Daily Archives: 22 mai 2012

En avant les retraités !

Dr. Michael LaitmanQuestion : Comment les études dans l’éducation intégrale devraient-elles être organisées pour des retraités ?

Réponse : Avec des retraités, il n’est pas possible d’étudier par des communications à la télévision, par des écrans. Vous devez être debout devant eux en direct pour qu’ils puissent vous sentir. Il est possible de présenter un système d’étude combiné, variant l’étude avec un professeur et des leçons virtuelles.

En enseignant à des retraités, le professeur choisit simultanément dans le groupe qui est approprié pour l’enseignement. Ces gens sont facilement et rapidement perceptibles : ils sont d’habitude d’être assis et d’écouter le professeur attentivement. De même, ils s’inscrivent immédiatement pour l’aider, saisissent rapidement la matière de l’étude et en peu de temps ils peuvent donner des leçons tout seuls. De plus, nous devons préparer des prospectus et des journaux, organiser des kits commodes et accessibles de matériels vidéo qui seront toujours avec eux.
« D’une conversation sur l’éducation intégrale », n°23, 03/03/2012

Organisateurs ou éducateurs ?

Dr. Michael LaitmanQuestion : si nous mettons en œuvre l’éducation intégrale et que devons asseoir en même temps dix à vingt mille personnes sur le banc de l’école,  cela signifie-t-il que nous avons besoin d’un nombre énorme d’organisateurs ?

Réponse : je ne pense pas qu’il sera possible de faire assoir la population sur le banc de l’école avec l’aide des organisateurs. Nous devons préparer de très larges matériels d’introduction concernant ce que nous sommes sur le point de faire dans une ville pour éveiller l’intérêt social dans le public, tant financièrement qu’éthiquement. Cela signifie leur montrer l’avantage de prendre des cours dans l’étude intégrale et même en passant des examens.

Nous devons présenter des récompenses tels que des certificats ou des diplômes pour que les gens aient une motivation pour avancer. Les parents devraient être encouragés par leurs enfants, par des enfants fiers de la participation de leurs parents dans l’éducation intégrale et, bien sûr l’inverse, que les parents puissent sentir des dégâts moraux s’ils ne participent pas au processus d’intégration.
 
« D’une conversation sur l’éducation intégrale » n°23, 03/03/2012

Le centre du groupe est l’endroit de la correction

Dr. Michael LaitmanBaal HaSoulam, « Introduction à l’Étude des Dix Sefirot », Article 141 : « maintenant vous pouvez comprendre la signification des mots, « quitte Moi et garde Ma loi ». Ils ont interprété « je regrette qu’ils M’aient quitté et aient gardé Ma Torah – la Lumière en elle les ramène vers le bien ».

Il y a un lien entre vous et le Créateur, la Lumière, qui est votre désir corrompu de recevoir. Si vous le corrigez, vous sentirez le même résultat appelé la Lumière ou le Créateur signifiant « Viens et vois » (Boré en hébreu) dans le même matériel. Le Créateur est révélé dans votre désir corrigé selon sa correction.

Dans l’ensemble, la méthode par laquelle vous corrigez progressivement votre désir pour sentir, comprendre et révéler le Créateur est appelée « la Torah ». Avec son aide vous évoquez une force spéciale, la force du don sans réserve, qui est extérieure à vous et qui corrige votre désir. Dans la mesure où vous la demandez, cette force change le désir dressé en elle et vous sentez la Lumière, le Créateur, votre état sublime.

Ceci est la seule voie par laquelle vous pouvez avancer. Si vous ne demandez pas la correction et vous vous tournez vers un «  Créateur » que vous avez inventé, votre travail sera futile, puisqu’il ne correspond pas à la réalité.

Question : Que signifie « garde ma loi » ?

Réponse : Cela signifie que toutes vos actions devraient être dirigées seulement vers  la correction du récipient corrompu selon le principe : « j’ai créé le mauvais penchant, je lui ai créé la Torah comme une épice  ».

Si vous travaillez correctement sur la correction du désir, il commence à prendre la forme du Créateur. Alors vous commencez à Le comprendre, Le connaître et adhérer à Lui. Vous avez « la matière » qui a pris une nouvelle forme, une forme du don sans réserve et d’amour. Ainsi, par la matière du désir vous atteignez l’adhésion avec la forme du Créateur.

Question : si nous parlons du besoin pour trouver le point dans le centre du groupe, en  quoi cela a-t-il un rapport avec « garde ma loi » ?

Réponse : c’est là, au centre du groupe, que vous corrigez votre mauvais penchant. C’est là et seulement là que vous découvrez le Créateur, vos états spirituels avancés. Il n’y a aucun autre endroit  où la mauvaise « matière » du désir peut être révélée à part le centre du groupe qui devrait être révélé comme une montagne de haine, comme  le « Mt. Sinaï. »

Ainsi en se remettant à la garantie mutuelle, à l’alliance et à l’aide mutuelle, nous commençons à découvrir la Lumière qui ramène vers le bien. Ceci est aussi appelé « la réception de la Torah » : Nous la recevons si nous estimons que nous ne pouvons pas corriger notre connexion, mais nous n’essayons pas de fuir le problème en courant. Alors nous recevons la Torah et corrigeons la séparation – et ensuite le Créateur est révélé.

De la 4ème partie du cours quotidien de Kabbale du 20/05/2012, « Introduction à l’Étude des Dix Sefirot »

La vie du don sans réserve : facile et belle

Dr. Michael LaitmanAujourd’hui, progressivement, une interconnexion de plus en plus stricte entre les pays, les nations, et les peuples se révèle. Même individuellement, nous sommes reliés par des chaînes avec plusieurs liens. Cependant, il y a un certain problème: nous ne sommes pas encore capables de correctement réaliser cette connexion.

La crise moderne est en pleine expansion et englobe le monde. Elle ne prendra pas fin même si beaucoup promettent que bientôt les choses vont commencer à s’améliorer.

Les problèmes ne finiront pas jusqu’à ce qu’on atteigne l’équilibre. Après tout, la cause de la crise est le déséquilibre, en d’autres termes, l’absence de connexion entre nous.

Voici où l’on découvre la loi de la garantie mutuelle. La Torah nous explique qu’à  la fin, une personne aimera son prochain comme elle-même.

L’« amour » est une propre unité systématique où chaque personne travaille dans l’intérêt de tous, et il y a une harmonie absolue entre nous. En fin de compte, lorsque nous atteignons la correction finale, chacun d’entre nous, une fois de plus, nous tous redeviendront des parties d’une seule âme, comme les organes du corps qui fonctionnent de façons tout à fait différentes, mais vivent en harmonie unifiée, et c’est pourquoi le corps est en vie.

Chaque organe exécute son propre travail, sa fonction propre, mais dans le cadre d’un programme commun qui englobe et oblige tout le monde à travailler ensemble. Au contraire, quand il y a déséquilibre entre les parties du corps, les maladies apparaissent.

Nous devons traiter notre correction selon le même principe. Aujourd’hui, j’existe dans  l’égoïsme absolu et total. Je veux que tout « tourne » sur mon ordre, effectue mes souhaits, et pense comme moi. Nous commençons tous notre voyage dans cet état.

Dans la première étape du travail sur moi-même, je dois en venir au degré de Hafetz Hessed. Je ne suis pas dans la voie des autres. Comme une roue dentée, je fonctionne librement sur mon axe, selon les désirs de mes voisins. Fais ce que tu veux avec moi. Je suis prêt à «tourner» à votre demande, comme si je n’avais pas de désirs à moi, comme si ce n’était pas moi, mais une force de soutien qui nous est destinée.

Nous parlons d’un très haut degré. Après tout, je dois travailler avec mon égoïsme de sorte qu’il ne soit pas impliqué dans ma façon de servir les autres.

Pour ce faire, je dois connaître les désirs des autres et ne jamais aller dans la voie de leur réalisation, être absolument neutre. Nous nous référons à une correction énorme, au cours de laquelle j’ai mis en place des écrans des degrés zéro, d’abord, et des degrés secondaires au dessus de mon désir.

Puis, je m’élève au degré suivant. Je dirige mes désirs, mes aptitudes, mes qualités, et tout le potentiel de ma force et de mon énergie, tout,  dans l’intérêt d’autrui. Maintenant, mon égoïsme n’est pas seulement neutralisé, je ne suis pas juste en train de tourner  librement sur un axe, mais je suis connecté à mon propre moteur qui fonctionne dans leur intérêt. C’est le degré de l’amour. Je te donne tout pour le bien de le faire.
Ce chemin s’étend de notre monde dans le monde de l’Infini (∞) à travers 125 degrés. En partie je me rends compte du degré de Hafetz Hessed, étant neutre, et par une autre partie je m’en rends compte en mettant activement mes efforts dans l’intérêt d’autrui.

Au cours de la première étape, je corrige 248 désirs et au cours de la deuxième étape, j’en corrige 365. Dans l’ensemble, la correction des 613 désirs est appelée l’observation des commandements. De cette manière, la volonté commune est divisée en fonction de ma structure intérieure.

Tout cela a pour but de parvenir à la garantie  mutuelle complète et absolue, un état où j’interagis avec tout le monde en harmonie, exactement comme toute autre personne.

Par conséquent, le type de correction à laquelle l’humanité doit venir est clair : tout le monde va percevoir et inclure en soi toute la réalité au point de s’y identifier pleinement. C’est pourquoi la Kabbale est révélée maintenant, parce que si nous ne savons pas comment réaliser ceci, alors notre chemin sera très difficile et douloureux ; en effet, ce serait vraiment le « chemin de la souffrance ».

Cependant, si nous essayons d’agir dans le groupe, notre chemin ne sera pas facile, mais il sera bon (la flèche rouge sur le graphique). Nous nous réunissons, nous ressentons les uns les autres, évoquons la Lumière, et cela fonctionne sur nous, nous influence, et nous éveille. En nous ressentons mutuellement  les uns les autres, nous permettons à la Lumière de faire son travail.

C’est l’essence même de la méthode. Vous ne savez ni ne comprenez rien, vous n’êtes capable de rien, mais vous voulez « avaler » tout le plaisir, et vous avez seulement besoin d’apprendre à évoquer la Lumière. Si vous apprenez, vous atteindrez le succès tellement facilement et si magnifiquement, avec tout le monde dans la joie.

Du congrès « Un »,  New Jersey le 12/05/2012, cours n°3.

Le système décimal des cercles

Dr. Michael LaitmanQuestion: Pourquoi la prochaine étape du travail est-elle l’unité entre les groupes? Comment est-ce relié à l’unité au sein de chaque groupe et au travail individuel d’une personne?

Réponse: En fait, l’unité commence à partir d’un groupe de dix personnes. Un être humain est construit de telle manière qu’il peut appréhender précisément cette quantité de personnes. Dix est un nombre pratique, « rond », ni trop grand, ni trop petit. Il est appelé le «minyan», ce qui signifie ce qui peut être «compté» (Limnot). Notre perception est structurée de telle manière qu’elle ne comprend que ce genre de système, car elle enrobe complètement notre structure interne (les dix Sefirot).

Toutefois, au cours, quand nous ne parlons pas de nos propres impressions, mais en général quand  nous sommes en train de lire des articles et de discuter le matériel, un très grand groupe peut participer à cela, y compris le monde entier. Par conséquent, lors des ateliers nous sommes assis par groupes de dix, tandis qu’au cours il y a n’importe quel nombre de gens qui est capable d’une telle clarification et de discuter en utilisant le langage kabbalistique.

Nous avons juste besoin de nous inquiéter que cela ne se transforme pas en routine, et pour cela nous avons besoin de faire constamment croître le désir intérieur en nous et l’importance de l’objectif. A chaque fois nous allons parler d’un autre personnage, nouveau, de la révélation du Créateur.

En nous unissant avec le groupe, nous créons « Un », la communauté pour nous tous, n’appartenant à aucun d’entre nous, mais seulement pour nous tous ensemble. C’est l’essence la plus haute, la «fusion». Il ne s’agit pas simplement de notre somme, mais d’une sorte d’ajout à elle. C’est parce que, pour être arrivé à cette somme, chacun doit être sorti de son égoïsme. Le concept de l’Un, étant au dessus de nous, est composé de toutes ces annulations personnelles de l’égoïsme. C’est ainsi que nous construisons notre plus haut niveau.

Si nous devions nous unir simplement comme des égoïstes pour un bénéfice commun afin de construire quelque chose ensemble ou pour gagner, comme une équipe de football, alors le résultat serait une somme vide de nos efforts. Cependant, si nous annulons notre ego, alors nous construisons un nouveau récipient commun au-dessus de nous tous.

Il appartient à chacun d’entre nous ; ces dix qui sont assis dans un cercle en discutant sont eux-mêmes en train de s’annuler eux-mêmes et exaltent le groupe et les amis. La plus haute Sefira, Kéter, est définie par la façon dont j’écoute tous les autres gens, comment je place le groupe, le Créateur, et l’objectif au-dessus de moi-même. Et je m’estime aussi bas et je m’abaisse par rapport à mes amis. C’est la façon dont ma Malkhout est définie.

Après que chacun a clarifié ces deux points, Kéter et Malkhout, nous nous unissons tous ces Kéters et ces Malkhouts ensemble. Et si chacun le fait avec assez de capacité pour le premier niveau de la révélation de la Lumière, cela se révèle dans cet écart entre les Kéters, réunis en un seul, et les Malkhouts unis. Une luminescence interne se produit entre eux, puisque nous nous sommes nous-mêmes annulés.

Bien que ce ne soit pas encore la constriction ou un écran, la Lumière est d’ores et déjà révélée et commence à travailler dans la mesure de notre opposition à notre égoïsme et au désir de nous unir. C’est parce que ces deux principes sont déjà spirituels. Nous exaltons le spirituel, le don sans réserve, et nous ne tenons pas compte du matériel, de la réception ; nous prenons les actions que nous sommes capables de prendre, comme des petits enfants.

Et puis les dix personnes, en se complétant les unes les autres et étant prêtes à s’unir, créent une tension importante, une distance entre le Kéter uni et la Malkhout-unie, en construisant notre récipient commun spirituel de cette manière. Et quand nous l’avons construit parmi les dix d’entre nous, nous comprenons que le reste des amis partout dans le monde entier, exercent les mêmes efforts en ce moment. Tous nos efforts conjoints sont combinés quelle que soit la taille de chaque groupe.

Si, après nos efforts pour  nous unir dans notre cercle nous voulons inclure le reste des groupes à l’intérieur de nous,  alors nous nous unissons tous ensemble. Et puis un récipient véritablement énorme et puissant est formé, capable de révéler le premier niveau de la Lumière, en fonction de la similitude des qualités. Plus grande  est la distance entre Kéter commun et Malkhout commune, plus grand est  le récipient, et, éventuellement, il sera déjà suffisant pour la première révélation de la Lumière.

La lumière se révèle sous une forme discrète, en parties: Néfesh, Rouakh, Néshama, et ainsi de suite. Et si nous la révélons, alors elle sera révélée dans chaque groupe et dans chaque personne en fonction de ses efforts personnels, plus dans certains cas et moins dans d’autres, dans la mesure des efforts investis.

C’est pourquoi nous avons besoin de temps pour relier tous les groupes et les amis séparés de nous, et même le monde entier car il a un énorme récipient. C’est là que réside le vrai désir de profiter, et s’il se joint à nous, même dans une forme passive, alors il va ajouter beaucoup de matériel pour nous. Et si avec notre désir vers le spirituel nous sommes  en train de travailler sur ce matériel, alors nous recevons une énorme capacité supplémentaire.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale, le  17/05/2012, « Discussion sur les congrès passés »

Renseignements au sujet du portrait du Créateur

Dr. Michael LaitmanEn étant de ce côté de la Makhsom (barrière), nous ne voyons pas les raisons de nos actions et nous pensons que nous sommes indépendants. Toutefois, le résultat est effectivement prédéterminé et il appelle les actions qui mèneront à lui.

Question: Mais il est dit que même si la récompense est garantie, nous avons encore à faire notre travail. Alors est-ce là notre indépendance, notre libre arbitre?

Réponse: Je voudrais que nous en venions à cela en voyant  que le monde entier d’Ein Sof (Infini) se propage devant nous. Peu importe ce que vous faites, le Créateur vous donne tout ce qui est bon, mais comme un invité assis devant l’hôte, vous êtes prêt à recevoir de Lui seulement à l’aide d’une  « restriction »  et d’un Massakh (écran).

Question: Et à chaque fois une personne doit décider: «Suis-je maintenant en train de faire ce qu’il faut faire? »

Réponse: Bien sûr. Ensuite, vous découvrirez  le don sans réserve de la part du Créateur.

Il veut vous apprendre à recevoir en vue de donner sans réserve. De la part du Créateur il n’y a pas de limites, mais Il le fait dans le but de vous amener à son niveau où vous pourrez acquérir la compréhension et la reconnaissance, et pas seulement la satisfaction, qui n’est que le moyen. Si vous recevez plus ou moins, ce n’est que le moyen, alors que l’objectif est de parvenir à l’adhésion.

L’adhésion n’est pas la satisifaction, mais le plaisir d’être semblable au Créateur. C’est au-dessus du jeu des «Lumières et des récipients » et c’est la réalisation du «point dans le cœur », c’est le plaisir suprême.

D’une part, nous disons que l’objectif de notre développement est l’adhésion .D’autre part, nous disons que l’objectif de la création est le plaisir et la joie. Ainsi, il s’avère que l’adhésion est égale au plaisir.

En fait, c’est toujours aux niveaux du plaisir, puisque le désir, le récipient, ne sent rien sauf cela. Le plaisir est derrière chaque détail de ma perception. Par exemple, je différencie les couleurs dans la mesure où  elles m’apportent du plaisir.

Dans chaque situation, nous mesurons les plaisirs et nous nous connectons généralement en fonction de leurs formes parce que nous avons une forme similaire. Vers le haut et vers le bas,  avec la force et la faiblesse, la chaleur et le froid, nous vérifions tout d’après ce principe, et tout provient de l’impression du désir à partir de la satisfaction ou du manque de plaisir.   

Notre désir est divisé en plusieurs discernements et nuances qui sont déterminés par nos cinq sens selon des gammes et des niveaux parallèles. D’une façon ou d’ une autre, il n’y a rien sauf le désir. Tout est mesuré par mon sentiment, même les choses les plus neutres. Je ne pense pas et n’identifie rien en dehors de ce qui touche à mon ressenti. Chaque discernement que je fais reçoit un « signe affectif» que je mesure. Derrière tous les mots et les noms, il y a les émotions, c’est là où se trouve l’état de mon désir. C’est sur quoi  notre langue est basée.

Question: Je connais les plaisirs qui me comblent. Je sais à quoi j’aspire. Mais qu’est-ce que ça veut dire «ressembler au  Créateur?»Quel genre de satisfaction est-ce? Le sentiment d’appartenance à quelque chose de grand?

Réponse: Si vous prenez l’intériorité de votre cœur, quelque chose qui est très profond et personnel, et que vous essayez de connecter cette étincelle cachée au centre du groupe, vous accomplirez votre « point dans le cœur ».

Question: Et cela signifie ressembler au Créateur?

Réponse: Oui. Parce que le centre du groupe est la représentation du Créateur. C’est l’image qui est représentée dans vos récipients. Vous ne savez pas ce qu’est la Lumière par elle-même. Pour vous, la Lumière est un phénomène que l’on découvre dans le récipient. Lorsque nos récipients sont reliés, lorsque chacun s’annule soi-même et veut atteindre la connexion de tous les points en un seul, c’est la représentation du Créateur. Cela signifie que nous avons adhéré à Lui.

Ainsi, si je suis en adhésion avec le groupe, je suis collé au Créateur. Là, à l’intérieur parmi les amis, c’est là que sont tous les discernements de Son portrait.

De la 4èmepartie du cours quotidien de Kabbale du 17/05/2012, Introduction à l’étude des dix Sefirot