Nous ne devons pas manquer l’occasion

Dr. Michael LaitmanLe Baal HaSoulam, « La Nation » : Cela est clair, sans s’appuyer sur des miracles. Que notre existence en tant qu’individus ou en tant que nation est suspendue entre la vie et la mort. Et le salut est, si nous pouvons trouver le stratagème nécessaire, ce grand projet dont le chemin doit se trouver près du danger, et qui peut faire pencher la balance en notre faveur (pour nous donner un refuge ici pour toute la Diaspora de nos frères, dont tout le monde dit, à l’heure actuelle, qu’il est le seul lieu de salut).

Alors, la route de la vie s’ouvrira à nous, pour continuer en quelque sorte notre existence malgré les difficultés. Et si nous manquons l’occasion et ne nous élevons pas comme un seul, avec les grands efforts nécessaires en période de danger, pour garantir notre maintient dans le pays, alors les faits devant nous nous menacent considérablement, puisque les affaires évoluent favorablement pour nos ennemis, qui demandent à nous détruire de la surface de la Terre.

Ceci a été écrit au début de la Seconde Guerre Mondiale lorsque les gens n’avaient pas encore vu le danger réel et l’Holocauste vers lequel ils étaient conduits.

Mais le Baal HaSoulam dit que même si nous avions atteint un tel état horrible que le destructeur reçoive la permission de nous détruire, nous pourrions encore changer le rapport entre les forces du bien et du mal si nous voulions améliorer notre situation. Tout est entre nos mains.

Bien que le temps joue contre nous, nous pouvons vraiment réussir pendant ce temps et réaliser de grands et rapides changements.

Au lieu d’attendre les problèmes, les difficultés et les dangers, ce qui signifie les effets négatifs pour nous pousser vers l’avant, nous devons avancer de nous-mêmes et changer le chemin de notre évolution naturelle « en son temps » en chemin de « Je l’accélèrerai ». Ensuite, nous serons en mesure de progresser sans aucun coup. Tout dépend de savoir si nous nous réveillons suite aux coups ou si nous nous réveillons suite à notre travail.

Se réveiller par les coups n’est pas très utile car ils changent uniquement et nous aiguillonnent. Nous devons changer considérablement pour récupérer et avancer après de tels coups. Alors, ne vaudrait-il pas mieux pour nous d’avancer le long d’un doux chemin ? A ce moment-là, ce serait vraiment notre éveil au but de la création et à une façon rapide d’échapper aux coups.

De la 5ème partie du cours quotidien de Kabbale du 19/06/14, Écrits du Baal HaSoulam

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