Daily Archives: 2 septembre 2011

« Plus » et « moins » unis par le travail mutuel

Dr. Michael LaitmanDans notre monde l’amour et la haine sont deux différents sentiments contradictoires. Nous ne pouvons pas réunir ces deux opposés et nous ne comprenons pas que nous nous aimons parce que nous haïssons l’autre.

Mais dans le monde spirituel, ils sont un. Deux opposés s’unissent et il s’avère que j’aime et je déteste dans le même lieu, ce qui signifie la réception et le don sans réserve, ma séparation avec autrui et mon aspiration à lui, se produisent dans un seul endroit. Tout cela vient d’un état, d’un degré, mon état, dans lequel je ressens de la haine et de l’amour dans le même lieu. Je perçois ces deux opposés comme un tout.

C’est comme l’électricité, qui est impossible sans plus et ni moins. Dans le monde spirituel, un plus et un moins travaillent ensemble au-dessus d’une autre question, au-dessus de la conscience. D’un côté, il y a un moins, et d’autre part, un plus, et je suis au le milieu. Le monde spirituel est spécial car en lui, les opposés s’unissent!

Par conséquent, unissons-nous dans la garantie mutuelle, au-dessus de toutes les différences et les désaccords. Ce n’est pas grave avec quelle qualité chaque personne est née et de quelle façon elle pense. La chose la plus importante est de s’unir au-dessus de tout cela. C’est comme le travail est effectué par la foi au-dessus de la raison dans le monde spirituel,.

Avec cette approche, nous allons atteindre la spiritualité. Et puis, nous ne serons plus gênés par nos différences, mais nous les utiliserons pour révéler un plus grand degré d’unité.

De la 1ère partie de la leçon quotidienne de Kabbale 10/08/11, Shamati

Ne vous donnez pas un sentiment de culpabilité comme un voleur pris au piège

Dr. Michael LaitmanQuestion: Comment pouvons-nous apprendre à haïr notre mal encore plus que nous le faisons maintenant?

Réponse: Nous ne serons jamais capables de nous résoudre à détester notre propre mal ou d’aimer la bonté. Cette attitude ne peut être créée en nous que par la lumière que ramène vers le bien. C’est exactement l’action qu’Elle effectue.

Nous n’avons besoin de rien en dehors de la haine du mal. Nous allons construire tout le reste au-dessus. Et si nous arrivons à sentir une véritable haine pour le mal, que nous acquérons de la Lumière, alors nous faisons en sorte que cette haine soit correctement et immédiatement utiliser pour construire notre attitude face à la Lumière, à la bonté.

Je ne vais pas rester là ayant un sentiment de culpabilité, en se demandant pourquoi je suis si mal. Ce n’est pas nécessaire du tout, car dans ce cas, je suis tout simplement à l’intérieur de mon ego. C’est une mauvaise approche de l’aide de la révélation du mal-comme un voleur qui se donne un sentiment de culpabilité pour avoir volé une fois qu’il a été pris parce que maintenant il va souffrir de cela.

Une indication de la bonne évolution (avec l’aide de l’étude, le groupe, et la diffusion), c’est quand j’accepte la révélation du mal avec joie parce que c’est ce qui me permet d’avancer. Il y a une histoire à propos de Rabbi Akiva qui rit quand il a vu comment le Temple avait été détruit parce qu’il percevait cela comme un signe que la correction finale se rapprochait.

Après tout, rien n’est nécessaire en dehors de la révélation du mal. Si le mal devient révélé avec l’aide de la bonne préparation, et si elle est utilisée correctement, alors nous atteindrons immédiatement le bien.

Tout bien est construit sur la révélation du mal. Par conséquent, si une personne ne révèle pas le mal comme un voleur piégé qui n’a pas réussi à voler à cause de son égoïsme, mais révèle plutôt le mal dans son attitude envers les amis et le Créateur, puis dans cette révélation du mal, il se sent immédiatement en opposition, celui qui a révélé le mal, la Lumière qui ramène vers le bien. Il adhère immédiatement à la Lumière et, basé sur la révélation de ce mal, construit le commandement, ce qui signifie va de la conséquence à la cause.

 De la 1ère partie de la leçon quotidienne de Kabbale 10/08/11, Shamati

Le Créateur me Pousse, alors que l’environnement me rattrape

Dr. Michael LaitmanNous sommes toujours à la merci du Créateur, et Il nous comble, nous faisant sentir son Lui, soit son contraire. Ce sentiment peut revêtir une variété d’images différentes, mais en fait, il n’y a que deux états.

Si une personne tente de rester sans cesse dans cette évaluation du Créateur, tout en étant consciente qu’elle fonctionne seulement contre Lui, elle gagne du temps. Durant les montées et les descentes, pendant les périodes où elle fait l’éloge ou la critique du Créateur, L’aime ou L’accuse, la personne comprend alors, que tout ce temps elle était entre les mains de la force supérieure, qui soit la chasse hors du sentier, soit l’aide sur ce même chemin.

Ceci est considéré soit comme un succès, soit comme une transgression seulement du point de vue d’une personne. Pour le Créateur, tout est saint parce que tout est nécessaire pour la clarification des attributs du don, et qu’il n’y a rien de mal dans le processus qu’une personne vit.

Pourtant, vous devriez encore essayer de clarifier les choses rapidement et profondément. Vous devez jouer contre le Créateur de la même façon qu’Il joue avec vous afin d’égaliser ce match. Le Créateur vous élève ou vous abaisse, mais vous devez alors utiliser l’environnement de manière à adoucir les montées et les chutes, en lui (l’environnement) donnant et en recevant de lui.

Parmi ces montées et chutes, vous devriez utiliser l’environnement pour vous trouver une sorte d’état intermédiaire et ​​stable, qui ne changerait pas. C’est-à-dire, utiliser l’environnement comme un régulateur, un ressort, un générateur de puissance, qui vous aide à maintenir l’équilibre lors d’une ascension ou d’une descente. Vous utilisez l’environnement pour transférer, d’un état à l’autre, la force, les intentions et les désirs, quand vous êtes au plus bas ou au plus haut.

Ainsi, l’environnement fonctionne comme un redresseur de courant alternatif, et tous vos montées et vos descentes aboutiront à un seul état: la révélation du Créateur comme une force unique.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 22/08/2011, art. n°62 Shamati

Se familiariser avec le monde

Dr. Michael LaitmanQuestion : Si le Créateur n’existe pas en dehors, mais se révèle en nous, alors quelle est la lumière environnante ? Ne vient-elle pas de l’extérieur ?

Réponse : Il y a Malkhout du monde de l’Infini. En dehors de cela, il n’y a rien d’autre.

Une fois elle fut pleine de Lumière de l’Infini. Puis une restriction fut placée sur elle, et elle prit une forme différente une fois que la lumière de l’infini sortit. Puis la même Malkhout s’est manifestée sous la forme de mondes et d’âmes, c’est-à-dire de ses parties. Certaines d’entre elles se rapportent à des cercles externes, et d’autres à des cercles internes.

De même, dans notre monde les niveaux minéral, végétal, et d’animal de la nature représentent la partie externe, et le niveau humain ou parlant représente sa partie interne. Cela détermine également  le développement spirituel : l’homme est doté d’intention tandis que les autres parties de la nature ne font que mener des actions. Finalement, Malkhout de l’Infini arrive à son état final : la fin de la correction.

Ainsi, il existe de nombreux états, mais peu importe ce qu’ils peuvent être, ils sont tous imprégnés d’un seul désir et d’une seule lumière. Qu’est ce qui change, alors ? La prise de conscience, l’intention sur le désir. En d’autres termes, les changements se produisent seulement respectivement à l’attitude de la créature envers le Créateur ou le désir de la Lumière. Rien ne change sauf pour mon attitude, ma compréhension, ma perception ; ma connaissance du monde dans lequel je vis.

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale 26/08/2011, «un commandement»

Révéler la Shekhina entre nous

Dr. Michael LaitmanLe Zohar nous révèle la Shekhina (le lien entre nous) en décrivant les différentes situations tout en utilisant toutes les formes possibles, des images et des languages différents.

 

Si nous souhaitons nous connecter à ce que nous lisons, même sans comprendre ce que nous lisons, cela signifie que nous voulons arriver à connaître la matière apprise. Nous voulons être dans ce réseau qui relie toutes les âmes, qui révèle le Zohar. Nous voulons être parmi les âmes qui aspirent vers le Créateur dans la sainte Shekhina. «Saint» signifie que cette connexion agit  dans un désir de donner réciproque, une garantie mutuelle.

En lisant le Zohar et en souhaitant révéler la Shekhina entre nous, nous attirons la Lumière des états, qui nous sont cachés derrière les mots du Zohar, qui nous renvoie à notre source ; le Créateur.

De la 2ème partie du cours quotidien de la Kabbale 30/08/11, Le Zohar

HaVaYaH: Les phases de croissance de l’esprit et du cœur

Dr. Michael LaitmanToutes les différences et toutes les parties de la création en général sont contenues dans la division en quatre niveaux: minéral, végétal, animal et humain Une telle division est déduite des quatre phases de l’expansion de la Lumière Directe HaVaYaH, de la pointe de la lettre « Youd » et de « Yod-Hey-Vav-Hey», les phases de développement du désir, appelées Kéter, Hokhma, Bina, Zeir Anpin, et Malkhout.

Lorsque le développement atteint la dernière étape, Malkhout, elle commence à réagir à toutes les étapes situées avant elle, elle accomplit diverses actions, elle les accepte ou elle ne les accepte pas, elle est d’accord ou pas. Tout ce qui arrive encore s’est étendu à l’intérieur de Malkhout; elle ne peut pas changer ce qui s’est passé avant elle, les premières étapes, appelées les premières neuf Sefirot.

La totalité de la  science de la Kabbale est consacrée à la réaction de Malkhout (la création), à ce qui lui arrive. Si Malkhout ne sent rien et ne réalise rien, alors ce qui se passe est appelé le stade zéro. Quand elle reçoit seulement et commence à percevoir qu’elle comprend parfaitement le désir de recevoir, c’est la première étape, le niveau minéral.

Si elle sent qu’elle est dans le désir de recevoir, mais qu’elle n’est pas d’accord avec cela, alors c’est déjà le niveau végétal. Une plante a déjà sa propre opinion,  elle surmonte quelque chose, elle veut vivre sa vie. Mais elle ne peut pas encore effectuer ses propres mouvements, et elle ne comprend pas ses envies  internes.

Quand cela  commence à faire des mouvements par rapport à l’environnement, en essayant de ne pas en dépendre, et à se développer dans une direction en fonction de son caractère individuel, c’est déjà appelé le niveau animal. Et une telle personne diffère beaucoup de son environnement.

Le niveau suivant est quand quelqu’un commence à utiliser activement son désir de plaisir. Et puis il veut être individualiste, comme si le niveau végétal n’était pas d’accord pour obéir simplement aux ordres de sa nature, il cherche quelque chose de plus dans la vie. Il veut sortir des règles de l’environnement et se libérer de lui, comme le niveau animal. Et s’il veut aussi sortir d’être sous le contrôle du Créateur et devenir semblable à Lui, alors cela signifie qu’il a atteint le niveau humain.

Cependant, il est également possible de regarder le développement de ces phases de HaVaYaH d’un autre point de vue, de la façon dont la providence supérieure est révélée à la personne au dessus d’elle. Par ailleurs …

Si quelqu’un  est sous le plein contrôle du Créateur, cela signifie qu’il est complètement dans le don sans réserve, juste en ne s’en rendant pas compte. Toute personne dans le monde travaille à 100% pour le don sans réserve et travaille pour le Créateur.  Elle n’est opposée à rien et elle ne sait même pas qu’elle puisse résister. Elle agit en fonction de la façon dont le Créateur la contrôle, ce qui signifie qu’elle  est complètement dans le don sans réserve.

Puis, son égoïsme se développe et la personne commence à s’en rendre compte. Et puis elle comprend qu’elle est opposée à son Créateur. Et plus une personne se développe, plus son égoïsme se développe, c’est comme si  elle sortait du contrôle du Créateur et commençait à être en désaccord avec Lui. Bien sûr,  elle réalise tous les ordres d’en haut, mais la question est de savoir combien de ceci elle comprend, réalise et accepte.

Il s’avère que l’ensemble de notre jeu n’est pas dans les actions elles-mêmes, et non pas dans la façon dont nous disposons de nos vies, mais de voir si nous sommes d’accord ou pas avec les actions de l’Hôte au-dessus de nous.

Plus le désaccord est éveillé en une personne, plus elle a de revendications  envers le Créateur à propos de Ses règles, la plus grande étant la croissance de l’égoïsme. Et simultanément, avec cette opposition qui lui est révélée, elle a besoin de vouloir se corriger afin d’être à nouveau en accord avec Lui.

C’est pourquoi, «plus la personne est haute, plus grand est son égoïsme. » D’autre part, elle est déjà en train de réaliser des actions d’une personne mature et en vient à être semblable au Créateur et vers un accord avec Lui, s’abandonnant totalement au contrôle du Créateur, indépendamment de l’ensemble de la résistance de son égoïsme.

Ces phases de développement peuvent être vues dans notre désir de plaisir et le désir de donner sans réserve : HaVaYaH direct et opposé, ce qui signifie dans le désir et l’intention, l’esprit et le cœur. C’est ainsi que les niveaux de développement sont développés dans une personne. 

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale du 28/08/2011, Shamati

Les devoirs qui se font ensemble

Dr. Michael LaitmanBaal Ha Soulam: La Nation: …En observant la vie, nous voyons que le processus d’une nation ressemble vraiment à celui d’un particulier et le rôle de chacun dans la nation équivaut aux rôles des organes d’un corps. Ainsi dans le corps humain, les organes sont tenus de vivre en complète harmonie les uns avec les autres : les yeux voient, le cerveau avec leur aide pense et conseille alors que les mains travaillent ou luttent et les jambes marchent etc.… chacun se tient prêt et attend son rôle. Il en est de même pour les organes qui sont le corps de la nation : les conseillers, les employeurs, les travailleurs, les dirigeants etc.…doivent eux aussi agir entre eux en complète harmonie, pour que la nation ait une vie normale et une existence assurée.

 Comme la mort naturelle d’un individu est le résultat d’absence d’harmonie entre les organes, idem pour la nation, son déclin naturel résulte d’un obstacle précis dans ses membres, comme les sages en témoignent (Tossafot, Baba Metsia, chapitre 2) « Jérusalem fut détruite à cause de la haine gratuite existant à cette génération »

Il est évident que notre corps est capable d’une existence saine que si tous ses organes sont  reliés entre eux avec dévotion, où chaque organe connaît son rôle par rapport à l’ensemble du corps. Ensuite, l’organe fournit tout le corps avec ses travaux et toutes les substances, il donne et reçoit en pleine harmonie, selon des lois correctes et la correspondance entre eux.

C’est clair pour tout le monde. Cependant, nous ne réalisons  toujours pas que cette loi fonctionne  à  l’échelle de toute la création, de  l’univers entier. Même si des explosions ou des émissions ne se produisent que dans certaines parties du corps, en définitive, tout  forme ensemble un grand système vivant. Ainsi, il est fort possible que l’univers entier vive  en harmonie, tout comme un organisme, et c’est seulement nous qui ne le comprenons pas !

Une société humaine doit vivre de la même manière. Petit à petit, nous nous rapprochons du fait de réaliser qu’un certain processus nous conduit à une forte connexion et  à une  dépendance les uns envers les autres. Nous avons juste besoin de clarifier ce qu’il y a dans cette interdépendance, croissante et de plus en plus évidente,  que la connexion dépend de nous et de  ce qui est mis sur la nature.

La nature est constamment en train de nous révéler  notre interdépendance, et notre tâche est de  lui répondre : en se connectant  correctement. C’est comme la façon dont une vie régulière nous joue des tours en nous donnant des problèmes et des exercices, en nous poussant, en  exigeant le changement, pendant qu’en réponse nous devons changer, faire tous les exercices, et nous adapter à ce monde.

C’est ce qui se passe de nos jours. Nous n’avons pas d’autre choix que de comprendre que la nature nous offre une nouvelle forme de relations, que nous ne pouvons discerner encore. C’est pourquoi il est important de décider comment l’accepter et faire correctement l’exercice que nous avons reçus aujourd’hui. 

De la 4e partie du  cours quotidien de Kabbale du 17/08/2011, « La Nation »

La solution pour l’économie n’est pas un conte de fées

Dr. Michael LaitmanAvis: (Professeur d’économie comportementale Ariely Dan ,de l’université  de Duke): « les sentiments des boyaux sont souvent mauvais …. Parce que si vous y pensez, les conditions dans lesquelles vous pourriez développer de bonnes intuitions par le ventre sont les conditions dans lesquelles vous faites les mêmes choses encore et encore avec de très petits changements, et où vous voyez un effet immédiat. … Beaucoup de ce qui se passe dans le marché n’a aucun lien avec ce que vous avez fait, et on fait tellement  de bruit en cela  que c’est vraiment difficile pour l’être humain d’ observer le marché et de comprendre la relation entre ce que vous avez fait, ce que font les entreprises, et ce qui  se passe .

«Vous savez c’est comme  tous ces programmes quand les gens viennent le jour après que quelque chose se soit passé et … disent : «. Oh, je le  savais ;  voici l’histoire, et voici pourquoi » Vous avez tous ces experts qui vous donnent une explication de ce qui s’est passé hier. Bien sûr, la question est de savoir s’ils peuvent prédire ce qui arrivera demain, et ils ne s’aventurent  pas parce qu’ils savent qu’ils ne peuvent pas.

«Nous avons fait une expérience dans laquelle nous avons pris quelques événements dans un marché boursier: les actions d’IBM ont augmenté,  les actions d’IBM sont descendues, etc., et nous avons créé des experts informatiques … qui [parfois] ont donné l’explication standard, mais parfois ont donné l’explication contraire. Ensuite, nous avons demandé aux gens combien ils faisaient confiance à ces pontes … et seraient-ils prêts à investir dans la prochaine période en fonction de leurs conseils.

« Il s’avère que peu importe la nature des explications, tant qu’ils ont donné une explication, les gens les ont suivis. Je pense que cela vient de notre grand désir  en tant qu’individus à nous raconter une histoire qui explique ce qui se passe. »

Mon commentaire: En d’autres termes, peu importe ce que sont les causes des événements ; nous avons juste besoin d’une histoire, qu’elle soit valide ou non. Cela nous réconforte, comme à un enfant dans les bras de sa mère qui veut un conte de fée juste parce qu’il l’entend de la mère. Nous sommes à la recherche d’un réconfort, pas d’une explication! Mais cela ne résout pas l’économie !