Il n’y a pas de mal sans bien

Dr. Michael LaitmanLorsque nous avançons dans notre travail, nous devons d’abord accepter qu’il n’y a pas de mal sans bien et qu’il n’y a pas de bien sans mal. Nous devons parvenir à l’état final dans lequel tout le mal est révélé etface à lui toute la bonté, l’un soutient l’autre comme « l’avantage de la lumière sur les ténèbres.  » Plus grande est l’obscurité, plus nous avons la chance  de découvrir une plus grande lumière en contraste.

C’est ainsi que la création est disposée parce que nous trouvons toujours en elle deux forces, deux pièces, deux attributs, qui sont essentiellement le Créateur et la créature.

Donc, si nous voulons avancer, nous devons savoir à l’avance que nous pouvons le faire que par l’augmentation de la force négative et la force positive face à elle. Mais la force négative se développe d’abord, comme il est dit : «Et il y eut un soir et il y eut un matin, un jour.  » Alors elles continuent d’apparaitre tour à tour, la force négative et la force positive, négative et positive .

Notre rôle est de trouver le lieu de la ligne médiane dans laquelle nous pouvons exister et déterminer nos états équilibrés. Cet équilibre n’est possible que si nous nous unissons et nous connectons. Ensuite, chacun ajoute son propre état à tout le monde et donc nous amenons tout le monde à un état d’équilibre.

Si nous examinons le point d’équilibre, nous découvrirons HaVaYaH  qui est direct et opposé aux dix Sefirot de la lumière directe et des dix Sefirot de la lumière réfléchie, ce qui est toute une structure spirituelle appelée Partsouf. C’est la structure qui atteint un état d’équilibre.

C’est un principe élémentaire, deux forces opposées qui atteignent un état d’équilibre et fixent ainsi toute la réalité.

De la préparation au cours quotidien de Kabbale 27/12/13

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