Monthly Archives: octobre 2013

Le fantôme qui arrange les chaises

Dr. Michael LaitmanIl y a un certain nombre de vérifications sur le chemin qui sont tout à fait claires quant aux signes matériels par lesquels il est possible d’évaluer si vous avancez ou non. Le premier test est de savoir si vous vous efforcez de vous sentir au centre du groupe. Pas au centre de l’attention de tout le monde, vous présentant comme le plus important, mais dans le centre des espoirs communs, dans le centre de l’unité, du don sans réserve et de l’intérêt mutuel, à la base même, « en équilibre sur une jambe », qui signifie le pilier sur lequel repose l’unité : « ne le fais pas à autrui ce que tu n’aimerais pas qu’on te fasse. »

Tout d’abord, ne dérangez pas les autres ! Autrement dit, limitez-vous à l’état de « Tsimtsoum Aleph« , comme si vous n’existiez pas ou n’utilisiez pas votre désir de jouir, de sorte qu’il y aura une place pour d’autres que vous et vous n’occuperez aucune place nulle part, vous transformant en un zéro, comme un fantôme. Vous venez de faire une place pour les autres, comme un placeur, arrangeant des chaises et prenant soin que chacun dispose d’un siège. C’est ce qu’on appelle : « ne le fais pas à autrui ce que tu n’aimerais pas qu’on te fasse. »

Cela signifie que vous n’occupez pas de place du tout, mais vous en faites pour tous les amis. C’est la première condition et c’est pourquoi cela est appelé « se tenir debout sur une jambe ». En effet, il faut se tenir debout sur ce principe et différentes actions peuvent se produire au-dessus, mais comme une conséquence de celui-ci. C’est pourquoi, si vous parvenez à atteindre cette sensation, en vous levant le matin ou avant chaque action, cela signifie que vous avancez dans la bonne direction.

De la préparation au cours quotidien de Kabbale du 16/10/13

Pourquoi n’aurions-nous pas 7 milliards de Rabbi Shimon?

Dr. Michael LaitmanQuestion: Que faut-il faire pour mener à bien notre travail correctement : Pour semer et récolter la culture et de ne pas pleurer sur un terrain sec?

Réponse: Une fois que vous avez vérifié que vous avez atteint le bon groupe et le bon professeur, vous devez aller avec « la foi au-dessus de la raison » sinon cet esprit égoïste ne vous laissera pas faire quoi que ce soit.

Le problème est : une personne arrive et apparemment est d’accord avec tout, est prête à tout effectuer, mais accepte d’avancer dans un groupe seulement par petits pas, avec une vitesse et d’une manière que l’ego autorise.

Elle aura besoin de 15 à 20 ans afin de progresser et d’atteindre quelque chose, voire pas du tout, car le degré d’avancement se trouve dans la zone de son ego. En d’autres termes, elle avance à un degré dans la mesure où l’ego lui permet et rien de plus, car avancer plus rapidement est douloureux ! Il ne peut pas sauf à cette vitesse. C’est sur cette base que l’on doit tester les profondeurs de son cœur : comment il s’inscrit dans cette voie. Vous avez atteint certains enseignants, certains groupes et devez préciser exactement : est-ce pour vous ? Personne d’autre ne va vous aider, vous avez besoin de répondre à cette question vous-même. Est-ce vraiment ce que j’ai inconsciemment cherché toute ma vie et je ne veux que cela?

Question: Mais ailluers les gens ne sont-il pas également sûrs que c’est précisément au bon endroit?

Réponse: Absolument, chacun doit être à sa place. «Tout comme il y a des visages différents, de même leurs âmes sont différentes  » ; ainsi les chemins sont aussi différents. Pourquoi n’avez -vous pas demandé pourquoi tout le monde ne peut pas être comme Rabbi Shimon, l’auteur du Livre du Zohar ? Alors il y aurait sept milliards de Rabbi Shimon dans le monde ; qui y-at-il de mal à cela? Mais il ne devrait pas en être ainsi, car dans un Kli parfait, nul n’est comme un autre et chacun se trouve à des niveaux différents.

Vous devez vérifier dans votre cœur. Et c’est pourquoi on vous a donné le libre choix : soit vous mijoter toute votre vie sur le brûleur et rien ne sera suffisant et vous attendrez qu’on vous enterre dans un cimetière, soit vous atteignez une vie parfaite.

De 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 16/10/13 , Écrits du Rabash

Laisse mon peuple s’en aller!

congrès, groupeLes « sept années de satiété  » est l’état dans lequel une personne espère toujours obtenir tout ce qu’elle veut pour son égoïsme. Bien qu’elle soit prête à travailler dur en vue de cette situation et faire beaucoup d’effort, ce qui pour le moment répond et satisfait son égoïsme. Elle pense qu’il y a une satisfaction en Egypte et cela lui appartiendra : tous les plaisirs de ce monde et les plaisirs du monde spirituel. Elle pense qu’elle sera en mesure d’atteindre ceci par et pour elle-même et ne définit pas le but de ravir le Créateur. Elle ne pense qu’à son intérêt.

Cela peut être évalué par la façon dont une personne perçoit les problèmes. Dès que des difficultés et des problèmes surviennent, elle commence immédiatement à penser à elle-même. Autrement dit, les «sept années de satiété » ne sont pas finie pour elle. Elle sent qu’il manque quelque chose, que son ego est en danger et elle resent soudain l’incertitude, se soucie d’elle-même .

Ce sont les «sept années de satiété  » C’est parce qu’une personne examine tout dans ses désirs égoïstes : si elle va souffrir, éprouver une sorte de mal. Elle est encore attachée au résultat égoïste : Est-ce que cela sera bon ou mauvais pour lui? Elle commence à douter et se demande s’il pourrait être intéressant de fuir cette voie. Et si elle se blesse ? C’est la façon de vérifier si elle est dans la période des sept années de satiété.

Les « sept années de famine  » commencent à partir du moment où il est  indifférent à ce qu’il fera dans son désir de plaisir, elle s’élève au-dessus de ce sentiment. Dans la mesure où elle est prête et capable de s’élever au-dessus de sa sensation de faim, dans cette mesure elle avance vers le don. C’est à ce moment que le travail sérieux commence.

Je crois que nous entrons dans ces sept années de vaches maigres maintenant. Espérons que nous allons ressentir ces douleurs de la faim et nous renforcerons mutuellement . L’ensemble des travaux en l’Egypte n’est que dans l’unité. Plus nous aurons des critiques, des ennemis, et lde la haine, plus nous nous renforcerons à leurs dépens. C’est comme des loups autour d’un troupeau de moutons qui les forcent à se blottir.

Nous pouvons nous unir seulement à cause de cela. Notre ego ne nous permet pas de nous  rapprocher de l’autre. Seuls les loups cruels qui courent vers nous, nous encerclant, en essayant de nous mordre nous obligent, comme des moutons, à nous rapprocher et à nous unir à l’intérieur. Israël est comme un troupeau de moutons et se renforcent uniquement grâce aux loups. Espérons que nous soyons assez forts pour faire en sorte que le Créateur nous envoie beaucoup d’ennemis qui nous aident à devenir plus fort, à nous connecter et à travers notre unité, nous révélerons la nécessité de sortir de l’esclavage de notre désir de plaisir vers le désir de donner.

Ce sont des états nécessaires qui doivent être passés en chemin. Le monde exige cela de nous et nous n’avons pas le choix, nous devons le faire. Nous sommes dans un état très spécial avant la sortie d’Egypte. C’est de cela dont parle la Torah.

Les « 49 portes impures » de notre égoïsme se révèlent en nous et nous poussent à fuir et à nous cacher quelque part dans un coin tranquille, et de même nous arrêter et devenir invisibles. Mais nous ne sommes pas d’accord avec elles! Nous allons néanmoins venir nous dresser contre Pharaon pour lui dire: « Laisse mon peuple s’en aller!  » Et nous deviendrons les travailleurs du Créateur.

D’un discours pendant le repas du 18/10/13

S’il n’y a pas de but, il n’y a pas de joie dans la vie

Dr. Michael LaitmanQuestion : Il est maintenant tout à fait clair pour les médecins que l’être humain n’est pas seulement composé de systèmes physiologiques du corps et de l’esprit, mais aussi de désir pour un but. Mais nous savons qu’il s’agit du niveau spirituel d’une personne. Ainsi elle est obligée d’établir des relations entre elle et le but, son environnement et son corps aussi.

Récemment, nous nous confrontons au fait que les gens sont reliés à leur corps avec négligence, voire avec mépris, et par conséquent ils sont sujets à la maladie. Alors, comment doit-on se comporter avec le corps ?

Réponse : En tant que résultat de milliers d’années de développement, une personne a atteint un état où elle n’est pas heureuse d’être en vie. Inconsciemment, nous ne voulons pas vivre. Tout est en vain : l’angoisse, la souffrance, la vie… qu’est-ce que tout cela ? Ai-je besoin de sentir que je suis joyeux, heureux ? Mais je ne le fais pas.

Si je reçois une sorte de satisfaction, elle est atteinte grâce à un effort injustifié, et puis elle passe soit très rapidement ou bien à tout moment elle se transforme en son contraire. Alors les gens ne veulent plus vraiment vivre. Par conséquent le mépris pour le corps n’est qu’une petite conséquence de la situation actuelle. Une personne ressent secrètement qu’elle serait plus heureuse si elle n’existait pas du tout.

Dans le passé, il n’y avait rien de tout cela parce que nous n’avions pas encore évolué vers cette prise de conscience. Aujourd’hui, nous avons une approche consciente de la vie, de la futilité de notre existence, de l’absence de ce qui porte ses fruits, de la dégradation. Nous comprenons notre nature, notre néant. Personne ne nous a demandé si nous voulions naître, être éduqué dans cette société ou dans une autre. Nous ne comprenons pas le quoi, le où ni le comment.

Il fut un temps où nous avions défini des objectifs. Nous n’étions toujours pas développés et donc nous sommes allés après tout ce qui semblait permanent, construisant quelque chose, aspirant à quelque chose. On désirait vivement le capitalisme, certains le communisme, et d’autres aspiraient à explorer l’espace. Nous voulions prouver quelque chose, lutter et atteindre une sorte d’affirmation de soi. Aujourd’hui, tout cela n’existe plus, tout a simplement disparu et un « puits vide » demeure là où toute l’eau s’est asséchée. Nous n’avons plus rien pour nous satisfaire.

Par conséquent, nous regardons même nos corps avec mépris. C’est ce qui explique l’attrait pour les drogues, les antidépresseurs et le suicide. En outre, cela ne se constate pas seulement dans les pays développés, mais partout, en Amérique latine et même en Afrique, dans les endroits où les gens étaient assez heureux par le passé, en dépit de leur existence misérable. Aujourd’hui, ça n’existe plus. Il doit y avoir une sorte de but à atteindre pour une personne afin qu’elle s’y engage elle-même, son apparence, le sport, etc…

De Kab TV, « Au Fil du Temps » du 20/10/13

Quand la lumière expose le mal

Dr. Michael LaitmanQuestion: Quand allons-nous vraiment atteindre le niveau de «aime ton prochain comme toi-même »?

Réponse: Tout de suite. Qui vous en empêche ? le premier homme a découvert ce chemin, les autres kabbalistes l’ont adapté pour nous et aujourd’hui, nous avons tout ce que nous avons besoin. Beaucoup ont atteint le niveau de «Aime ton prochain comme toi-même  » tout au long de l’histoire. Tous les élèves de Rabbi Shimon étaient à ce niveau.

Question: Mais selon leurs écrits , il y avait une haine brûlante entre eux.

Réponse: C’est vrai. De la même manière, la nation israélienne était en état des « 49 portes d’impureté  » avant la sortie d’Egypte. Alors, comment se peut-il qu’ils aient pusortir d’un tel état terrible et entrer dans la rédemption en un saut ?

Le fait est que «Celui qui est plus grand que son ami, son désir est plus grand que son ami.  » Si j’essaie d’atteindre le monde de Ein Sof (Infini) alors mon désir de recevoir devient plus grand et plus fort à tous les niveaux que j’atteinds. La remise en moi est confrontée à la réception, à l’ego, la coquille, le mauvais penchant à chaque fois. C’est la raison pour laquelle le Créateur, le Roi des rois a été révélé à la nation israélienne dans les  » 49 portes de l’ impureté. « Dans l’ensemble, les enfants d’Israël avancent le long de la ligne médiane. La lumière se fit sentir dans la coquille comme l’obscurité et a révélé le mal en eux ( 1). A l’opposé s’ils  demandent alors ils reçoivent la lumière environnante, ce qui est la Lumière qui ramène vers le bien, ce qui signifie la Torah, la méthode de correction ( 2). En conséquence, ils ont atteint la ligne médiane ( 3)

C’est l’ensemble du processus : la reconnaissance du mal dans la ligne gauche, la demande dans la ligne droite, et la transition vers la ligne médiane. Ainsi le mal grandit à chaque fois et par conséquent, le bien grandit aussi et puis la ligne médiane apparaît, qui est la moyenne des deux ( S). Donc, je vous promets que plus vous avancerez, pire vous deviendrez. Mais c’est le côté négatif. La voie de gauche sera équilibrée à chaque fois par le côté positif, la ligne droite.

When The Light Exposes Evil

C’est un grand problème pour une personne et il exige beaucoup de travail. D’abord, elle se désespère et ne sait pas quoi faire, elle se fatigue et ne voit que cela ne mène à rien. Elle ne peut pas justifier l’avancement le long de la ligne gauche en aucune façon et elle ne comprend pas que ces nouveaux attributs doivent effectivement se révéler négativement. C’est parce qu’une personne ne corrige que ce qui est en elle…

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale 18/10/13 , Écrits du Baal HaSoulam

La libre action de donner

Dr. Michael LaitmanQuestion: Comment quelqu’un reconnait qu’il est à un point de choix?

Réponse: Si vous voyez clairement ce qui est mieux, ce n’est pas un choix, c’est la connaissance . Et si vous ne comprenez pas ce qu’il ya de mieux, ce n’est pas non plus un choix, c’est le manque de connaissances.

Un choix est possible lorsque vous voyez deux composantes égales devant vous, mais il est impossible de résoudre quoi que ce soit avec elles en préférant un à l’autre. Vous voyez que les deux désir de recevoir et le désir de donner sont également nécessaires, vous ne pouvez pas vous avancer sans l’un d’eux. Vous êtes en plein milieu entre eux et vous êtes convaincus que vous devez utiliser les deux.

Après tout, comment puis-je donner si je n’utilise pas mon égoïsme ? Je peux effectuer certaines actions seulement à cause de mon désir de jouir. Mais comment puis-je donner si je n’utilise pas le désir de donner ? Il est impossible de procéder sans l’un de ces désirs. Alors, comment les utilisons-nous ensemble?

J’ai besoin de construire d’abord l’attitude d’amour envers celui vers qui cette action est dirigée. Et dans la mesure de mon amour, je vais sentir son désir, l’accepter et le fait mien et alors je vais pouvoir utiliser mes deux désirs, deux forces, afin de combler son désir en moi, comme une mère remplit un embryon (Oubar) dans son ventre. Et puis je fais plus extérieur à moi et c’est ce qu’on appelle  » l’allaitement  » (Yenika) ou un état adulte ( Gadlout) .

C’est ainsi que ces états sont construits grâce à une troisième force qui les éclaire. Alors où est cette troisième force ? C’est celle à qui je veux donner.

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale 19/10/10 , Écrits du Baal HaSoulam

Un cercle et une ligne – La garantie mutuelle et sa réalisation

Dr. Michael LaitmanLorsque nous sommes dans un cercle, cela signifie que nous restons dans le système général de la nature, qui comprend toute la nature minérale, végétale, et animale et les âmes humaines dans le système de l’Infini.

Une ligne est lorsque nous faisons fonctionner ce système au lieu de le laisser être activé d’en haut, par la nature.

Un cercle représente la condition absolue de la garantie mutuelle ci-dessus et une ligne représente la mesure de notre capacité à réaliser la garantie mutuelle en notre nom.

Lorsque nous observons la loi de garantie mutuelle, la nature, minérale, végétale et animale rejoignent aussi ce processus, car il est inclus dans notre degré «humain». De cette façon, l’ensemble du système à tous ses niveaux participe à la garantie mutuelle.

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale 15/10/10, Écrits du Baal HaSoulam

Ne violer pas la loi

Dr. Michael LaitmanQuand une personne étudie les lois du système intégral, il devient clair qu’elle ne peut rien changer. Tout le calcul qu’elle effectueest basé sur le fait de savoir si elle est en mesure de prendre sur elle la loi de garantie mutuelle.

Et si on ne peut pas, alors la différence entre la façon dont le système fonctionne dans l’état de garantie mutuelle et la façon dont il était censé le faire fonctionner indépendamment  est resenti comme une souffrance, une pression qui lui vient de ce système. Il n’y a pas de pitié pour un individu ici, juste un calcul de l’ensemble du système.

Si une personne ne respecte pas ses lois, dans la mesure où elle doit les mettre en œuvre au profit de l’ensemble du système, elle reçoit la rétroaction négative du système. Il s’arrête apparemment, attendant  de lui qu’il le fasse fonctionner. Et c’est ce qui lui fait ressentir toutes sortes de malheurs et de souffrances.

Mais si vous savez ce qu’est le système, vous pouvez même voir sous quelle forme et façon, les problèmes et les ennuis viendront à une personne. Cela dépend de la connexion entre les âmes et dans quelle mesure elle doit les mettre en oeuvre.

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale 15/10/10 , Écrits du Baal HaSoulam

Une garantie d’égalité

Dr. Michael LaitmanQuestion: Après la leçon du matin, nous commençons une nouvelle journée. Comment est-il possible d’utiliser ce jour le plus efficacement? Comment est-il possible d’avancer sans délai et procrastination?

Réponse: Nous devons réfléchir à la garantie, aux conditions de la garantie, de sorte que ce concept soit aussi proche de nous que possible.

Dans la seule âme collective, chacun est inclus dans tous. L’inclusion mutuelle n’indique pas le contrôle, mais plutôt l’égalité. Et l’égalité dans ce que chacun s’annule vis à vis des autres. C’est alors seulement que nous sommes égaux.

Faites attention uniquement à cela et concentrez vous sur ce point. Avec cela, nous allons gagner, et pas sous une autre forme. Toutes les autres victoires se transformeront en une défaite.

De la 3e partie du cours quotidien de Kabbale 10/10/13, Écrits du Baal HaSoulam

Le bon contact

Dr. Michael LaitmanQuestion: Que signifie  un bon contact entre les gens ?

Réponse: Le bon contact est l’apparition d’un désir partagé général dans le cœur et l’esprit. Quand quelque chose de partagé est créé entre vous et moi, pas de vous à moi et ni de moi à vous, plutôt entre nous, alors un troisième élément très intéressant apparaît que l’on appelle « la joie. » Ce sentiment est à un niveau plus élevé que nous.

De Kab TV « au fil du temps » 20/10/13