Devenir un Kli qui révèle la Lumière Supérieure

Dr. Michael LaitmanChaque futur congrès devient le prochain niveau après le congrès précédent. Mais le congrès à Saint-Pétersbourg a été unique.

Les gens arrivent et se rassemblent ici, qui se sont préparés intensivement au cours de l’été : c’est le groupe de Sotchi. Tout le reste se joint à eux, tous ceux qui étudient avec nous. En règle générale, nos meilleurs représentants de tous les groupes se réunissent ici.

Ainsi, en pensant au travail qui a été fait, j’espère que nous pouvons nous regrouper et atteindre un tel état que notre connexion sera égale à la première phase de la Lumière, et de ce fait nous la découvrons en nous. Pour l’essentiel, il n’y a pas de Lumière. Ce que nous appelons Lumière est une caractéristique mutuelle du don sans réserve et de l’amour que nous découvrons entre nous au premier niveau le plus minime.

Le Baal HaSoulam utilise l’exemple d’un courant électrique. Nous ne savons pas ce que c’est, mais nous voyons sa manifestation dans la chaleur du fil dans une lampe, ou le fonctionnement de certains systèmes, le travail d’appareils, de moteurs et ainsi de suite. Cela signifie que nous parlons toujours du résultat, de la découverte d’une force qui œuvre, mais que nous ne comprenons pas.

C’est aussi la même chose ici. Quand on veut grandement découvrir la force unique de la nature, alors elle est découverte. Elle existe, mais elle est intangible pour nous. Et afin de la sentir, nous devons lui permettre d’agir quelque part, d’être découverte dans quelque chose. C’est exactement comme un courant électrique ; aussi longtemps que nous ne l’appliquons pas à quelque chose, nous ne savons pas s’il existe ou pas.

Selon le même principe, le travail se fait aussi avec l’énergie générale la plus élevée, qui comprend en son sein tous les autres types d’énergie que nous appelons « Lumière ». Nous devons faire de nous un tel dispositif, qui révèle cette Lumière qui l’occasionne, qui appelle son mouvement, et nous devenons un Kli, un moyen, un mécanisme, une base sur laquelle elle se découvrira.

Pour ce faire, nous devons essayer de nous connecter entre nous, de nous adapter en permanence à la caractéristique de la Lumière. Dès le moment où notre état, nos efforts, l’unité entre nous, atteignent une ressemblance minime avec la Lumière, elle commencera alors à être découverte.

Du congrès de Saint-Pétersbourg, Leçon préparatoire n°2 du 18/09/14

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