Daily Archives: 20 février 2012

Ne jouez pas avec le feu

Dr. Michael LaitmanLe Baal HaSoulam, « Introduction à l’étude des dix Sefirot, » Point 97: Pour cette raison, nos sages nous ont avertis dans de nombreux cas sur la condition nécessaire à la pratique de la Torah, qu’elle serait spécifiquement Lishma, d’une manière que l’on nous attribuera vie grâce à elle, car elle est une Torah de vie, et c’est pourquoi elle nous a été donné, comme il est écrit, « Choisis donc la vie. »

Il s’agit d’une condition très importante et je dirais une condition très effrayante. Il y a un avertissement très sérieux dans ce qu’il est interdit d’utiliser la Torah, ce qui signifie la méthode de la Kabbale, dans le mauvais sens. Après tout, il y a la Lumière dans tous les livres de Kabbale, et si une personne l’utilise à contre sens, au lieu de la potion de vie, il reçoit la potion de la mort. C’est une arme très puissante qui est comme un rayonnement qui peut être utilisé avantageusement dans les différentes techniques et dans la médecine, mais qui peut aussi tuer. Trop de Feu peut être destructeur, d’une part tandis que de l’autre, il peut nous aider et nous réchauffer.

La puissance de la Lumière est la plus grande puissance dans la nature. Nous devons savoir comment l’utiliser. Par conséquent, les premiers sages interdisaient l’enseignement de la sagesse de la Kabbale à tout le monde, sauf pour ceux qui avaient l’intention altruiste de Lishma (don sans réserve).

Mais comment peut-on passer à cette intention? Il y a plusieurs conditions préalables ici.

Sur le plan humain en général, les gens n’ont pas besoin d’étudier la méthode de la Kabbale. Mais parfois, la question se pose: « Quel est le sens de la vie? », Puis je me tourne vers la Kabbale. Puis une autre question se pose: « Qui suis-je l’étudier, est-ce dans le but égocentrique pour me sentir bien ou pour que je puisse parvenir à Lishma?

Dans un premier temps une personne veut savoir quel est le sens de la vie. Elle ne sait pas beaucoup plus sur les intentions pour le moment. Le Baal HaSoulam dit que seule l’intention de Lishma, qui est en vue de donner sans réserve, est la condition qui permet d’enseigner à une personne la méthode de la Kabbale. Dans un tel cas, il ne fait aucun doute qu’elle va étudier correctement. Bien que personne ne commence à partir de ce niveau, elle devrait l’atteindre!

Par conséquent, une personne doit se joindre à un groupe où elle trouve un enseignant et les livres. Si tous ces facteurs sont réunis correctement, alors même si une personne n’est pas encore digne, elle peut être autorisé à se connecter avec la méthode de la Kabbale, qui peut alors l’amener à l’intention de Lishma.

Donc il doit y avoir un cadre très clair: les amis, un enseignant, et l’étude. Ensuite, une personne n’aura pas de confusions et ne s’écartera pas de la bonne voie. Sinon, « l’élixir de vie » va devenir la « potion de la mort » pour elle.

En ce qui concerne le reste de l’humanité, elle ne se sent pas la nécessité pour cela. Abraham en son temps a donné aux fils des concubines « cadeaux », qui étaient les pratiques de l’Est qui correspondaient à leur niveau de développement. Il les a ensuite envoyés à l’Est de faire ces choses que nous appelons aujourd’hui «New Age».

De là, nous devons comprendre comment les choses se sont développées. À la suite de l’éclatement, la Torah a été diffusée parmi tous les peuples et est resté avec le peuple d’Israël. Mais quel genre de Torah est-ce? Comment la méthode de la Kabbale peut-elle être étudiée lors de l’exil, dans l’intention égoïste?

Enfin, depuis que nous sommes en exil, nous n’avons pas eu la vraie Torah, mais son « prototype. » Nous continuons à appeler les livres kabbalistiques « livres saints », mais il n’y a pas de lumière dans cette Torah. Rabbi ‘Haïm Vital a écrit à ce sujet de même que le Baal HaSoulam.

Mais si une personne a besoin de la Torah, afin de passer à l’intention de Lishma, elle est attirée vers la sagesse de la Kabbale dans laquelle il n’y a vraiment la Lumière qui ramène vers le bien. Il a été interdit d’utiliser cette sagesse pendant le temps de l’exil afin de ne pas porter la Lumière à une personne avec la possibilité qu’elle devienne la potion de mort pour elle.

Ce n’est que maintenant, quand nous avons atteint l’éclatement général et la dernière couche de la volonté égoïste que nous pouvons découvrir la sagesse de la Kabbale et l’étudier. Le Baal HaSoulam a écrit à ce sujet dans les articles « Le temps d’agir », «Le Shofar du Messie, » et dans d’autres articles. Il s’agit de cette partie de la Torah qui transmet la Lumière qui ramène vers le bien. Notre génération est déjà dans les « jours du Messie » quand nous devons  utiliser cette méthode.

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale 15/02/12 e, « Introduction à l’étude des dix Sefirot »

Le désir pour un manque

Dr. Michael LaitmanDans le but d’acquérir l’attribut de l’amour et du don sans réserve, nous devons subir une certaine préparation. Nous devons nous rassembler, nous influencer, nous encourager, nous stimuler les uns les autres à l’activité, c’est ainsi, tout faire pour que la Lumière commence à nous réveiller selon la façon dont nous nous éveillons les uns des autres. C’est possible.

Et pour cela nous avons besoin d’un grand manque du don sans réserve, d’amour. Il doit y avoir un désir pour ce manque, ce qui signifie le désir d’une carence. C’est ce qu’on appelle « une prière avant une prière. »

C’est un peu méconnu dans notre monde puisque nous désirons généralement lla satisfacton, et ici la s atisfaction est le manque. Cela signifie que si je veux donner sans réserve et aimer, ca me suffit.

Imaginez-vous que vous aimez quelqu’un. Que vous apporte la satisfaction? C’est votre relation à votre bien-aimé, et c’est assez pour vous, elle vous remplit. Et c’est l’attribut du monde spirituel, l’attribut du don sans réserve don, l’attribut de l’amour. Ainsi, le désir d’obtenir un manque pour le don sans réserve, le désir d’obtenir un manque d’amour, est, en fait, notre préparation pour la convention.

De la conférence sur la Journée de l’Unité « ‘acquérir une volonté de donner » 29/01/2012

Mon pays est ma famille

Dr. Michael LaitmanQuestion: Comment pouvons-nous atteindre l’unité dans un monde  tellement diversifié?

Réponse: Il doit y avoir un nouveau principe ici: l’unité au-dessus de toutes les différences. Nous ne cherchons pas à corriger les différences entre nous ou pour approfondir dans les détails des courants différents, des parties différentes, ou toute autre différence. Il peut y avoir de nombreux peuples et de nombreuses cultures dans un même état, et cela ne devrait pas nous déranger. L’histoire européenne, par exemple, est pleine de guerres, de haine et de doléances réciproques qui existent depuis des siècles. Mais par-dessus toutes les différences et les conflits, nous ouvrons un parapluie de l’unité. Nous savons que nous sommes tous différents, et nous travaillons sur un très haut niveau.

Il devrait y avoir une approche systématique, au niveau d’un plan national: Nous avons abattu les frontières de haut en bas et peu à peu nous parvenons à une répartition juste et équitable des ressources. Même si cela arrive dans deux cents ans à partir de maintenant-ce n’est pas grave. La chose principale est que le processus ait commencé. D’abord, nous devons élever tous les pauvres au-dessus du seuil de pauvreté. Soucions-nous de cela.

L’éducation est nécessaire ici. Si nous commençons à préserver à l’échelle nationale tout comme nous préservons à la maison, nous n’aurons pas besoin de plus que cela. Il suffira de soulever tout le monde au-dessus de la pauvreté. En ce qui concerne les ressources économiques, il existe des données très intéressantes: par exemple 17% de la nourriture produite est jetée tout en restant dans les emballages d’origine.

Donc, tout est une question d’attitude: Si nous fournissons un « parapluie » général, alors il y aura un peu d’ordre. Nous devons seulement changer notre attitude: La nation est la famille. Dans la famille je préserve, je me préoccupe, je garde, je soutiens, je concède … voilà comment nous devrions vivre au niveau national, mais sans l’isolement et les parasites, sans déchets et sans protectionnisme. Tout le monde est égal, et tout le monde se connecte à la ligne commune.

Question: Est-ce que cette connexion peut démarrer en Israël?

Réponse: Non seulement elle peut commencer ici, mais elle le doit.

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale 16/02/12, « Introduction à l’étude des dix Sefirot »

Conclusion de la première leçon

Dr. Michael LaitmanJusqu’à présent, ce n’est que le début. Pour conclure notre première leçon, nous devons tous être d’accord que nous existons dans la nature. Nous pouvons l’imaginer comme une sphère fermée, un cercle, à l’intérieur duquel nous vivons. Des lois absolues opèrent à l’intérieur de cette sphère, et elles nous gouvernent.

Nous découvrons une partie de ces lois alors que nous évaluons la nature, et que nous l’appelons la science. Mais sans aucun doute 99,9% de ces lois demeurent inconnues; nous ne sommes pas encore en mesure de les révéler.

Habituellement, la connaissance des lois de la nature nous aide à avoir une vie meilleure. Regardez toutes les choses utiles dans votre maison: la télévision, Internet, une machine à laver et un sèche-linge;  vous avez tout cela. Comparer le confort de votre vie par rapport à une personne qui vit dans un petit village oublié, qui va chercher son eau au puits, fait sa cuisine sur le feu, et lave ses vêtements dans une bassine.

Nous faisons toutes ces choses en quelques secondes, sans aucun effort. Au lieu d’un puits, j’ai un robinet dans le mur, tout le confort à la maison, ce qui m’aide à exister sans trop d’effort. De cette façon, je  peux vivre sans faire beaucoup de travail supplémentaire, comme c’était nécessaire avant pour gérer la vie rurale.

En d’autres termes, notre développement libère une personne pour faire d’autres choses, des choses qui sont loin de fournir les nécessités de la vie. Mais la question est, pourquoi, après avoir atteint un tel point, la vie est-elle  devenue si cruelle, si vide, et nous conduit à désespérer, en nous inculquant l’incertitude, la peur et l’anxiété ?

Qu’avons-nous fait avec le temps libéré par le développement technologique et social qui pourrait créer un tel ajout merveilleux à nos vies? Au lieu d’une vie rurale calme et paisible, bien que physiquement difficile, nous avons atterri dans une jungle moderne.

Pourquoi perdons-nous l’énergie et le temps libéré par le développement de la technologie en nous faisant une telle vie difficile et compliquée ? Peut-être qu’il est temps d’arrêter? Peut-être que maintenant il est temps de passer à une vie totalement différente: comme de quitter à nouveau notre village pour une nouvelle vie plus attrayante.

Nous avons besoin de fournir deux heures de travail pour les besoins de notre existence, les choses que nous avions besoin de fournir de retour  au village, et consacrons le reste de notre temps à l’âme, nous allons lui donner autre chose à faire! Peut-être que nous parviendrons à corriger nos vies de cette façon?

Je termine notre première conversation avec cette question …

De KabTV «Une nouvelles vie »  Episode 1, 27/12/11

Conférences à Pékin: « Les trois pommes qui ont changé le monde»

Lecture in BeijingUne série de conférences d’introduction à la sagesse de la Kabbale  débute à Pékin. Les conférences, « Les trois pommes qui ont changé le monde », sont organisées par nos amis chinois en collaboration avec la librairie Kubrick  (Hong Kong). La première conférence aura lieu le dimanche 19 février  2012,  de 9h à 11h (IST).

La série est composée de trois conférences:

1. La  première pomme: quelle est la force cachée qui a conduit à l’énorme succès de Steve Jobs et d’Apple, ainsi que la tendance du développement social à la lumière de la Kabbale?

2. La deuxième pomme: de Newton à Einstein, à la physique quantique et à la Kabbale: le mystère de la perception de la réalité.

3. La troisième pomme d’Adam et Eve: quel est le vrai sens de l’Arbre de la Connaissance du Bien et du Mal?

Information sur les conférences: Ici .