Daily Archives: 5 juillet 2014

Les maladies sont le résultat de notre ego

Dr. Michael LaitmanQuestion: Pourquoi les maladies et les souffrances physiques sont-ellesnécessaires?

Réponse: Elles sont les résultats de l’ego général non corrigé. Tant qu’elle existe dans les âmes, même les âmes corrigées, qui sont complètement connectées aux âmes non corrigées, vous sentirez la souffrance.

Question: Il est possible de comprendre pourquoi la souffrance est nécessaire pour les kabbalistes afin qu’ils puissent apprendre à s’élever au-dessus du niveau animal, mais pour les gens ordinaires?

Réponse: Nous sommes tous dans la dépendance collective comme une seule entité, l’âme, le désir de recevoir. Si elle est «pour soi», alors nous souffrons, si elle est «pour l’amour du Créateur», qui signifie semblable à la lumière, alors nous avons du plaisir.

Question: N’est-ce pas cruel de remplir les pauvres créatures de souffrance?

Réponse: Le Créateur prend notre état ​​final en compte; Sa conduite est dérivée de la nécessité de nous amener à la fin complète de la correction et de la perfection.

La chose principale est de pouvoir changer

Dr. Michael LaitmanQuestion : Est-ce correct de continuer à exiger plus des amis ?

Réponse : Tout dépend de vous. Exiger plus de vos amis est la même chose que de demander plus au Créateur, la Lumière Supérieure, qui influence le Kli. Il peut arriver que leur réponse semble opposée à vos attentes.
Nous devons comprendre que nous vivons dans un monde qui se rapproche sans cesse de la fin de la correction. En « lisant » convenablement les données à ce sujet, nous nous sentirons plus proche des Lumières et nous changerons conformément à elles. Mais au lieu de changer « linéairement », nous allons changer de manière cyclique, car nous passons à travers les cinq degrés de HaVaYaH à plusieurs reprises.

Cependant, je ne sais pas exactement comment je dois changer. Mais je me souviens toujours que le Créateur me donne plus à chaque fois. « Le Bien qui fait le bien », « Il n’y a rien hormis Lui », Il continue de croître d’avantage devant moi.

Et ce que je ressens n’a pas d’importance. Je me dirige dans la bonne direction lorsque je veux savoir où Il est à chaque instant et que je Le garde en vue.

Par conséquent, je vois que le but de toutes les étapes et des états est de révéler le don sans réserve du Créateur devant moi afin qu’Il devienne vraiment grand à mes yeux. C’est ce qui arrivera si je suis capable de changer.

C’est pourquoi le Baal HaSoulam commence Shamati avec l’article « Il n’y a rien hormis Lui ». Nous devons nous diriger et nous orienter nous-mêmes de cette façon : la Lumière se révèle de plus en plus, et nous devons trouver un terrain d’entente.

D’une part, « Il n’y a rien hormis Lui », « Le Bien qui fait le bien », d’autre part, mon désir, qui est opposé à lui, et au milieu, je construis mon attitude envers le Créateur, afin de renforcer cette formule en moi.

Dans ce cas, je change constamment.

Comment ? Je ne peux pas changer mon désir et mes sensations. Ils viennent naturellement, et je ne me trompe pas pour ce qui est d’eux. Les principes de « Le Bien qui fait le bien », et « Il n’y a rien hormis Lui » ne peuvent également pas changer.

Mais je peux construire mon intention au milieu, la modifier, et la corriger à chaque fois afin d’harmoniser mon désir avec la grandeur du Créateur.

Cet « adaptateur », ce « tampon », le pacificateur entre les deux opposés, est appelé foi au-dessus de la raison ; j’avance en raison de cela.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale du 03/12/10, Écrits du Rabash