Daily Archives: 17 mars 2013

Tourner notre face vers le supérieur

Dr. Michael LaitmanLe Baal HaSoulam, « Un discours de conclusion du Zohar« : Dans la spiritualité, le temps de donner et le temps de recevoir sont séparés. Ceci est en raison que d’abord le Créateur à donné au récepteur, et dans ce don, Il ne lui donne qu’une chance de recevoir.

Question: Comment peut-on reconnaître cette possibilité et l’utiliser correctement?

Réponse: Il y a plusieurs signes, et le premier, c’est quand nous ne sommes pas laissés en paix. Si nous ne nous réveillons pas, alors quelle sorte de chance ça nous donne? En général, nous-nous « réveillons », soit devant un café ou dans un bar, ou pendant un match de football à la télévision. Peut-on vraiment se réveiller pour la correction si notre nature est tout simplement un désir égoïste de recevoir du plaisir? Nous-nous réveillons à cause de nos problèmes particuliers, motivants et qualitatifs.

Pendant des milliers d’années de développement, l’humanité a reçu beaucoup de simples coups. Si une seule génération de personnes qui auraient eu de longues de vies avaient fait cette expérience, elles auraient l’air incroyablement triste. C’est pourquoi nous réincarnons de génération en génération – à savoir des coups de qualités à venir.

Aujourd’hui, nous avons de la nourriture, des vêtements et un abri. Chacun de nous vit mieux que les rois l’ont fait pendant les cinq cents ou mille ans passés. Des réfrigérateurs, des climatiseurs, des micro-ondes, des téléphones portables, des voitures, ou si le moins bon arrive au pire, des transports publics sont les attributs de notre vie moderne. Le monde entier est en face de nous. Mais il n’y a pas si longtemps, l’Europe avait un air très différent: Les gens vivaient dans des conditions terribles et avaient des relations sociales inconcevables.

Nous sommes tous relativement aisés. Alors qu’est-ce qui manque dans nos vies? Nous manquons de joie, d’un but dans la vie. Que devons-nous vivre? Le paradoxe de notre vie, c’est que nous avons tout ce dont nous avons besoin, mais nous profitons à peine de notre existence.

Auparavant, c’était dans l’autre sens. Quand une personne avait une miche de pain tous les jours, elle n’aurait rien voulu d’autre. Ayant ce « bonheur », elle serait restée au lit toute la journée. Alors qu’aujourd’hui, les gens se reposent sur leurs divans, parce qu’ils sont vidés par l’abondance. C’est ce qu’on appelle des coups de qualités. Les enfants rebelles, les familles brisées, les peurs, les soucis et la confusion – une personne fait tout pour les éviter, mais il n’y a pas de place où courir.

D’autre part, le monde est « rassemblé » par un seul filet, et nous-nous inquiétons à cause de la bourse de New York, des cultures européennes, des fortes pluies dans les régions éloignées, ou les conflits dans d’autres pays. Nous sommes en contact avec tout le monde et dépendent de tout. Nous ressentons constamment la pression et l’incertitude. Ainsi, nous sommes obligés de prendre soin des autres.

En conséquence, nous expérimentons tous des catastrophes qui nous visent en particulier, et qui amènent une seule question dans notre cerveau: « Quel est le but de ma souffrance? » le Baal HaSoulam a formulé cette question un peu différemment: « Qui aime ce qui qui se passe? Ou plus précisément encore, de quoi dois-je prendre plaisir? » Le problème est qu’il n’existe pas de réponses à ces questions.

En général, la période actuelle de notre vie représente le côté « opposé » de l’ère du Messie. Avant toute chose, nous devons révéler un désir. C’est pourquoi la Lumière nous parvient à travers « l’entrée arrière », par derrière. Notre devoir est de la renverser de manière qu’elle brille devant nous. Le Rabash a écrit à ce sujet dans son article « La question sur l’association de la qualité de la miséricorde et le jugement. » Le supérieur me semble comme quelque chose de très sombre et repoussant jusqu’à ce que je me lève « au-dessus de la raison » et commence à Le révéler et à m’attacher à Lui. Je me transforme en mon opposé (ou bien de faire la même chose avec Lui à mes yeux), puis nous-nous retournons face à face les uns aux autres.

Cependant, il brille toujours en moi par « l’autre côté » et provoque des catastrophes qui peuvent peu à peu me faire glisser vers une approche correcte par la construction d’un récipient en moi.

C’est ainsi que nous avons à passer tous les niveaux, toutes les étapes historiques. Le Baal HaSoulam a écrit que tout état est conservé jusqu’à ce qu’il devienne insupportable. Ensuite, nous avons à le détruire et à construire autre chose à la place.

Cependant, cette fois nous n’avons pas à détruire ou à construire quoi que ce soit au niveau de ce monde. Au contraire, nous devons comprendre et digérer ce qui se passe chez nous, explorer la situation où nous sommes, comprendre et reconnaître celle-ci. L’essentiel est de comprendre que le supérieur doit effectuer tous les changements. Mais ce n’est pas parce que nous sommes impuissants, après tout, Il fait tout par avance, bien qu’on ne s’en rend pas compte. Aujourd’hui, nous devons reconnaître cette réalité et faire en sorte que nous acceptions toutes les actions que le supérieur fait, et que nous devions obtenir toutes Ses actions, les demandez et Le remercier pour elles, et donc constamment accompagner tous Ses traces.

C’est en fait le « travail pour l’amour du Créateur »: j’arrive à le connaître, je commence à fusionner avec Lui. Ce sont les spécificités de notre dernier stade de développement: Nous apprenons à connaître le Créateur de mieux en mieux, jusqu’à ce que nous le connaissions complètement. En d’autres termes, enfin, nous verrons que tout ce qui nous arrive, y compris des événements « négatifs », ont été préparés par Lui seulement que nous puissions mieux Le connaître. Cette façon de Le connaître est impossible sans notre participation. C’est exactement ce qui nous est encore caché.

De la 4ème partie du cours quotidien de Kabbale du 11/02/13, « Un discours de conclusion du Zohar« 

Dans la prison de son propre égoïsme

Dr. Michael LaitmanÀ mesure qu’on avance, une personne commence à sentir que tout ce qui est spirituel est en dehors de son corps, dans tout ce qui l’entoure dans la nature, aux niveaux minéral, végétal, et animé, chez les humains. C’est ce que le monde est, la zone que nous devons apprendre à traiter avec soin et amour comme un grand trésor, de façon à ce que le monde, qui est en dehors de notre corps, devienne très important pour nous.

Le sentiment de l’existence dans le corps physiologique se produit seulement dans notre imagination grâce à une combinaison de forces qui agissent sur nous. C’est pourquoi nous sentons comme si nous vivions dans le corps matériel, et, si une personne a une aspiration de vivre en dehors de son corps, dans tout ce qui l’entoure, cela est déjà le besoin de ressentir l’âme.

Ayant commencé à travailler sur ce sujet, une personne voit qu’elle doit concentrer tout son travail sur l’environnement correct, parce que c’est de là qu’elle peut obtenir de l’aide et du soutien. Un tel environnement est le groupe, en tant que représentants du monde extérieur, ceux qui peuvent me répondre, me séduire, et m’aider à sortir de moi-même.

Alors, je considère le groupe comme mon sauveur, qui me jette une corde pour me sortir comme d’un puits. Je ne m’associe pas avec mon corps et souhaite me sortir de là, donc je prends la corde. Le groupe, les amis qui sont en dehors de moi, m’aident à rompre d’avec mon corps.

Ainsi, en travaillant ensemble, nous nous aidons à tour de rôle à monter et sortir de nous mêmes. Après tout, seulement à l’extérieur de sa peau, en dehors de ses intérêts égoïstes, une personne commence à sentir que le groupe n’est pas un rassemblement de certaines personnes, mais la sainte Shekhina dans laquelle s’habille Le Créateur.

Le corps se compose de Klipat Noga, la partie qui me donne la liberté de choix, et la « peau de serpent », l’égoïsme le plus puissant qui me tire en arrière, de sorte qu’en essayant de sortir, je suis en mesure d’appliquer un effort suffisant orienté correctement.

Grâce à mon désir de sortir de mon égoïsme (l’amour de soi-même et toutes les pensées dans mon prore intérêt), de mon effort de sortir de moi-même et penser au groupe et au monde, j’éveille la force qui vient du groupe, du professeur, et du Créateur, ce qui me libère de cette prison. Tout cela est dû au travail mutuel, en réciprocité, dans le groupe, avec le professeur et les livres, et grâce à l’étude et la diffusion, qui sont tous les moyens dans lesquels la force du Créateur s’habille et m’aide à sortir de moi-même

De la 1ère partie du Cours quotidien de Kabbale du 13/03/13, Shamati N° 36

De la restriction totale à la révélation totale

Dr. Michael LaitmanNotre croissance spirituelle et le développement commencent à partir de la restriction du désir de recevoir, qui initialement nous domine. Au moment où nous essayons de nous limiter, nous entrons dans l’état de Ibour spirituel (gestation) à propos de ce qui est dit: « Un embryon dans le ventre de sa mère voit d’un bout du monde à l’autre. Il y a une bougie allumée au-dessus de sa tête et toute la Torah lui est enseigné  « .

Cela signifie qu’il n’est pas limité en aucune façon car il s’est tout à fait limité lui-même – le petit désir égoïste qu’il a au moment où il se sent le monde corporel. C’est parce qu’il n’a pas du tout senti le monde spirituel, mais seulement ce monde, la réalité fictive, comme une personne qui est inconsciente et a des hallucinations. Mais quand il limite son désir de recevoir, il devient illimitée, il n’a pas besoin de recevoir plus puisque la Lumière de Ein Sof (infini) s’allume pour lui comme la Lumière environnante, ce qui est comme être dans le ventre de la mère. Ainsi, il passe par les étapes de Ibour.

Une fois qu’il est né, il commence déjà à travailler avec la première Aviout (épaisseur) du désir au lieu de l’Aviout racine, puis il est limité à nouveau. La Lumière de Ein Sof, qui ne s’affaiblit en aucune façon, ne l’atteint pas car il ne cherche pas à s’annuler totalement lui-même et se conformer au supérieur. Il construit des Massakhim (écrans) qui lui sont propres et augmente ses désirs afin de réellement atteindre la Lumière de Ein Sof par son propre travail et de l’habiller dans ses récipients.

Il y a des limites différentes dans son travail maintenant, et la lumière ne l’illumine que dans la mesure où il peut la recevoir dans le but de donner dans ses récipients corrigés. Par conséquent, il affirme que «le Créateur déteste les corps », ce qui signifie le désir de recevoir. Le désir de donner sans réserve, cependant, n’est plus appelé un corps, mais une âme, une partie Divine d’En Haut.

Ainsi, il y a un état dans lequel une personne se limite afin que la Lumière de Ein Sof puisse l’atteindre sans limites. Mais la plénitude consiste à permettre à la Lumière de Ein Sof d’être révélé sans aucune restriction de la part d’une personne. Une personne doit se découvrir à l’aide d’un Massakh (écran) et travailler sur le niveau de Ein Sof par lui-même, en vue d’atteindre la pleine adhésion avec la Lumière qui, elle, n’est pas limitée par des restriction.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale du 11/03/13, Shamati N° 15

Comme de la pâte dans les mains d’un boulanger

Dr. Michael LaitmanNous passons constamment par des états opposés puisque fondamentalement, il y a un désir de recevoir avec son attitude, sa compréhension et son sentiment complètement égoïstes. Le désir du Créateur, cependant, est un désir de donner, et il est à l’opposé de notre désir.

Nous ne savons pas ce que cet attribut opposé signifie pour nous, nous ne le connaissons pas. Nous sentons seulement comment il fonctionne sur nous, même si nous ne savons pas ce qu’il est ni qui il est. Nous devons encore clarifier ce point. C’est pourquoi ce monde a été créé dans lequel au lieu du Créateur, nous sommes entourés par des formes et des créatures différentes qui nous influencent apparemment en dehors de Lui.

Nous devons faire preuve de compréhension à leur égard, ce n’est pas eux qui opèrent sur nous, mais plutôt la force supérieure qui est derrière tout cela se tournant vers nous par des personnes différentes ou par le biais de différents événements de la vie. Je dois accepter ces actions et ces influences comme essentielles, afin de me mouler, comme de la pâte, et pour créer la forme correcte qui est prête à être cuite.

Si j’accepte ces choses et essaye de trouver les compétences nécessaires pour faire face à l’œuvre du Créateur sur moi, je commence à Le connaître à travers ce travail, et à percevoir Ses mains qui me serrent comme une pâte.

Ainsi je passe par deux phases: d’abord, je suis d’accord et je suis prêt à ce qu’Il effectuer tous les travaux nécessaires sur moi. Je ressens la forte pression de ses mains sur moi, comme sur un morceau de pâte, jusqu’à ce qu’il me moule correctement, sous la forme de don, le niveau de Bina, «donner pour donner. »

Je suis prêt à tout, tant que le Créateur me forme dans Sa forme. Il est très difficile pour moi, car comme Il travaille sur moi, Il applique une pression forte. Ensuite, je veux aller plus loin, même à l’état de recevoir pour donner sans réserve, afin de monter et de m’élever comme avec de la levure. Cela signifie que le désir de recevoir participe déjà à ce mouvement et aspire à la forme que le Créateur lui façonne à l’intérieur. Ainsi, nous atteignons une équivalence de forme avec le Créateur. Pour donner afin de donner sans réserve s’appelle «Matsa»,et recevoir afin de donner sans réserve s’appelle « Hametz » (nourriture levée au levain), le vrai pain que dans sa forme corrigée rejoint la forme du Créateur qui est imprimée dans l’être créé.

Mais d’abord, tout notre travail est d’accepter toutes les formes qui viennent à nous qui impriment la marque de l’attribut du don en nous et de les accepter comme souhaitables. Pour ce faire, nous devons utiliser l’aide de l’environnement autant que nous le pouvons, et tous les moyens qui nous ont été donnés afin de nous préparer pour la réception du don sans réserve du Créateur, Son travail sur une personne.

Une personnepense qu’ellefait cela, mais si elle n’utilise pas le soutien externe qui est destiné spécialement pour cela, alors ce n’est qu’une illusion qu’ielle progresse vers l’acceptation des formes supérieures, mais en fait elle est pas encore prête à devenir un embryon spirituel.

De la 1ère partie du Cours quotidien de Kabbale du 11/03/13, Shamati N° 15

Dans l’étreinte de la liberté

Dr. Michael LaitmanEn  élevant à Bina, une personne (Malkhout) annule elle-même avant tout l’égoïsme qui se révèle en elle. Ibour (gestation) est un état terrible pour le désir de recevoir. Imaginez que vous retourniez dans l’utérus: Il ne peut pas exister un état plus terrible pour vous, vous n’avez pas d’air, de lumière et aucune liberté de mouvement. Vous êtes coincé dans un confinement étroit, comme dans un étau étreignant tous vos sens, de sorte que vous ne pouvez pas vous déplacer à l’intérieur de votre conscience ou à l’extérieur.

Pénétrer dans l’utérus spirituel est un sentiment terrible, la claustrophobie spirituelle … mais vous préférez cet état, parce que si vous êtes dedans, dans Bina, dans l’attribut du don, alors vous n’avez besoin de rien! Vous acceptez le sombre confinement solitaire comme la bonne terre promise, comme le ciel. La condition pour entrer dans le Ibour spirituel est de changer votre appréciation de Malkhout à Bina et de commencer à la valeur de l’attribut du don.

De la 3ème partie du cours quotidien de Kabbale 11/03/13, L’étude des dix Sefirot

Dans quoi l’âme s’habille t-elle ?

Dr. Michael LaitmanLe Baal HaSoulam, « La paix »: …même si nous voyons les corps changer de génération en génération, ce n’est le cas qu’avec les corps. Mais les âmes, qui sont l’essence du corps en soi, ne disparaissent pas, pour être remplacées, mais passent de corps en corps, de génération en génération.

« Le corps » est synonyme du désir de recevoir. Si l’intention de donner est présente en elle, alors, selon la loi de la similitude des propriétés, la Lumière s’habille en elle. La moindre particule élémentaire de la Lumière (le niveau initial de l’âme) est appelée « Nefesh. » En général, la Lumière qui s’habille dans un désir corrigé appartient à un autre niveau de l’âme et est appelé « Neshama. » Nous ne révélerons jamais complètement les plus hautes Lumières comme Haya et Yechida jusqu’à ce que nous atteignons la fin de la correction.

En fait, le récipient et la Lumière sont tout ce qu’il y a. Il arrive aussi que la Lumière ne peut pas sortir dans le récipient, par conséquent, elle « illumine » peu le récipient afin qu’il puisse rester en vie. Il arrive aussi que le récipient devient semblable à la Lumière par l’acquisition de l’intention correcte. Le désir de recevoir et la Lumière, par définition, sont antagonistes puisque la Lumière est constamment conférée. Cependant, si en plus du désir de recevoir il y a l’intention de donner (ce qui signifie « la foi au-dessus de la raison » ou la « lumière réfléchie »), alors le désir de recevoir devient quelque peu semblable à la Lumière et, par conséquent, il peut être rempli de la Lumière, car il y a une connexion entre eux. La lumière qui descend vers le désir de recevoir est appelée « Nefesh« , « Rouah » ou « Neshama. »

La sagesse de la Kabbale parle sur le « corps » corrigé du désir de recevoir. D’autre part, il n’y a pas que ce soit d’âme dans notre désir présent, même pas au niveau de « Nefesh. » Nous ne parlons pas de corps physiques ici, puisque les corps sont une partie de cette « illusion » du monde.

Les livres écrits par les kabbalistes ne sont pas des manuels médicaux, ils ne sont pas écrit comme des livres sur l’anatomie. Ils parlent de spiritualité et de l’âme. L ‘ »âme » est une particule du Créateur, au sens de la volonté de remplir et de faire plaisir. C’est la Lumière qui s’habille dans un désir de recevoir corrigé. Cela n’a rien à voir avec nos désirs actuels qui « nourrissent » ce monde et appartiennent au niveau « inanimé. » Pas du tout! Il s’agit de notre désir envers le Créateur qui appartient au niveau « parlant. »

Où trouvons-nous ces désirs? Ils peuvent être trouvés que dans le groupe d’amis, jamais dans nos sensations physiques. C’est ce qui explique pourquoi nous devrions « sauter » la physiologie et tout ce qui se rapporte au corps. La Kabbale ne parle pas de ces choses. Elle explore les désirs qui surgissent en nous quand nous cherchons le Créateur, que ce soit ceux qui sont de « bons » désirs de donner ou de « mauvais » quand nous « volons » de Lui.

Ces relations sont très bien décrites dans l’exemple de l’invité et de l’Hôte. Quand je suis assis à la table qui est pleine de délices, il ne s’agit pas de ce qui est en face de moi, mais plutôt de savoir qui est l’Hôte. Le reste se réfère au niveau « inanimé » et doit être laissé dans les coulisses. La chose, c’est que je suis assis en face de l’Hôte! Comment puis-je communiquer avec lui? Comment communique t-Il avec moi? Qu’est-ce qui se passe entre nous? C’est la sagesse de la Kabbale, et c’est tout au sujet de la spiritualité.

De la 4ème partie du cours quotidien de Kabbale 08/03/13, « La Paix »