Daily Archives: 14 juillet 2011

Faire de sa vie une réussite

Dr. Michael LaitmanQuestion: Est-il possible de prolonger notre existence corporelle dans ce monde en atteignant la spiritualité? Est-ce que l’un affecte l’autre?
Réponse: Une personne a besoin d’aspirer à terminer son chemin spirituel dans cette vie matérielle. Atteindre cet état signifie que sa vie a été un succès. Cela dépend d’elle.
Le nombre d’années de son existence ne dépend pas d’elle. Mais remplir son existence avec des corrections, oui. Peu importe, son chemin corporel est tel qu’il permet d’atteindre  sa correction au cours de ces années. Cette opportunité nous est donnée. Le reste dépend de la personne.

De la série  des cours virtuels du dimanche du  10/07/2011

Un nouveau livre en suédois

A New Book in SwedishMon nouveau livre de Kabbale est publié en Suède. Il est la traduction de mon livre « Une quête spirituelle »  publié à l’origine en russe

La solution de la crise mondiale: changez-vous vous-même pour vous adapter au monde

Dr. Michael LaitmanQuestion: Je ne comprends pas comment l’avenir se distingue du  passé, nous rendant incapable de le contrôler et de trouver une solution à la crise et au déroulement correct du développement?

Réponse: L’homme est toujours passé par les changements (évoluant  égoïstement), puis, en fonction de ces changements et conformément à eux, il s’ajustait à l’environnement « pour lui convenir ». Mais aujourd’hui, il a cessé d’évoluer égoïstement; le développement égoïste graduel de l’homme est terminé. Par conséquent, il  va arrêter de réformer le monde environnant.

A partir de ce point, le mouvement sera « inversé ». A l’heure actuelle, la nature, l’environnement, est en mutation: elle se présente à nous comme un système intégral, global et nous oblige à nous adapter, à nous lier au monde entier comme sa partie intégrante.

En d’autres termes, la phase où nous sommes entrés n’est pas celle de la transformation involontaire de l’égoïsme humain qui dicte à l’homme les moyens de réformer la nature « pour lui convenir ». Plutôt, c’est l’homme qui doit changer pour s’aligner sur une situation nouvelle dans laquelle la nature change « devant ses yeux ». Ceci  est la lecture d’un changement de paradigme: si auparavant nous ne prenions  pas part à nos transformations intérieures et continuions d’altérer l’environnement pour convenir à notre égoïsme (nous en avons fait le serviteur de  nos besoins), aujourd’hui c’est le monde environnant qui  se transforme et nous force à changer pour nous y adapter.

Ce mouvement est inversé: non pas de l’homme au monde environnant, mais à partir du monde environnant à l’homme. C’est-à-dire,  le monde, l’environnement naturel en changeant fera changer tout le monde et en conséquence  l’humanité toute entière.

L’humanité aura à se réformer, ce qui signifie se corriger pour être en conformité avec la nature. Cela n’a jamais eu lieu auparavant. L’homme n’a jamais pris en considération la nature, mais l’a modifiée en fonction de: «notre objectif  est de prendre tout ce que nous  avons besoin à partir de la nature», c’est-à-dire, pour la mettre au service de notre ego.

Et maintenant, l’humanité va devoir changer la nature plutôt que de changer ce qui l’entoure. Ainsi, l’homme doit commencer à atteindre la nature, la «voir» d’abord, et ensuite penser comment être en harmonie avec elle. La nature est, en fait, le Créateur. Par conséquent, nous arrivons à la nécessité d’atteindre la nature entière, ce qui signifie le Créateur, en nous réformer pour Lui « correspondre ».

C’est le point de non retour que nous appelons une «crise». Et nous n’en sortirons pas jusqu’à ce que nous comprenions de quoi parle ce nouveau paradigme de notre existence : ne pas changer le monde pour qu’il nous convienne, mais nous changer nous-mêmes pour nous adapter au monde.

Si nous devions continuer à faire des tentatives de modifier la nature pour nous servir, nous nous mettrions en opposition avec elle. En fin de compte, la nature « nous briserait » par des souffrances horribles.

Le point central de l’univers

Dr. Michael LaitmanBaal HaSoulam, L’étude des dix Sefirot, partie 1, «Tableau des questions et réponses pour le sens des mots »: Question 39: Qu’est-ce que le point  du milieu (Nekouda Emtzait)? C’est le nom de la Behina Dalet (phase quatre) dans Ein Sof (infini). Elle  est nommée d’après son union avec Ohr Ein Sof (la Lumière de l’Infini).

Nous commençons à nous percevoir nous-mêmes, notre existence, mais seulement après avoir atteint la quatrième phase. C’est parce que nous ne pouvons que ressentir notre propre être, contrairement à son opposé: la racine supérieure.

Ce sentiment est révélé à la dernière, à la quatrième phase de la quatrième phase (Behina Dalet de Dalet). C’est parce que la quatrième phase est le désir de plaisir en commençant à la connaître elle-même. Toutes les phases précédentes sont révélées à l’intérieur d’elle.

Les phases zéro, un, deux et trois sont séparées de la racine et se construisent à l’intérieur de la quatrième phase. La dernière, la quatrième phase rassemble l’expérience de toutes ces phases et révèle elle-même et sa relation à Lui, c’est-à-dire, atteint ce que le supérieur fait avec elle, par rapport à elles.

Cette quatrième phase de la quatrième phase se découvre comme le désir de plaisir. Dans sa partie supérieure, elle vient à la compréhension et à la réalisation de la racine, tandis que dans la partie basse, sa propre relation, la réaction à la révélation de la relation du Créateur à elle, est déjà visible. Cette réaction est le sentiment de honte qui lui fait effectuer la première restriction (Tsimtsoum Aleph).

Comme il est écrit, cette phase est appelée le point du milieu (Nekouda Emtzait) « après son union avec Ohr Ein Sof (la Lumière de l’Infini) », ce qui signifie que toute la Lumière de l’Infini est révélée en elle avant qu’elle ne ressente la honte et décide d’effectuer la restriction.

Tout cela est concentré à l’intérieur de la quatrième phase (Dalet) à la frontière où sa partie supérieure se termine. Dans cette partie, elle sent l’attitude du Créateur envers elle et donc s’attache à Lui, ce qui signifie qu’elle est incluse en Lui et elle-même s’annule devant cette Lumière, l’amour du Créateur.

Ceci se passe exactement à la frontière, après quoi la partie inférieure et une nouvelle révélation commencent. Dans l’état de fusion avec le Créateur, où elle atteint sa pleine unité avec la Lumière et la fidélité à Lui de tout son cœur et de toute son âme en vertu de sa nature, au fond de la profondeur de cette unité, elle découvre soudain une qualité dans le Créateur à laquelle elle ne peut pas se connecter.

C’est parce que maintenant elle n’est pas connectée au Créateur Lui-même, mais à l’accomplissement qu’elle reçoit de Lui. C’est pourquoi elle ressent leur connexion comme imparfaite. Il y a une qualité  en plus dans le Créateur, la qualité de Celui qui donne, et elle n’est pas capable de se connecter à cette qualité. C’est pourquoi elle commence à ressentir de la honte. Dans la profondeur même de sa connexion et de la dépendance à Lui, comme celle d’un bébé  se nourrissant complètement de la mère, elle découvre qu’Il est opposé à elle.

Cette terrible honte est suscitée à  l’intérieur d’elle parce qu’elle est située juste à l’intérieur du Créateur, dans la connexion la plus  étroite à lui. Ce sentiment de honte construit les quatre phases inversées quand elle décide quoi faire avec cet écart et vient de la racine du sentiment de la honte à sa quatrième phase, c’est-à-dire à la décision de se restreindre et de ne plus recevoir la Lumière. Maintenant, elle commence à chercher comment fusionner dans les conditions d’égalité et de la similitude des qualités, et non par elle-même en devenant celle qui se limite et qui est pleinement réception.

Ceci est le point du milieu, celui qui a été complètement fusionné avec le Créateur avant qu’il ne commence à brûler de honte et que toutes les actions suivantes prennent place.
De la 3e partie du cours quotidien de  Kabbale 27/06/2011, Talmud Esser Sefirot

Réparer la «chair» de votre âme

Dr. Michael LaitmanQuestion: la révélation du mal est-elle suffisante pour avancer?

Réponse: La révélation du mal est une puissante méthode de l’avancement, car il s’agit d’une découverte d’un désir non corrigé. Si vous le corrigez, vous progresserez. C’est pourquoi il est impossible de le faire sans la révélation du mal.

Par exemple, vous entrez dans une voiture et essayer d’arriver à destination avec votre voiture. Soudain, vous voyez que la clé ne correspond pas à la serrure de contact. Vous commencez à arranger la clé. Vous réparer la clé, la mettez dans le contact, mais cela ne marche pas. Vous devez réparer la serrure.

Vous réparer la serrure, vous tournez la clé  – la voiture ne démarre pas. Vous découvrirez que les fils ne sont pas connectés à l’allumage. Vous devez brancher les fils. Les fils sont réparés. Pourquoi ça ne marchera pas? Il n’y a pas de batterie.

Et vous allez étape par étape jusqu’à ce que vous répariez la voiture entière. Mais chaque fois que vous découvrirez ce qui manque jusqu’à ce que vous terminiez les rénovations et polissiez jusqu’à la dernière goutte de peinture. Puis vous vous installez et vous conduisez. La voiture ne bougera pas de là tant que cela ne sera pas fait.

Question: Qu’est-ce que cela signifie corriger chaque composant?

Réponse: Pour corriger signifie que vous comprenez pourquoi vous avez besoin du composant, comment il se connecte à d’autres parties, et ce que ses formes détruites et corrigées sont. Chaque composant est une partie de votre cœur, votre âme. «allumage» et «clé», «fils» et «batterie», chaque composant dernière, toutes ces choses sont vos désirs intérieurs, la «chair» de votre âme.
De la leçon quotidienne de Kabbale 24/06/2011, Écrits du Rabash

Les kabbalistes sur la nature de l’homme et la nature du Créateur, Partie 16

Dr. Michael LaitmanChers amis, s’il vous plaît poser des questions sur ces passages des grands kabbalistes. Les commentaires entre parenthèses sont de moi.

L’écart entre la nature de l’homme et la nature du Créateur

Car quand il sort du giron de la création il est d’une souillure et d’une bassesse inqualifiable, c’est à dire qu’il est marqué d’une abondance d’égoïsme, chacune de ses actions étant centrée sur lui-même, sans qu’il n’y ait aucune étincelle de don envers les autres. De ce fait, il se retrouve à la distance la plus éloignée de la racine, aux antipodes, puisque la racine est don total sans une parcelle de réception, alors que le nouveau-né est complètement réception pour lui-même sans une étincelle de don. Ainsi sa situation est vue comme le point le plus bas de la vilenie et de la souillure, qui est dans notre monde humain.
– Baal HaSoulam, Matan Torah (Le Don de la Torah), Point 12

Bien que le désir de recevoir soit une loi impérative dans la créature cela néanmoins la sépare complètement de l’ Emanateur. Il existe une disparité de forme au point d’opposition entre la créature et l’Emanateur, entre le désir de recevoir et le désir de donner sans réserve de donner.
– Baal HaSoulam, « Préface à la sagesse de la Kabbale », Point 13

Le mal, en général, n’est rien de plus que l’amour de soi appelé «égoïsme», car il est à l’opposé de la forme du Créateur qui n’a aucun désir de recevoir pour lui-même, mais seulement de donner sans réserve.
– Baal HaSoulam, «De l’essence de la religion et son objet»

Un système trop compliqué nécessite une solution

Dr. Michael LaitmanOpinion : (Pavel Tsygankov, PhD, professeur à l’Université d’État de Moscou): Les lois des systèmes internationaux que nous avons découvertes jusqu’ici ne sont pas suffisamment rigoureuses pour les utiliser comme base afin de faire un pronostic précis.

Les systèmes complexes ont une vie propre, et même le contrôle sur des parties distinctes du système ne fournit pas le contrôle sur le système dans son ensemble. Chaque action entreprise dans le cadre d’un tel système a des conséquences indéterminées, ce qui ne peut être ni prédit ni tracé.

Si nous voulons prendre en considération les différents points de vue des sept milliards de personnes qui peuplent la planète, les deux cents gouvernements qui les contrôlent, les corps innombrables autonomes, des milliers d’organisations non gouvernementales, les affiliations religieuses, sociétés de l’éthique, l’économie mondiale, les systèmes d’expansion des télécommunications, et la croissance du volume des informations, il deviendra évident que le domaine des relations internationales est le système le plus compliqué en dehors même de la nature.

Mon commentaire: Nous sommes arrivés à la conclusion que seule une réciprocité absolue qui ressemble à un organisme unique sera en mesure de créer un système sûr et sain pour sept milliards de personnes. Mais pour y parvenir, nous avons besoin d’un nouveau type d’éducation, de l’éducation d’une personne intégrale. Chacun de nous doit être fait à partir d’une particule d’un seul organisme. Dans le même temps, chaque personne ne se transformera pas en un robot. Au contraire, elles  commenceront à percevoir un seul organisme entier comme le leur, et à travers cela elles découvriront la nature éternelle et parfaite.

Une route sans panneau

Dr. Michael LaitmanLe problème réside dans le fait que nous ne comprenons pas combien nous sommes loin de la qualité du don sans réserve. Chaque petite action nous rapproche un peu plus vers le but. Voilà comment nous avançons sur ce chemin, millimètre par millimètre, et un seul millimètre ne peut être sauté.

Aujourd’hui, le chemin nous est caché. Par exemple, pendant ce repas, nous allons traverser 20 à 30 millimètres de Reshimot (réminiscences). C’est beaucoup, mais personne ne va le sentir. C’est la façon dont cela sera jusqu’à ce que nous atteignions l’entrée du monde spirituel. C’est alors seulement que nous le sentirons.

Pour l’instant, c’est comme si nous allions à Madrid par  l’autoroute, sans aucun panneau, et nous ne savons pas combien de temps nous devons rouler. Cela fait que du premier mètre au dernier mètre sur la route, avant que je ne vois Madrid, est exactement la même chose pour moi. Tout au long du chemin, rien ne semble changer, juste la même route, des arbres et des champs.

Nous ne réalisons pas combien de petites actions nous faisons à chaque seconde qui, ensemble, composent notre avancement. Ce n’est pas un hasard si il n’y a pas de signes et panneaux sur cette voie. Il en est ainsi pour que la personne apprenne à recevoir du plaisir du voyage lui-même. Si vous êtes en train d’avancer vers le don sans réserve, même dans l’obscurité, vous devez ressentir la joie. Sinon, vous exigez juste une récompense.

Pour cette raison, une personne ne doit pas attendre la fin du chemin, il n’y a pas de fin. Le chemin se termine lorsque vous décidez vous-même: «Je n’ai pas de destination. Je suis content de ce que j’ai. La seule chose que je veux, c’est de trouver du plaisir à partir du don sans réserve. « Vous recevez la récompense lorsque vous arrêtez d’être exigent, et cela signifie que vous avez atteint l’objectif. 
De la discussion pendant un repas à Madrid 03/06/2011

Discussion d’un homme avec un rocher

Dr. Michael LaitmanQuestion: La Torah raconte une histoire sur la façon dont les gens qui erraient dans le désert face à la mort par manque d’eau et de Moïse qui se retourna vers le Créateur lui demandant de l’aide. Le Créateur ordonna à Moïse d’aller et de parler avec un rocher devant la foule et alors il lui donnerait de l’eau.

Mais au lieu de parler avec le rocher, Moïse frappa la roche avec son bâton, et « les eaux de la discorde » en ont jaillies, ainsi nommées pour avoir désobéi à son Créateur. Pourquoi Moïse, le chef de la nation toute entière, a-t-il désobéit à l’ordre du Créateur?

Réponse: La roche est au sol, Malkhout, le désir de recevoir du plaisir, qui doit être corrigé afin d’être utilisé «  dans le but du don sans réserve ». Cette correction peut être soit sous la forme d’un « coup » ou d’une « discussion » selon le degré. C’est de cette manière qu’un acte de don sans réserve peut se produire : l’eau qui jaillit de cet acte.

L’eau est la force qui donne la vie au désir de recevoir du plaisir et le transforme en un désir qui reçoit dans le but du don sans réserve. Lorsque vous «parlez» avec le rocher, Malkhout, vous vous accordez à l’intérieur de lui sur le plan humain, le niveau du «parler», le degré de Bina, et l’eau que vous tirez de la vie qu’elle porte, le don sans réserve, la miséricorde (Hassadim).

Mais lorsque vous le frappez, vous faites s’écouler « les eaux de la discorde. » Et même si c’est de l’eau (le symbole de Bina, le don sans réserve), cette eau n’est pas de ce genre là (elle porte la force de Guévourot), elle est tombée sous l’influence de Malkhout. Telle est l’origine de tous les typhons, les inondations et les tsunamis. Toutes ces choses sont un reflet de la force de Bina contrôlée par Malkhout.

« Les gens » sont tous les désirs privés, et Moïse est la plus haute qualité qui a la capacité de recevoir l’eau de Bina en augmentant Malkhout vers elle, le désir de recevoir du plaisir. Mais Moïse voit qu’il n’y a pas assez de force pour soulever tous les autres désirs appelés «peuple» de leur état actuel et les pousser vers le degré de Bina avec lui. Et c’est pourquoi au lieu de s’élever à un degré supérieur et de « parler », il « frappe » la roche, ce qui signifie qu’au lieu de se connecter avec elle sur un plus haut niveau, «parlant», , il se connecte uniquement avec elle sur le niveau d’une «action».

Du côté de Moïse, il a été puni pour ce péché apparent. Mais nous devons comprendre que toutes les «punitions» décrites dans la Torah sont des corrections. Il était tout simplement incapable de le faire d’une toute autre manière, même s’il était clair pour lui que, à ce moment là il avait besoin d’atteindre le degré du « parler »: d’un certain niveau de connexion entre Malkhout et Bina.

Ceci est le résultat de sa révélation spirituelle, et il est appelé:  » Le Créateur lui dit  » Mais il est plus facile de le réaliser rapidement et correctement au niveau d’une action, et il ne voit pas d’autre occasion pour la correction.

C’est pourquoi Moïse a été contraint de «pécher», et sa correction est dans sa « punition » de ne pas recevoir la permission d’entrer en terre d’Israël. Il meurt quand il atteint la frontière réelle. Même s’il n’a pas été en mesure de le saisir (ce n’est pas son degré), il est appelé « un  fidèle berger » et le maximum qu’il puisse atteindre est Bina. Et d’autres continuèrent après lui.

Une frontière est la ligne où j’arrête mes actions du don sans réserve à cause du manque de force de l’intention. Cela m’oblige à arrêter et ne plus utiliser mon désir, je me limite.

Mourir signifie le manque de capacité à faire des actions dans le but du don sans réserve.
De la leçon sur la Torah portion hebdomadaire 27.06.2011