Daily Archives: 23 novembre 2012

Des secondes interminables

Dr. Michael LaitmanQuestion: Est-ce que la reconnaissance du mal est un processus incessant?

Réponse: Oh! Nous devons encore arriver à cela! Alors vous verrez comme une seconde peut s’étirer. Cela n’a simplement pas de fin ; cela disparaît tout simplement. Le temps n’est pas compressé dans un point comme ils disent dans notre monde, mais plutôt il s’étire de telle façon qu’il disparaît.

Cela n’est pas comme les gens l’imaginent habituellement, que le temps s’accélère comme dans la technologie où nous allons du hertz au kilohertz, au mégahertz, aux fréquences laser, et comme ça de suite. Non! Ici tout arrive de la façon inverse. Le temps s’arrête progressivement. Cependant, pendant une seconde vous pouvez traverser un très grand nombre d’états. Cette seconde ne s’arrête toujours pas

De la Congrès de Georgie 6/11/12, 4ème cours

Un gateau émietté

Dr. Michael LaitmanQuestion: Selon la sagesse de la Kabbale, tout est révélé dans une personne. Alors, où sont les mondes spirituels que nous étudions dans les leçons?

Réponse: Cela se trouve dans notre attitude envers les amis. Autrefois, nous étions des parties d’un ensemble et n’étions pas des tranches d’un « gâteau ». Ensuite, il y a eu un désir, et la Lumière résidait dans celui-ci. Plus tard, le désir de recevoir est venu entre nous, l’intention en vue de recevoir», et nous nous sommes « émiettés ».

Aujourd’hui, chaque miette du gâteau veut seulement s’amuser, se comparer aux autres au détriment des autres, par les autres. C’est ce que nous ressentons, et cela détermine tout. Par conséquent, si l’on veut se débarrasser de ça, si l’on change l’intention d’en vue de recevoir » en l’intention de « dans le but de donner » qui vise à donner sans réserve, nous recueillerons les morceaux du gâteau émietté par nous-mêmes. La Lumière supérieure servira de colle pour remplir tous les vides entre nous.

Maintenant, nous sommes tellement contraire à l’autre qu’il ya un vide dans les sentiments de chacun, un vide entre une personne et les autres. Qui plus est, tout le monde veut étendre ce vide afin de ne pas avoir de lien avec ceux qui l’entourent.

Donc, quand sors de moi-même et appelle les autres, en voulant les sentir en dépit de la distance qui nous sépare, je ne peux pas annuler cette lacune. Donc, je veux monter dans le but de construire le réseau nécessaire au-dessus, le réseau des mondes de ABYA.

Alors, ce vide est comblé par la Lumière supérieure. D’abord, il était très petite et nous tenait à peine comme des miettes de gâteau, mais, maintenant, quand il faut remplir les vides entre nous avec la force de l’amour et du don par dessus la répulsion qui reste, on découvre entre nous un lien qui est 620 fois plus fort. C’est comme si notre gâteau avait été rempli avec de la crème au chocolat, et il y a assez de place pour le remplir avec tout ce qui est bon.

De la 4ème partie du cours quotidien de Kabbale du 20/11/12, “Del’essence de la sagesse de la Kabbale”

La solution est en nous, pas dans la guerre avec des ennemis

Dr. Michael LaitmanÉdition spéciale : Les événements dans le sud d’Israël

Les gens commencent à s’interroger sur les raisons de ce qui se passe. « Pourquoi devrais-je vivre sous les coups de feu ? »

Les gens se sentent malheureux et cela devrait les inciter à trouver une solution. Sinon, la pression ne fera que s’accroître, et les ennemis gagneront en force qu’ils n’avaient pas auparavant.

Le moyen de s’en sortir est de se tourner vers le réseau de forces qui nous unissent en atteignant l’harmonie, l’amour mutuel. La solution est en nous, et non pas dans la guerre avec des ennemis. Jusqu’à ce que nous nous unissions, des troubles et des problèmes nous presseront de plus en plus, comme des noix dans un sac.

Il est impossible de s’entendre dans une famille sans concessions

Dr. Michael LaitmanBaal HaSoulam, «De l’essence de la sagesse de la Kabbale »: Les kabbalistes ont constaté que la forme des quatre mondes, nommés Atsilout , Bryia , Yetsira , et Assiya- à commencer par le premier, le plus élevé du monde, appelé Atsilout , et se terminant dans ce monde mtériel, tangible, appelé Assiya-est exactement la même dans tous les éléments et événements. Cela signifie que tout ce qui se passe et se produit dans le premier monde se retrouve également inchangé dans l’autre monde en-dessous de lui. Il en est de même dans tous les mondes qui le suivent, en descendant vers ce monde tangible.

Il n’y a pas de différence entre eux, mais seulement un degré différent, perçu dans la substance des éléments de la réalité dans chaque monde.

Imaginez une famille: hier, nous nous sommes bagarrés et aujourd’hui, il y a l’amour et la paix entre nous. Le système général qui est fait de sept milliards de personnes révèle aussi, de la même manière, de nouvelles relations dans le réseau de ses liens mutuels. Dans le monde d’Assiya il y a un peu d’indifférence, dans le monde de Yetsira il y a renouvellement, dans le monde de Briya nous sommes dans un état ​​d’ouverture, et dans le monde d’Atsilout nous parvenons à notre accomplissement.

Le système, lui-même, est fixe et rigide. Supposons qu’il y ait un mari et une femme, des enfants et des grands-parents ; tout cela ne fait aucune différence. Seules les relations mutuelles entre les membres de la famille peuvent changer. Ce changement d’attitude est ce qui détermine le passage d’un monde à l’autre.

Ainsi, je ne change rien à la structure, mais seulement je hâte mon développement, mon ascension sur l’échelle spirituelle, l’échelle des relations. Si les relations au sein de ma famille sont corrompues, on me dit: «Quelque chose doit être changé. Essaye de donner un peu ». Je réponds:« Non! Pas du tout! »Et c’est notre état ​​actuel, la position actuelle en ce qui concerne la correction. «Je devrais abandonner mon ego ?! » Ici, nous devons nous élever un peu au-dessus de notre stupidité.

De la 4 ème partie du cours quotidien de Kabbale du 20/11/2012, «L’essence de la sagesse de la Kabbale »

Dans l’attente de la vie

Dr. Michael LaitmanLe livre L’étude des Dix Sefirot (TES, Talmud Esser Sefirot) nous parle de la structure de notre âme et de l’action qu’elle réalise. Mais cette âme et gelée et immobile maintenant, comme dans un état d’attente, de préparation, dans l’état minimale de son niveau minéral. Dans la mesure où nous étudions à propos de cela, elle s’éveille et prend vie.

Nous pouvons faire cela meme inconsciemment, sans aucun calcul de comment tout cela arrive, simplement en lisant ce livre. Cela est aussi bien puisque par là nous attirons la Lumière que ramène vers le bien, mais nous faisons circuler le sang dans le système seulement avec l’intensité d’une nature minérale.

Si nous voulons participer à ce travail de façon consciente et sentir comment la Lumière agit sur nous, ce qui signifie non seulement lire le TES, mais également de continuer à stimuler l’action de la Lumière consciemment, nous injectons ainsi différents courants de la Lumière de Vie dans notre âme, et elle vient à la vie.

Puis nous sentons ses actions et grâce à cela nous arrivons à la compréhension, à la réalisation et à la participation. Tout dépend de la mesure dans laquelle nous nous identifions avec les écrits, si nous comprenons qu’il s’agit de notre âme. Le mot «âme» est appelé «une partie divine d’en haut», ce qui signifie le désir de plaisir corrigé avec l’intention de donner. Il ne peut pas avoir une particule supérieure à celle là en nous.

Et ainsi petit à petit, nous avançons lentement en attirant sur nous-mêmes la force qui injecte la vie spirituelle en nous. Finalement, une personne commence à sentir et à être incorporée pratiquement dans l’ensemble du processus que le livre nous raconte, tout comme l’auteur du livre qui a atteint tout ce qu’elle décrit.
De la 3ème partie du cours quotidien de Kabbale du 19/11/12, L’Etude des dix Sefirot

Des noms avec un contenu intérieur

Dr. Michael LaitmanLes choses réelles se trouvent même dans l’ensemble de la réalité matérielle devant nos yeux, mais nous n’avons ni la perception ni l’image de leur essence. Tels sont l’électricité et le magnétisme.

Néanmoins, qui peut dire que ces noms ne sont pas réels lorsque nous expérimentons de façon satisfaisante et vivace leurs actions? Nous ne pourrions pas être plus indifférents au fait de n’avoir aucune perception de l’essence de l’objet lui-même, à savoir l’électricité elle-même.

Dans l’ “Introduction au Livre du Zohar Baal HaSoulam nous donne l’exemple de l’eau, qui peut être refroidi jusqu’à ce qu’elle devienne solide ou qui peut être amené à l’état de vapeur et ne peut pas être vu. En d’autres termes, nous ne pouvons pas juger selon notre perception si quelque chose existe ou pas, peu importe ce qu’elle est. Cela est particulièrement vrai dans nos moments où nous avons découvert des fréquences différentes, des phénomènes quantiques, des bactéries et d’autres phénomènes qui ne peuvent pas être ressentis.

En fait, nous voyons que c’est beaucoup plus compliqué que l’image qui est représentée par nos cinq sens grossiers. Je ne peux plus limiter le monde à ces sens limités. En fait, le monde entier en fait n’est pas de la matière, mais des vagues et de l’énergie, et moi aussi je suis comme ça.

En étudiant des phénomènes différents, nous les nommons en fonction de nos sentiments. Dans le passé, par exemple, une personne regardait une montagne et dit:« Ce serait une bonne idée de cultiver des oliviers sur les pentes de cette montagne». Depuis lors, cette montagne est appelée  » Mont des Oliviers ». Y a t-il uneatteinte spirituelle dans tout cela? Non, mais d’un autre côté, l’idée ne vient pas par hasard non plus, sinon selon l’ordre des Lumières des récipients (Kélim). Il n’y a aucun hasard, les noms proviennent toujours de quelque atteinte, dans ce cas, une atteinte matérielle. Les kabbalistes découvrent des phénomènes de la réalité spirituelle dans leurs sentiments, et les appellent par leur nom en conséquence. Qui plus est, ces noms sont remplis d’un riche contenu intérieur qui est stabilisé dans différents aspects, de traitement et de composants.

De la 4ème partie du cours quotidien de Kabbale du 19/11/12, “De l’essence de la sagesse de la Kabbale“

Obtenir le maximum de bronzage sous la Lumière Environnante

Dr. Michael LaitmanUne personne arrive à l’étude car elle veut savoir, comprendre, et ressentir le Monde Spirituel. Entretemps, néanmoins, elle ne comprend pas vraiment ce que recevoir pour soi même et donner sans réserve aux autres veut dire. IElle sait seulement comment s’occuper de soi même, agir suivant son désir de recevoir ; tout son travail est de réaliser des actions qui attireront la Lumière qui ramène vers le bien.

La seule chose sur laquelle nous devrions penser est de comment nous ouvrir à la Lumière et lui donner l’opportunité d’agir sur nous et nous impressionner pour changer nos attributs. Nous devons en permanence nous préoccuper seulement de comment atteindre le meilleur état pour ce genre de don sans réserve, pour augmenter notre connexion au groupe de façon intentionnelle, et d’organiser tout ce qui est nécessaire.

Notre rôle est d’organiser cette somme de conditions de la meilleure manière possible, de telle façon que la Lumière puisse agir sur nous. La lumière est figée, immobile, et je dois, de façon permanente, me tourner pour me placer sous son influence, une fois d’un côté, ensuite de l’autre, dans mes pensées, mes intentions, mes actions, en travaillant avec les livres, avec le groupe, avec moi-même, dans mes relations avec les gens qui me sont proches ou distants, dans tout.

SI une personne pense constamment à ça et met tous ses espoirs dans ça, comprenant que rien ne peut l’aider si ce n’est l’influence de la Lumière, elle atteint le résultat très rapidement. Cela veut dire qu’elle « attend la Lumière du Créateur» comme si elle attendait l’aube. Elle sent comment ses valeurs changent en étant tournés vers le Don et l’amour, en sortant d’elle-même vers ses amis, vers le concept de GROUPE, vers sa forme et image internes.

C’est par là qu’elle commence à voir sa vie. Elle sent qu’il y a deux désirs en elle: le premier est le désir naturel égoïste de recevoir pour soi même, qui reste en elle pour l’instant. L’autre désir est la faim qui grandit graduellement en elle, le besoin, le vide total, le manque, qu’elle veut remplir par son désir de connexion.

Après qu’une personne sente ces deux désirs en elle, grace à la Lumière qui a créé un espace vide en elle, elle peut déjà recevoir une certain direction. Au début elle n’a qu’un point qui n’a pas de direction, et maintenant entre ces deux vides, il y a une connexion qui détermine les directions pour le « moi-même »vers les « autres », et par là une personne avance.

La chose la plus importante est de constamment se tourner en visant l’influence maximale de la Lumière qui ramène vers le Bien, de la façon la meilleure et plus efficace.

De la préparation du coursquotidien de Kabbale du 19/11/12

Israel n’a pas de futur sans unité

Dr. Michael LaitmanAujourd’hui, une situation irréelle a été créée en Israël. En essence, qu’est-ce qui peut aider le peuple d’Israël à survivre dans leur pays? Rien. Ils vivent dans une île dans une mer de gens qui les haïssent, qui son prêts à « les éliminer complètement » au point que même leur mémoire n’y reste.

En Egypte, par exemple, ils ont commencé à parler de la destruction des pyramides, similaire à l’Afghanistan où deux Bouddhas géants ont été détruits. Cela voudoit dire, qui peut se référer à ces pyramides aujourd’hui? Il s’agit de l’ancienne culture qui existait il ya des milliers d’années. Mais non, cela ne s’arrête pas aux tendances destructrices, ces gens ne veulent laisser aucune trace de quoique ce soit, à part leur religion. Bouddha est vénéré jusqu’à ce jour, mais les pyramides ne sont pas des objets religieux du tout. Et pourtant, cela est très important et symbolique.

Comment pouvons-nous survivre dans cette situation? Il n’existe aucun moyen. C’est comme si un nuage était descendu sur l’esprit des Israéliens, ils croient qu’ils peuvent continuer à vivre dans le pays. Mais cela est impossible. Du point de vue logique, ils n’ont aucune chance.

Toutefois, la Haute Direction appuie toujours chez les gens l’espoir qu’ils peuvent continuer de bâtir sur cette terre. Ainsi, les gens ont le temps de gagner de la force spirituelle et à partir de là attirer le monde entier à la correction.

Cette tâche nous a été confiée, à nous. Nous appelons le peuple à l’unité qui permettra de résoudre son problème. Et ils disent: « Comment ça? Comment pouvons-nous réussir grâce à l’unité? Qu’est-ce que c’est, et comment est-ce relié aux missiles qui tombent sur nos têtes?  »

Nous travaillons avec une logique supérieure à la logique de leur vie. Une vision objective montre clairement qu’il n’y a pas d’avenir ici. Notre approche, «irrationnelle» à leurs yeux, est plus rationnelle et plus réaliste que l’illusion dans laquelle vit le pays.

Espérons que les gens vont comprendre: En fait, la situation actuelle n’a pas d’autre solution que l’unité.

De la 2ème partie du cours quotidien de Kabbale du 20/11/12, Le Zohar