Daily Archives: 9 juillet 2014

Contrôlez vos pensées

Dr. Michael LaitmanQuestion: Que devez-vous faire si, au cours de l’atelier, des pensées sur des problèmes matériels vous envahissent à un tel degré que vous ne savez pas comment y échapper ?

Réponse: Pour chaque nouvel état, ce n’est pas grave qu’il soit positif ou négatif, il doit être clarifié de telle sorte qu’une personne puisse penser en elle-même : « Je reste dans la direction précédente de mes pensées. » Ceci est nécessaire.

Vous ne pouvez pas imaginer ce qui vous arrive durant le cours matinal. Il y a entre 300 et 400 hommes assis devant moi et un grand nombre de personnes connectées sur Internet. Si je ne réussis pas à organiser mes pensées, alors on ne sait pas ce qui aurait pu se passer durant la leçon, ce qui aurait pu passer à mes étudiants. Quel gâchis, vraiment quel gâchis !

Les pensées peuvent être différentes : parfois stupides, parfois confuses, parfois effrayantes comme dans un film d’horreur. Elles pourraient être complètement hors de propos : des problèmes à la maison, avec les enfants, des problèmes liés au sexe, etc. Tout est possible ! Cela ne dépend pas de l’âge ou d’autres facteurs. Toutes ces pensées nous sont envoyées afin que nous les traitions.

Je ne peux pas penser à moi ou bien vous contrôler. Vous êtes après tout au début du chemin.

Si je ne contrôle pas mes pensées, ma leçon ne vaudra rien. Au lieu d’élever les étudiants, je les abaisserai parce qu’ils reçoivent tout de moi. C’est la responsabilité de l’enseignant.

Imaginez que vous soyez le corps d’une mère avec un embryon qui se développe en elle, soit la chose qui vous est la plus précieuse. Accepteriez-vous qu’il reçoive une alimentation qui soit nocive ou incorrecte ? Par conséquent, tous les états expérimentés doivent être contrôlés.

Extrait du Congrès de Sotchi, Leçon n°3 du 10/06/2014

Devenir des invités reconnaissants

congrès, groupeNous étudions qu’il n’y a pas d’autre travail à part la connexion à atteindre. Mais nous ne créons pas la connexion par nous-mêmes, ce qui est une incompréhension générale est amer qui corrompt notre chemin et prolonge l’exil.

Nous ne devrions souhaitez que nous connecter et attribuer cette connexion à un facteur externe, à la force supérieure. Nous ne nous corrigeons pas, mais seulement en découvrons sa nécessité.

La nécessité pour la connexion provient de notre désir d’éviter les souffrances et de la volonté de ravir la source de la lumière qui nous parvient. C’est tout à fait un long chemin, toute une échelle de niveaux spirituels que nous devons monter dans notre compréhension et notre conscience dans la connexion à la source de lumière.

Par conséquent, nous devons d’abord arrêter de penser que nous sommes ceux qui établissent notre connexion. L’appel «connectons-nous » signifie «nous allons connecter à la source de la force supérieure, la force supérieure du don qui nous relient. » Tout ce que nous avons à faire est de simplement élever MAN (eaux femelles), qui, d’une part, est une demande et une prière pour la révélation et l’élévation d’un manque. D’autre part, c’est la nourriture que nous mangeons pendant les quarante années d’errance dans le désert.

Cela signifie que nous ne sommes pas tenus de faire quelque chose, sauf d’élever l’homme, la pleine reconnaissance de notre dépendance à la force supérieure. Nous devons invoquer le bon manque dans nos cœurs et essayer de les relier en un seul cœur qui veut être connecté. Ensuite nous nous tournons vers l’hôte avec la demande de nous relier afin de lui  faire plaisir et devenir des invités reconnaissants.

De la préparation de cours quotidien de Kabbale 03/07/14

Une guerre n’est pas une correction

Dr. Michael LaitmanQuestion : Quand quelqu’un entend la sirène d’alerte de missiles et qu’il court se mettre à l’abri, à quoi est-il censé penser à ce moment-là ?

Réponse : Que le Créateur lui fait un rappel à propos d’une sorte de défaut, qu’il y a quelque chose qu’il n’a pas encore corrigée, qu’il est censé avoir fait. C’est pourquoi cela se révèle à travers la souffrance et non par le biais de la Torah.

 

Question : Et que devraient penser les personnes qui vivent dans d’autres parties du pays, celles qui ne sont pas sous le feu ? Après tout, elles vont à leurs occupations comme si rien ne se passait, alors que dans le sud cette vie tranquille est terminée. Comment puis-je me connecter à ceux qui descendent aux abris aux sons des sirènes et des explosions ?

Réponse : Je devrais faire tous les efforts pour utiliser toutes les chances de conduire le peuple à s’unir. Et tandis que je fais cela, je devrais construire une intention pour que la situation se calme afin que nous puissions tous aller de l’avant vers le but de la création par-dessus ce segment de la route, en suivant le chemin de la Torah et non par la souffrance.

Et ainsi chaque jour, à chaque instant, je bascule « l’interrupteur » sur le bon chemin, pour aider les personnes dans le sud ou (une étape au-dessus) pour apporter satisfaction au Créateur. Bien sûr, vous devez arrêter les ennemis avec une armée. Nous avons besoin de la paix dès maintenant, et nous ne pouvons pas l’obtenir sans recourir à la force. Et pourtant, nous devrions utiliser ces moyens uniquement pour obtenir du temps pour notre correction.

Une guerre ne corrigera rien. Aujourd’hui, le monde est déjà conscient que la guerre n’apportera pas la prospérité. C’est clair pour tout le monde : la force ne résout pas les problèmes. Par conséquent, nous avons recours à des moyens militaires seulement pour arrêter l’escalade du conflit et pour nous donner le temps de faire notre travail principal d’unification de la nation.

De la 6ème partie du cours quotidien de Kabbale du 08/07/14, Leçon sur le thème « L’unité du Peuple »