L’amour est le chemin du bonheur

Dr. Michael LaitmanAux nouvelles (de Arguments et Faits) : « L’amour ne meurt pas. Les partenaires qui s’aiment beaucoup, même après des décennies de mariage, ressentent ce sentiment d’euphorie (causée par la sécrétion de la dopamine, l’hormone du plaisir), comme le font les couples fraîchement amoureux. La différence est ici : avec ceux qui n’ont pas été amoureux depuis longtemps, il a été observé qu’il y a augmentation de l’activité des régions du cerveau responsables de la passion et de l’excitation. Et avec les partenaires qui sont amoureux depuis une longue période, les activités dans les zones de calme et de suppression de la douleur sont devenues importantes.

Premier coup d’œil. L’amour s’éveille à un cinquième de seconde après contact avec les yeux, et s’exprime avec une forte stimulation dans 12 régions du cerveau. Le nombre d’hormones qui sont sécrétées dans le sang est différent, ce qui perturbe l’activité normale du système nerveux. De là vient l’expression : « L’amour fait perdre la tête. »

Une drogue qui n’est pas nocive. L’amour influence les gens comme cela : ils oublient des choses évidentes et perdent leur capacité à se concentrer, ce qui veut dire que l’amour influe sur le corps humain de la même façon que les drogues. La mémoire et la concentration deviennent moins actives quand une personne voit une image de l’objet de son amour. »

Mon commentaire : L’amour spirituel (pas celui qui est égoïste ou naturel, comme l’amour d’une mère pour son enfant ou l’amour pour une personne du sexe opposé, ce qui remplit l’ego), l’amour qui se crée en nous « artificiellement » avec le aide de la Lumière supérieure (la Lumière Environnante – Ohr Makif) selon une méthode particulière (la méthode de l’éducation intégrale), qu’en dépit de notre ego, l’on aime les autres, c’est dans ce genre d’amour que le sentiment d’un pouvoir supérieur se découvre parce qu’une personne commence à voir le monde à travers d’autres personnes, dans leurs désirs et leurs caractéristiques. De cette façon, la personne « laisse » son corps (les sens) jusqu’à ce que la création soit comprise comme un champ éternel de pouvoir et d’émotion

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