Opinion: Sean O’Grady (rédacteur économique, « The Independent »): «Dans une version actualisée et élargie des quatre cavaliers de l’apocalypse, l’Organisation pour la coopération et le développement économiques (OCDE) a identifié cinq « chocs mondiaux » qui déstabiliseront l’économie mondiale avec une fréquence croissante dans les années à venir.

Plutôt que les périls traditionnels de la conquête, de la guerre, de la famine et de la mort, l’OCDE identifie les cinq « chocs mondiaux » que nous devrons endurer : les pandémies virales, les cyber-attaques, les crises financières, les troubles socio-économiques  et les orages géomagnétiques….

La crise financière de 2008 a été le premier épisode en tant que tel ». L’OCDE explique l’augmentation de la fréquence des crises par « l’augmentation de l’inter-connectivité » de l’économie mondiale.

Mon commentaire: Quand des gens individualistes des nations, des pays, non corrigés (égoïstes, à l’esprit étroit axé seulement sur leur propre profit) se transforment en un seul corps, un système interdépendant, où chacun fait seulement ce qui est bénéfique pour soi, les chances pour qu’un tel système connaisse un choc augmentent considérablement et de manière imprévisible.

L’interdépendance crée des combinaisons imprévisibles des causes pour  tout futur état. Alors que nous manquons de connaissances de ce système pour le comprendre et l’estimer. Pour ce faire, nous avons besoin de commencer à le ressentir comme le nôtre. Et cela n’est possible que si nous-mêmes devenons intégralement reliés les uns aux autres.
Cela n’est possible que si nous assumons nous-mêmes ses qualités et propriétés en nous corrigeant nous-mêmes avec l’aide de la méthode de la Kabbale, qui est appelée la révélation du Créateur aux êtres créés. Après tout, par rapport à nous, le Créateur est la révélation de nos propriétés corrigées en nous. C’est pourquoi il est appelé Boré ou « Bo », viens, et  « Ré »,  voir,  c’est-à-dire « révèle à l’intérieur ». … Ou vous pouvez prendre le livre des Prophètes et trouver ce qui nous attend si nous n’apaisons pas la nature en nous équilibrant avec elle.

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