Monthly Archives: janvier 2013

Les efforts d’un bébé accélèrent sa naissance

congrès, groupeQuestion : Au cours du congrès, nous avons fait des efforts pour naître, mais comment pouvons-nous les synchroniser avec les douleurs de l’enfantement qui viennent d’En-Haut ?

Réponse : C’est pour cela que l’on nous donne des exercices d’En-Haut : il y a un temps de descente, et un temps de montée, il y a des moments où l’on se réunit et nous étudions. Et les états les plus importants sont ceux où nous nous unissons l’un l’autre : pendant les cours, les autres activités conjointes, et aux conventions. Maintenant, nous ajoutons nos efforts aux douleurs naturelles de l’enfantement afin d’accélérer ce processus.

Et en fait, nos actions d’aujourd’hui accélèrent notre naissance à la fois quantitativement et qualitativement. En conséquence, nous commençons à comprendre et à mieux sentir où se trouve en fait le point le plus crucial, où nous avons besoin d’appuyer, et que sera un nouveau-né en fonction de nos attentes.

Un nouveau-né est notre prochain degré, comme des enfants qui suivent leurs parents, c’est notre état suivant. Nous passons tous ces états en raison de la concentration de nos efforts, en plus de ce qui nous est donné d’En-Haut.

Nous ne sentons pas dans notre travail ce qui appartient à la préparation du côté du Créateur et ce qu’Il fait. Nous appliquons la pression, en essayant de s’annuler devant tout le monde afin de créer un seul cœur, un seul désir, et en essayant de ne pas être un obstacle. Mais tout le reste est fait par le Créateur. Il réveille en nous des désirs et nous agissons, mais cela n’est pas ajouté à notre propre compte. Seuls les efforts que nous appliquons pour nous annuler, notre sacrifice de soi, sont comptés.

Ces actions nous sont données avec beaucoup de difficulté et pour quelques instants. Mais rien de plus n’est nécessaire, nous pouvons accumuler ces moments et atteindre très rapidement la force du don sans réserve, et sentir cette force se revêtir en nous. C’est ce qu’on appelle la révélation du Créateur à la créature.

Du congrès d’Arava du 18/01/13, Leçon n°5

Les étapes de l’amour des autres

congrès, groupeQuestion : Comment les changements graduels arrivent-ils à finalement nous conduire à un état où mon voisin devient plus important pour moi que je ne le suis pour moi-même ? Qu’est-ce que je ressens à chaque étape ?

Réponse : Ce type de changement se produit chez une personne uniquement avec l’aide de la Lumière qui Répare. En gros, cela peut être divisé en quatre étapes :

1. Nous ne sentons personne en dehors de nous ; ils semblent tellement « sans vie » à nos yeux. Ils vivent quelque part près de chez nous, mais nous n’avons rien en commun avec eux. Nous communiquons avec eux, les étreignons, chantons des chansons avec eux, mais nous continuons à les considérer comme des « marionnettes » qui existent à côté de nous.

2. Plus tard, dans la mesure du niveau d’affliction que nous traversons, qui est déclenchée par notre souci de ne pas progresser suffisamment, nous commençons à nous inquiéter : « Qu’est-ce qui va m’arriver ? ». En ce moment, nous continuons à souffrir et à faire des efforts, mais nous ne comprenons toujours pas les manières de se connecter avec les autres. Cela ne veut pas « pénétrer » dans nos oreilles, ce ne sont que de belles paroles, je les ai entendues de nombreuses fois…

La réalité, le processus d’apprentissage, et tout ce que nous faisons devient de plus en plus important pour nous, bien que nos préoccupations concernant les relations avec nos amis ne sont pas encore tout à fait claires pour nous. Nous ne ressentons pas encore que notre connexion nous mène quelque part. Elle semble juste être une sorte de « moralité » et nous rappelle même des commandements religieux.

3. Ainsi, nous commençons à négliger tout ce que nos amis font dans le groupe : les connexions, les danses, les chants. Nous ne sommes pas capables de nous comporter de cette façon. A nos yeux, cela semble très frivole ; nous acceptons d’agir de cette façon seulement parce qu’elle crée une ambiance bonne et agréable, et nous savons que nous devons encourager nos amis et rester ensemble. Donc, nous nous rencontrons lors des repas communs dans le but de se connecter un peu et peut-être même d’attirer de nouvelles personnes à nous. C’est ce que nous pensons.

4. À ce stade, nous reconnaissons que quoi que nous fassions, cela ne fonctionne pas pour nous. Nous commençons à remarquer qu’en ce moment, d’autres gens sont beaucoup plus intelligents à nos yeux. Nous commençons à nous dire : « Comment font-ils cela ? » Nous réévaluons notre attitude et arrivons à la conclusion que l’unité est importante.

Pas de doute, il s’agit du résultat de l’impact de la Lumière plutôt que d’une conséquence des activités mutuelles entre amis. Bien que, depuis que nous continuons toujours à participer à des activités conjointes, la Lumière Environnante descend vers nous. Nous commençons à considérer nos activités orientées vers l’unité comme utiles, mais pensons encore qu’elles sont purement théoriques. Nous continuons à parler d’elles, à lire et à écouter à propos du travail en groupe plus intensément qu’avant ; auparavant nous ne faisions même pas attention aux articles qui décrivent ces choses. Nous pensions que la « Préface à la sagesse de la Kabbale », « L’étude des dix Sefirot » et les autres écrits valaient la peine d’être lus, mais l’article « La dernière génération » nous a rappelé les idées communistes.

Peu à peu, sous l’influence de la Lumière Environnante, nous commençons à réaliser que nous devons travailler contre notre ego et le surmonter. Ensuite, nous remarquons que surmonter notre égoïsme et la connexion avec nos amis sont en fait une seule et même chose : il est impossible d’y parvenir autrement. C’est seulement faisable qu’en étant dans le groupe et exclusivement par la connexion aux amis.

Avant, nous n’avons jamais évalué les actions extérieures et les avons négligées dans la mesure où nous souhaitions qu’elles n’eussent jamais existé. « Pourquoi devons-nous nous unir avec les autres ? Aime ton ami semble repoussant… Avez-vous déjà vu cela se produire ? Qu’est-ce que vous racontez ? Cela me gêne que les livres de Kabbale parlent de telles choses… ».

Tout d’un coup, nous remarquons que le contenu interne de nos actions est totalement orienté vers l’unité, la fusion de nos particules internes, plutôt que des corps physiques. Nous continuons de négliger nos connexions physiques. Si cela ne nous conduit pas à joindre les points dans le cœur, nous continuons à mépriser les « trucs » et les « slogans » comme : « Unissons-nous ! Asseyons-nous ensemble lors des repas et discutons ! ».

Nous commençons à changer notre attitude envers l’unité. Soudainement on se rend compte qu’il s’agit de la connexion « des points dans le cœur » avec l’aide de la Lumière qui ramène vers le bien. C’est pourquoi nous devons rester dans le groupe. C’est différent que de passer du temps dans un bar où les gens s’embrassent, chantent, et se sentent bien. Ici, nous nous asseyons également ensemble, nous pouvons prendre un verre et nous serrer dans les bras, bien que notre intention n’est pas d’unir nos corps ou certains idéaux terrestres égoïstes, mais plutôt d’essayer de rapprocher nos points dans le cœur et de demander à la Lumière de nous toucher et de les connecter entre eux. La Lumière nous influence suffisamment dans la mesure de nos efforts mutuels et de notre désir d’union.

C’est la façon dont nous avançons. Passer par ces étapes est essentiel. En conséquence, nous devenons convaincus que notre présence dans le groupe et les activités de groupe sont nécessaires pour relier les points dans le cœur avec l’aide de la Lumière. A partir de ce moment-là, nous arrêtons de négliger l’unité. Nous savons déjà que la réalisation spirituelle se trouve entièrement dans l’unité et notre avancement devient plus évident pour nous. Dans le même temps, nous découvrons une nouvelle difficulté sur notre chemin : nous devons trouver le moyen de nous détacher de notre « moi » à partir de quoi nous contribuons à l’unité. Nous devons être soucieux de donner à « l’exteriorité » plus de poids que notre propre « moi ». Pour cela, nous avons également besoin de la Lumière. Cependant, c’est la prochaine étape et elle se compose également de quatre sous-phases.

De la 2ème partie du cours quotidien de Kabbale du 07/01/13, Le Zohar

Le désespoir et la sécurité sont les composantes de la prière

Tout notre travail, toute la voie et chaque part qu’il y a en elle, chaque situation se divise en deux parties: tout ce que l’homme fait de son propre chef, et ce qui lui arrive d’après son désir. Je dois savoir que le but de la création est d’atteindre l’attribut du don, l’équivalence de forme avec le Créateur, de toutes mes forces. Je ne sais pas ce que sont tous ses désirs, toutes les 125 degrés, cela m’est encore caché. Mais mon but est de faire de mon mieux, d’utiliser tout ce que j’ai maintenant, comme un enfant qui cherche à atteindre l’objectif souhaité de toutes ses forces.

C’est comme cela que je dois agir à tout moment, aspirer à atteindre la force du don. Et après avoir essayé de le faire par moi-même avec le groupe, en se préparant et en m’annulant, en demandant de l’aide auprès des amis, « Faite vous un Rav et achetez-vous un ami », après toutes ces actions, je suis convaincu de mon impuissance absolue. Mon professeur, le Rabash, avait l’habitude de me dire: « Maintenant, tu vois que tu es une serpillière comme moi ».

En fin de compte, l’homme n’a plus aucun espoir de faire un changement pour le mieux et de se réparer par lui-même. Il doit être convaincu de cela par son expérience. Après tout, même s’il a entendu à plusieurs reprises qu’il ne se corrige pas par lui-même et que c’est la lumière qui doit le faire, cpendant pour l’instant, ces mots sont sans valeur pour lui.

Pour exiger de la lumière la correction, il doit d’abord essayer de le faire de son propre chef, autant que possible. Après tout, tant que vous ne désespérez pas de de vos propre forces, toutes vos demandes seront des mensonges. Vous êtes simplement paresseux et ne voulez pas faire d’effort. Et si vous avez investi tout ce que vous avez, et êtes convaincu que le but est hors d’atteinte, alors grâce aux efforts que vous avez investi,  vous acquérez un désir d’obtenir le vrai attribut du don.

En raison du fait que vous avez investi tous vos efforts et vous n’avez rien obtenu, vous êtes découragé de vos efforts et de votre capacité. Donc, maintenant vous avez deux composantes: le désir d’atteindre l’objectif, l’intention claire, en effet,  vous avez investi le meilleur de vous, mais vous n’avez rien obtenu, et d’autre part, par ceci vous avez acquis un grand désir et vous “explosez” du désir d’atteindre le but.

Ce sont deux concepts contradictoires, comme cela arrive souvent dans la spiritualité. Et s’ils s’unissent en un même concept, dans un désir pur afin d’obtenir l’attribut du don et rien d’autre, alors la prière jaillira en vous.

Cela arrive tout simplement, c’est la façon dont nous sommes conçus. Toutes ces étapes sont déjà en nous, tous les “Réchimot « . Nous n’avons pas besoin de les imaginer ou de les construire. Dès que j’essaie d’obtenir le don, cela crée en moi le vrai désir, qui au bout de compte fait monter la prière. J’élève “MAN”, qui est composée du “Rechimo De Hitlabchout  » et du “Rechimo de Aviout”: Par le grand désir d’atteindre le but et le désespoir de l’atteindre par moi-même. Qui plus est, une confiance s’ajoute par le fait que le Créateur peut le faire pour moi, Il doit et va le faire! En fait, Je vois suivant l’ordre des étapes que je traverse, que tout est organisé de telle sorte comme Il le veut, mais qu’il attend uniquement ma juste demande, à savoir, le désir bien modeler, la vraie prière, MAN.

MAN, signifie “Mei Noukvin”, c’est-à-dire, deux attributs de base, qui sont connectés entre elles de façon juste. Alors, en réponse à ce besoin de donner, à la déception de mes propres forces et l’espoir de se corriger, la lumière supérieure arrive et m’offre l’attribut du don, et dans ce “Rechimo” m’apparaît la première image spirituelle. La force de la lumière
s’enveloppe dans le “Rechimo« , le corriger, le connecte, le construit, et moi je me trouve déjà dans le don.

Ceci est ma première étape spirituelle, en qui le réseau global est clair pour moi, la connexion entre tous. Et je vois qu’en coulisses œuvre la lumière, la force du don qui doit éveiller la force de la réception, les situations qui lui sont opposées, de sorte que je puisse sentir combien elle me manque, et que je la demande. Alors, je traverse les mêmes situations que j’ai vécues maintenant dans la première étape.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale, les Ecrits du Rabash, 16.01.2013

Y a-t-il des limites à la loyauté et à l’amour ?

Dr. Michael LaitmanNous allons devoir passer par de nombreux états dans le travail spirituel. La première étape, la plus facile et la plus essentielle, est d’inverser le « je » en « nous ». Après tout, je suis encore inclus dans « nous », et en lui est inclus notre fierté générale. Tout le monde disparaît dans ce concept, pas seulement moi. Nous voyons dans nos vies ordinaires qu’il est relativement facile pour une personne de s’identifier ainsi avec un groupe, une unité militaire, la famille, de se lier avec d’autres corps.

Par la suite, des discernements de plus en plus importants et difficiles arriveront, plus de correction personnelle. Je commence à m’inquiéter précisément à propos des personnes les plus détestées, qui me causent le plus de dérangements et de problèmes. Et ce n’est pas juste de la haine, j’ouvre les plus hauts degrés de haine et de répulsion qu’une personne ordinaire ne peut même pas imaginer et ressentir. Cependant, je doit m’élever au-dessus de tout mon ego et atteindre un tel état que cette personne la plus détestée, que je veux fouler aux pieds, devient plus cher que moi, et je préfère qu’elle obtienne que le meilleur, et rien pour moi.

Ce n’est pas facile d’atteindre une telle correction, mais certainement à la fin cela doit être comme ça, et pas seulement en général, mais à l’égard de personnes spécifiques. Dans un premier temps nous allons de notre « moi » personnel au « nous » général, et plus tard, dans le « nous », les éléments commencent à se révéler, ce qui signifie « Lui ».

Et dans toutes ces actions, le secours est seulement la grandeur du Créateur qui s’élève au-dessus de ma propre importance, afin de m’aider joyeusement à me débarrasser de mon « je » pour le bénéfice d’autrui. Je serai reconnaissant de l’occasion qui m’a été donnée d’inverser mes petits détestés en bien-aimés du Créateur, parce qu’à partir d’eux, Il obtiendra un plus grand plaisir.

Il s’agit d’un terrible « masochisme » inimaginable, mais tout est basé sur la grandeur du Créateur. Nous sommes tenus d’élever cette grandeur à un tel degré qu’il ne restera plus rien de ma sensation du « je ». C’est ce que l’on appelle « l’existence de l’absence », et nous retournons à cette absence. Mais ce n’est toujours pas la limite de l’auto-annulation ! Mais nous parlerons des prochaines étapes plus tard…

De la préparation du cours quotidien de Kabbale du 06/01/13

La vie inconsciente: Le libre arbitre n’existe pas?

Dr. Michael LaitmanDans les Nouvelles (à partir de Max Planck Society): «De nombreux processus dans le cerveause produisent automatiquement et sans intervention de notre conscience. Cela empêche notre esprit d’être surchargé par des tâches simples de routine. Mais quand il s’agit de décisions, nous avons tendance à penser qu’elles sont prises par notre esprit conscient. Ceci est remis en question par nos résultats actuels. …


« Les chercheurs ont découvert qu’il était possible de prédire à partir des signaux du cerveau où les participants prendraient sept secondes avant qu’ils prennent leur décision consciemment…

«Cela suggère que la décision est inconsciemment préparée à l’avance. »

Mon commentaire:La décision est prise en dehors de nous, au-dessus, mais pas seulement, dans notre cas, mais dans le cas de tous les objets du monde selon le principe: le verre commence à se briser avant que la balle l’atteint.Tout se passe dans le monde d’une manière opposée à ce que nous pensons, nos pensées, nos décisions et actions ne viennent pas de nous dans le monde, mais dans l’ordre inverse, elles viennent à nous de «quelque part» … Le Créateur nous donne une série de sensations, et nous devons apprendre à y répondre correctement, le reconnaître en chacune d’elles… et puis notre vie deviendra consciente!

Aidez les enfants chéris du Créateur

Dr. Michael LaitmanQuestion: A qui dois-je aspirer à apporter du contentement au groupe ou au Créateur?

Réponse: Vous ne pouvez pas apporter contentement au Créateur sans apporter le contentement au groupe. Il s’agit d’une condition nécessaire. Sinon, vous trompez vous-mêmeen croyant que vous aspirez au don sans réserve, alors qu’en réalité vous vous souciez de votre propre intêret plutôt qu’au bien des autres.

Imaginez donc ce que vous pouvez plaire au Créateur qu’à la condition que vous apportiez contentement à ses enfants, qui sont en fait le groupe. Vous ne pouvez pas faire quelque chose pour lui, puisque tous ses désirs se concentrent uniquement sur la créature.

De la 3e partie du cours quotidien de Kabbale 10/01/13, TES

La solution de la crise est dans la capacité à la traiter

Dr. Michael LaitmanAvis (M.Velichko, PhD): Toutes les crises peuvent être divisées en deux catégories.

– Celles qui proviennent de l’extérieur – une guerre, une série de catastrophes naturelles, les épidémies, entraînants des économies détruites, des morts, déformation de la structure des forces productives.

– Le résultat d’une mauvaise gestion – intellectuellement insuffisante et mauvaise, malsaine, où le résultat correspond à l’action, et l’action – c’est la vie de la société pendant des décennies avant la crise.

Si une société veut sortir de la crise, elle doit arriver à une nouvelle compréhension du monde. Ce processus est assez pénible parce que le plus difficile pour les gens est de se séparer de leurs préjugés. Et s’il y a quelqu’un qui est capable d’exprimer une nouvelle compréhension du monde, apporter son idée à l’ensemble de la société, alors la société sort de la crise.

Mon commentaire: Il est inutile d’attendre une nouvelle compréhension du monde de la société. Il faut présenter une nouvelle vision du monde de manière à ce qu’elle corresponde exactement aux attentes de la société –  alors elle sera acceptée!

Se perdre soi-même matériellement

congrès, groupeQuestion: Comment pouvons-nous devenir le Partsouf inférieur pendant le Congrès, qui s’annule lui-même devant le Supérieur et demande de le créer dans le spirituel?

Réponse: Notre Partsouf supérieur – c’est un groupe, et le Créateur ne se révèle que dans un groupe. Nous transformons le groupe en Malkhout, en Shekhina, et son supérieur – c’est Zeir Anpin, le Créateur. Nous devons atteindre un tel état dans lequel la Force supérieure se révélera à nous dans notre union.

C’est tout à fait possible et pourrait bien se produire. Nous recevrons certainement une illumination de cet état, et nous la recevons déjà – chacun selon son degré. Mais quand nous serons vraiment unis, au lieu de l’illumination personnelle, nous révélerons la Lumière.

Cette Lumière se révélera à chacun lui aussi, dans la mesure où chacun s’est investi et a  atteint l’union. Mais ce sera une portion bien définie de la lumière, et pas seulement quelques illuminations extérieures. Je suis sûr que non seulement pendant le Congrès des hommes, mais aussi pendant le Congrès des femmes on peut ressentir cette lumière.

L’annulation de notre groupe lui-même devant le Supérieur signifie que chacun s’annule soi-même de toutes ses forces pour s’unir aux autres et là, il se perd lui-même matériellement – là il est seulement sous l’influence spirituelle.

Nous étudiions dans l’article « 600.000 âmes » qu’il y a une seule âme, et chacun la conçoit et se joint à cette même âme. En fait, cette division que la force de division nous montre, nous présentant comme si chacun a sa propre âme privée, n’existe pas. Nous la percevons ainsi seulement parce que nous n’avons pas encore atteint une parfaite compréhension, et sommes dans la confusion, dans le brouillard et inconscient. C’est pourquoi, pendant le Congrès, nous voulons nous unir à cette âme.

De la leçon sur  » l’étude des dix Sefirot « , 10/11/2012

Le Forum Économique Mondial prévient au sujet de l’effondrement des systèmes financiers

Aux nouvelles (tiré du Financial Post) : « L’écart grandissant entre les riches et les pauvres et les déficits publics en plein essor sont les risques les plus susceptibles d’avoir un impact global sur la prochaine décennie, selon les experts interrogés par le Forum Économique Mondial (WEF). »

« Le changement climatique, la pénurie d’eau et les populations vieillissantes complètent le top des cinq risques du WEF. »

Mon commentaire : Quand cela est projeté comme un état chronique de la prochaine décennie, c’est un état menaçant et non pas seulement des risques globaux. Chacun d’entre eux se développera dans une défaillance du système. Chacun d’entre eux peut entraîner un conflit terrible. Nous devons chercher une cause commune de ce qui se passe dans l’humanité afin de trouver la solution, ce dont parle la Kabbale.

Le congrès des femmes : que devraient faire les mères de jeunes enfants ?

Question : Est-ce qu’une mère de jeunes enfants devrait faire des efforts pour être physiquement présent au congrès ?

Réponse : Je recommande que les femmes ayant de jeunes enfants n’assistent pas au congrès général, mais participent à des congrès miroir, qui sont tenus localement, dans la même ville, afin qu’elles puissent rentrer chez elles en une heure et demie.

Si vous avez des enfants très petits, alors il vaut mieux pour quelques femmes qu’elles s’unissent chez quelqu’un, qu’elles ne soient pas séparées loin des enfants, sinon leurs cœurs s’inquièteraient, donc ce n’est pas la peine de risquer cela. Si les enfants sont dans l’âge où ils peuvent être pris en charge par un mari ou un membre de la famille, c’est autre chose.

Vous ne devriez pas venir à tout prix au congrès. Nous allons organiser de telles rencontres, et vous aurez l’occasion d’y participer parce qu’à ce moment-là les enfants auront grandi un peu.

De la leçon virtuelle du 06/01/13