Daily Archives: 10 avril 2012

Vers l’Egypte en tant que groupe, de l’Egypte en tant que nation

To Egypt As A Group, From Egypt As A NationLors de la préparation pour la correction, l’ordre du travail intérieur se présente comme suit : En voulant me connecter aux amis, je me force et fais de grands efforts. En réponse, la Lumière, la force qui m’aide à me connecter, brille sur moi. Finalement, je parviens à me connecter et immédiatement l’AHP du degré supérieur, dont le désir de recevoir est encore plus faible et plus épais que le mien, se révèle. En conséquence, je sens que je suis dans un état d’exil encore plus grand.

 

Ainsi, il s’avère que plus je cherche à atteindre la bonté, le don, plus je m’enfonce dans le mal. Toutefois, cette immersion dans le mal se compose de deux parties : D’une part, je me souviens encore de la connexion qui fut atteinte, la proximité avec mes amis, et d’autre part, je révèle maintenant un nouveau désir corrompu encore pire qu’avant.  

Ainsi, pendant la période d’exil, je ne croîs pas de manière linéaire, mais étape par étape. En atteignant la connexion, je tombe, et non par d’un degré, mais de deux. C’est parce qu’au début je me suis élevé vers l’union (+), puis je suis tombé au détachement (-), et maintenant je ressens une double descente (x2). Ensuite, tout se répète encore et encore : je m’élève et tombe encore plus bas.

Je tombe toujours non pas au niveau précédent de l’ego, mais à partir du niveau vers lequel je m’étais élevé. Par conséquent, à cause de chaque montée, la prochaine descente est deux fois pire. Lorsque je m’élève, je monte dans le don, et quand je tombe, je descends dans la réception et dans la crasse.

Ainsi, une personne développe ses récipients en construisant le bien selon mal, et grâce à cela, elle avance durant les 400 années d’exil.


L’exil commence quand nous nous approchons de l’union dans le groupe. Il se termine lorsque, après avoir donné toutes nos forces à l’union, nous atteignons un point où nous ne pouvons pas nous connecter.
Au cours de ce processus, nous nous unissons et devenons le peuple d’Israël. Ce n’est pas le même petit groupe qui descendit un jour en Egypte en raison de conflits internes, comme le conflit de Joseph et de ses frères, par exemple. Une nation unie sort de l’Egypte, mais il est encore impossible d’atteindre la Bienfaisance par cette union. Dans l’état actuel, la forme de l’unité se révèle comme le contrôle du désir de recevoir. La fuite, la sortie de l’ego ne se produit que grâce à notre dernier effort.

En spiritualité, nous marchons aussi sur « deux jambes » : de l’union à la séparation, puis de la séparation à l’union. Le Pharaon se développe, face à lui Moïse se développe aussi, et le Créateur se révèle …. Tous ces discernements deviennent de plus en plus grands, et nous n’y échappons pas, mais nous poursuivre notre travail.

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale 05/04/2012, Écrits du Rabash

Ne donner à une personne que ce pour quoi elle est prête

Dr. Michael LaitmanQuestion : Ces dernières années, nous avons beaucoup parlé du travail des 99% de la population de la planète. Si j’ai déjà changé et vois le monde corrigé, alors pourquoi devrais-je les changer ?

Réponse : Si elles ne souffraient pas alors, peut-être que vous auriez raison. Si elles ne recherchaient pas un moyen de sortir de leur condition, alors bien sûr que nous ne les aborderions pas.

La science de la Kabbale fut cachée tout au long des millénaires. La première fois, elle fut révélée il y a 5773 ans, puis elle fut à nouveau cachée. Sa seconde révélation se produisit dans l’ancienne Babylone, il y a 3700 ans. Cependant, personne ne l’utilisa pratiquement et elle fut à nouveau cachée. Maintenant, durant les dernières décennies, elle est à nouveau progressivement révélée. Cette troisième révélation est caractérisée par le fait qu’elle est globale.

Un besoin important existe dans le monde : comment continuer à vivre ? L’humanité a enfin découvert la futilité de son existence. Qu’est-ce que la vie ? Une forme d’existence d’une matière protéique, et c’est tout ? Mais puisque vous vous êtes déjà développés au point de souffrir constamment et que vous êtes constamment en manque de quelque chose, alors ces souffrances créent en nous ces questions : Pour quelle raison dois-je vivre, comment, et pourquoi ?
Car, avant que ces questions ne fussent révélées, alors que les souffrances ne s’étaient pas révélées sous une forme plus ou moins globale dans la famille, la société, la culture et la science, et même aujourd’hui dans l’économie, nous ne sommes pas sortis à la rencontre de la population.

Toutefois, si, de même, une personne n’a besoin de rien aujourd’hui, alors il ne faut rien lui dire. Laissons-la vivre paisiblement. Le Créateur lui donne des désirs à un niveau particulier, et elle remplit ces désirs : elle a une maison, un jardin, des poules, une petite cour. Elle est très bien, ça lui suffit; alors ne le touchez pas ! Vous n’avez pas le droit!

Toutefois, si une personne souffre, essayez de lui donner quelque chose pour qu’elle y trouve une réponse à la question de sa souffrance.

Mais si la souffrance se manifeste déjà sous forme globale: l’état lamentable des enfants dans les écoles, le détachement de la jeunesse, la dépression, la drogue, le suicide, le manque de travail, et la destruction complète de la relation passée envers la vie, alors nous pouvons parler, mais de façon générale, en ne s’adressant pas à une personne en particulier. Parler de la raison derrière ce qui se passe, parler de notre égoïsme, et comment nous pouvons arriver à une vie meilleure, si nous nous corrigeons un peu, si nous changeons nos relations entre nous.

Pratiquement, nous ne faisons que de donner des conseils sur la façon d’améliorer notre état et seulement là où les gens se posent d’importantes questions concernant ce sujet. C’est pourquoi nous ne diffusons la Kabbale que dans les lieux, où elle est nécessaire, où les gens en ont vraiment besoin.

Question : Si je diffuse aux 99% de la population sans un minimum de préparation, serai-je plutôt bénéfique ou nocif ?

Réponse : On doit étudier cela. Nous avons des cours spéciaux ouverts aux éducateurs et enseignants, aux personnes travaillant avec la masse, aux conférenciers. Tous ceux qui participent à la dissémination sont tenus de suivre ces cours.

Chacun y est tenu, sans exception. Tout le monde ! Chacun doit suivre ces cours et continuer à se développer en permanence. Et cela aide. Tout d’abord, cela forme une personne; en abordant d’autres personnes, elle finit par se connecter à elles, et à leur contact, elle commence à se former.

La diffusion est un moyen efficace pour l’ascension spirituelle.

Du Congrès de Vilnius 24/03/12, Leçon 4

Le saut dans la « Mer Rouge »

Dr. Michael LaitmanQuestion : Que signifie devoir sauter dans la «mer Rouge» pour échapper à «Pharaon ?”

Réponse : Il s’agit d’un état de désespoir quand Pharaon, votre ego, vous pousse par derrière. Il ne vous lâche pas, il veut vous avalez, vous mangez, et vous ressentez que vivre ainsi est pire que la mort.

Lorsque les tours jumelles à New York brûlaient, des personnes ont sauté du 50eme étage. C’était insensé, mais une personne ne peut tout simplement pas rester en proie aux flammes. Se trouver même une seconde loin du feu lui paraissait meilleur, et donc elle sauta.

Une personne ressent la même chose en s’enfuyant d’Egypte. Vous ne pouvez pas rester dans cette situation une seconde de plus, et vous êtes prêt à sauter dans la mer, peu importe où, pour vous, c’est votre seul secours. Lorsque vous arrivez à cet état, la mer s’ouvre.

Vous surmontez le point de division, le point de rupture, et il n’y a pas de retour. Vous avez déjà pris la décision et en ce faisant, vous avez totalement tué, coupé, et rompu le lien avec votre ego.

Question : Est-ce l’ego a atteint aujourd’hui cet état, que vous ne puissiez le surmonter que dans un groupe ?

Réponse : Oui, c’est un point collectif dans le groupe décrit comme Nachshon avoir sauté à l’eau en premier.

C’est le point de «Moïse», qui est le centre du groupe, mais qui change son rôle à chaque fois, selon l’attribut qui y est révélé à chaque instant.

Donc, le point de Nachshon se révèle dans le groupe, quand tout le groupe est convaincu que l’unité, la proximité, et le soutien mutuel, est la chose la plus importante pour lui.

En même temps, être dans l’obscurité ne dérange pas les personnes. Ce qui est important pour elles est de se rapprocher, même si elles meurent ensemble. C’est plus important que de rester seul dans son ego et d’y exister d’une manière bestiale très confortablement. Cela est notre seul libre arbitre.

Puis la mer se divise, ce qui veut simplement dire que vous découvrez le niveau suivant, signifiant le saut dans la «mer Rouge».

C’est la fin de la période où vous avez vécu sous le contrôle de votre ego. A partir de ce moment, vous n’y retournerez plus.

Vous ne revenez jamais au niveau précédent. Si vous pensez que vous êtes dans une situation pire, c’est uniquement parce que vous avez reçu le niveau suivant, qui n’est pas encore corrigé.

De KabTV de « fondements de la société intégrale » 01/04/12

Le droit de se sentir offensé

Dr. Michael LaitmanQuestion: Tandis que se déroulent des interactions  entre les gens, des émotions fortes peuvent surgir. Elles peuvent être aussi bien positives que négatives. Comment et où doit-on réaliser ces états émotionnels si cela devait arriver dans le groupe ou ailleurs?

Réponse: On peut réaliser ses émotions mais on aime les tant qu’elles découlent d’une vision du monde intégral. Si elles arrivent à partir d’une vision intégrale du monde, alors il ne sera possible à personne d’infliger un dommage à autrui. Cette personne peut parler ou crier quelque chose de décapant quand elle voit une action ou un résultat négatif, mais elle ne portera préjudice à personne.

Question: Si quelqu’un explose et dit quelques choses de blessant, vaut-il mieux se réconcilier immédiatement ou bien se donner un peu de temps?

Réponse: Il est impossible de lisser tout immédiatement en disant serrez-vous la main et embrassez-vous. Cela doit être clarifié. Il est fort possible que chacun de nous a le droit d’exploser et que le reste  a le droit de se fâcher. Tout cela est correct et normal. Ceci se passe avec nos enfants que nous aimons tant, mais à certains moments  leur comportement est si insupportable que nous ne pouvons pas l’admettre. Nous observons cela chez les animaux aussi, quand une mère donne à son petit un coup sur la tête ou une gifle.

Il n’y a rien dont il faut avoir honte. Dans un cadre spécifique quelques éclats et des sentiments durs sont acceptables. Nous devons examiner ces choses puisque nous sommes encore en train de perfectionner le processus de l’éducation et nous n’avons pas encore atteint son état ​​final.

De KabTV, « Fondements de la  société intégrale », 26/02/2012

Une approche particulière pour former des groupes

Dr. Michael LaitmanQuestion: Combien d’enseignants devrait-il y avoir dans un groupe d’étude intégrale? Qui doivent-ils être: des hommes ou bien des femmes?

Réponse: Il devrait y avoir au moins deux ou trois enseignants dans un groupe d’étude intégral. Ce peut  être à la fois des hommes et des femmes, selon le groupe. Nous devrions tenir compte de la mentalité des gens dans le groupe, leur statut social, le niveau d’égalité dans la société où ils vivent, et comment ils acceptent  ce fait. Ils peuvent prétendre que tout le monde dans leur société est égal, mais cela peut effectivement ne pas en être ainsi.

En Russie, Europe ou Amérique la mentalité est totalement différente, et les gens ont des opinions différentes sur cette question, mais cela dépend aussi de la classe sociale avec laquelle vous travaillez. Donc, tout doit être pris en compte. Il peut très bien que dans certains groupes, les enseignants ne doivent être que des hommes, et pas un homme et une femme ensemble.

Peut-être, un instructeur qui emploie différents jeux et exemples doit-il simultanément suivre une formation dans l’enseignement et  dans l’éducation, comme cela se fait habituellement en psychologie et en psychiatrie.

Cela repose sur la base du cas par cas, et cela peut être tellement précis que les bonnes personnes doivent être choisies pour chaque groupe. Vous pouvez aller à dessein dans une certaine entreprise ou un quartier, dans des lieux publics, des clubs, et ainsi de suite, laisser un grand nombre de personnes « passer à travers vous », et ainsi former des groupes.

Vous devez créer une sorte d’«organisme de contrôle»,  c’est à dire des experts qui pourraient rapidement identifier les différents types de personnes, les classer, et les placer dans des groupes. Il s’agit d’une occupation très spéciale. 

De KabTV, « Fondements d’une société intégrale », le 26/02/2012

La force qui change l’humain

Dr. Michael LaitmanQuestion: L’histoire montre que le développement de l’humanité tout au long de dix mille ans ne pouvait pas changer la nature humaine. Quelle force peut aider à faire cela?

Réponse: Il y a une telle force dans la nature. Lorsque vous essayez de devenir une partie intégrante de la nature, vous commencez soudainement à recevoir une sorte de force, un soutien. Il s’agit d’une loi de la nature. C’est comme si la nature se dirigeait vers vous.

Ce n’est pas du mysticisme. Dans mes activités, je suis très éloigné de diverses explications mystiques. Nous voyons tout simplement cela. Nous devons essayer de faire partie intégrante de la même manière que fait un enfant qui veut devenir un adulte ; il joue tout simplement à être comme un adulte.

En quoi consiste la méthodologie intégrale Les gens se réunissent, d’abord ils écoutent un cours d’éducation intégrale, et puis ils entrent dans le cercle du développement intégral. Dans le processus de développement, nous commençons à créer à partir d’eux une seule structure commune.

Quand les gens se rassemblent, clarifient les problèmes internes psychologiques de l’unité entre eux, et créent un désir commun et des pensées communes, ils se mettent soudain à sentir une certaine vigueur, un support. Cette force, ce soutien, est formé dans un groupe, dans le collectif qui pratique la méthodologie de la connexion intégrée. Avec cela, nous stimulons une force cachée, qui existe dans la nature, que nous, comme des égoïstes, individualistes, ne remarquons pas; nous l’ignorons. Cependant, lorsque nous nous réunissons, elle commence à se manifester. C’est la force qui est capable de nous changer.

 D’une conférence à l’Université de Šiauliai, le  22/03/2012

L’appel vers le Créateur

Dr. Michael LaitmanAvant chaque cours, il est très important pour nous de formuler l’intention correcte: « Dans quel but étudie-t-on ? » Je ne suis pas simplement arrivé, me suis assis, pour écouter des choses intelligentes au sujet de la structure du monde supérieur ou des passages du Livre du Zohar, articles, et d’autres matériaux. Ce n’est pas le point. Ce ne sont que les moyens pour attirer la Lumière supérieure.

Alors, que vais-je étudier? Je suis assis avec des amis. Une connexion spéciale se forme entre nous et elle doit être telle qu’elle nous élève au royaume de la Lumière supérieure, vers le niveau supérieur auquel nous dirigeons  nos désirs communs, seulement nos désirs communs ! Les désirs individuels signifient des désirs égoïstes. Les désirs communs sont déjà des désirs pour le don sans réserve vers l’unité.

Dès que j’élève ces désirs vers le haut, MAN (si je ne peux vraiment les élever avec le groupe), la Lumière supérieure descend du haut immédiatement sur nous, ce qui nous corrige et nous attire un peu plus près.

Et à chaque fois que nous nous élevons, nous nous rapprochons de plus en plus. Et c’est ainsi que nous nous unissons en un seul point. Toutefois, ce n’est plus un point de plus depuis qu’il a ouvert notre égoïsme.

Nous l’avons tout simplement assemblé ensemble et c’est pourquoi nous ressemblons à un seul point, mais en réalité il y a un grand égoïsme en-dessous de nous, au-dessus duquel nous devons nous élever. Et puis nous révélons la Lumière supérieure à l’intérieur de nous-mêmes, et non plus  sous la forme de la lumière environnante (Ohr Makif), qui nous change avec son influence, mais sous la forme de la Lumière intérieure (Ohr Pnimi).

Alors  dans quel but avons-nous besoin de livres? De sorte que, lorsque nous nous réunissons, nous lisions ce qui se passe dans le monde supérieur.

En fait, nous ne savons pas ce qui se passe là-bas, puisque nous ne devinons pas et ne savons pas vraiment ce que ce sont  ces actions. Mais en faisant cela, nous évoquons la Lumière supérieure sur nous-mêmes. C’est pourquoi  c’est «Moi  + le groupe + le livre », et ce sont les conditions essentielles pour notre travail.

Entre le groupe et moi il doit y avoir des interférences, des questions diverses, et des problèmes. Cependant, entre le livre et moi, il n’y a aucun obstacle et pas de questions, et  ce n’est pas important si je comprends quelque chose ou  pas.

En tout cas, je ne comprends rien parce que dans le Livre, cela parle de ce qui se passe au niveau suivant dans le monde spirituel dont je n’ai même pas la moindre idée. Je ne fais que lire des mots, mais cela est suffisant pour convoquer la Lumière supérieure sur moi.

En fin de compte, l’étude avec les livres et nous est purement formelle. C’est absolument sans importance combien une personne connaît et combien elle comprend! Ce qui est important est de savoir combien son unité avec le groupe et le livre suscite l’envie à l’intérieur d’elle-même, augmente la tension. Vers quoi? Vers la qualité du don sans réserve.

Si quelqu’un  demande la qualité du don sans réserve, s’il aspire vers lui, en essayant de ne pas se tromper, et de clarifier avec le groupe qu’il aimerait justement cela, alors il va d’autant plus clairement découvrir à l’intérieur de lui-même quelle est la signification du Créateur, la qualité du don sans réserve, ce que cela signifie de se rapprocher de Lui, de se rapprocher de la qualité en lui-même, et de la découvrir en lui-même. Quand il est en prise avec ce désir, même si il  est petit et trompeur, lui-même ne comprend pas ce qu’il demande. Comment peut-il vraiment demander quelque chose qui est opposé à sa nature?

Cependant, une telle aspiration progressive le fait avancer. Il marmonne comme un enfant, ne sachant pas vraiment comment parler, prononce les mots de manière incorrecte, et personne ne le comprend, sauf sa mère. C’est de la même manière que le Créateur nous comprend. Cependant, nous-mêmes nous ne comprenons pas. Nous pensons, en effet, qu’en nous unissant  ensemble, nous exigeons et demandons, alors où est ce que nous voulons?

Cependant, même si nous ne voulons rien, Il le perçoit correctement, sachant  notre état, à partir duquel nous ne pouvons rien faire de toute  manière. C’est le cas lorsque la mère comprend le babillage d’un bébé ou tout simplement le comprend sans mots. C’est exactement ce dont  nous avons besoin. C’est ce qu’on appelle l’appel vers le Créateur, ou la prière, MAN

Du congrès de Vilnius du 24/03/2012, cours n°4