Daily Archives: 1 mars 2012

Un tournant spirituel

Dr. Michael LaitmanQuestion: Un embryon dans l’utérus d’une mère se transforme à la suite de l’activation des instincts physiologiques. Mais comment un changement psychologique se produit-il ? Comment ce mécanisme fonctionne-t-il ?

Réponse: Tout d’abord, quand un embryon naît, il y a une pression à la fois du côté de la mère (les forces de la poussée, appelées contractions) et  aussi du côté de l’embryon. Il contribue également à ce processus d’une certaine manière et avance.

La naissance est un processus très sérieux  et compliqué, je dirais même que c’est un peu tragique et menaçant à la fois pour la mère et l’enfant. De même, il doit y avoir certaines forces très sérieuses qui poussent dans notre cas, et la nature en a pris soin en nous poussant avec différentes crises: de la famille, de l’identité, sociale, économique, écologique, et ainsi de suite à travers  tout ce que nous faisons, c’est-à- dire tout ce qui fait notre matrice.

Dans notre monde actuel, tout est progressivement arrangé contre nous. Ce sont les forces qui poussent, les contractions de l’accouchement.

Elles ne sont pas encore aussi fortes qu’elles pourraient l’être, mais leur point culminant se trouve à proximité. Nous observons cela  à propos de toutes les crises, et maintenant à propos du développement de la dernière crise économique, qui est  littéralement en train de menacer nos vies. Donc, d’une part, nous approchons déjà de la dernière étape, nous sommes près de naître.

D’autre part, nous ne sentons pas à l’aise dans notre état actuel. Nous plongeons dans la drogue, la dépression, et différents problèmes. Nous ne nous sentons pas calmes ou à l’aise à l’intérieur. Ce n’est pas seulement le monde qui nous entoure qui est comme ça, mais nous ne sommes pas en mesure de trouver la paix. Rien ne changera, pas même si le monde  était  tout simplement devenu indifférent pendant un moment: il y a de nombreux conflits et des pressions à l’intérieur de nous, que nous voulons fuir, mais nous en sommes incapables.

Si nous intégrons et rassemblons ces conflits intérieurs et les pressions en une force unique entre nous, nous allons ensuite ajouter nos propres efforts à la poussée maternelle, et bien sûr nous naîtrons sur un nouveau niveau, celui de «l’Homme» ou «Adam». Tout ceci peut être atténué, sans « sages-femmes»  ni «obstétriciens», mais en utilisant les pouvoirs utiles de la société: l’opinion sociale, l’influence sociale, et la pression.

Cela se produit lorsque nous nous réunissons ensemble dans cette image unifiée qui doit naître, tandis qu’à l’extérieur notre société travaille sur comment intégrer, relier, discuter, expliquer, et identifier toutes ces forces qui nous entourent. Ensuite, une personne commence à comprendre ce processus à l’intérieur d’elle-même. Cela se rapporte également à l’éducation, lorsque nous discutons de nos actions, de l’histoire, du but et de la finalité de tous les conflits, quand nous examinons non seulement leur cause, mais leur sens: pour nous amener à un état où nous sommes tous comme un seul embryon dans une seule mère- nature, qui nous pousse en dehors de cet état vers le prochain niveau. La Nature souhaite la naissance de cet embryon, et elle a besoin qu’on l’aide à le faire.

Aider la nature est fondamental pour nous. La nature divise notre naissance, soit en une naissance tragique ou en une bonne et facile naissance, qui est appelée venir avec les eaux maternelles. Que sont les «eaux »? L’eau est une action apaisante. Lorsque nous aspirons volontiers à  cela, nous pouvons facilement traverser le « Rubicon », un changement naturel, spirituel, et psychologique.

Question: Est-ce qu’une personne apporte sa contribution au processus de la naissance spirituelle, comme dans le cas d’un embryon, en participant activement au sein du groupe de l’éducation intégrale?

Réponse: Bien sûr, cela doit être un groupe parce que le groupe représente l’embryon! Une personne n’est pas un embryon (il ne peut pas  naître), un embryon est spécifiquement une connexion intégrale entre les gens quand on les prépare à la naissance.

D’abord des petits groupes se forment, puis de plus grands, puis de nombreux groupes apparaissent. Quand ils commencent à se comprendre les uns les autres, ils deviennent comme une personne dans un groupe, et par rapport à d’autres groupes chaque groupe représente également un seul individu. De cette façon, ils se réunissent: comme les cellules dans les organes et les organes en un seul corps. 

D’une «Discussion sur l’éducation intégrale » N°9, 15.12.11

L’amour au-delà de l’infini

Dr. Michael LaitmanQuestion : Avons-nous besoin d’ajouter de nous-mêmes plus d’amour à chaque degré spirituel, et si oui, comment cela se réalise-t-il ?

Réponse : Ces degrés sont encore loin de nous, mais au début nous recevons les désirs (les outils) pour cette grâce de notre élévation au-dessus de notre ego et pour essayer de se connecter au groupe, les amis, et pour atteindre la garantie mutuelle et l’adhésion.

Ainsi nous construisons des récipients qui peuvent transcender notre calcul privé. J’essaie d’effectuer un calcul général, en essayant de ressentir comment une autre personne peut être plus importante pour moi que moi-même. Ce sont déjà les premiers pas vers l’amour.

Grâce à ces étapes, nous construisons d’abord en nous une capacité d’aimer, en commençant par le désir de tout simplement ressentir l’autre. Ensuite, nous voulons ressentir l’autre comme nous-mêmes, puis le sentir plus que soi-même, commencer à vivre en lui, vouloir le combler. Nous arrivons ainsi à un état ​​où la Lumière de Hassidim (Miséricorde) remplit tout notre Kli, et donc nous arrivons à l’amour.

Nous commençons à recevoir les désirs de l’autre (AHP) et à travailler avec eux afin que le remplissage de l’autre devienne notre seule préoccupation. De cette manière, nous arrivons à la dévotion totale et à l’amour absolu.

Lorsque nous sommes dans l’amour absolu, nous recherchons constamment quoi d’autre peut être ajouté. Quand nous atteignons un certain degré, le Créateur nous révèle des espaces de plus en plus vides, c’est-à-dire, des degrés de plus en plus hauts. Mais quand nous arrivons à l’amour complet dans le monde de l’Infini, il nous semble que, faisant suite à l’amour mutuel complet et à l’absence de manque, une nouvelle dimension s’ouvre pour nous au-delà du niveau du monde de l’Infini. C’est déjà la transition au-delà des limites de l’amour.

En effet, selon notre entendement et notre raison, l’amour absolu ne peut pas exister. S’il n’y a seulement que le  blanc ou le noir, la créature perd ses sensations. C’est ce qui arrive à un fils qui ressent l’amour absolu de son père. Il n’a rien à atteindre, rien sur quoi travailler, il n’y a pas d’espace vide qu’il doive remplir s’il estime qu’aucune action de sa part, même la pire ou la meilleur, puisse changer l’attitude de son père envers lui.

C’est le problème. Après tout, à chaque fois il doit ressentir une certaine réponse. Dans cette interaction du don et de la réception, il se perçoit. Sinon, il ne sentirait rien. Son père, par son amour infini, annule le fils. C’est pourquoi le Créateur se dissimule Lui-même.

Et comment il en sera à la fin de la correction, nous ne pouvons pas le dire aujourd’hui. De toute évidence, un nouvel espace sera découvert, dans lequel la créature s’élèvera vers une certaine forme d’existence supérieure. Cela va se passer après l’adhésion au Créateur et à l’amour absolu, après avoir senti le Créateur pleinement.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale du 13/02/2012, Écrits du Baal HaSoulam

A la croisée des chemins

Dr. Michael LaitmanQuestion : Vous avez dit que nous ne devrions pas établir de lois et ne devrions rien changer dans les systèmes existants aujourd’hui dans la société humaine, mais nous ne devrions que nous concentrer sur une seule chose, pour que tout, ce que nous fassions, soit pour le bien de l’humanité entière ?
Réponse : Dans un premier temps, ce peut être au profit d’un petit cercle : d’abord, pour le bien du groupe, puis du pays, puis du monde entier ; cela se produit graduellement, alors que l’humanité se développe.

Toutefois, faites attention à ne contraindre personne ! Tout arrive selon le degré de notre développement. Nous ne créerons pas ici le KGB comme l’a fait la Russie, où ils tentèrent de construire une société juste par la contrainte. Nous réalisons des changements dans la personne, qui les voit comme une nécessité pour progresser. Nous n’avons pas le choix. Soit nous nous rapprochons d’une guerre atomique et de la destruction complète du monde (même si aujourd’hui il est déjà en train de sombrer sans guerres), ou nous changeons nous-mêmes en bien ! Il n’y a que deux voies, et nous sommes à la croisée des chemins.

De KabTV «Une nouvelle vie » Episode 8, 05.01.12

Le plus important est notre connexion

Dr. Michael LaitmanQuestion : Comment puis-je vérifier que je renforcer ma connexion avec les amis pendant le cours ?

Réponse : Tout d’abord, c’est le plus important. Notre gain spirituel augmente, lorsque l’on ne cesse de renforcer davantage le lien, atteint lors du dernier congrès d’Arava. Vous devez ajouter de nouveaux efforts à ce que vous avez ressenti là-bas. La Lumière qui corrige vient, quand pendant les leçons, nous écoutons le récit sur ​​le système spirituel dans son ensemble et sur ​​sa structure. Cependant, l’inspiration émotionnelle est plus élevée pendant les actions réciproques d’union. C’est pourquoi nous devons nous connecter les uns avec les autres.
Dans tous les cas, nous devons nous sentir comme si nous étions ensemble à la leçon. Même si nous nous haïssons les uns des autres, comme les amis du groupe de Rabbi Shimon, nous ressentons néanmoins l’état de notre interconnexion.

Question : Une certaine image peut apparaître en moi, mais comment puis-je la transformer en un bien commun et en récompense ?

Réponse : Le groupe, le système, et mon attitude envers mes amis, tout doit fusionner en un seul, tout doit devenir une seule image, en dehors de laquelle rien d’autre n’existe. Jusqu’à ce que vous vous concentriez sur elle, la cible ne sera pas dans votre viseur. Cependant, vous devez travailler à renforcer l’interconnexion, même au détriment de la compréhension du sujet. C’est la différence entre avoir de la sagesse et agir intelligemment.

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale du 28/2/2012, Questions et réponses

Une tête dans une fière solitude

Dr. Michael LaitmanQuestion : En quoi l’importance de notre unité influence le reste du monde ? Pourquoi l’intention correcte ne suffit-elle pas ? Pourquoi avons-nous aussi besoin de diffuser physiquement ? Quel mécanisme réveille les gens à qui nous nous adressons ?

Réponse : Nous sommes dans un système commun composé de cinq « couches » d’Aviout (l’épaisseur du désir).

Dans l’ensemble, notre monde appartient au degré zéro ou racine de l’Aviout, plus précisément, sa partie rudimentaire. Dans le langage de la Kabbale c’est ce qu’on appelle la racine de la racine de la racine, ou Malkhout à l’intérieur de Malkhout à l’intérieur de Malkhout du monde d’Assiya. Son désir est perçu sous forme de matière, qui existe en dessous de la vitesse de la lumière.

Le phénomène électromagnétique, la gravité, la physique et la chimie, la biologie et la zoologie, et la matière que nous percevons et reconnaissons, tout cela est essentiellement un désir du plus bas degré, séparé de la Lumière qui le régit. Du point de vue de la personne qui atteint, il n’y a pas de Lumière dans ce désir.

C’est pourquoi je travaille avec la matière. Après tout, une personne faire avec ce qu’elle voit devant elle. Et devant moi, il y a une nature minérale, végétale, animale et humaine du monde matériel, accessible à mes cinq sens. C’est de là que nous commençons : pas seulement de loin ou d’un point neutre, mais à partir d’une place opposée.

La matière du désir descend jusqu’à Malkhout du monde d’Assiya et poursuit son voyage vers le bas, dans la zone égoïste du spectre. Les 125 degrés de descente ne sont apparemment pas suffisants, nous descendons même plus loin dans les cinq couches de l’égoïsme.

Et le plus bas n’est pas n’importe qui, c’est Israël. Il était à la hauteur du don, et c’est pourquoi il est tombé au fin fond. D’un côté, Israël est « la plus petite des nations », mais de l’autre, il a «la nuque raide», c’est-à-dire le plus égoïste. Par conséquent, il éprouve le plus de maux, il est le plus loin, mais en même temps il est capable d’utiliser ce monde mieux que les autres.

Puis, la Lumière provoque des « vibrations » et influence fortement Israël, et ce dernier commence alors à se réveiller. Mais revenir n’est pas moins facile, surtout compte tenu du brassage qui a eu lieu au cours des milliers d’années et qui doit également être pris en considération.

« Pourquoi avons-nous besoin de nous soucier des autres ? » On me demande. « Pourquoi avons-nous besoin de ce lien avec le monde? Ne serait-il pas mieux nous soucier de nous-mêmes ?  »
Où avez-vous vu une tête dans une fière solitude? Pourquoi en avez-vous besoin, si ce n’est pas dans l’intérêt du corps ? Il est écrit qu’Israël a besoin de devenir «un royaume de prêtres» pour les autres nations. Celles-ci ne sont pas en mesure de recevoir la méthode de correction de leur propre chef, mais elles pourront le faire à travers Israël, en étant connecté à lui, à travers la brisure et le mélange.

Ainsi, « Israël » est essentiellement une vocation l’obligeant à établir une connexion avec les autres. Et cela n’est possible que par le contact au niveau matériel de notre monde, le degré du désir le plus bas, que nous percevons sous cette forme aujourd’hui.

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale du 28/02/2012, Questions et réponses

Que pouvons-nous donner?

Dr. Michael LaitmanQuestion: Si nous avons l’intention de ne recevoir que pour nous-mêmes et que nous souhaitions sortir de cette intention et de donner sans réserve, que pouvons-nous donner? Nous n’avons rien à donner, parce que nous ne souhaitons pas recevoir ….

Réponse: Nous pouvons donner notre désir de donner sans réserve au groupe. Cela suffit. La satisfaction vient du Créateur, et le désir de donner sans réserve vient de nous. Je n’ai rien à donner, rien à donner sans réserve. Je vais vous donner ce qu’Il va me donner pour vous. De cette façon, nous examinons le lien entre les Partsoufim: Celui du haut, celui qui reçoit le premier, donne à celui du bas celui qu’il a reçu à partir de son Partsouf supérieur.

Nous avons seulement besoin de construire l’intention entre nous, pour moi de vouloir donner au lieu de me soucier de ce que je peux donner sans réserve.
De la leçon 1, de la convention d’Arava 23/02/2012

Quatre étapes vers la lumière

Dr. Michael LaitmanQuestion: Est-ce qu’une personne sent l’effet de la lumière que corrige? Et si c’est le cas, comment sent-elle cette influence?

Réponse: La Lumière qui corrige nous touche constamment. Mais son effet est révélé après un certain nombre d’étapes à travers lesquelles elle nous touche. C’est un peu comme dans les quatre phases du développement de la Lumière directe-seulement quand Malkhout atteint son achèvement et la réalisation entière de Keter se produit en elle, alors seulement a lieu un bond vers un nouveau degré qui prend place et Malkhout du Partsouf supérieur devient Keter du Partsouf  inférieur. Et une fois encore, il y a une multitude d’actions internes de Keter vers Malkhout, le degré est réalisé, et une naissance à un nouveau degré a lieu.

C’est pourquoi la Lumière agit toujours sur nous, mais, naturellement, aussi fortement que le pouvoir qu’on utilise pour l’activer. Mais même lorsque la Lumière touche une personne d’une bonne façon, il y a toujours un besoin pour certaines actions internes, jusqu’à ce que l’on commence à reconnaître Keter, la racine, à l’intérieur de ces actions: Pourquoi les choses se passaient-elles ainsi, qui l’a fait, et ainsi de suite.

C’est pourquoi, lorsque nous commençons à sentir Qui travaille avec nous, pour quoi faire, ce qu’Il veut de nous, comment Il nous a créés, comment nous avons besoin de réagir envers Lui, et la façon dont nous réagissons envers Lui maintenant, cela signifie que nous avons atteint le point de Malkhout l’intérieur de nous.

De cette façon, dans les quatre phases du développement de la Lumière directe, Malkhout se sent tout à coup: « Keter qui est un donneur absolu, et je suis un récepteur absolu. Je ne peux pas tolérer la façon dont je suis! Que dois-je faire avec moi-même?! Je veux me limiter! « Malkhout a le pouvoir de se limiter elle-même. Lees Kabbalistes nous disent qu’à un tel niveau élevé du pouvoir de se restreindre soi-même et de cesser de travailler avec l’intention égoïste existe réellement.

Mais nous n’avons pas ce pouvoir. Pourquoi pas? Car nous avons besoin pour atteindre l’amour et le don sans réserve. C’est pourquoi nous devons nous connecter avec les autres. C’est ainsi que nous apprenons ce que le don sans réserve est, et, ensemble, nous appelons la racine, Keter, pour nous donner ce pouvoir.

Tout correspond pleinement aux quatre phases de la Lumière directe, soit directement, de haut en bas, ou dans la direction opposée, de bas en haut. Il n’y a rien d’autre.

Par conséquent, quand une personne sent en lui qu’il commence à percevoir où l’influence d’où vient la Lumière, ce qui signifie que non seulement il a atteint la réalisation du mal, mais aussi la racine de cette réalisation.

De la leçon 1, de la convention d’Arava 23/02/2012

Une personne nait dans la joie

Dr. Michael LaitmanNous devrions être très heureux par le fait que nous soyons arrivés à l’ouvrage le plus important, l’analyse la plus importante qui existe dans tous les mondes, même dans les mondes spirituels. Le Baal HaSoulam a écrit qu’il n’y a pas plus heureux moment dans la vie d’une personne que le moment où elle découvre qu’elle est incapable de sortir de son ego et aucun effort d’elle-même ne peut lui venir en aide. Alors elle en vient à sa première prière, son premier cri pour le Créateur.

Ce premier cri est la naissance. Un nourrisson pleure dès qu’il arrive au monde. Et cela signifie qu’une personne est née.

Espérons que nous atteindrons ce cri et deviendrons humain. C’est pourquoi l’effort que nous faisons vers elle s’appelle douleurs de l’enfantement. Et nous devrions être heureux que nous en soyons venus à cette question. Après tout, qui atteint ces douleurs de l’enfantement? Nous devrions être heureux et sérieux en même temps. Mais la joie doit venir de l’état, la mission. C’est là que commence la vie spirituelle.

Quand un enfant naît, les adultes sont heureux, même s’il pleure et crie. De même, l’homme en nous (celui qui fait tout le travail et toutes les analyses) se réjouit, et l’enfant maintenant est en train de naître, il souffre encore de la pression, de la tristesse et de la perception des troubles Ils doivent tous deux être ensemble.

De la leçon 1,de la Convention d’Arava 23/02/2012

Donner une solution au monde

Dr. Michael LaitmanEn créant un réseau d’interconnexions, nous guidons le monde, nous devenons le monde le « centre du don sans réserve » du monde. L’humanité souffre, mais elle n’est pas en mesure découvrir la raison cachée de sa souffrance et c’est pourquoi elle ne sait pas comment s’en débarrasser. Cela est déjà visible et se fera sentir de plus en plus. C’est pourquoi nous devons dès que possible expliquer et dire aux gens quelle est la raison qui se cache derrière la crise, quelle est sa nature, et comment en sortir.

Sans cela, nous ne pouvons pas dire que nous donnons sans réserve au-dessus du monde. Nous avons besoin de participer aux malheurs des gens de toutes nos forces, sentir leur douleur et ce qui exige davantage de notre part. C’est notre principal objectif. C’est ce pourquoi nous existons. C’est pourquoi il est nécessaire dans les plus brefs délais d’aller dans le monde avec l’explication de ce qui s’y passe. Le monde ne sera pas en mesure de discerner la solution par lui-même. Ceci nous oblige à créer des réseaux pour la préparation des éducateurs, la création de contenu, et ainsi de suite.

C’est notre travail. Merci à lui, nous irons de l’avant par nous-mêmes, que dans la diffusion et dans l’attention pour l’autre.

De la 2ème partie du cours quotidien de Kabbale 28/02/12  Questions et Réponses «