Pas pour moi, mais pour autrui

Dr. Michael LaitmanSupposons que j’aie voulu voler quelque chose et que j’aie souffert parce que je ne savais pas comment le faire : «Pourquoi n’ai-je pas réussir? Où puis-je apprendre l’art de voler ? «  Puis, sous l’influence d’un bon environnement, je réalise que mon désir est mauvais. Ainsi, je me trouve dans un état de dissimulation, je ne suis pas d’accord avec mon propre attribut. Ma bonne image, celle du « bon gars » corrigé, m’est cachée. « Comment puis-je être respecté par les autres et par moi-même, et ne pas me réprimander tout le temps ? » Ainsi, je progresse et en apprend davantage sur les formes de dissimulation. Dès que je peux voir mon image parfaite, même si je la vois encore grossièrement mon désir crée une prière. Que je le veuille ou non, la prière se dégage de mon cœur et j’acquière la forme désirée. « Ca y est; je ne veux plus voler ! Je n’ai besoin de rien. « Et ainsi je suis comblé.

Et c’est la Lumière. Jusqu’à présent, c’était la Lumière de Hassadim, et même si elle est beaucoup plus faible que la lumière de Hokhma, je la préfère maintenant parce qu’elle a une autre qualité : J’aime ressembler au Créateur.

Puis vient la phase suivante de la correction : Si je n’ai besoin de rien, puis-je donner aux autres ? Alors, je me mets au travail. Il se divise en plusieurs parties. Je dois d’abord savoir qui j’ai volé afin de rembourser la «dette». Ensuite, je découvre que j’ai volé tout le monde.

Mais dans l’ensemble, je commence à apprécier le fait que je sois devenu équivalent au Créateur. Je remplis tout le monde avec la Lumière de Hokhma et tel est le niveau de ma ressemblance avec le Créateur.

De la 3ème partie du cours quotidien de Kabbale 19/01/12, «L’étude des dix Sefirot »

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