Daily Archives: 20 janvier 2014

Mon coeur est entre les mains des amis

Dr. Michael LaitmanDans l’idée de l’intention , le principe : « Chacun aidera son ami  » est actif, car  » Un prisonnier ne peut pas se libérer de prison seul,  » mais seuls les amis peuvent le faire sortir. Le soutien des amis est appelé  » Arvout  » et si elle est trouvée, même pour un instant, je n’oublierai pas l’intention et mon cœur sera toujours ouvert dans la bonne direction.

Je ne suis pas prêt à le faire par moi-même, mais seulement avec les amis. Mon cœur se trouve entre les mains des amis et eux seuls peuvent le diriger vers le Créateur, qui se trouve au centre du groupe. Par conséquent, je dépends complètement d’eux. Comment dois-je les indemniser en échange d’un tel travail? Je les récompense de la même façon, c’est-à-dire de manière identique je pense à eux, je me soucie de leurs intentions. Pas un seul d’entre eux n’est capable de faire cela tout seul non plus, et cela exige aussi la collaboration des amis.

Si, ensemble, nous pensons et nous préoccupons,  la bonne intention ne cessera pas chez les autres, leur cœur restera toujours ouvert et prêt pour la découverte du Créateur au centre du groupe, puis avec ceci nous nous assurons de la même préoccupation et le même traitement àl’égard des autres. En fin de compte, je découvre que tout le monde est déjà dans l’ tat ​​corrigé finaleet je n’ai pas vu cela avec mes yeux corrompus, comme il est écrit :  » on reproche aux autres ses propres défauts.  » Et si je me dirige correctement dans le travail avec les amis, leur donant alors je découvrirai leur don envers moi.

C’est -à-dire que tout le travail que je fais sur moi-même je le fais grâce à un travail sur les autres. En attendant, je fais cela pour des raisons égoïstes ( Lo Lishma )  en cela je me dirige vers ma propre correction. Mais en dépit de tout cela, il se fait déjà dans la bonne direction : de moi-même vers l’extérieur. De Lo Lishma comme ça, nous arrivons à Lishma, au don.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 15/1/14 , atelier

Le pouvoir de l’intention est dans sa constance

Dr. Michael LaitmanJe doit essayer d’ouvrir mon cœur aux amis et faire en sorte que tous leurs désirs, pensées et attentes pour la spiritualité entrent directement dans mon cœur sans aucune opposition et critique de ma part. Pour la bonne intention, nous avons besoin du Créateur dans le centre du groupe tout le temps et nous devons accepter cet état avec un cœur ouvert. Chacun de nous doit se concentrer autour de ce point et focaliser tous ses efforts sur lui. Uniquement en cela se trouve notre libre choix, que nous devons réaliser. Cette position entourant le Créateur qui se situe au sein du groupe est semblable à la position autour du mont Sinaï. Exactement comme là-bas, l’Arvut (garantie mutuelle) et le soutien mutuel sont exigés de nous : à travers eux, nous pouvons atteindre une intention constante.

Dans la spiritualité, rien n’est mesuré en fonction de la quantité de pouvoir, mais plutôt en fonction de la qualité. Une intention forte est une intention qui ne s’arrête jamais. Une intention faible peut être arrêtée. Mais une intention forte ne peut pas être arrêtée et elle est constante, et on dit d’elle qu’elle est élevée. Certes, toutes sortes de perturbations viendront, tant générales que particulières, mais face à tous les troubles, nous devons être préoccupés par une seule chose : une telle intention forte qui ne cesse jamais. C’est précisément avec cela que nous devons nous renforcer les uns les autres, et c’est la garantie mutuelle que se réalise.

D’une petite et faible intention, nous devons arriver à une grande et forte intention, c’est-à-dire, à partir de pauses régulières, d’une perte de désir ardent spirituel, nous devons passer à un seul cœur, au centre du groupe, dans lequel le Créateur se découvre, de sorte que nous allons tous ensemble nous connecter ici dans une seule étreinte avec Lui. Nous devons nous aider les uns les autres avec la garantie mutuelle, afin que l’intention ne s’arrête pas en chacun de nous. Car en cela, il percerait un trou dans la coque de notre bateau commun, dans notre cœur commun. Si nous nous approchons de la convention avec les efforts de ce genre, alors le succès est assuré pour nous.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale du 15/01/14, Atelier

Augmentez le coefficient de l’action positive

Dr. Michael LaitmanQuestion: Comment peut-on atteindre la bonne prière le plus rapidement possible ?

Réponse: Notre effort, comme tous les discernements spirituels, n’est pas mesuré en fonction du nombre d’actions, mais en fonction de leur qualité. Parfois, nous pouvons voir une personne qui essaie très fort et fait beaucoup de choses tournant comme une girouette. Tout le monde peut admirer son énergie, mais le bénéfice de ces actions peut être minime . Comme il est dit:  » peu avec la bonne intention, c’est mieux.  »

Le monde spirituel est fait de qualités : soit pour recevoir ou pour donner. Tout dépend de deci , de comment chacun pèse et pas le nombre réel d’actions. Par conséquent, il dit: « Une personne peut atteindre son monde en une heure !  » Mais comment est-ce possible si on passe un millier d’heures ou un million d’heures ! Toute l’humanité gaspille des milliards d’heures et n’atteint pas l’objectif  et il y a des gens qui atteignent leur monde en une heure et atteignent la révélation. Est-ce juste ?

Ceci est possible en raison de la qualité qui est plus importante que la quantité. Donc, si vous voulez atteindre la bonne prière aussi rapidement que possible, vous devriez faire un effort en qualité et en quantité en ce qui concerne les actions et les intentions. La qualité devrait venir en premier.

Un effort qualitatif signifie clarifier en permanence ce  qu’est recevoir et donner, l’un à l’égard de l’autre . C’est ce que nous devrions rechercher dans tous les aspects de la vie, dans toutes nos relations avec les autres.

L’effort qualitatif est mesurée par combien mon cœur est impliqué. Le cœur devrait être le critère et non l’esprit. Il y a des gens très intelligents et j’avais l’habitude de les envier dans le passé quand je voyais à quelle vitesse ils pouvaient saisir le matériel, comprendre les choses et entrer dans les détails. Mais finalement, j’ai découvert que  » ce n’est pas le sage qui apprend ». Vous ne pouvez comprendre que par vos sentiments et je considérais ceci comme pas si grave, mais plutôt comme quelque chose de frivole, voir des sentiments féminins.

Je croyais que le pouvoir était dans l’esprit , mais ce n’est pas vrai . Premièrement, tout doit passer par les sentiments et alors seulement une personne comprend. L’esprit lit et ne perçoit que ce qui se passe à travers le cœur. Nous devons donc essayer d’augmenter nos sentiments autant que possible dans la bonne direction, bien sûr . Les sentiments ne se développent que par la Lumière qui ramène vers le bien.

De la 2ème partie du cours quotidien de Kabbale 12/01/14 , Le Zohar

Tout le monde est un peu philosophe

Dr. Michael LaitmanBaal HaSoulam , « Introduction au Livre du Zohar» , article 23 : Il s’avère que, une fois revêtue d’un corps humain, elle ( l’âme ) génère des besoins et des désirs et des idées pour satisfaire son désir de donner au maximum, ce qui signifie à donner contentement à son Créateur, en fonction de la taille de son désir.

Question: D’une part, il est dit que nous ne devons nous laisser guider que par ce que nous voyons, mais d’autre part, nous devons nous détacher de la matière corporelle ordinaires «corps» et «âme», alors comment nous pouvons intégrer les deux choses ?

Réponse: Je vois le monde corporel dans lequel je vis maintenant. Nous étudions ceci dans les universités et non dans les leçons de la Kabbale. Nous, d’autre part, étudions quelque chose qui est au-dessus, la réalité spirituelle. Ce n’est pas devant mes yeux et je suis censé acquérir une nouvelle vue pour voir. Je n’ai pas besoin d’yeux corporels pour cela, mais spirituels.

Les kabbalistes nous disent que, tout comme le corps physique , il y a aussi un corps spirituel et c’est le don sans réserve. La vie en elle est la lumière qui remplit. Le corps spirituel est en réalité la lumière réfléchie ( Ohr Hozer ) et nous sentons le corps selon sa mesure.

Je suis attiré pour donner aux autres selon le niveau de la lumière réfléchie et le don à l’autre, c’est mon âme. C’est exactement là où elle est, dans les autres, et non dans la chair qui vit et meurt. Nous n’avons besoin de la chair que pour la période où je dois annuler mon désir de recevoir. Ensuite, la nécessité du corps physique disparaît. Quand j’atteins le premier niveau spirituel, je comprends que cela n’a rien à voir avec le corps. De telles conditions m’ont été simplement données pour exister avant la révélation. Cet état est indispensable pour entrer dans le monde spirituel. C’est l’endroit où je remplis les conditions préalables.

C’est comme si je me tiens devant la porte et me dit :  » Vous pouvez entrer que si vous avez un billet. N’avez-vous pas un billet ? Alors allez travailler et achetez un billet et vous pourrez entrer .  » Je travaille dans ce monde afin d’acheter un billet pour la réalité spirituelle et pendant les cours nous parlons de ce qui se passe derrière la porte.

Question: Donc, en quoi sommes-nous différents des philosophes qui semblent dire la même chose ?

Réponse: Tout d’abord, nous avons raison car nous ne voulons pas, comme eux, nous livrer à des fantasmes comme ils le font, nous comprenons que nous devons réellement sentir et voir ce dont nous parlons de première main. Il s’agit d’une approche saine qui protège contre de faire des erreurs et fournit un cadre scientifique clair.

Les philosophes se sont trompés dans le fait qu’ils parlent de choses qu’ils ne se sentent pas, qui sont -delà de leur perception et sont dépourvus de toute base factuelle. Et ils sont à l’aise avec cette situation : d’abord, parce qu’ils sont payés pour cela et deuxièmement, parce qu’ils veulent avoir quelque chose à voir avec la «spiritualité ».

En principe, une personne atteint une certaine «tête de pont spirituel », mais sans travailler sur elle-même. C’est la raison pour laquelle les kabbalistes déteste la philosophie. Il y a un philosophe en chacun de nous parce que nous aimerions également saisir la spiritualité sans faire d’effort et nous aimons faire apparaître différentes théories infondées .

Dans le même temps, nous devons tout expliquer :  » Même si je me sens parfois philosopher, c’est simplement mon ego  » La vérité est que nous ne pouvons pas réellement discuter du monde spirituel avant que nousl ‘atteignions, il est dit : «Nous ne pouvons pas savoir un nom ou un mot si nous l’atteignons pas  » .

Nous rejetons l’approche philosophique et détestons les philosophes en nous mais il est impossible de faire sans eux, car tout le monde comprend le monde entier en lui. Donc, on ne parle que de ce qui se passe dans nos cœurs.

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale 12/01/14 , Écrits du Baal HaSoulam

La vie spirituelle – un éternel renouveau

congrès, groupeQuestion: Pourquoi la «boule de framboise  » disparaît tout le temps et la seule façon de la retenir et de grandir, c’est de sortir vers la foule?

Réponse: Chaque activité dans la spiritualité est une innovation. Même dans notre monde, cela se passe de cette façon, mais nous ne faisons tout simplement pas attention à cela. Rien ne retourne à ce qu’il était: il y a tout le temps de nouvelles précisions et corrections, une nouvelle découverte du mal et la correction en bien.

Dans la spiritualité, il ne peut y avoir un arrêt, il ne peut y avoir un état statique. Chaque état doit être renouvelé tout le temps. C’est comme en amour, comme dans les relations entre les personnes, où nous devons constamment entretenir nos relations. Si nous voulons les garder, nous devons constamment développer et les faire grandir,s’ouvrir à de nouveaux états.

Dans ce monde, jusqu’à la fin de la correction, nous recevons un cadeau, une faveur, une aide dans le travail : Nous révélons des désirs brisés spécifiquement accordés par le Créateur afin que nous ayons une matière à renouveller. Grâce à cela, nous pouvons renouveler les relations et développer nos sentiments à chaque fois.

Mais s’il n’y avait pas eu la brisure, qu’uairons-nous fait  pour nous appuyons sur la construction de nos innovations et des changements ? Et quand nous nous élevons des états physiques à des états spirituels, nous voyons que la spiritualité est en constante évolution. Sans eux, il n’existe pas dans le monde spirituel. Même dans notre monde, dans la physique quantique, l’électron ne peut pas exister sans mouvement.

Si nous nous arrêtons, il disparaît ‘univers entier des particules élémentaires, qui tournent autour de leurs axes à des vitesses énormes et se déplacent sur ​​des orbites, est en mouvement et en changement. L’ensemble du monde micro fonctionne à des fréquences plus élevées qui se rapprochent de la vitesse de la lumière.

Dans nos vies la vitesse des changements se développe également et tous les appareils techniques, l’électronique , l’informatique, tout fonctionne de plus en plus vite. Cela dit quelque chose sur le nombre de changements que nous sommes prêts à inclure dans une unité de temps, une unité de l’influence. Tout dépend de la vitesse, la fréquence avec laquelle les changements se produisent.

Chaque Partsouf comprend dix Sefirot et chacune d’elles comprend dix autres et ainsi de suite. Par conséquent, il doit y avoir une très haute fréquence dans chaque intervalle afin d’inclure toutes ces modifications infinies de l’intégration mutuelle de ce que dans et en ce que, et ainsi de suite . Les changements doivent être constants et à une très grande vitesse.

Ainsi, lorsque nous arrivons à la boule de framboise, nous commençons à sentir que c’est impossible de s’y accrocher. Ici, nous commençons à comprendre l’ensemble de notre psychologie : Si nous ne travaillons pas sur une sorte de sensation, une sorte d’observation tout le temps, alors elle disparaît. Elle n’est pas clairement révélée dans cette vie parce que nous sommes de plus en un composé unique de bête et d’homme. Et la bête en moi existe sans changement, comme tout le reste des animaux. Et si ma tête ne se préoccupe que de ma bête, je pense que tout va très bien pour moi.

Mais si je commence à me préoccuper de l’humain avec mon esprit, je vais avoir besoin de tous les changements là-bas. Ensuite, je devrai, sans cesse décider ce qui est plus important pour moi, la bête en moi ou l’ humain ? l’homme chevauche t-il l’âne ou l’âne l’homme ; qui porte qui?

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 07/01/14 , Leçon sur le thème : «Préparation au congrès «