Daily Archives: 25 juillet 2011

Un affrontement entre le nouveau et l’ancien monde en moi

Dr. Michael LaitmanA l’intérieur de la tête de tous les degrés (Rosh) une collision se produit entre la Lumière et l’écran, ce qui signifie entre l’intention « en vue du don sans réserve» et le plaisir qui est directement senti à l’intérieur du désir de plaisir. Le plaisir direct est comme si je ressentais quelque chose de savoureux dans ma bouche, et ce goût est directement liée à mon désir.

Mais maintenant, je dois infliger un coup, ce qui signifie introduire un nouveau calcul, me tenir entre le plaisir et le désir qui sont ensemble à l’intérieur de moi. Je dois me tenir entre eux et leur donner une nouvelle forme de connexion, car sur les deux d’entre eux, je veux construire le Créateur afin qu’ils se traitent mutuellement avec le don sans réserve !

C’est ce qu’on appelle un coup (Hakaa) parce que je viens immédiatement contre cette connexion directe entre le plaisir et le désir. Et en vertu de cela, je construis la tête du  degré.

Le «visage» du Partsouf est la forme du don sans réserve qu’une personne a construit à partir des nouveaux rapports qu’elle veut établir entre le plaisir et le désir. Elle se tient entre eux et ne les laisse pas entrer en contact direct, car elle veut qu’ils s’apportent l’un à l’autre uniquement  sous la forme du  don sans réserve. Voilà comment on construit la forme du Partsouf spirituel.

En d’autres termes, la forme du Partsouf est construite sur la base des nouvelles relations entre le plaisir et le désir. Et après cela, le Partsouf ne veut pas accepter toutes les autres parties du plaisirs et des désirs qui ont été incapables de prendre la forme du don sans réserve, la forme du Créateur. Il s’avère qu’il est laissé avec un excès de désirs et de Lumières qui sont au-delà de ses calculs.

C’est alors que surgit un conflit entre cette forme directe restante, ce Partsouf distinct supplémentaire, dans lequel le désir et le plaisir sont connectés directement – et le nouveau,  le Partsouf saint qui a été construit, qui contient la bonne connexion entre le plaisir et le désir, la création d’un «visage». Et la personne ressent l’affrontement entre ces deux formes: entre la réception de tout pour elle-même, comme le Créateur le persuade de le faire, et la nouvelle forme du don sans réserve qu’elle vient de créer.

La collision mutuelle de ces deux forces est appelé «la collision des Lumières environnante et intérieure ».
De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale du  20/07/11, «Préface à la sagesse de la Kabbale »

Que laisserons-nous à nos enfants?

Dr. Michael LaitmanAvis: (M. Kravtchouk, U. Krasnov, V. Malinine, terrahumana.ru): Même une transition massive vers de nouvelles technologies sera à peine efficace si les utilisateurs de ces technologies ne changent pas leur attitude envers le monde autour d’eux et ne conviennent pas que le monde est un organisme unique, tandis qu’ils sont simplement des parties de ce monde.

L’homme a rompu l’équilibre général de la circulation matérielle dans la nature. La majorité des industries, des technologies et des inventions créées au cours des trois cents dernières années visent unilatéralement la consommation et la destruction et sont préjudiciables à la planète.

Dans ses activités, l’homme moderne s’est opposé à la nature et a acquis le sentiment qu’il l’avait conquise et qu’il était devenu le roi de la nature. Mais la nature affecte les gens par une série de boucles rétroactives. D’une année à l’autre, les dirigeants politiques du monde entier nous imposent l’idée que la civilisation moderne n’a pas d’alternative, et l’état actuel est le coût inévitable de notre vie confortable.

Les autorités affirment qu’elles fournissent au  monde de l’énergie, de la nourriture et de l’emploi, mais elles négligent le fait que l’utilisation de ces technologies laisse peu de chance de survie pour les enfants et petits-enfants de ces personnes. La question est: Qui a besoin de ces industries et de leurs produits s’ils mettent en danger l’avenir de l’humanité ? Reconnaître la crise mondiale n’est pas rentable pour le gouvernement et les entreprises, car ils ne peuvent pas la résoudre.

Mon commentaire: Les scientifiques voient la racine du problème dans l’opposition de l’homme à la nature, et la solution à la crise en remplaçant les instincts égoïstes par un principe spirituel. Mais la méthode de mise en œuvre n’est pas encore claire pour eux. Et dans leur nature, ils sont loin de sa réalisation pratique. L’opinion de la communauté scientifique mondiale doit s’organiser pour devenir large et puissante afin d’influencer les gouvernements (en haut) et les gens (en bas) pour que les gouvernements  transmettent les décisions sur l’éducation intégrale et globale de l’humanité.

L’humanité sans leadership

Avis: (Nouriel Roubini, professeur d’économie à la « Stern School of Business », Université de New York, président de « Roubini Global Economics », co-auteur du livre  « l’économie de la crise »): «Nous vivons dans un monde où, en théorie, l’économie mondiale et la gouvernance politique sont entre les mains des pays du G-20. En pratique, cependant, il n’y a pas de leadership mondial, mais un désarroi et des désaccords graves  armi les membres du G-20 sur la politique monétaire et budgétaire, les taux de change et les déséquilibres mondiaux, les changements climatiques, le commerce, la stabilité financière, le système monétaire international et l’énergie, la nourriture et la sécurité mondiale. En effet, les grandes puissances voient maintenant ces questions comme des jeux à somme nulle, plutôt que des jeux à somme positive. Alors que pour nous c’est par essence, un monde G-Zéro ….

«Il ya plusieurs raisons pour lesquelles le G-20 mondial est devenu un monde G-Zéro. Premièrement, lorsque la discussion va au-delà des principes génériques vers des propositions politiques détaillées, il est beaucoup plus difficile de parvenir à des accords clairs entre 20 négociateurs que parmi sept.

«Deuxièmement, les dirigeants du G-7 partagent une croyance dans le pouvoir des marchés libres à générer à long terme la prospérité et dans l’importance de la démocratie pour la stabilité politique et la justice sociale. Le G-20, d’autre part, comprend des gouvernements autocratiques avec des vues différentes sur le rôle de l’État dans l’économie, et sur la primauté du droit, les droits de propriété, la transparence et la liberté de parole.

« Troisièmement, les puissances occidentales n’ont actuellement pas le consensus politique national et les ressources financières pour faire avancer un agenda international ….

« Enfin, les puissances émergentes comme la Chine, l’Inde et le Brésil sont beaucoup trop axés sur la gestion de la prochaine étape de leur développement national pour supporter les coûts financiers et politiques qui viennent avec de nouvelles responsabilités internationales ….

« Pour la première fois depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, aucun pays ou alliance solide entre les pays n’a la volonté politique et de levier économique pour sécuriser ses objectifs sur la scène mondiale. Ce vide peut encourager, comme dans les précédentes périodes historiques, les ambitieux et les agressif à chercher leur propre avantage.

« Dans un tel monde, l’absence d’un accord de haut niveau sur la création d’un nouveau système de sécurité collective – axé sur l’économie plutôt que sur la puissance militaire – n’est pas seulement irresponsable, mais dangereux. Un monde G-Zéro sans leadership ni coopération multilatérale est un équilibre instable pour la prospérité économique et la sécurité mondiales ».

Mon commentaire: Pour gérer, il faut comprendre les causes du présent et les objectifs pour l’avenir. Les membres du G-20 n’ont ni l’un ni l’autre. Pour gérer le monde interconnecté intégralement, nous ne devrions pas être des individualistes égoïstes, mais devrions avoir les mêmes qualités intégrales que celles du monde d’aujourd’hui. Ensuite il est possible de ressentir le monde comme une partie intégrante et le gérer. Aujourd’hui, chacun a besoin de l’éducation intégrale, et les gouvernements en ont besoin d’abord.

L’aube dans la profondeur du désir

Dr. Michael LaitmanQuestion: Pourquoi dois-je révéler la haine à l’intérieur de moi envers l’ami? Est-il ainsi pour que je ne reçoive pas de plaisir personnel individuel du Créateur?

Réponse: Ce que vous ressentez envers l’ami n’est pas vraiment de la haine, mais plutôt le rejet ou l’antagonisme pour diverses raisons. Vous rejetez certainement la haine, et refusez d’accepter le Créateur dans la même mesure. Et cela vous donne une occasion pour la correction. Après tout, vous révéler un espace de travail, votre propre  «  zone de construction » C’est la seule façon pour nous d’avancer, nous n’avons pas d’autre endroit où travailler.

C’est ce qui différencie la science de la Kabbale de toutes les autres méthodes. On pourrait penser que cela traite de ​​certains sujets nobles, certaines sphères empyrées, tandis qu’en vérité il n’y a rien dans la Kabbale, sauf dans le groupe de travail avec les amis, un travail très simple et vrai.

L’humanité dans son ensemble aborde également ce besoin. Toutes les nations en auront besoin pour devenir un «groupe», sinon elles n’auront pas le droit d’exister. La Lumière supérieure constamment nous touche et nous conduit à ce point, et aujourd’hui, elle éclaire le désir d’une telle profondeur que nous devons comprendre que nous ne survivrons pas sans l’unité. A partir de maintenant notre vie ne dépend pas de l’économie et du commerce, comme au cours des 50 dernières années. Nous dépendons de plus en plus sur l’interconnexion humaine, nous devons unir nos âmes.

De cette manière, les Lumières touchent les récipients, pénétrant toujours plus profondément en eux et éclairant ce besoin. Que nous le voulions ou non n’est pas pertinent. Le moteur du générateur prend de la vitesse, l’illuminateur amplifie la luminosité des projecteurs, et leur éclat franchit les profondeurs de nos désirs.
De la 5ème partie du cours quotidien de Kabbale 10/07/2011, «Matan Torah (Le Don de la Torah) »

Une recette universelle pour la réussite

Dr. Michael LaitmanQuestion: Que peut faire une personne quand elle est incapable de se surpasser quand il y a des ragots et des insinuations dans le groupe?

Réponse: C’est un problème. Si nous sommes connectés au moins à une lettre de la sagesse de la Kabbale, tout ce qui se passe chez nous à partir de maintenant est seulement connecté à ses amis et à l’atteinte du Créateur dans le groupe. Il n’y a aucune autre cause pour les événements dans notre vie. Peu importe ce qui vous arrive, toutes les bonnes et les mauvaises choses vont de pair avec l’objectif. Vous êtes entrés sur une autoroute spirituelle.

Les gens dans le monde sont encore au stade où leur désir égoïste se développe. Cela va continuer jusqu’à ce qu’ils atteignent un point où le problème va se révéler à eux: soit une crise mondiale de l’interconnexion intégrée ou le point dans le cœur.

Cependant, nos échecs ne proviennent que d’un travail négligé négligent dans l’environnement. Et une fois encore, vous pouvez corriger tous les problèmes que dans l’environnement, seulement dans la connexion mutuelle avec les amis. Pourquoi est-ce ainsi? C’est parce que c’est de cette façon que vous réveillez la Lumière qui fait tout le travail. C’est la Lumière qui organise et détermine tout dans votre vie de votre santé physique au bien-être spirituel. Tout dépend de sa présence ou de son absence.

De cette façon, le travail en groupe est une méthode universelle qui vous permet d’atteindre le succès dans tout.

Question: Comment pouvons-nous faire en sorte que le groupe soit le seul territoire de notre travail? Comment pouvons-nous rester sur cette voie?

Réponse: Pour que chaque personne s’en souvienne et ressente son importance, il faut une opinion commune et une garantie mutuelle. Je dois m’assurer que je n’oublie pas que ma vie à tous ses niveaux et dans tous les détails ne dépend que du bien-être du groupe, de sa perfection.
De la 5ème partie du cours quotidien de Kabbale 10/07/2011, «Matan Torah (Le Don de la Torah) »

La garantie mutuelle sur un plateau d’argent

Dr. Michael LaitmanQuestion: Peut-on présenter la garantie mutuelle aux gens comme une garantie de sécurité?

Réponse: Probablement, oui. Si vous trouvez une connexion directe, compréhensible, qui assimile la garantie mutuelle à la sécurité, vous aurez l’occasion de vous adressez à la nation par l’appel à s’unir comme un seul homme dans un seul cœur, dans l’amour mutuel, au-dessus de toutes les différences entre nous.

Allez-y, agissez, mais à une condition qui est  indispensable: Vos paroles doivent convaincre les personne que l’on peut mettre un signe d’équation entre la garantie mutuelle et la sécurité. Essentiellement, notre promesse doit satisfaire un certain désir de leur part:
• garantie mutuelle = sécurité;
• garantie mutuelle = produits à bas prix;
• garantie mutuelle = liberté;
• garantie mutuelle = un bon environnement.

Ce n’est pas important ce que cela comprend en détails, mais l’idée que c’est identique doit être là. Ceci est la base de la publicité, l’effervescence, et l’approche des personnes

Ensuite, nous devrions étudier les besoins des différents milieux, que nous aimerions aborder et préparer en conséquence. Nous n’allons pas leur vendre un autre produit. Au contraire, nous leur remettrons un cadeau sur un plateau d’argent, une véritable «œuvre d’art. » Ce sera comme une formule spirituelle pour les bébés, et ils n’auront qu’à ouvrir la bouche. C’est ce qu’ils ont besoin de sentir: Pas besoin d’effort, juste recevoir un cadeau.

Vous commencez avec un petit quelque chose: «Nous allons regarder un film, visitez un site Internet, ou lire un livre. » Ce n’est même pas une action, c’est juste une participation passive. C’est autre chose d’appuyer sur un bouton: Ceci est un problème, c’est un travail difficile pour une personne. Par elle-même, elle voudrait garder le bouton appuyé toute la journée, mais quand vous lui offrez, en le faisant même une fois celadevient un sérieux défi.

Nous devrions tenir compte de la nature humaine et de l’utilisation des méthodes de présentation qui l’attire: films, spectacles, et chansons, tout ce qui peut devenir un emballage agréable pour notre message de sorte qu’il sera progressivement absorbé. Mais d’une manière ou d’une autre, le message doit être proche de l’homme et de ses désirs.

La diffusion est délicate, et nous devons devenir des experts en sa matière.

Un monde qui surgit de la dissimulation

Dr. Michael LaitmanQuestion: Comment  construisons-nous la dissimulation dans la période de préparation, et comment pouvons-nous dissimuler le Créateur si nous ne le sentons même pas ?

 

Réponse: Je vais répondre brièvement: tout ce travail est fait seulement avec les amis, dans le groupe. Les amis vous sont également cachés, et aucun de nous ne connaît le degré réel de l’autre. Le groupe, dans sa vraie forme, nous est aussi dissimulé, comme l’est l’enseignant.

Notre tâche est de construire la dissimulation, c’est-à-dire, pour finalement commencer à préciser que je perçois tout selon l’étendue de mon manque de correction. Par conséquent, j’ai besoin de faire des corrections à mon ego et de dépeindre  tout le monde comme le plus grand de sa génération, existant dans un état qui me dépasse. Je dois atteindre un état où j’ai énormément de respect pour la dissimulation, souhaitant changer grâce à elle mon attitude envers tous les autres.

C’est sur cet écran de dissimulation que je dois construire une nouvelle image du monde, et cette vue d’ensemble sera établie ou moulée à partir de l’importance que j’accorde à chaque phénomène. Si je fais cela, alors progressivement, je vais commencer à travailler contre mon ego et apprendre à percevoir le monde spirituel, c’est-à-dire dessiner l’image du monde spirituel. Après tout, il n’existe pas en dehors de moi, mais seulement à l’intérieur.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale du  21/07/2011,  article Shamati N°174

Approcher le monde avec la Lumière

Dr. Michael LaitmanQuestion: Si je tente d’orienter le monde vers l’objectif de la création, pourriez-vous dire que je donne la garantie aux gens ? Y-a-t-il une garantie unilatérale?

 

Réponse: Oui, vous faites avancer les gens. Ils ne peuvent pas encore montrer la réciprocité en retour. Néanmoins, c’est un progrès, et c’est très important.

Nous devons comprendre que notre mission est de faire progresser le monde, et notre progrès dépend de ses étapes. Bien sûr, cette dépendance n’est pas directe, mais faire avancer le monde nécessite des efforts sérieux. Nous ne faisons pas cela au détriment de nos efforts intérieurs ; mais nous ne serons pas en mesure de nous  développer intérieurement sans contribuer  au développement du monde.
Tout est arrangé sous la forme d’un système intégré. Moi, le groupe,  le monde, et le Créateur doivent être un complexe unique. C’est pourquoi nous avons besoin maintenant de nous soucier de tout le monde. Comme le Baal HaSoulam l’écrit, le monde entier est une seule famille et on ne peut rien faire. En se concentrant sur une gamme étroite, en restant dans une niche, nous ne pourrons pas atteindre le résultat souhaité.

D’autre part, en sortant dans le monde, nous devons être prudents parce que nous pouvons perdre nos principes et glisser dans une approche purement psychologique de «Soyons proches les uns des autres, soyons amis. » Non, ça ne marchera pas. Comme en Russie ou dans les kibboutzim (communautés) en Israël, ce sera une connexion dépourvue de force interne.

Une connexion nécessite la force qui nous unit, la Lumière supérieure. Vous devez vous adresser au monde avec des matériaux du Baal HaSoulam, pas nécessairement avec les textes, mais avec ces messages, avec ces principes. Peu à peu, petit à petit, vous devez expliquer aux gens que cela vient de la science de la Kabbale.
Le chemin est long, mais vous devez être clair sur cela dès maintenant. Vous devez être immergé dans la méthode, saturé. Si vous n’étudiez pas constamment les matériaux kabbalistiques, si vous ne les absorbez pas, en creusant plus profondément, vous allez seulement nourrir les personnes avec de belles paroles, du New Age ou de mysticisme. Vous-même, ne remarquerez pas comment vous allez glisser en bas.

Si une personne n’a pas consacré quelques heures par jour à des études sérieuses dans un groupe sérieux, si elle ne travaille pas sur cette question matin et soir, elle perd son chemin. Religions, croyances, traditions mystiques, et tout ce qui y ressemble vient de cette racine. Tout est venu de la Kabbale.

Par ailleurs, notre égoïsme, notre monde appellent à des concessions, en disant: «Cela ne vous coûte rien. Ajouter un peu ici. Changer un peu là. Vous risquez de manquer quelque chose, mais vous allez arriver aux gens ». Non, vous ne  toucherez pas les gens. Vous viendrez à eux sans vos points forts et sans une force spirituelle, déjà corrompus.

C’est un très gros problème. C’est pourquoi quand un enseignant s’en va, des groupes bons et solides perdent leur chemin, perdent de leur force et dépérissent.

De la 5ème partie du cours quotidien de Kabbale du 21/07/2011, «L’Arvout (Garantie mutuelle) »