Monthly Archives: avril 2012

La nature des hommes

Dr. Michael LaitmanQuestion : Le besoin du désir des femmes, sans lequel les hommes n’atteindront pas l’objectif, n’a pas été ressenti lors des séminaires. Pourquoi ?

Réponse : Pour qu’un homme ressente le besoin de quelque chose, il doit se rendre compte que, sans ce besoin ou ce désir, il n’atteindra pas l’objectif. Cela signifie qu’ils n’ont toujours pas atteint cet état.

Supposons que j’essaie de faire quelque chose et que je voie que cela ne fonctionne pas. Que me manque-t-il ? Aha, j’ai besoin d’un autre outil. Je commence à travailler avec celui-ci et remarque alors qu’il me manque encore d’autres outils. C’est-à-dire, ce n’est que dans la mesure où je ne me vois pas atteindre mon objectif, que je dois rechercher les moyens pour y parvenir.

Ainsi, je vois le manque d’un soutien clair et fort. Il doit exister, c’est sûr ! C’est ce qui est écrit dans les sources kabbalistiques et nous le voyons aussi dans la vie réelle.

Les hommes ont leur propre fierté, quelque peu sans fondement. Ils oublient leur dépendance à l’égard des femmes en raison de leur nature. C’est la nature d’un homme.

Mais en avançant, ils commencent réaliser à quel point ils sont faibles. Puis ils ressentent un fort besoin de soutien de la part des femmes.

Ce n’est pas une faiblesse, c’est juste notre nature ; lorsque nous dépendrons les uns des autres seulement dans la bonne combinaison, nous atteindrons ensemble l’objectif commun.

Soit dit en passant, je suis sûr que beaucoup d’hommes ont ce sentiment, je le vois en eux. Ils le ressentent vraiment.

Du Congrès de Vilnius 23/03/12, Leçon 1

Le début du développement doit commencer par la visualisation du résultat

Dr. Michael LaitmanOpinion (Dmitry Itskov, fondateur du Mouvement Russie 2045, Président des nouveaux médias Etoiles) : « Notre corps a peur du feu, de la pluie, du vent, il tombe malade, vieillit et meurt. Devrions-nous pas diriger les progrès scientifiques et techniques pour améliorer le corps, la construction humaine de l’iBody, d’un corps individuel, immortel et intelligent ?

« L’iBody est un nouveau corps immortel, non protéique, construit dans le but de transférer la conscience individuelle, la personne humaine, vers lui. Il est parfait, il n’a pas besoin d’une maison et de protection contre les intempéries. Nous cesserons de nuire à la planète. Toute l’humanité et son habitat tout entier va changer. Des possibilités illimitées pour le développement de la conscience s’ouvriront devant nous, les différences entre les gens disparaîtront, et le niveau de conscience, non pas la quantité d’argent à la banque, rendra les gens différents.

« Un prototype de l’iBody peut être développé à notre époque, et il faudra plusieurs décennies pour en faire un produit de masse. Le développement des composants de l’iBody serait réalisé à travers le monde. N’est-ce pas le moment de passer de l’évolution du corps humain à la technologie parfaite de l’iBody qui donnera la vie ?  »

Mon Commentaire : J’ai été l’un des représentants de ce courant lors d’une discussion au sujet du monde de demain sur l’une des chaînes de télévision à Moscou. La question suivante demeure ; « Quel en est la raison ? » Une question secondaire était : « Est-ce que cela correspond aux lois de notre évolution ? » Après tout, si ce n’est pas le cas, après avoir dépensé alors d’énormes sommes d’argent, nous nous trouverions dans une crise encore plus importante que celle suivant l’effondrement du socialisme à l’Est et du capitalisme en Occident.

Ce n’est qu’en comparant nos plans avec les plans de la nature que nous pouvons être sûrs que nous ne nous dirigeons vers une impasse ! Qui donc connaît ces plans ? Si personne ne les connaît, il faut d’abord les découvrir.

L’Egypte aux yeux d’un esclave et à ceux d’un homme libre

Dr. Michael LaitmanQuestion: Comment une personne peut compter 400 ans (niveaux) de son séjour en exil si l’Egypte est dans l’obscurité totale?

Réponse: Il est impossible de compter cela, et c’est pourquoi l’évasion a lieu tout d’un coup, à la hâte. Une personne ne sait pas quand elle  sortira de l’exil. Supposons que les 400 ans de l’exil vont finir aujourd’hui à 13:30, mais vous ne pouvez pas le savoir. Ne voyez-vous pas que, selon l’histoire, la fuite est soudaine? On vous dit que ce que vous devez emporter avec vous: les éléments qui composent votre récipient spirituel afin que plus tard, vous soyez en mesure de vous élever au-dessus.

Selon l’histoire, après que nous soyons sortis d’Egypte, nous n’avons rien laissé derrière. Je prends tout l’or, tous les moutons et les bovins, tous les biens, et je laisse derrière moi un pays vide et détruit. Je détruis jusqu’au sol du pays, jadis florissant, grand et prospère avec de belles villes, et je pars.

Bien sûr, je pars pour une vie meilleure, et il n’y a rien à perdre. Il n’y a aucune raison de rester en Egypte, où il n’y a même pas d’eau à boire parce que tout s’est tourné en sang, et tout est mort.

C’est ainsi qu’une personne voit le monde matériel qu’elle laisse. En fait, les beaux palais sont toujours là et ce sont donc toutes les bonnes choses, tout est en plein essor, mais, à mes yeux, cela ressemble à une terre détruite dans l’obscurité. Voilà comment cela est perçu dans mes nouveaux discernements qui m’obligent à manquer de respect envers tout le luxe et à le voir comme un simple déchet et à vouloir y échapper.

Cependant, si je regardais tout à travers les yeux d’un esclave, je verrais la terre riche et je penserais qu’il n’y a pas besoin d’évasion. Après tout, la terre d’Egypte est entourée par un désert.

Mais, soudain, je décide que d’y séjourner est la pire chose, et qu’il n’y a rien de pire que cela. Ce n’est pas seulement un désert, mais un lieu de destruction si épouvantable et de d’humiliation. Tout est dans les yeux du spectateur.

De la 3e partie du cours quotidien de Kabbale du 18/04/2012, Etude des dix Sefirot 

Le point d’appui

Dr. Michael LaitmanL’environnement est un outil d’autocorrection, et l’autocorrection est le moyen pour la correction du monde. C’est parce que une personne qui se change un peu,  change le monde entier.

Archimède a dit: «Donne-moi un point d’appui et un levier assez long, et je soulèverai le monde. » Tout le problème est ce point, le point d’appui.

Vous pouvez « déplacer » la terre si vous avez le point correct et sûr pour s’appuyer dessus. Même si la partie gauche du levier  a juste un mètre de long, si le côté droit a, disons, des millions de mètres de long, même si vous utilisez la force d’un seul gramme, vous  transformerez le monde.

Vous devez être un héros dans la qualité, pas en quantité. Tout concerne combien vous préférez la spiritualité  au-dessus de la matérialité, ce qui signifie plus d’internalité au-dessus de l’externalité. Cela signifie que vous choisissez le point d’appui. Si vous voyez la spiritualité comme plus importante que la matérialité, alors peu importe combien la terre « pèse », vous disposez d’un levier qui peut la  faire tourner. C’est le «mécanicien céleste».

De la 4e partie du cours de Kabbale quotidien du 19/04/2012 sur le Jour commémoratif de l’Holocauste

La lutte vers la force de l’élévation

Dr. Michael LaitmanNous ne pouvons pas être simultanément dans des intentions, des désirs et des objectifs égoïstes et altruistes. Ce sont deux propriétés opposées, qui s’annulent mutuellement. Donc, si j’exalte le don sans réserve et la Lumière, si j’exalte la capacité de sortir et de monter au-dessus de moi, et avec cela, si je ressens combien mes amis me soutiennent, si je sens combien cela me protège, m’inspire, et me remplit, si je ressens la joie, l’amour, et la satisfaction, alors il ne reste pas de place où je puisse penser à moi, je me dissous tout simplement dans leur amour et leur préoccupation.

Par conséquent, quand les gens jouent et promulguent cet état, à travers lui ils évoquent la Lumière environnante sur eux-mêmes. Cela se développe progressivement entre eux et les conduit à cet état. Et puis le souci de soi personnel s’éteint involontairement. Il ou elle n’existe sur le plan terrestre que dans la mesure nécessaire pour simplement maintenir son existence, et pas plus que cela. Et cette condition est la plus confortable pour notre corps, notre égoïsme.

Puis tous les efforts de la personne prennent forme involontairement et s’ajoutent  jusqu’à une seule intention : donner sans réserve. Et en son sein, dans cette intention de donner, dans la lumière de Hassadim, elle commence maintenant à sentir la révélation du Créateur, la réalisation, et la chaleur. Elle découvre des propriétés totalement différentes et d’autres possibilités. Elles apparaissent soudainement à partir de rien. Auparavant, quelqu’un ne les ressentait tout simplement pas, et maintenant il les révèle.

Nous devons essayer de combiner nos efforts, comme les enfants qui jouent le même jeu ensemble, et non l’un contre l’autre, mais ensemble, et de ne pas oublier le fait que c’est précisément nos impressions collectives, notre inter pénétration  et notre connexion avec l’autre qui nous fournit la force de l’ascension.

Du congrès de Vilnius du 23/01/2012, cours n°1

«La dette du gouvernement américain augmente quatre fois plus vite que le PIB »

Dr. Michael LaitmanAvis (De mybudget360.com ): « Le marché mondial est maintenu grâce à la bande de scotch de la dette massive. La solution pour une grande partie de la crise de la dette européenne a été simplement d’ajouter plus de dettes à la situation actuelle. En d’autres termes, résoudre le problème de la dette avec plus de dette. Tout cela ne fait que retarder l’inévitable. L’espoir est en quelque sorte que le PIB dans ces pays va croître assez rapidement pour payer des dettes existantes, mais le montant de la dette est si énorme que c’est mathématiquement impossible sans l’inflation des monnaies. Même les Etats-Unis sont embourbés dans les niveaux énormes de la dette et le rythme de la dette en expansion est de loin supérieur à la croissance du PIB.

« Cette dette, par définition, n’est pas viable. Si quelqu’un était honnête à ce sujet, il se rendrait compte que nous ne paierons jamais ces 15 billions de dollars de dette active.

« Contrairement au secteur bancaire, le désendettement se produit au niveau du ménage. Le seul domaine où cela ne se produit pas c’est dans le marché corrompu des prêts étudiants qui ne cesse de croître dans un autre bulle basée sur la dette. »

Mon commentaire: Autrefois on disait en Russie: « la guerre va tout effacer ». C’est ce qu’ils espèrent.

Amérique: du Sud au Nord

Dr. Michael LaitmanQuestion: Je vais être connecté au congrès d’Amérique du Nord virtuellement, ensemble avec d’autres amis. Comment pouvons-nous créer une unité puissante pour le congrès ? Comment pouvons-nous accroître son importance pour nous déconnecter de la matérialité et sentir le seul Kli mondial ?

Réponse: Tout d’abord et après tout, je vous conseille d’assister au congrès de New York. Cela est nécessaire sans aucun doute.

Deuxièmement, je vous suggère de lire tous  les articles du Rabash et du Baal HaSoulam  sur le groupe. L’unification, le changement d’attitude d’une personne envers le groupe, c’est ce qui est important.

Troisièmement, la diffusion joue également un rôle important dans la préparation.

Ainsi, nous essayons d’aider le congrès, d’y préparer et d’y amener plusieurs autres personnes qui sont dans le doute quant à savoir si elles doivent ou non participer. Nous devrions rassembler autant de personnes que possible pour y prendre part.

Par ailleurs, l’Amérique du Nord va se préparer avec l’aide de l’Amérique du Sud, grâce à nos réunions en Colombie, au Chili et au  Brésil. Ce sera une préparation réelle, pratique, y compris non seulement les cours et les conférences, mais aussi la participation à des séminaires.

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale du 22/04/12, Écrits du Rabash

A quel jeu faut-il jouer ?

Dr. Michael LaitmanQuestion : Au cours de l’atelier, le travail fut très intense, mais maintenant je sens que j’ai perdu la sensation que j’avais acquise lors de l’atelier. Dois-je donc jouer à ce jeu toute ma vie ?

Réponse : Vous n’avez pas d’autre choix. Vous jouerez à ce jeu d’une manière ou d’une autre !

Vous pouvez soit jouer au jeu que la société qui vous entoure vous présente, la société qui ne connaît pas elle-même le jeu, auquel elle joue. Ou vous jouez un vrai jeu, que les personnes ayant atteint la couche supérieure de l’univers, vous présentent. Pour vous, c’est un jeu qui vous indique ce que vous pouvez atteindre. Et ainsi vous choisissez. Il n’y a rien d’autre : Il n’y a que deux jeux à choix.

Un jeu est cette vie, et tout le monde y joue. Ils maudissent ce jeu, ne sachant pas par la volonté de qui, ils se sont retrouvés ici et quand ils le termineront, car ils ne cessent de s’y perdre.

Un autre jeu vous offre la possibilité d’atteindre un niveau complètement différent de la nature, de la partie supérieure, de la partie spirituelle, de la matière, et de le faire au cours de votre vie, même pendant une partie relativement courte de celle-ci. Vous devez seulement aspirer à cette révélation, à changer vos attributs en attributs de don et d’amour : ne pas utiliser les autres personnes pour vos intérêts égoïstes, mais essayer d’avoir une bonne et bienveillante connexion avec eux. C’est tout. Il n’y a rien d’autre!

La théorie est très simple. Et la pratique dépend de vous. Choisissez le jeu auquel vous voulez jouer. Vous pouvez soit apprendre des gens qui veulent vous faire du bien et créer un monde semblable à la force du don et de l’amour. Ou vous apprendrez à partir des exemples du monde qui vous entoure : les médias, la télévision, les journaux, et les feuilletons.

C’est le choix que vous avez. De toute façon, la société, qui vous entoure, vous façonnera: soit le groupe ou la «rue». Rien que ça ! En fin de compte, cela dépend de vous.

Du congrès deVilnius 23/03/2012, Atelier 1

Le principe de connexion: souci et inspiration

Dr. Michael LaitmanQuestion : Lors du Congrès dans le désert d’Arava, vous avez dit que notre travail est très sérieux, mais joyeux en même temps. Comment ces deux choses peuvent se marier ensemble ?

Réponse : Le principale dans le travail spirituel est l’importance de l’objectif. Le Rabash écrit que l’inspiration vers l’objectif, l’importance et le désir pour lui vient entièrement du fait que nous sentons que nous avons une mission spéciale, une responsabilité particulière, un objectif important devant nous, et nous devons naturellement percevoir tout cela avec gratitude et avec joie. Si nous ne ressentions pas de joie, nous n’aurions pas le pouvoir de faire quoi que ce soit.

Par conséquent, nous devons constamment sentir l’inspiration, que l’on cultivera naturellement en nous, si nous commençons à apprécier la raison pour laquelle nous nous réunissons. Ensemble, avec l’inspiration, avec un sentiment de joie et d’importance, nous devons être inquiets de ne pas pouvoir y parvenir. Sans cette partie opposée, nous prendrions nos actions actuelles à la légère, alors qu’elles sont en fait une affaire très sérieuse.

Toutes nos autres études : la structure des mondes, les âmes, la Lumière qui pénètre dans les récipients, et les autres processus qui s’y déroulent, sont tous théoriques. La réalisation de cette théorie prend place dans le groupe, et c’est la partie pratique. Ici, nous pouvons voir et sentir dans quelle mesure cette méthode fonctionne en nous, si nous voulons vraiment le faire sérieusement : d’une part, en une grande inspiration (c’est comme Kéter), et d’autre part, dans la crainte et une certaine inquiétude quant à la réussite de la mission (ce qui a trait à Malkhout).

Plus l’écart entre ces attributs en nous est grand, l’écart entre l’inquiétude et la grande source d’inspiration, plus fort et plus grand sera notre récipient, dans lequel nous percevons la révélation de la Lumière supérieure. La capacité du récipient dépend de l’écart entre les deux attributs.


Du Congrès de Vilnius 23/03/12, Leçon 2

Quel désir faut-il satisfaire ?

Dr. Michael LaitmanQuestion : D’après ce que je comprends, quand on parle de satisfaire les désirs du degré «humain», nous parlons de la réalisation du désir de connexion avec le Créateur. Dois-je aussi satisfaire les désirs corporels d’une personne, comme son désir regarder du football ?
 Réponse : Le fait est que tous les désirs inassouvis de notre monde, c’est-à-dire notre souffrance, ne visent qu’à révéler le Créateur à un être humain. Et que si nous continuons vers cet objectif, ces désirs seront satisfaits.

Nous voyons que le monde est plein de plaisirs, de possibilités-de toute sorte et pourtant des gens souffrent encore. Nous voyons que, malgré le fait qu’il y ait une abondance de ressources dans le monde, la moitié de l’humanité a faim. Nous voyons que, malgré les grands progrès accomplis par la médecine, les gens sont plus malades qu’ils ne l’étaient dans le passé. Nous voyons que, bien que les gens reçoivent tous les moyens pour mener une vie normale, ils continuent à divorcer et ne veulent pas élever d’enfants, les taux de suicide sont en hausse, etc.

Pourquoi cela arrive-t-il?! Quel est le problème?!

Alors, vous laissez une personne regarder du football. Et ensuite? Il est préférable de lui enseigner quelque chose qui va réellement lui permettre de se rapprocher de la source d’épanouissement, car toutes les satisfactions que je peux lui donner, mis à part tout ce qui est nécessaire à notre corps physique, ne feront que de le détourner de l’objectif, ce qui lui causera pour finir de la souffrance.

Il n’y a rien d’autre. Il n’y a qu’un seul but. Et toute l’humanité doit aspirer à lui.

Si nous satisfaisons notre corps physique au niveau animal avec tout ce qu’il lui faut pour survivre, toutes nos motivations restantes, tous nos autres désirs doivent viser uniquement à la réalisation de l’objectif. Sinon, si je les utilise dans une autre direction et non pas vers le but, je recevrai en retour de la souffrance, pour me faire changer de direction.

Par conséquent, si je donne à une personne autre chose que ce qui lui est strictement nécessaire, quelque chose de plus, comme le laisser regarder du football, mes actions la fera souffrir indirectement. Si je lui achète un billet pour voir un match, elle recevra certainement quelque coup du sort, car elle ne va pas dans la bonne direction. Ce sera le cas tout le temps. C’est pourquoi les souffrances de l’humanité augmentent, au fur et à mesure de son développement.

Et le seul moyen que nous avons de faire du bien à une personne est de lui donner un niveau de vie normal : la nourriture, un logement, une famille, la santé, et tout le reste, mais seulement dans le but d’atteindre l’objectif. C’est là que réside le programme de la création.

Et si je l’éloigne de cette voie, je suis à blâmer car je l’empêche de réaliser ce programme de création. Et nous souffrirons tous les deux pour cela. Je ne peux pas agir autrement.

C’est pourquoi tout mon travail dans ce monde revient à aider les gens à se nourrir et à prendre soin d’eux-mêmes uniquement pour qu’ils comprennent comment ils peuvent vraiment atteindre le bonheur. Tous les autres chemins ne mènent qu’à la misère, car l’influence de la Lumière sera opposée, afin de guider la personne vers Elle.

Du Congrès de Vilnius 23/03/2012, Atelier 1