Monthly Archives: mai 2014

La purification du péché

Dr. Michael LaitmanLa Torah, « Lévitique » (Tzav), 6:17-6:18 : Le Seigneur parla à Moïse en ces termes : « Parle ainsi à Aaron et à ses fils : ceci est la règle de l’expiatoire. A l’endroit où est immolé l’holocauste, sera immolé l’expiatoire, devant le Seigneur : il est éminemment saint. »

Le péché est un état où l’on est immergé dans l’ego. Si je suis plus proche de moi-même que de quelqu’un d’autre, c’est déjà un péché. C’est pourquoi il est généralement difficile de ne pas pécher.

Nous devons donc corriger le désir dans lequel je veux profiter avant de satisfaire autrui. C’est ce qu’on appelle une offrande (Korban), qui en hébreu provient de la racine « se rapprocher » (Karov), en rapprochant notre désir de l’attribut du don sans réserve. Une offrande est la partie de mon ego que je peux sacrifier afin de donner sans réserve aux autres et les aimer.

Notre rôle et celui de l’humanité est de percevoir, de comprendre, et de ressentir que l’ego est mauvais, parce qu’il n’y a rien d’autre que cela. Mais nous nous référons à l’ego qui ne nous permet pas de nous connecter aux autres et non pas les inclinations personnelles et les calculs de chaque personne qui n’ont rien à voir avec la Torah. La Torah est le rassemblement des désirs autour du Mont Sinaï, autour de la haine mutuelle que nous ressentons l’un envers l’autre, qui commence à partir d’une petite chose, du fait d’être plus proche de moi-même que de vous.

Tout se résume à la révélation dans l’égoïsme. La formule est très simple : « J’ai créé un mauvais penchant, j’ai créé la Torah comme une épice » car la Lumière en elle ramène vers le bien. C’est parce que la Lumière de la Torah nous ramène à la source, au Créateur, à l’attribut du don sans réserve et de l’amour.

De KabTV, « Les Secrets du Livre Éternel » du 10/12/13

Les premiers pas de la Kabbale pratique

Dr. Michael LaitmanQuestion: Est-ce que le Baal HaSoulam nous a laissé des informations sur toutes les étapes du chemin de sorte qu’il soit possible de créer la méthode en se basant sur ces informations ?

Réponse: Non , le Baal HaSoulam ne nous a pas laissé ce genre d’information. Nous devons trouver les moyens de nous-mêmes. Le chemin semble clair, mais comment avancer d’une étape, personne ne le sait.

Le problème est que nous devons aller dans cette voie sans aucune garantie, aucune connaissance, mais seulement en réalisant sa nécessité et parce que nous n’avons pas le choix. Le monde fait pression sur nous , ce qui signifie que le Créateur fait pression sur nous a travers le monde , et nous devons amener les gens à la connexion afin que par elle ils atteignent l’équivalence de forme avec le Créateur.

Dès le moment où nous commencerons la bonne recherche grâce à notre connexion entre les amis, nous commencerons à découvrir la méthode . C’est parce qu’il nous est impératif et que s’exprime dans nos paroles , notre manière et le style , avec toutes nos conditions. Aucun kabbaliste jusqu’à nos jours n’a pu écrire quelque chose à ce sujet.

La sagesse de la Kabbale est une science pratique qui a été conçue par l’expérience. Et quelqu’un qui ne vit pas à notre époque ne sait  même pas s’il était un grand kabbaliste. Il pouvait parler de tendances générales, des deux voies, mais il ne pouvait pas écrire plus sur notre époque. C’est pourquoi les kabbalistes ont été déployés dans chaque génération et maintenant c’est notre époque.

Dans les écrits du Baal HaSoulam , il est possible de trouver des indices sur notre temps. Il y a quelque chose mentionné dans les écrits de la dernière génération , mais il est impossible de copier aveuglément . On peut découvrir qu’il essaie d’attirer à la réalité quelque chose qui sera réalisé après de nombreuses années et qui, etre temps, a peu d’importance.

De la 3ème partie du cours quotidien de Kabbale 21/05/14 , Le Livre du Zohar

Un long chemin vers la connexion

Dr. Michael LaitmanQuestion : Pourquoi le Créateur a-t-il choisi une nation pour une mission spéciale, et ce choix est-il lié à la religion ?

Réponse : La vraie religion est d’aimer votre ami comme vous-même. C’est la règle qu’Abraham a fait connaître dans l’ancienne Babylone, et il a rassemblé les gens autour de lui selon cette règle à l’intérieur d’un groupe appelé Israël, ce qui signifie Yashar El (droit à Dieu).
Seules quelques personnes de Babylone ont suivi Abraham ; celles qui avaient les plus grands récipients du don sans réserve. Tous les autres avaient des récipients de la réception. C’était intentionnel de sorte qu’ils auraient une chance de s’aider les uns les autres.

D’abord, les récipients du don sans réserve sont corrigés afin qu’ils puissent monter à un niveau spirituel. Quand Abraham les a collectés, ils n’avaient rien. Ainsi, ils devaient d’abord passer par le durcissement du cœur appelé l’Égypte, ce qui signifie qu’ils ne montent pas, mais descendent plutôt.

A Long Way To Connection

Après l’exode de Babylone, ils descendent en Égypte, puis sortent de l’Égypte et montent vers la réception de la Torah. Ils traversent ensuite le désert, construisent le premier Temple, et chutent. Ils montent à nouveau jusqu’à la hauteur du second Temple et passent par une autre descente au niveau corporel. Cela afin d’être mutuellement incorporé avec les nations du monde et pour se préparer pour la fin de la correction du monde.

L’ensemble du processus, à commencer par l’exode de Babylone et tout ce qui suit, est dans le but d’atteindre une plus grande connexion. C’est ce qu’Abraham a enseigné. Au moment où ils ont commencé à se connecter, ils ont ressenti qu’ils étaient dans une descente de plus en plus grande.

La Lumière qui a brillé sur eux leur a permis de descendre de plus en plus profondément dans leur ego et de voir qu’ils étaient loin du don sans réserve, de la Lumière. Par conséquent, ils ont ressenti l’écart, le delta entre l’état de l’exil en Égypte et le niveau où ils étaient quand ils ont quitté Babylone, et ils seraient restés à ce niveau sans la Lumière. Ceci est l’écart entre la Lumière et notre ego.

De la 5ème partie du cours quotidien de Kabbale du 19/05/14, Écrits du Baal HaSoulam

Un succès différent

Dr. Michael LaitmanQuestion: Comment les gens mesureront leur succès dans la société future ?

Réponse: La valeur de la réussite sera opposée à ce qui existe aujourd’hui : dans quelle mesure , en dépit de mon ego , je fais tout dans l’intérêt de la société. Je regarde seulement l’intérêt de la société et ne m’attends à rien pour moi. C’est le service aux autres sans aucune récompense.

Au lieu d’utiliser les autres afin qu’ils me servent et ma fierté, je les sers. Il s’agit d’une approche opposée à l’ego. Cela est appelé le don de la lumière réfléchie. Grâce à cette approche, nous commençons à voir la réalité à travers un ensemble de personnes  et ce que nous discernons dans cette forme est appelé le monde spirituel.

Question: Qu’est-ce que le monde supérieur ? Comment est-il possible de le voir ?

Réponse: Il faut s’inverser : commencer à penser aux autres au lieu de constamment penser à soi-même. C’est une façon de percevoir la réalité à l’envers, par la société , à travers le monde. Et au lieu d’utiliser tout le monde dans mon propre intérêt, je sers l’intérêt public.

Question: Qu’est-ce qui peut donner à une personne une telle force de se transformer ?

Réponse: Il s’agit soit de grandes souffrances jusqu’à ce que le point de «il vaut mieux mourir que de vivre», qui peut nous pousser à cela, mais il sera impossible de mourir  et c’est par nécessité qu’ils doivent transformer de l’égoïsme en don ; ou par l’éducation , l’étude de la sagesse de connexion , que nous devons fournir.

Comme nous nous adressons à des gens dans le bon sens , nous ne voulons pas attendre qu’ils reçoivent des coups qui les forcent à se connecter en dépit des objections qui viennent de leur nature , mais nous leur offrons d’utiliser le système de correction maintenant .

De KabTV de  » Une nouvelle vie  » 29/04/14

La grande valeur de Lo Lishma

Dr. Michael LaitmanL’état de Lo Lishma n’est pas seulement un ego corporel ordinaire. Être dans un état de Lo Lishma ( pas en Son nom ) signifie que j’essaie d’être dans un état de Lishma (en Son nom ) pour effectuer des actions de don et découvrir à chaque fois que je les ai toujours effectué dans mon propre intérêt.

Le temps dure tant que je fais des efforts pour m’élever au-dessus de mon ego et  parvenir à une action de don, mais le fait de ne pas être encore capable de le faire est appelé la période de Lo Lishma.

Question: Peut-être qu’une tentative n’est pas suffisante pour inverser ma nature de Lo Lishma à Lishma .

Réponse: Bien sûr, cela ne se fait pas en une seule fois. Il y a 125 niveaux et chacun d’eux est divisé en de nombreux autres états. Baal HaSoulam dit que nous ne comprenons pas combien  l’état de Lo Lishma est grand. Il est encore beaucoup plus grand que ce que nous pouvons’imaginer et penser ce qu’est l’état de Lishma.

C’est parce que l’état réel de Lo Lishma signifie que je fais de mon mieux pour effectuer une action de don, de toutes mes forces, mais finalement je découvre que j’agis toujours comme un résultat de la volonté de recevoir, afin de recevoir un profit égoîste.

Question: Y a t-il une certaine structure ou un environnement où l’on puisse entrer pour effectuer l’inversion nécessaire ?

Réponse: Oui , c’est le rôle du groupe .

 

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 23/05/14 , Shamati # 8

Chanson d’une âme dévouée

Dr. Michael LaitmanTraditionnellement, les gens chantaient des mélodies écrites par les kabbalistes, dans des tonalités mineures tristes. Mais nous devons comprendre que chaque mélodie kabbalistique est au-dessus du Tsimtsoum, ce qui signifie au-dessus du souci de soi-même.

Toutes les mélodies sont dirigées vers le Créateur avec un désir ardent d’adhérer à Lui avec le don sans réserve et l’amour, de Lui donner satisfaction, et Lui ressembler dans ses relations avec d’autres personnes. Elles n’expriment pas de regret à propos des difficultés et des souffrances, ou des plaintes concernant la difficulté de la vie, comme cela est communément compris dans les religions.

Des préoccupations comme celles-ci et la tristesse générale d’une personne ne sont pas mentionnées dans la sagesse de la Kabbale et dans les livres de Kabbale. Il en est ainsi puisque les kabbalistes sont dans un état qui est au-delà de la Makhsom, dans les frontières du monde spirituel ; par conséquent, ils ne tiennent pas compte d’eux-mêmes, mais seulement du Créateur.

Et s’ils sont désolés, alors c’est seulement parce qu’ils ne peuvent pas atteindre plus de dévouement et d’abnégation pour le Créateur. Toutes les pensées, tous les désirs et les attentes sont dirigés vers l’extérieur d’une personne, et ceci devrait se faire ressentir dans la mélodie. Cette chanson est un déversement éclatant et enthousiaste de l’âme.

Si nous chantons une mélodie du Baal HaSoulam, nous devons imaginer son état et essayer d’être aussi proche de lui que possible. Sinon, nous associons cette mélodie avec notre état ​​physique, à nos pleurs et nos demandes : « Donne, donne, donne ! » Nous transformons le sacré en profane.

De la préparation pour le cours quotidien de Kabbale du 20/05/14

Choisir entre le Créateur et un plat

Dr. Michael LaitmanQuestion : Quand une personne atteint la foi dans le Créateur, qu’est-ce qui est la preuve qu’elle est sur ​​le droit chemin ?

Réponse : La foi doit toujours être renouvelée à chaque nouveau niveau. La foi est le don sans réserve, le niveau de Bina, Hafetz Hessed, le don pour le don, ce qui permet de s’élever au-dessus de notre désir de recevoir. C’est ce qu’on appelle la foi dans le Créateur.

Je m’élève au-dessus de mon désir de recevoir, au-dessus du Tsimtsoum, au niveau de Bina, pour donner dans le but de donner. C’est ainsi que je me dirige entièrement vers le Créateur.

En attendant, je ne peux pas utiliser un désir de donner sans réserve ; je ne peux pas m’asseoir à la table de l’hôte et profiter de tous les goûts, en ressentant que je lui fais plaisir. Je réalise mes corrections préliminaires, je m’élève au-dessus des phases Shoresh, Aleph, Bet, Guimel, Dalet de Aviout en voulant être au-dessus de mon désir, et je me dirige uniquement vers le Créateur.

Je ne regarde que Lui. Des odeurs séduisantes montent de la table, mais je regarde le Créateur. Même si je sens combien les goûts sont savoureux, le Créateur est plus important pour moi.

Je ne m’arrête pas de force parce que je suis honteux de prendre quelque chose de la table. Le Créateur est tout simplement devenu tellement important pour moi que je dois choisir entre Lui et le plat. C’est ce que l’on appelle les niveaux de la foi.

Je préfère aspirer au Créateur au lieu d’aspirer au plat. Cette décision est prise dans les 4 phases de Ohr Yashar (Lumière Direct), Bina.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale du 20/05/14, Écrits du Rabash

Impuissants

congrès, groupeQuestion: Que faire si après avoir vérifié les besoins et les lacunes des amis , nous voyons que nous ne pouvons pas les aider, nous ne savons pas comment répondre à leurs besoins ?

Réponse: Alors nous prions, nous demandons de l’aide.

Question: Comment faire un demande correcte, une prière , afin qu’elle apporte la lumière qui ramène vers le bien?

Réponse: Pour celavous devez entrer dans le problème de l’ami comme si c’était le vôtre.

Question: Mais je ne peux pas me changer.

Réponse : Oui, seuls les amis peuvent vous changer. Dans le chemin spirituel , une personne voit combien elle est faible. Dans le chemin spirituel je découvre que je n’ai pas de mains. Je n’ai aucun moyen de m’aider et je suis complètement à la merci de mon environnement . Si les amis le veulent, je vais avancer ; s’ils ne le veulent pas, je ne vais pas avancer.

Donc nous atteignons une vrai Arvout. Pour avancer, j’ai besoin d’ une connexion aux amis. Donc, je suis prêt à tout leur donner.

Et puis vice-versa : je ne veux plus rien pour moi et je ne pense pas à mon avancement. A la place, je pense à la possibilité de les soutenir, de les aider. Cela est la vraie Arvout.

De la 5ème partie du cours quotidien de Kabbale 16/05/14 , Écrits du Baal HaSoulam

Sans Pharaon nous n’aurions pas besoin du Créateur

Dr. Michael LaitmanQuestion: Qu’est-ce qui dépend de nous au fait ?

Réponse:Il n’y a que la construction d’un désir correct qui dépende de nous, tandis que la lumière supérieure demeure en repos absolu. Et ce n’est que dans la mesure de la force et de la complexité du désir que l’on peut percevoir la lumière: sa puissance et sa qualité.

En fonction de la quantité des propriétés qui seront combinées à l’intérieur du désir, nous percevrons la lumière soit sous la forme d’une lumière simple Nefesh, qui est immobile, soit sous forme de la lumière Rouakh (le vent), qui se trouve en mouvement.

Ensuite, nous découvrirons la lumière  de Neshama, qui indique déjà la source d’où la lumière vient. Nous commencerons à y percevoir le désir du supérieur à notre égard.

Après viendra la lumière de Haya qui nous indiquera la manière dont notre désir fort, complexe et multiforme pourra néanmoins entrer en contact avec la lumière supérieure et commencer à travailler avec elle.

Et la lumière finale c’est Yekhida – quand tout se réunit dans un travail commun de don réciproque.

Question: Quelle est la différence entre la quantité et la qualité de la lumière?

Réponse: La qualité et la quantité sont deux composants de la puissance de la lumière, comme l’électricité où la puissance se détermine par la tension multipliée par l’intensité du courant. Cela determine la quantité dont on est susceptible d’extraire de la source de la puissance, sa performance, c’est-à-dire la possibilité d’effectuer le travail nécessaire.

La qualité et la quantité sont liés l’un à l’autre. Pour la lumière supérieure il n’existe pas de différence entre la quantité et la qualité, cette différence n’existe que vis-à-vis de ceux qui reçoivent. Toute la matière minérale est équivalente à une plante. Il s’avère qu’une seule plante est forte en qualité par rapport à l’ensemble de la nature minérale qui est forte en quantité.

Question: Que devons-nous demander alors?

Réponse: Il n’y a que le désir que nous devons demander. C’est formidable qu’en ce moment nous ayons la possibilité de le recevoir lors de nos activités de diffusion – il n’y a rien de plus précieux que cela. Ressentir nos obligations vis-à-vis du monde entier – c’est la meilleure des choses.

C’est le désir dans lequel nous découvrirons l’univers entier, nous découvrirons le Créateur.

Ce désir nous fera sentir à quel point nous avons besoin du Créateur. Avant on n’avait pas vraiment besoin de Lui. Mais aujourd’hui Il nous est devenu indispensable comme de l’air. Ce n’est pas par hasard que l’on dit: «Allez chez Pharaon! » – en effet, sans le Pharaon nous n’aurions pas besoin du Créateur.

De la leçon sur « L’importance de l’union »du 25/05/2014

 

Une joie unique

Dr. Michael LaitmanQuestion: Quelle est la différence entre la joie de la Torah et la joie que nous ressentons en ce monde ?

Réponse: Il est impossible de les comparer. D’abord la joie corporelle est temporaire et non éternelle, elle est limitée par le récipient de la volonté. Il est si petit que comme si vous étiez enfermé en prison en isolement et vous vous réjouissez d’un morceau de pain et un peu d’eau qu’on vous donne.

Il est impossible de comparer les plaisirs de ce monde avec ceux du monde spirituel parce qu’ils sont satisfaits dans des récipients différents. La joie la plus vraie et sincère dans ce monde, c’est la joie d’un bébé qui s’accroche à sa mère, sentant sa chaleur et en reçoit du plaisir physique et émotionnel. Dans ses bras, il sent qu’il est au ciel, respire son odeur, tétant son lait , adhérant complètement au supérieur.

Il n’y a pas de meilleure sensation que cela dans notre monde. Sinon, un bébé ne pourrait pas grandir . Mais il est impossible de comparer ce plaisir avec plaisir spirituel. Notre monde est fictif et temporaire. Nous ne pouvons comparer que les concepts qui sont liés d’une certaine façon , qui ont une formule commune  comme en mathématiques ou en physique.

Il doit y avoir un lien entre eux, de sorte qu’il peut être contrôlé et mesuré par rapport à la norme. Ici, cependant, il n’y a rien que nous puissions mesurer .

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 20/05/14 , Écrits du Rabash