Daily Archives: 25 avril 2012

Skrastas.l: Le sage a enseigné la survie dans un monde global

Skrastas.lt -The Sage Taught Survival In A Global WorldAux nouvelles (Tiré de  Skrastas.lt ): L’article qui suit a été publié sur le portail lituanien, skrastas.lt:

« Le Sage a enseigné la survie dans un monde global,  23/03/2012, Irena Budrienė.

«Professeur d’ontologie et d’épistémologie, membre du Conseil œcuménique de la Sagesse, et fondateur et directeur de l’Institut ARI en Israël, Michaël Laitman, qui a visité Siauliai, a suggéré une nouvelle approche pour enseigner non seulement aux enfants, mais aussi  aux adultes. Il a signé un accord de coopération avec l’Université de Šiauliai.

« La salle de la bibliothèque universitaire était bondée. Bien que la visite du penseur ait été annoncée modestement, des chaises supplémentaires ont été nécessaires dans le hall de la bibliothèque de l’Université de Šiauliai tellement il y avait de gens qui voulaient écouter la conférence du professeur sur l’éducation intégrale.

« Il semble que les idées de Michaël Laitman n’étaient pas nouvelles pour les gens de Šiauliai. La majorité des personnes réunies ont lu ses livres et entendu parler de la méthode de l’éducation intégrale, qui encourage à ne pas arrêter son éducation pendant toute la vie.

«Le monde a changé. Notre planète n’est pas en mesure de satisfaire les besoins  de consommation égoïste d’un être humain, donc nous n’avons pas d’autre choix que de nous adapter à cela » a dit le sage. Avec une diminution de la consommation, il ne serait pas nécessaire de produire à si grande échelle; une personne n’aurait pas à travailler de l’aube au crépuscule.

«Le professeur donne à penser que l’armée des chômeurs qui se développe rapidement doit être occupée: invitée dans les universités on lui enseignerait l’harmonie avec le monde, avec l’environnement. «Quoi qu’il en soit, les chômeurs doivent recevoir des prestations de chômage. Il est préférable de payer une allocation, préservant la dignité des personnes, de leur donner les connaissances et l’espoir. En effet, après plusieurs années de chômage, les gens ne sont plus en mesure de retourner sur le marché du travail et de demeurer des membres productifs de la société », a expliqué Michaël Laitman.

« Il a averti du danger si on ne donne pas accès à cela aux gens abattus. Dans ce cas, il y a une menace de catastrophe et d’épidémies mondiales d’agression incontrôlée ». (suite…)

La Torah parle de mon parcours

Dr. Michael LaitmanNous devons essayer d’imaginer que toute la réalité se situe dans une personne et que la Torah nous parle  d’elle. Ainsi, tous les progrès se déroulent  dans un seul désir, un seul homme, à partir du moment même où il commence à se connaître, jusqu’à ce qu’il s’attache lui-même au Créateur,  au chemin qui mène à la révélation de la force supérieure. Sur le chemin, il passe par toutes sortes d’états. Il doit essayer de classer ces états, de les définir comme «Babylone», «pays de Canaan », les niveaux de «Abraham», «Isaac», et «Jacob», l’entrée en Egypte, et de l’esclavage en Egypte.

Tout cela se passe dans un seul désir, dans un seul homme, et c’est seulement l’attitude des états dans lesquels il se trouve qui change. Il commence au niveau de Jacob dans lequel il commence à découvrir le mauvais penchant, les travaux de la « ligne gauche ». A son encontre, il commence à travailler avec la« ligne droite ».

Cela signifie que la préparation faite à partir d’En-Haut  qu’on appelle les «pères» a pris fin, et la période des «fils» commence quand la personne commence à se développer. Elle se familiarise avec son ego de plus en plus jusqu’à atteindre la sensation et la reconnaissance qu’elle est dans l’esclavage de l’ego.

Puis, elle commence à travailler contre lui, et demande à la Lumière de la corriger .Une personne subit ces deux formes de développement, le travail avec les deux lignes et le stade qui  le précède, même avant d’entrer dans le monde spirituel, avant de commencer à travailler pour le bien du don sans réserve (Lishma).

De la première partie du cours quotidien de Kabbale du 23 avril 2012, Écrits du Rabash

Sur les pas des kabbalistes vers le monde supérieur

Dr. Michael LaitmanEn lisant les articles, nous devons apprendre à suivre la pensée de l’auteur, à aspirer à entrer dans les états que nos enseignants décrivent. Quand une personne commence à regarder un film captivant, elle oublie le monde entier et vit avec les héros sur l’écran, connaît tout ce qu’ils traversent.

C’est ainsi que nous devons nous rapporter à la lecture des textes. Nous devons nous annuler et adhérer à l’auteur, à ses états au moment où il a écrit l’article, ainsi qu’à sa pensée, et nous devons constamment suivre le courant de cette pensée, nous tenir en son sein. C’est comme si je n’existais pas, c’est-à-dire que je m’accroche aux livres et à leurs auteurs.

Nous n’avons pas d’autre moyen d’atteindre nos professeurs. En ce moment, je ne vois pas que les étudiants sont prêts à faire cela. Même avant la leçon, avant de lire le texte, nous devrions penser que nous sommes sur le point de faire quelque chose de spécial. Par la lecture ou l’écoute d’un texte écrit par un kabbaliste et en faisant des efforts constants pour s’accrocher à ses pensées, nous nous accrochons au Créateur.

Nous ne devons penser à rien, ni faire des calculs, mais tout simplement suivre le courant du kabbaliste sur la même vague. Il n’est pas important que je comprenne bien ce que dit le texte ou non. Je me sens comme un bébé dans les bras d’un adulte. Quelqu’un m’a levé et a pris soin de moi. Ainsi, j’ai progressivement commencé à croître et à comprendre pourquoi et comment tout arrive.

Tout d’abord, j’ai tout simplement découvert ce qui se passe, et ensuite je comprendrai les raisons. Cette attitude est essentielle lors de la lecture des articles.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale du 22/04/2012, Écrits du Rabash

Il y a une place pour chacun au congrès

Dr. Michael LaitmanQuestion : Dans les congrès, en particulier en Amérique, certaines personnes restent complètement à l’écart et ne se connectent pas facilement. Qui plus est, elles se dissuadent parfois de venir au congrès, car elles savent déjà qu’elles passeront trois jours, accolées les unes aux autres. Que leur suggérez-vous de faire ? Comment pouvons-nous les aider ?

Réponse : Je leur conseille vraiment de venir et de s’inclure dans la foule autant qu’elles le peuvent. Comme il est écrit : «Il faut éduquer un enfant selon ses voies. » Ceux qui trouvent qu’il est difficile de se connecter dans un cercle se retrouveront entre eux. Ils peuvent alors former leur propre cercle, et dans celui-ci pourrait se trouver quelqu’un qui les secouera un peu.

Ne vous opposez pas au congrès et ne vous forcez pas. Chacun a sa place là-bas. Après tout, nous sommes tous différents, et certaines personnes ne peuvent pas se connecter à d’autres. Elles restent assises à l’écart et écoutent, absorbées dans leurs propres pensées. Ou au contraire, il ya celles qui font trop de bruit. Ces personnes ne ressentent toujours pas où elles sont et dans quoi elles sont incluses. Leur rythme interne n’est encore pas synchronisé avec tout le monde, et soit l’euphorie, soit leur introversion les contrôle.

La plupart de nos amis connaissent et comprennent déjà la méthode. Ils travaillent sur l’avancement d’une manière plus ou moins méthodique et éprouvent des hauts et des bas. Si une personne comprend vraiment qu’elle est détachée du courant général visant à l’objectif de la création, il est particulièrement important pour elle de venir, parce que c’est un signe que, dans l’intervalle, elle est en train de traverser des états préparatoires particuliers. L’influence de l’environnement va l’aider à traverser cela. Je vous recommande fortement de vous inscrire.

Dans l’ensemble, il y a des personnes spéciales avec des étincelles spéciales. C’est la façon dont elles furent créées, et ce n’est ni une question d’héroïsme ni de faiblesse. Le principal est de réaliser ce qui est en vous. Remplissez seulement le rôle que la nature vous a donné, et finalement, si chacun faisait ses efforts spéciaux et uniques, nous deviendrons tous véritablement égaux, sans aucune trace des différences précédentes.

En fin de compte, tout le monde fait un travail équivalent. Nous n’avons tout simplement pas encore compris à quel point le système général est parfait.

Mais sur le chemin, il y a des différences entre nous. Certaines personnes ont des rôles particuliers ; c’est comme si elles avaient leur propre histoire, leur propre développement. En conséquence, elles devraient être traitées différemment. Elles ont l’air différentes des autres, et leurs hauts et bas sont différents. Elles agissent extérieurement différemment et passent par différents états internes contrastant avec toute la logique de notre monde.

De même, dans la communauté scientifique et philosophique, il y a des génies exceptionnels. Très peu de gens intelligents ont démontré des attributs exceptionnels. Dans notre cas, c’est encore plus proéminant. Cependant, il est encore plus important pour ces personnes d’être dans la société, parce que par rapport à eux, nous sommes comme l’humanité par rapport à nous.

Les étincelles dans le cœur sont divisées en deux parties : GE ( Galgalta ve Eynaim) et AHP (Auzen, Hotem, Pé). Ceux d’entre nous qui appartiennent à GE sont spéciaux. Parfois, ils ressentent une forte aversion envers la société, mais il est très important pour eux de venir à des congrès, même s’ils ne ressentent pas le besoin de se mêler aux amis, les considérant comme l’humanité. Cela demeure essentiel.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 22/04/2012, Écrits du Rabash

La partie humaine du moteur

Dr. Michael LaitmanEssayez de voir en permanence deux états : l’état réel que vous voyez et l’état désiré. La plupart du temps nous sommes dans un état plutôt latent, et la façon dont une personne se définit dépend d’elle. Si vous recevez d’En-Haut des éveils positifs ou négatifs, vous commencerez à agir. Mais si vous n’êtes pas poussés par derrière, vous êtes à moitié endormi, comme dans un rêve. C’est ici que se concentre la majeure partie du travail, la recherche sur la façon de vous motiver. C’est de voir votre état sous une vraie Lumière et d’imaginer l’état souhaité, de sorte que l’écart entre les deux vous indiquera à quel point vous avez tort et combien il reste encore à faire. Ainsi, vous commencerez à chercher les moyens de changer votre état.
Tout dépend de l’éveil d’en bas, mais vous tirez votre énergie de de l’extérieur, parce qu’il n’y a rien en vous, à l’exception d’une machine qui se réveille sous l’influence d’une force extérieure. Tout comme un moteur qui ne fonctionne que s’il reçoit en permanence du carburant ou de l’électricité. Au moment où l’approvisionnement énergétique est coupé, il s’arrête immédiatement. Cette énergie d’exploitation peut provenir de la source réelle, du Créateur, et obliger notre moteur à fonctionner, ou elle peut venir sur appel de la personne elle-même. C’est la partie humaine du moteur, quand une personne se connecte au réseau d’électricité et fonctionne d’elle-même.

Vous ne pouvez vous mettre en marche que grâce au groupe, grâce à l’équivalence de forme. Plus vous êtes adaptable à la source d’énergie supérieure, au fournisseur d’électricité, dans le don et dans un désir de faire du bien aux autres et au Créateur, plus vous pourrez facilement vous connecter à la source de l’électricité, à la Lumière. Et puis la lumière vous influencera et fera fonctionner votre moteur.

L’énergie de la vie vient toujours de l’extérieur, de la Lumière. Nous recevons constamment une petite étincelle de vie qui nous ravive et nous permet d’exister. En plus de cette étincelle, nous recevons un éveil de l’En-Haut, en fonction du temps, des différentes périodes, et des changements individuels et mondiaux que l’on doit traverser.

Tout dépend toujours de notre éveil ici bas, qui est le principal. Tout notre avancement se fait par l’éveil ici bas, les 125 degrés, que nous devons traverser, alors que nous percevons une carence en nous. Nous devons faire fonctionner nous-mêmes notre machine, en désirant ardemment l’attribut du don. En opérant de cette façon nous avançons étape par étape et à chaque fois nos actions deviennent plus qualitatives.


De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 23/04/12, Écrits du Rabash