Daily Archives: 21 mars 2013

Le désir est comme une cible pour la lumière

Dr. Michael LaitmanQuestion: Pouvons-nous prouver que toute la matière de la création est le désir de recevoir?

Réponse: Demandez aux physiciens, et ils vous diront la même chose, mais avec des mots différents. Il existe plusieurs principes fondamentaux, tels que la deuxième loi de la thermodynamique, et il y a plusieurs constantes naturelles. Si l’on creuse un peu plus profondément, nous arriverons à travers le concept de masse. Derrière la masse, il y a de l’énergie, et, derrière l’énergie, ici la connaissance scientifique entre dans une impasse.

Nous pouvons dire qu’il y a une force derrière l’énergie, mais qu’est-ce que cette force? Comment pouvons-nous la décrire? Les scientifiques essaient de trouver ces bases, et quand leur recherche sera terminée, traçant une ligne de leurs études au désir de recevoir, le désir de garder son existence à tous les niveaux de la nature inanimale, végétale, animale et parlante.

Même si nous parlons du phénomène le plus élémentaire, c’est toujours sur sa nature. Nous nous référons à quelque chose qui veut se maintenir dans sa forme d’existence. C’est le désir de recevoir, le désir d’exister. Sans lui, il n’y aurait rien, pas même pour un court instant. Dans cette source, même le temps n’existe pas encore.

Ainsi, le désir précède tout, et, au-delà de cela, il y a des formes différentes qu’il prend sur lui-même.

Toutes les sciences et les sagesses parlent de ce que l’homme découvre ici dans le cadre de la réalité corporelle. D’un autre côté, la sagesse de la Kabbale ne parle pas de notre désir égoïste qui est seulement typique de ce monde, mais d’un désir brut, d’une force qui n’est pas encore habillée en rien.

Question: Cela peut-il être étudié en dehors de la sagesse de la Kabbale?

Réponse: Non, en dehors de la sagesse de la Kabbale, nous n’avons tout simplement pas les outils nécessaires. Nous ne pouvons pas construire un accélérateur qui bombarde le désir et enregistre ses réponses. Et cela parce que c’est est beaucoup plus profond que le micro-monde, plus profond que les effets quantiques. Par conséquent, vous pouvez travailler seulement avec cela à l’intérieur de vous-même lorsque vous devenez la «zone» dans laquelle vient la Lumière. Elle frappe le désir, et, à la suite de leur rencontre – à la suite de la coopération entre eux – les différentes particules sont créées, en vertu desquelles on découvre la Lumière réfléchie et qui descend à un niveau inférieur et évoque de nouvelles Reshimot (gènes spirituels) en vous.

Le schéma élémentaire, selon la sagesse de la Kabbale, est un Massakh (écran) qui commence à monter deTabour. Dans le niveau suivant, il y aZivoug de Haka’a (accouplement en frappant), et la Lumière réfléchie redescend d’un niveau à un autre, évitant ainsi la différence d’énergie dans l’état précédent. De là, il «lance» Taguin sur les lettres (« couronne » au-dessus des lettres) et, éventuellement, les différences d’énergie conduisent à des différences dans les fréquences, les différences dans les attributs. Cette comparaison permet de distinguer les détails et met en place le tableau d’ensemble.

C’est comme un bébé qui goûte à tout, et commence ainsi à connaître le monde puisque le goût est le sens principal qu’il peut utiliser et dont il peur se fier à l’heure actuelle. Dans la spiritualité, les Lumières nouvelles qui sont révélées dans le désir sont appelées «saveurs». Elles nous aident à saisir ce qui arrive.

Desire Is Like A Target For The Light

Donc, la matière qui est la cible des coups de Lumière, est en fait moi, mon désir de recevoir. Tout comme les scientifiques qui bombardent leurs cibles avec des particules en augmentant leur énergie, nous aussi, nous faisons la même chose, non pas avec la matière corporelle, mais avec la matière du désir, par l’élévation de la phase quatre vers la troisième phase, la phase deux, et ainsi de suite.

Par conséquent, nous ne pouvons pas parler avec les scientifiques sur ces questions. De toutes les sciences, la physique est la plus proche de la sagesse de la Kabbale. Nous parlons de phénomènes concrets et des forces.

De la 4ème partie du Cours quotidien de Kabbale du 14/03/13, “Introduction au Livre du Zohar

La honte qui ouvre le cœur

Dr. Michael LaitmanDans notre monde, la nature égoïste éteint immédiatement le sentiment de honte. Habituellement elle trouve des justifications pour nos actions : nous utilisons les autres, les volons, et nous attribuons des choses différentes à nous-mêmes, en regardant tout et l’évaluant à la lumière dans notre intérêt personnel.

Nous ne ressentons aucune honte en faisant cela. Si nous pouvions être plus sensibles en ce qui concerne l’attribut de recevoir et celui du don sans réserve, si nous pouvions vérifier où nous recevons vraiment et où nous donnons sans réserve et selon quel principe nous regardons le monde, alors tout simplement nous brûlerions d’une honte terrible.

Si l’attribut du don s’était révélé à moi dans toute sa suprématie, je pourrais me voir dans ma vraie forme, comme un petit insecte noir qui se préoccupe seulement de la nourriture, aspirant seulement à attraper autant que possible et avaler tout ce qu’il voit. Alors la honte me brûle à cause du sentiment de mon néant comparé au véritable attribut du don sans réserve.

Une personne peut même trouver effrayant de penser que cela peut tout à coup se révéler à tout le monde, à toute l’humanité. On peut dire, « bien que peut-on faire? ». Après tout, il est juste un être humain, un être créé qui agit selon sa nature, sur laquelle il n’a aucun contrôle. Mais tout de même, il serait terriblement honteux. Il mourrait plutôt que de ressentir une telle honte.

Il n’y a pas souffrance plus grande que la honte car elle est à la base du désir de recevoir dans son enesmble. La première restriction est une conséquence de la honte, puisque la honte efface le concept d’Adam (l’être humain). La quatrième phase s’annule si elle éprouve de la honte, car la phase quatre est le sentiment d’une personne indépendante qui est prête à assumer ses décisions. La honte, cependant, est réellement le sentiment totalement opposé et elle annule la personnalité d’un individu.

Cependant, nous parlons de notre état actuel dans ce temps d’attente, quand il n’ya pas encore d’Adam, mais seulement un animal minuscule qui n’est même pas responsable de ses actes. Il a reçu tous ces attributs d’En Haut, du Créateur, et donc «allez voir l’artisan qui m’a fait », allez voir Celui qui a créé cette créature. Mais si nous commençons à découvrir l’attribut de don sans réserve qui se trouve dans ce monde, le Créateur, et nous donnons de la valeur suivant Sa mesure, alors une si grande disparité sera révélé entre nous, dans tous les sens, que nous ne pouvions même pas imaginer auparavant.

La honte est si puissante que c’est seulement grâce à elle que nous avons la chance de tenir contre notre ego et le corriger, tout comme dans le monde d’Ein Sof (infini), Malkhout a tout abandonné à cause de la honte. Il ne s’agissait pas d’un sentiment de honte parce qu’elle a reçu et se trouvait à l’opposé du Créateur et a eu honte de ses attributs, mais elle avait honte parce qu’elle ne pouvait pas donner comme Il le fait. C’est une honte totalement différente, une honte sur le niveau de la fin de la correction comparé à nous.

Nous, en revanche, découvrons notre ego progressivement. Tout d’abord, j’ai honte qu’on m’a enseigné à voler, que mon mensonge ait été révélé, que je veux utiliser tout le monde, et nuire à autrui. La révélation de la honte me permet de me placer dans la bonne position afin que je ne me cache plus comme je le fais maintenant, comme un animal effrayé qui a peur d’être humilié. Au contraire, je suis prêt à révéler tous le mal qui est en moi et me ferai honte à moi-même, afin de sortir de cette force de résistance, pour surmonter et vaincre l’ego et pour construire un Massakh(écran) contre l’ego.

J’ai besoin d’un Massakh, non pas dans le but d’éteindre ma honte, mais dans le but de changer mes attributs de la réception au don sans réserve. Sauf si cela se produit, je peux supporter ma honte car elle n’ouvre que mon cœur et déverse toute la vérité à l’extérieur.

Ainsi, l’adhésion est inséparable de la honte et de la correction. Nous ne devrions pas avoir peur de la honte, mais plutôt nous devrions la ressentir et comprendre que le plus important est de s’élever au-dessus ce que nous avons pour travailler avec cet attribut qui peut nous apporter une correction.

De la 1ère partie du Cours quotidien de Kabbale du 18/03/13, “Matan Torah (Le don de la Torah)”

Un congrès dont le monde dépend

Dr. Michael LaitmanQuestion: Comment puis-je servir les amis par mes pensées? Comment mes pensées peuvent soutenir les participants au congrès en Allemagne?

Réponse: Que se passe quand vous vous inquiétez au sujet de quelqu’un que vous aimez? Toutes vos pensées sont concentrées sur son succès, que tout se passe bien pour lui et qu’il réussisse sa mission. Votre cœur saigne pour lui, car c’est comme si vous agissez avec lui, à sa place.

Cette préoccupation est suffisante, même si nous ne connaissons pas les mécanismes qu’elle exerce. Les amis partout dans le monde devraient se préparer à l’avance pour les conventions miroir, de sorte que nous ne serons pas seulement spectateurs, mais que nous supporterons la connexion générale. Ici, nous devons exposer la détermination et le souci de l’unité, dans un souci exceptionnel authentique. Par cela, nous nous connectons au congrès dans le souci désespéré de son succès à l’échelle mondiale.

Si nous nous connectons tous autour de ce congrès, alors l’humanité tout entière sentira une force spéciale de la connexion et cela va changer la réalité. Ensuite, notre méthode de connexion sera acceptée partout dans le monde, et ce sera comme si nous « changeons de rails», afin que le train dont nous sommes tous les conducteurs se déplace : du chemin de la souffrance au chemin de la Torah.

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale 18/03/13, «Introduction au Livre du Zohar »

Honte corporelle et honte spirituelle

Dr. Michael LaitmanQuestion: Quelle est la différence entre la honte spirituelle et la honte que nous ressentons dans notre vie quotidienne?

Réponse: la honte corporelle est la honte égoïste car je ne veux pas que mon orgueil soit blessé. La honte spirituelle se produit après la restriction, quand je ne m’inquiète pas à propos de moi-même et n’ai plus honte maintenant de mes qualités naturelles. Je m’inquiète à propos de quelque chose qui est totalement différent.

Je dois ressentir de la honte! En fait, je cherche ma croissance spirituelle car elle me donne de grands pouvoirs. Si vous aviez honte maintenant, imaginez comment vous deviendriez enthousiaste, et quels pouvoirs elle donnerait pour se déplacer. Vous ne seriez pas assis calmement et somnoleriez dans votre siège comme vous le faites maintenant. Vous commenceriez à bouger jusqu’à ce que cette honte disparaisse. Vous continueriez de vous soucier de cette honte pendant une semaine avant de finalement vous calmer.

Vous seriez prêt à faire n’importe quoi pour neutraliser la raison de la honte et ne vous calmeriez pas jusqu’à ce que tout revienne de la façon dont c’était auparavant. Si une certaine personne vous fait honte, vous feriez n’importe quoi pour vous venger. Certaines personnes sont plus colériques et d’autres moins, mais tout le monde éprouve les mêmes émotions plus ou moins.

La question est de savoir si je serai en mesure d’atteindre un état qui ne me concerne pas personnellement, mais dans lequel je ressentirais la honte parce que je ne contribue pas à la société, n’y participe pas, et n’ajoute pas ce que je dois ajouter, voire plus. C’est la seule chose dont j’ai honte.

Si nous disons à quelqu’un: « N’avez-vous pas honte de vous-même? » C’est comme si on lui montrait qu’elle est inconsidérée des autres. C’est le point où je commence ma correction.

Donc, mes qualités personnelles sont totalement hors de propos, car elles font partie de ma personne animale. Avez-vous même vu un animal qui a honte de quoi que ce soit? Avez-vous déjà rencontré un chat qui rougit parce qu’il a volé un peu de crème et s’est fait prendre?

Un animal n’a rien à se reprocher. Mais l’être humain en nous, que nous commençons à construire éprouve la honte. La honte est liée à lui, à la personne qui s’inquiète de savoir si elle donne aux autres, ajoute au bénéfice des autres et remplit son devoir dans le système général.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale du 18/03/13, « Matan Torah (Le Don de la Torah) »

Désigné pour être le serviteur du Créateur

Dr. Michael LaitmanQuestion: Que dois-je faire si au cours de l’étude de TES je me sens désespéré parce que je ne comprends pas bien ce qui est dit?

Réponse: Il n’y a aucune raison de désespérer. Nos études portent sur des actions qui sont exécutées par une personne qui a déjà reçu le pouvoir de se réaliser. Elle peut être totalement indépendante d’elle même et ne pas succomber à la tentation de faire quelque chose dans son propre intérêt et non pour le bien des autres ; elle ne peut pas prendre une telle décision.

Puis l’homme s’examine et s’évalue lui-même. Il peut sentir les besoins des autres, quelque chose que nous ne pouvons faire à notre état actuel. Après tout, vérifier les besoins de l’autre doit être fait de façon neutre et objective afin de savoir ce que c’est dans son intérêt.

Ce n’est pas ce qu’une personne veut réellement ; peut-être qu’elle veut une arme pour se tuer. Plutôt, nous devons vérifier tout comme nous vérifions ce qui est bon pour un petit enfant. Si nous donnons à un enfant ce qu’il veut, ça va lui faire du mal. Nous devons lui donner exactement ce qui est bon pour lui et cette décision doit être totalement détachée de mes sentiments et de ses émotions.

Pour ce faire, j’ai besoin de voir quel est le but de la création, ce qu’est la révélation du Créateur et l’adhésion avec Lui à l’état actuel, et d’aider l’autre à avancer dans cette direction précise. Après tout, c’est le progrès le plus important qu’il ne peut faire qu’avec mon aide. En l’aidant, j’avance également car ainsi j’atteins l’adhésion avec le Créateur, une équivalence de forme avec Lui.

Si je suis intégré dans le groupe et aide les amis avancer un peu, cela signifie que je les traite de la même manière que le fait le Créateur. La seule différence est qu’Il (le Créateur) ne peut pas les déplacer dans la bonne direction, mais moi, je le peux.

Il me permet de le faire, et cela signifie que je suis incorporée dans l’œuvre du Créateur.

De la 3e partie du cours quotidien de Kabbale 18/03/13, L’étude des dix Sefirot

Arracher notre désir d’être séparé

Dr. Michael LaitmanLe Baal HaSoulam, « Les fruits  du sages de la Torah », « Ce n’est pas le temps pour rassembler le troupeau »: Quand les soixante-dix âmes de Jacob se propagèrent à 600.000 âmes, les choses sont revenues à ce qu’elles étaient avant que le troupeau ait été rassemblé, et la margelle doit être roulée à partir du puits, et lorsque la force manque d’une partie cela provoque l’épuisement de la pleine mesure. Et c’est là le secret, que l’individu et le général sont égaux et tout ce qui a été inclus dans le général et qui est devenu une exception ne vient pas pour nous apprendre sur l’exception, mais plutôt sur le général … et c’est ce que la fable du Zohar veut dire quand il parle de deux personnes qui sont sur un bateau et qu’un forait un trou sous elle et que son ami la réprimanda disant: pourquoi perces-tu un trou, et le fou lui répondit: « De quoi te soucies-tu, je perce sous moi, pas sous toi », car en effet l’individuel ruine l’ensemble de la beauté de la forme.

… Et c’est le sens de la prière pour le public, que l’individu ne doit pas faire une exception et demander pour lui-même, même si c’est pour apporter le contentement à son Créateur, à l’exception du général comme un tout… car celui qui fait une exception et qui demande pour lui-même, ne construit pas, mais apporte plutôt la destruction sur lui-même, car il ne peut pas faire une exception sans la robe de fierté, et hélas pour celui qui apporte la destruction sur son âme… et chaque personne devrait être inclue de toutes ses forces dans l’Israël général, dans tous les appels vers le Créateur, dans la prière et dans le travail… puisque c’est la nature de la Lumière du général qui réside sur l’individu qui annule son individualité afin qu’il ne le ressente pas lui-même. »

Nous devons constamment nous rappeler que toutes nos pensées viennent comme une  » aide qui s’oppose » et c’est grâce à elles que nous pouvons devenir plus forts et nous développer. Nous devons nous élever au-dessus de toutes les interruptions et nous connecter autant que nous pouvons pour le sentiment de la famille en général, « comme un seul homme dans un seul cœur. »

Nous ne devons pas abandonner ces pensées, le sentiment que nous faisons tous partie d’une même famille. Le sentiment général « d’une famille », c’est le sentiment du Créateur qui réside parmi nous, en nous, si nous aspirons constamment au sentiment de connexion parmi nous, malgré toutes les interruptions.

C’est notre travail. Nous devons rappeler à l’autre ce sujet et c’est encore mieux d’essayer de le faire de par nos pensées: de garder cette pensée et tenter d’influencer tous les amis et le monde entier par nos pensées et de transmettre l’accent sur les actions internes. C’est notre objectif à l’heure actuelle, nous devons atteindre l’adhésion et réussir.

Tel est le sens de « Israël, la Torah, et le Créateur sommes un », tous ceux qui aspirent à la révélation du Créateur (Yashar – El) dans la connexion entre eux suivent tous les conseils des kabbalistes pour atteindre la connexion dans laquelle le Créateur sera révélé.

Ainsi, même la prière la plus pure avec la meilleure intention n’aide pas si ce n’est pas la prière de beaucoup, pour le général comme un tout, mais plutôt une prière d’une personne qui se sépare des autres. Non seulement cela n’aide pas, et c’est vraiment dangereux! Nous devons considérer la séparation et la division, surtout si elle est intentionnelle, comme un comportement inacceptable. C’est l’obstacle le plus sérieux et nous devrions essayer de l’éradiquer.

De la préparation de cours quotidien de Kabbale du 17/03/13

L’altruisme est bon pour la forme

Dr. Michael LaitmanAux Nouvelles (à partir du DailyMail): « Être bénévole est bon pour le cœur aussi bien que l’âme, les chercheurs l’affirment.

Une nouvelle étude montre même qu’à un jeune âge, les gens qui font du bénévolat ont des systèmes de santé cardiovasculaire qui retardent les maladies cardiaques.

L’étude a constaté des améliorations dans plusieurs mesures de santé pour le cœur chez les bénévoles après seulement 10 semaines de participation à des programmes communautaires. …

L’étude portait sur 106 adolescents d’un milieu urbain, du lycée Vancouver du centre-ville qui ont été divisés en deux groupes – un groupe qui s’est porté régulièrement volontaire pendant 10 semaines et un groupe mis sur une liste d’attente pour des activités bénévoles. …

Les chercheurs ont mesuré l’indice de masse corporelle des étudiants (IMC), les niveaux d’inflammation – qui influent sur la santé du cœur – et un grand nombre de cholestérol avant et après l’étude.

Ils ont également évalué l’estime de soi des élèves, la santé mentale, l’humeur et l’empathie, selon un rapport publié dans la revue JAMA Pediatrics ….

Le groupe d’étudiants bénévoles a passé une heure par semaine à travailler avec des enfants des écoles primaires sur des programmes extra-scolaires dans leur quartier.

Après 10 semaines, ils avaient des niveaux inférieurs d’inflammation et de cholestérol et un IMC inférieur à celui des élèves qui étaient sur la liste d’attente. »

Mon commentaire: Comme la nature est interconnectée, alors rien ne peut être nuisible dans le renforcement des liens, au contraire, c’est seulement utile et favorise la beauté naturelle.

 

Pour grandir dans la spiritualité…

Dr. Michael LaitmanQuestion: Dans l’une des leçons, vous avez dit qu’un étudiant, selon son progrès spirituel, commence à mépriser l’enseignant de plus en plus. Vous avez également donnez un exemple de votre relation avec votre professeur. A quel est le niveau spirituel devons nous élever pour que ce mépris pour l’enseignant disparaisse?

Réponse: Comme dans notre monde, quand commençons-nous à apprécier nos parents et les comprenons? Lorsque nous devenons nous-mêmes parents! Mais cela ne justifie pas l’ignorer. Celui qui veut grandir doit comprendre sa nature et grandir en dépit d’elle.

 

La connexion qui détruit le mal

Dr. Michael LaitmanLe Baal HaSoulam, « La Paix »: Et vous trouvez que toutes les graines à partir desquelles le bon état grandit ne sont que les actes corrompus eux-mêmes, ce qui signifie que tous les maux qui viennent dans les mains des méchants dans la génération s’accumulent et rejoignent une grosse somme, jusqu’à ce qu’ils pèsent si lourdement que le public ne peut plus les supporter. Alors, ils se lèvent et le ruine et créent un état plus désirable.

Si je veux avancer correctement, je dois participer à détruire le mal par des actions concrètes sur le chemin. Ces actions proviennent d’un acte plus efficace, qui est la connexion entre les amis. C’est la connexion qui détruit le mal.

Question: Qu’est-ce que ça veut dire que le mal apparaît lors de la connexion?

Réponse: C’est exact. Le vrai mal ne se révèle que lorsque je veux me connecter avec les autres et que je vois comment je suis repoussé par eux et combien je les déteste. Je suis attiré par eux et cela me repousse et je me sens rejeté. C’est le mauvais penchant et c’est la seule chose que nous ayons à corriger. Tout le reste sont des sentiments animaux.

Après tout, Adam, un être humain, était seulement quelqu’un d’attiré par la connexion avec les autres. La réponse négative à la connexion est la mauvaise inclination que je corrige et me tourne vers la bonne inclination.

Mon premier réflexe est d’établir une connexion avec le groupe et avec les amis. Alors je sens que je ne veux pas étudier ou faire quoi que ce soit de plus. Au lieu de cela je ressens l’endurcissement du cœur, je suis fatigué d’essayer, « Combien de temps encore? Je ne vois pas quoi que ce soit de bon sortir de ceci… » C’est la mauvaise inclination, Pharaon en moi sur lequel je dois travailler maintenant. Son mal est qu’il s’oppose à la connexion.

D’autre part, le résultat de la connexion est appelé « Créateur – Bo-Ré », qui signifie viens et vois (Bo – viens et Ré – voir en hébreu). Si je me connecte avec toutes les âmes ou avec certaines d’entre elles, alors dans la connexion entre elles je découvre le Créateur. En d’autres termes, je parviens à la connexion et à l’intérieur j’y découvre le résultat.

Mais en attendant, je me sens mal puisque mon désir est éteint et je m’endors et je ne vois plus le but en rien d’autre, ni dans ce monde ni dans l’autre monde. Rien ne vaut un effort de plus. Maintenant, quand je ressens que mon cœur s’endurcit, je dois trouver le pouvoir d’agir, élever MAN, une demande.

Alors, comment faites-vous si j’ai déjà eu envie de recevoir un somnifère pour le reste de ma vie? Ici, nous avons besoin d’un environnement pour nous aider à nous réveiller. Cet environnement fait deux choses:

D’abord, il « enterre » son mauvais penchant.

Deuxièmement, lorsque nous nous connectons, et ainsi atteignons la Sainteté, nous demandons la force du don par la prière de beaucoup de toutes nos forces.

Par conséquent, le bon penchant ne peut être révélé que dans le groupe. Puis d’en haut, je reçois la bonne force, la force du don qui m’unit avec les amis et le Créateur.

De la 4ème partie du cours quotidien de Kabbale 15/03/13, « La Paix »