La paix c’est quand les forts ont entendu les faibles

Dr. Michael LaitmanAux nouvelles ( à partir de ‘MIT News): « Pour aider à promouvoir la paix au Moyen-Orient, de nombreuses organisations ont mis en place des « camps de la paix » ou des programmes similaires de résolution des conflits qui amènent des Israéliens et des Palestiniens à favoriser une meilleure compréhension du groupe adverse.

«Une caractéristique commune de ces programmes est l’occasion pour les membres de chaque groupe de partager des histoires sur leur vie avec les membres de l’autre groupe. Maintenant, une nouvelle étude des neuroscientifiques du MIT montre que les avantages de cet échange sont beaucoup plus importants lorsque les membres du groupe les moins puissants partagent leurs histoires avec le groupe traditionnellement dominant que lorsque l’inverse se produit

« La découverte, publiée en ligne dans le ‘Journal of Experimental Social Psychology’, soutient l’idée que pour le groupe sans pouvoir, le plus grand obstacle à la réconciliation est la croyance que leurs préoccupations sont ignorées, a dit Rebecca Saxe, auteur principal de l’étude. …

«Chaque participant devait écrire sur les difficultés de la vie dans leur société, ou bien lire et résumer un tel essai écrit par un membre du groupe adverse. Toutes les interactions ont eu lieu à travers la vidéo et un dialogue en ligne textuel. Chaque participant a été jumelé avec quelqu’un qui, à l’insu du sujet, était en fait un assistant de recherche.

« Dans un questionnaire administré avant et après l’interaction, les attitudes envers le groupe adverse qui ont été les plus améliorées sont parmi les membres du groupe sans pouvoir, ceux qui ont raconté leur propre histoire, et parmi les membres du groupe dominant ceux qui lisent des histoires des autres.

«Lorsque les membres du groupe moins puissant a simplement écrit leurs histoires sans que personne parmi le groupe adverse les lise, cela n’a pas augmenté leurs attitudes à l’égard de l’autre groupe – ce qui renforce l’importance de se faire entendre.

«Pour le groupe dominant, les chercheurs pensent que l’audition des histoires du groupe adverse est bénéfique parce que les membres du groupe au pouvoir ont souvent peur d’être blâmés pour le conflit. Par conséquent, l’écoute donne « l’occasion pour eux d’agir vertueusement et moralement et de montrer qu’ils sont en fait des gens bien, »dit-Saxe.

Mon commentaire: Seul le dialogue sous la forme d’une table ronde (Sadna) aidera à rassembler les gens et à les connecter , jusqu’au point de l’inclusion complète de tous les gens sur terre, pour atteindre ainsi la pleine intégration, et en elle le sentiment de pénétrer la prochaine dimension, notre état ​​suivant, prévu par l’évolution.

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