Il est la seule action que nous effectuons. Le jeu signifie que je m’efforce vers ce que je désire atteindre. Quelle est la différence entre ce jeu et une autre action créatrice dans notre monde si tout en le faisant, nous avons également le désir d’obtenir quelque chose de lui? Bonne question, mais dans ce jeu, nous ne savons pas vraiment quoi faire. Il y a un élément de chance, de libre volonté , il y a quelque chose je ne peux pas savoir à l’avance. Et c’est pourquoi c’ est appelé un  jeu .
Dans ce jeu, je compte sur les autres comme si nous étions dans un véritable état  de jeu dans quelque action imaginaire. Mais en réalité, cette action imaginaire se révèle être vraie quand on arrive à elle. Par conséquent, le jeu est considéré comme une affaire sérieuse.

De la 2ème partie du cours quotidien de Kabbale du  25/07/2011, Le Zohar

La grande simplicité de la perfection ronde

Dr. Michael LaitmanL’ensemble du groupe et l’ensemble de l’humanité en général construisent en premier  « de formes droites » (Yashar). Je limite mon désir de plaisir,  je construis un écran, et avec une partie de ce désir que je continue de travailler davantage, par la foi au- dessus de la raison, dans le don sans réserve, connecté aux autres.
Mais dans certains désirs, je suis incapable de travailler dans le don sans réserve envers les autres et je les utilise uniquement dans mon propre intérêt. Ainsi, je restreins simplement ces désirs. Je veux me recueillir dans une «ligne»,  viser une direction, vers le don sans réserve.
Par conséquent, je construis les «lignes de connexion » entre moi et les autres,- le système de communication correct. Si après tout mon travail, je parviens à changer mon désir de plaisir en don sans réserve, et que je le transfère complètement à l’extérieur de moi-même, et  que je l’utilise pour donner aux autres, cela indique que j’ai construit l’image de celui qui donne  hors de moi-même. Et je me transforme en un «cercle »
Je ne suis plus  collé à la ligne. Au contraire, dans tous mes désirs, dans toutes les directions et les possibilités, je cherche à faire plaisir aux autres sans distinction, en choisissant de donner plus ou moins à n’importe lequel d’entre eux.
En effet, il y a beaucoup de différences et de tests, mais je ne teste pas mes capacités parce que je suis un «cercle», qui n’est plus limité dorénavant. Mais par rapport à moi, ils ne sont pas encore un cercle ; ainsi je peux leur donner de plus en plus de diverses façons. Et c’est ainsi jusqu’à la fin de la correction collective, quand tout s’unifie dans l’adhésion considérée comme « Zivoug Rav OuMekabtziel Paalim » et tourne en rond (Igoulim).
En d’autres termes, un «cercle» est l’état d’être d’un enfant qui n’est pas encore développé et reste dans les bras de sa mère. Et donc, il n’a pas de responsabilités, sauf celle de s’annuler lui-même. C’est ainsi que Malkhout du monde  de l’Infini avait l’habitude de s’annuler devant la force supérieure, la Lumière supérieure qui l’a remplie, et donc elle avait une forme  «circulaire». Elle  a même séjourné dans l’adhésion, mais seulement par la grâce du Supérieur.
Mais à  la toute fin, dans l’état  3, quand nous reviendrons à l’infini une fois de plus, nous construirons ce « cercle » de nous-mêmes.  Par conséquent, nous faisons une restriction à l’état initial, créons un lieu de travail pour nous-mêmes, et en  lui nous construisons l’état parfait, à la place du Créateur. Cette opération est décrite comme «Mes fils M’ont vaincu. »

De la 3e partie du cours quotidien de Kabbale du 25/07/2011, Talmud Esser Sefirot

Notre monde est comme le Titanic

Dr. Michael LaitmanOpinion: (Giulio Tremonti, ministre italien de l’économie et des finances, msnbc.msn.com): « S’adressant au Sénat peu avant le vote, le ministre de l’Économie, Giulio Tremonti, a déclaré que l’Europe avait besoin d’une solution politique pour démêler la crise de la dette car aucun pays ne sera épargnés par ces conséquences désastreuses.

«Personne ne devrait avoir d’illusion sur le salut individuel. Tout comme sur le Titanic, pas même les passagers de première classe seront sauvés, dit-il, se référant aux économies européennes plus fortes.  »

Mon commentaire:
Le monde est dans une situation difficile aujourd’hui, si vous regardez son état à partir d’un point de vue traditionnel. Or la situation est tout à fait le contraire si vous comprenez que la nature nous a donné un problème à résoudre: évoluer vers la société intégrale, et nous devons l’aborder maintenant, sans être paresseux ou retarder la décision. Sinon, nous aurons à «travailler sur les erreurs », et cela sera encore plus difficile.

Le problème est dans une nouvelle attitude envers le monde: nous devons apprendre le voir comme unique, fermé, et interconnecté et réaliser que ces connexions se sont manifestés au sein de la société humaine qui a développé ce niveau. Nous n’avons aucun moyen de faire demi-tour.

Il n’y a qu’une seule issue: apprendre comment vivre dans le nouveau système en changeant les personnes en accord avec lui. C’est ainsi nous avons besoin de l’élévation et de l’éducation universelles: pour étudier une nouvelle nature du monde.

Le monde est devenu intégral et unifié, ce qui signifie que nous sommes tous complètement dépendants les uns des autres. Dans la mesure où nous pouvons agir comme cela, nous allons gagner. Sinon, nous perdrons.

Sans dissimulation, nous ne pouvons pas révéler la perfection

Dr. Michael LaitmanShamati # 174 « Dissimulation »: Concernant la dissimulation, qui est une correction, si elle n’avait pas existé, l’homme n’aurait pas pu atteindre aucune perfection, car il n’aurait pas été digne d’atteindre l’importance de la chose.

Nous avons été créés par la Lumière comme la volonté de recevoir du plaisir, et donc nous sommes entièrement en son pouvoir et nous ne nous sentons pas comme existant. Aujourd’hui, nous ne sentons pas encore notre existence. Ce que nous sentons est une sensation trompeuse car il est seulement possible de se sentir séparé, à distance, et en dehors, de la condition dans laquelle vous vous tenez en opposition face à celui dont vous êtes en dehors.

Mais nous ne pensons pas que nous sommes debout en opposition au Créateur, contre la Lumière, et donc nous ne pouvons pas nous considérer comme existant. Après tout, nous sommes obligés de tout percevoir à partir du contraste des contraires: comme «moi» et quelque chose en dehors de moi. Ensuite, par rapport à ce « en dehors », je serai en mesure de déterminer qui je suis.

Mais en attendant, je reste seul, juste un objet intérieur de moi. Je ne peux rien dire sur moi-même car il n’y a personne par rapport à qui je puisse me mesurer.

Par conséquent, avant qu’une personne puisse s’arrêter et effectuer une restriction sur son ego, qui signifie «passer la « Makhsom » (la frontière du monde spirituel) et se tenir face au Créateur, elle n’est pas encore appelée création. C’est ce qu’on appelle la période de préparation, quand nous sommes entièrement régis par le supérieur.

Ce n’est qu’après, que nous sommes prêts à prendre sur nous la dissimulation qui se révèle entre nous et le Créateur, nous grandissons éloignés de Lui et nous recevons une existence indépendante. La dissimulation produit l’objectif le plus important pour moi. Dans la mesure où je veux atteindre cette qualité, et que je n’en suis pas capable car cela est dissimulé, c’est-à-dire à quel point je sens de son importance.

Finalement j’arrive à un point où je commence à évaluer la dissimulation, car elle se transforme en mon récipient pour la Lumière. Il est écrit, «la Sagesse (Hokhma) est donnée au modeste. » Parce que je fais de ma volonté pour qu’elle fasse plaisir au modeste, je suis capable d’atteindre la Lumière de Hokhma qui se dresse en face de moi, acceptant la Lumière réfléchie, pour l’amour du don sans réserve.

Par conséquent, la dissimulation élargit mon récipient spirituel « 620 » fois et me donne une nouvelle nécessité, au lieu de plaisir, je veux atteindre l’importance du Donneur. Toutes les qualités du récipient spirituel sont présentes dans la dissimulation réelle.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 21/07/11, Shamati

De quoi l’image du Créateur est-elle construite?

Dr. Michael LaitmanHabituellement nous faisons une erreur très courante, en pensant que nous devons révéler le Créateur Lui-même. Nous attendons, « Quand est-ce qu’il va enfin se révéler? » Comme si la chose la plus importante pour Lui est d’apparaître.

Mais cela n’arrivera jamais. Ce qui doit apparaître est précisément la restriction, notre désir de lui cacher notre volonté de recevoir du plaisir, à partir de notre compréhension, alors nous avons l’occasion de travailler avec Lui à la seule condition que nous lui donnions du plaisir en retour.

Puis la dissimulation, l’aspiration au véritable don sans réserve, appelée « Lishma», devient notre récipient. A l’intérieur de cette dissimulation, nous serons en mesure de construire l’image du Donneur et comprendre ce qu’est le don sans réserve. Parce que nous aspirons uniquement au don sans réserve, sans aucun autre investissement de plaisir dans nos désirs, nous allons donc commencer à vraiment atteindre ce que la spiritualité signifie.

Toute personne voudrait révéler le Créateur dans la profondeur de l’exil. Mais la question est de savoir comment ne demander rien d’autre que Sa dissimulation alors que nous sommes en exil, comment préserver cette dissimulation nous-mêmes et l’élever. Tous les niveaux d’ascension sont séparés les uns des autres par quelle mesure nous désirons et sommes capables de nous comporter, pour nous retenir à partir de la révélation, et de nous révéler que pour l’amour du don sans réserve.

Et à l’intérieur de cette attitude vers l’attitude supérieure, dans notre désir de Le cacher, nous construisons Son image. La grandeur du Créateur qui est née à l’intérieur de nous, en vertu de cette dissimulation nous permet d’estimer le Créateur et de commencer à sentir Sa forme. C’est à dire, la forme du Créateur est déterminée par la forme de l’importance que nous sommes en mesure de Lui donner.

Cette explication ne se prête pas à être comprise facilement, mais cela aborde déjà directement la relation entre la création et le Créateur dans le monde spirituel ….

De la 1ère partie de la leçon quotidienne Kabbale 21/07/11, Shamati

La Bible selon les Américains

Dr. Michael LaitmanDans les Nouvelles (Gallup Nouvelles Service): «Environ un tiers de la population adulte américaine croit que la Bible est la parole même de Dieu et doit être pris littéralement mot pour mot. Ce pourcentage est légèrement inférieur depuis plusieurs décennies. La majorité des Américains qui ne croient pas que la Bible soit littéralement vraie croit qu’elle est la Parole inspirée de Dieu, mais tout ne doit pas être pris littéralement. Environ un Américain sur cinq croit que la Bible est un livre ancien de «fables, de légendes, d’histoire, et de préceptes moraux écrits par l’homme. »

La croyance en une Bible littérale est fortement corrélée avec les indicateurs de la religion, y compris la fréquentation des églises et l’identification avec un protestant ou d’autres non-catholiques de la foi chrétienne. Il y a aussi une forte relation entre l’éducation et la croyance en une Bible littérale, avec une telle croyance devenant beaucoup moins répandue chez ceux qui ont fait des études universitaires.  »

Mon commentaire: De toute évidence, une éducation très répandue et à long terme systématique est nécessaire pour inculquer aux gens une vision objective du monde, de les élever à partir de leur niveau puéril de la perception du monde au niveau où ils ne rejettent pas la Bible, mais plutôt le comprennent de façon sensée: que la sagesse d’un plus haut niveau est le prochain état de l’humanité.

Les êtres humains sont créés dans la propriété de la «réception» (l’égoïsme) et se ressentent en lui. Ils appellent leurs sentiments « ce monde. » La Bible parle d’une autre manière de percevoir le monde, dans la propriété du « don sans réserve » (altruisme), et au sujet d’une sensation en elle appelée « le monde futur ou le monde supérieur. »

La Kabbale offre une opportunité pour une transition pacifique de la perception dans la propriété de « recevoir » à la perception dans la propriété de « donner sans réserve. » Sinon, la transition sera tragique.

Depuis, nous avons terminé notre développement dans la propriété de «recevoir» et existons au début de la transition dans la propriété du « don sans réserve », la Kabbale est révélée pour nous aujourd’hui. Elle suggère que nous l’utilisons pour apprendre à quoi s’attendre et comment planifier l’avenir.

La globalistique est une science sur le nouveau monde

Opinion: La globalistique (du latin « Globus », le Globe, une science de l’universel) est une science  qui traite du mécanisme de développement de l’humanité et du monde dans l’unité, dans des conditions réelles de la Terre: sa taille finie, des ressources naturelles limitées, et la surpopulation anthropologique. Le monde  c’est l’humanité et son environnement.
La globalistique examine le monde unifié dans une perspective globale et décrit ce monde, sa dynamique de développement, et  ses interconnexions intérieures comme un système unique de paramètres intégrés.
La globalistique étudie les lois générales de l’évolution quantitative de l’humanité et construit des modèles quantitatifs de l’ordre mondial durable gérable dans les conditions de surpopulation anthropologique. La globalistique combine harmonieusement la recherche fondamentale et  appliquée et leurs  développements.

La plupart des gens ont une mentalité d’esclave

Avis: (Ivan Dykhovichniy, acteur, réalisateur et scénariste, snob.ru): «Au cours des 20 dernières années, une nouvelle race d’humains a grandi, des mutants humains ….
«Il a fallu du temps, 15-20 ans, pour créer cette nouvelle race de mutants. Ces personnes, peut-être, ne sont pas coupables. Elles  n’ont aucun sentiment de réciprocité, ne comprennent pas ce qu’elles font, et n’ont pas le sens génétique de  la responsabilité …. Quand les gens n’ont aucune notion du bien et du mal, ils ne peuvent pas être aidés. Je suis arrêté par un policier, et il ne peut pas être motivé  par ce fait, il n’a pas la pareille. Il peut m’enlever mon permis, me demander de l’argent, et c’est  inutile de lui expliquer quelque chose. Toutes les structures de pouvoir: les unités SWAT, la police, et similaires sont une espèce spécialement élevée qui n’a  aucune conscience. C’est une armée énorme de personnes. Ils comprennent qu’ils sont incontrôlables. L’Etat ne les paie pas, donc ils nous volent. C’est leur moralité partout. Par ailleurs, on ne peut rien leur  reprocher.
Et personne n’a pris aucune mesure pour le retour à la normale. »

La dépression balaie le monde

Dr. Michael LaitmanAux  nouvelles: « La dépression tpuche 121 millions de personnes dans le monde entier. Elle peut  affecter la capacité d’une personne à travailler, la forme de ses  relations, et détruire sa qualité de vie. Dans les cas les plus sévères la dépression peut conduire au suicide et est responsable de 850 000 décès chaque année ….
«En conjonction avec l’Organisation mondiale de la santé,  dans le cadre d’une enquête d’initiative concernant la santé  mentale  mondiale, des chercheurs de 20 centres ont collaboré pour étudier la prévalence de la dépression autour du globe. Pour être classé comme ayant vécu un épisode dépressif majeur (EDM) une personne devait en outre nécessairement  remplir cinq de neuf critères, dont la tristesse, la perte d’intérêt ou de plaisir, des sentiments de culpabilité ou de basse estime de soi, des troubles du sommeil ou d’appétit, une énergie faible et une mauvaise concentration ….
«Les EDM  ont été élevés dans les pays à revenu élevé (28% contre 20%) et ont été particulièrement élevés (plus de 30%) en France, aux Pays-Bas, et en Amérique. Le pays ayant la plus faible incidence a été la Chine à 12% ….
«Les femmes étaient deux fois plus susceptibles de souffrir de dépression que les hommes, et la perte d’un partenaire a été un facteur principal …» (Source: BioMed Central)

« La nouvelle recherche a découvert que pour les hommes et femmes britanniques, la probabilité de dépression a culminé à environ 44 ans. Aux États-Unis, l’affliction atteint un pic à environ 40 ans pour les femmes et 50 pour les hommes ». (Source: telegraph.co.uk)
Mon commentaire: plus notre égoïsme se développe et nous éloigne les uns des autres, plus le monde autour de nous se manifeste comme une partie intégrante, c’est-à-dire s’oppose à nous, individualistes égoïstes, et plus nos vies semblent plus difficiles, sans valeur, et inutile. Et la dépression se développera en nous comme le plus grand problème de l’humanité, dont  nous ne serons pas en mesure de nous débarrasser autrement qu’en transformant notre rejet mutuel en attraction.
Le principal problème de l’humanité est de corriger la nature humaine. Il est dommage que les gens ne veuillent pas en entendre parler et souffrent. Mais ces souffrances  leur feront  néanmoins comprendre la cause du mal et accepter la méthode de correction. Il est dommage que tout arrive par le chemin de la souffrance.