Marche/Arrêt, Marche/Arrêt

laitman_238_02La spiritualité fonctionne numériquement (discrètement), avec des boîtes individuelles, des lecteurs (impulsions) : marche/arrêt, marche/arrêt. Il ne peut pas en être autrement si nous devons prendre des décisions.

Le système lui-même est intégral, analogique ; le début et la fin sont toujours égaux : tout se trouve au repos et en équilibre, et la Lumière de l’Infini remplit tout.

Mais si nous parlons de moi après la brisure et le processus de correction, alors je découpe couche après couche dans le désir de travailler avec eux. De ce fait, mon avancement est numérique, dans des boîtes, dans des actions et des pièces discrètes, comme il est dit (Baba Batra 9b) : « Centime après centime s’accumulent en une grande somme. » Mais le compte final est rond et analogique.

start-stop, start-stop

Ainsi, le calcul est intégral, nous créons une connexion de zéro jusqu’à 600 000 âmes, mais à la fin une somme intégrale émerge de zéro à 600 000, égale à Ein Sof. Grâce à l’intégration mutuelle, nous atteignons un état où la somme des observations isolées devient infinie grâce à la participation du « cœur de pierre » qui complète toutes les corrections dans un cercle.

Nous sommes seulement prêts à faire des corrections définies et limitées et nous n’atteignons jamais l’Infini, ne percevons jamais ce qu’est l’Infini. Mais à la fin, une Lumière unique se découvre, « Zivoug de Aka’a Rav Pa’alim ouMekabtziel » (Samuel II 23:20) : « Les larmes qui tombent dans la grande mer » et de cette façon nous complétons toutes les parties de Malkhout qui manquaient pour un cercle complet.

De la 4ème partie du cours quotidien de Kabbale du 19/05/14, Écrits du Baal HaSoulam

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