Monthly Archives: mai 2015

Devenir une nation unie

Dr. Michael LaitmanQuestion : Est-ce que les portions de la Lumière qui arrivent chaque jour du Décompte de l’Omer corrigent chaque personne ou seulement celles qui étudient la Kabbale ?

Réponse :
La Lumière corrige tous ceux qui veulent passer de la haine à l’amour. Les gens pensent que la Kabbale traite de certains pouvoirs de l’esprit ou mystiques.

En effet, la Kabbale étudie les forces cachées de la nature, mais il s’agit de corriger l’être humain depuis la haine des autres jusqu’à l’amour des autres, ce qui est le but de notre vie.

Une telle correction est possible seulement par le pouvoir de la Torah, comme il est dit : « J’ai créé le mauvais penchant et la Torah comme une épice, parce que la Lumière en elle ramène vers le bien. »

La Torah n’est pas un livre, mais la Lumière générale, une force spéciale, qui corrige notre nature et la transforme du mal en bien. Nous sommes encore dans la période de l’exil, c’est-à-dire, en dehors de la Torah. Nous n’avons pas la Torah et l’approche correcte de cette force de correction, car nous n’utilisons pas ce pouvoir et nous ne nous corrigeons pas.

Par conséquent, la sagesse de la Kabbale est en train d’être révélée, ce qui explique que nous devons éventuellement prendre la force cachée dans la Torah et l’utiliser pour nous transformer en une seule nation unifiée.

Question :
Est-ce que cela s’applique seulement aux personnes uniquement religieuses ?

Réponse :
Cela ne s’applique pas aux personnes religieuses ou laïques, mais à une seule nation ! Nous devrions être débarrassé de toutes les définitions précédentes, qui sont loin de la vérité. Si nous voulons être le peuple d’Israël sur la terre d’Israël, nous devons accepter la Torah de la terre d’Israël, qui est la méthode de notre unité.

Nous pouvons devenir un peuple uniquement si nous corrigeons la haine des autres en amour, à l’intérieur de nous-mêmes.

De KabTV, « Une Nouvelle Vie » du 30/04/15

Les douze tribus d’Israël

laitman_749_02La Torah, « Nombres », 1:1-1:3 : Le Seigneur parla en ces termes à Moïse, dans le désert de Sinaï, dans la Tente d’Assignation, le premier jour du second mois de la deuxième année après leur sortie du pays d’Égypte : « Faites le relevé de toute la communauté des enfants d’Israël, selon leurs familles et leurs maisons paternelles, au moyen d’un recensement nominal de tous les mâles, comptés par tête. Depuis l’âge de vingt ans et au-delà, tous les Israélites aptes au service, vous les classerez selon leurs légions, toi et Aaron.

« Le Seigneur parla en ces termes à Moïse, dans le désert de Sinaï » signifie que nous commençons à regarder tout ce qui se passe à travers l’état de Moïse en nous.

Question :
Quel est le sens de : « Faites le relevé de toute la communauté des enfants d’Israël, selon leurs familles et leurs maisons paternelles » ?

Réponse :
Cela se réfère à la réalisation complète de la structure de l’âme au niveau actuel. Dans l’ensemble, nous sommes en train de reconstruire l’âme générale qui a été révélée à l’homme, puis qui a été brisée. Sa reconstruction doit être accomplie selon certaines phases. Chaque unité doit avoir un rôle concret et des connexions précises aux autres.

Comment faisons-nous cela ? L’âme générale se compose de cinq parties : Keter, et quatre autres parties que nous marquons par les lettres « Youd-Hey-Vav-Hey« . La partie zéro (Keter) ne peut pas être divisée. Elle est comme un point dont tout découle. Chacune des parties suivantes est divisée en trois lignes : la ligne droite, la ligne gauche, et la ligne médiane. Les trois lignes sont multipliées par quatre créant ainsi les douze tribus.

Voilà comment le calcul de chaque tribu se fait : avons-nous tous atteint l’état d’errance dans le désert ? Cela signifie que nous avons tout fait en notre pouvoir, que nous avons réuni tout au dessus de l’attribut du don sans réserve absolu, et ainsi nous n’avons rien. Chacun de nous n’est rien ni personne ; nous sommes dans le désert. C’est en fait sur le sommet de cette assemblée que nous pouvons examiner la construction de l’âme générale, ce qui signifie l’intensité de chaque partie des douze. Cela s’appelle « Faites le relevé de toute la communauté » (le calcul) et cela découle des douze fils de Jacob.

Nous examinons la structure générale de l’âme toute entière et en particulier l’assemblée générale de personnes (qui ne sont pas des gens en fait, mais leurs aspirations pour le Créateur), et dans quelle mesure chacune d’elles annule son moi, à quel point elle est connectée aux autres et comment, ensemble, elles créent toutes un système unique et unifié.

Mais quelle est l’intensité de ce système ? Dans quelle mesure les parties de Hokhma, Bina, Hessed, Guevoura, Tifferet, Netsakh, Hod, Yessod et Malkhout sont-elles correctement connectées et agissent-elles dans une harmonie mutuelle ? Voilà comment nous examinons l’état de l’âme générale.

De KabTV, « Les Secrets du Livre Éternel » du 17/12/14

Traitement préférentiel pour découvrir le Créateur

laitman_214Question : Qu’est-ce que la force de la création et le programme a été créé pour faire quoi ? Nous préparent-ils pour quelque chose de caché derrière tout ce qui arrive ?

Réponse :
Certainement ! Nous sommes préparés pour la découverte du Créateur à la créature en ce monde. La sagesse de la Kabbale a été conçue pour cela parce que chaque personne doit découvrir le Créateur. Le Créateur (Boré) signifie « Bo Ré » (Viens et Vois). C’est ainsi que nous l’appelons car la personne vient et trouve.

Question :
Que doit-on venir voir ?

Réponse :
L’atteinte, la sensation, l’ouverture de vous-même à l’aide de deux forces opposées, entre lesquelles vous découvrez le système supérieur et l’essence de son programme interne. Et cela s’appelle le Créateur. Il s’agit de la plus véritable sagesse (science) et c’est pourquoi elle est aussi appelée la sagesse de la Kabbale. Vous atteignez cette découverte scientifiquement, comme dans toutes les autres sciences.

Question :
Qu’est-ce que la personne doit faire pour pénétrer dans ce système, dans cet « ordinateur » ?

Réponse :
Seulement réaliser les recommandations et les conseils des Kabbalistes : venez apprendre, effectuez des activités qui développent le sixième sens avec l’aide duquel vous découvrez le Créateur, le monde supérieur. Exactement comme la personne ressent notre monde, elle découvrira une réalité supplémentaire qui nous dirige, nous accompagne, et organise tout pour nous.

Question :
Pouvez-vous me donner un « traitement préférentiel » pour m’aider à pénétrer dans cet « ordinateur » ?

Réponse :
C’est précisément ce que nous faisons. Mais vous êtes tenu d’investir un peu d’énergie dans ceci : venir apprendre, participer à toutes sortes d’activités qui ouvrent vos sens. Ensuite, vous commencerez à ressentir le même système qui vous active à travers ce monde. Tout est ouvert devant vous.

Question :
Lorsque nous étudions la sagesse de la Kabbale, est-ce que nous en apprenons sur ce système ?

Réponse :
Oui ! Cela s’appelle « la Révélation du Créateur à Ses créatures dans ce monde », révélant le système de direction supérieure à chaque personne se trouvant dans notre monde.

Question :
Est-ce que la sagesse de la Kabbale est une sorte d’apprentissage philosophique ?

Réponse :
Non. La philosophie est la réflexion et le raisonnement sans aucun résultat concret dans nos vies. Au lieu de cela, la sagesse de la Kabbale est une science très pratique. Elle révèle le monde supérieur à une personne et lui apprend comment elle peut gérer sa vie correctement.

D’un Programme de la Radio Israélienne 103FM, le 15/02/15

La méditation kabbalistique pour l’unité

laitman_933Question : Dans la Kabbale, y a-t-il une sorte de méditation, une contemplation ou une concentration intérieure ? Combien cela diffère-t-il de la méditation orientale ?

Réponse :
C’est une action complètement différente. La « Méditation » Kabbalistique est la création d’intentions. La différence est qu’avec des intentions, je concentre mes efforts internes sur la connexion aux autres pour m’unir pratiquement avec les personnes qui aspirent à l’unité entre nous. Nous voulons révéler le pouvoir de l’unité et de l’amour dans cette unité.

En d’autres termes, dans la Kabbale une personne n’est pas isolée de l’environnement, mais au contraire, elle cherche autant que possible à s’y connecter intérieurement.

Dans les méthodes orientales, une personne peut méditer seule, sans personne d’autre. Même si les gens se réunissent pour cette méditation, il n’y a aucune connexion pratique entre eux. La méthode de la Kabbale suggère que c’est au sein du groupe que nous recherchons une occasion de nous ressentir comme un seul homme.

C’est uniquement sous la condition que nous parvenions à une telle unité comme un seul homme que nous pouvons dire que tout le monde perd son sens du soi et est inclus dans « nous », et quand ce « nous » devient « un » avec l’aide de cette unique force, nous révélons un degré spirituel.

Pour ce faire, chacun doit pratiquement abandonner son égoïsme à l’intérieur du groupe, s’annuler soi-même complètement devant les autres. Il annule son « moi » et accepte les amis, au lieu de lui-même.

Ainsi, il sort de lui-même vers eux afin que son précédent « moi, qui existait soi-disant séparément, individuellement, disparaisse complètement, et il se sent dans une nouvelle réalité indissociable des autres.

Cette sensation n’existe pas dans notre monde et ne peut être réalisée qu’en utilisant une force supérieure spéciale de la nature. C’est le principal moteur de la méthode de correction.

De KabTV, « Une Nouvelle Vie » du 25/01/15

La différence entre la sagesse de la Kabbale et les autres sciences

Dr. Michael LaitmanQuestion : Toutes les sciences sont généralement impliquées dans la découverte de la nature, ce qui signifie le Créateur. Donc, de quelle manière la sagesse de la Kabbale est-elle différente du reste des sciences, même si elle se nomme elle-même aussi une science ?

Réponse :
La sagesse de la Kabbale est une science pour la découverte du pouvoir supérieur, le seul directeur, qui est appelé le Créateur. Mais contrairement au reste des méthodes qui parlent de ce qu’une personne doit faire pour d’avantage rapprocher le Créateur d’elle-même, la sagesse de la Kabbale explique que la découverte du Créateur se passe dans la mesure où une personne se rapproche du Créateur.

La sagesse nous dit qu’une personne doit découvrir le Créateur à un degré de plus en plus grand jusqu’à Sa révélation complète. Cela signifie que l’ensemble de la sagesse de la Kabbale est une méthode pour changer et corriger une personne à partir de son opposition et d’être contre le Créateur pour devenir tout à fait semblable au Créateur.

Que signifient les sources originelles kabbalistiques ?

Laitman_137Le monde spirituel est divisé en 125 niveaux. Chacun des cinq livres de la Torah est de 25 niveaux qui s’ajoutent jusqu’à un total de 125 niveaux que nous devons traverser pour corriger entièrement notre âme qui a été brisée à la suite du péché d’Adam.

La phase d’assemblage concerne la vérification de toutes les connexions de l’âme générale. Ceci est la raison pour laquelle le Créateur nous montre ce que devrait être chacune de ces connexions parce que nous construisons maintenant une unité de communication de l’âme à un nouveau niveau.

Tout ce que les sources originelles disent à ce sujet (L’Arbre de Vie du ARI, le Talmud Esser Sefirot du Baal HaSoulam, et Le Livre du Zohar) sont toutes les règles spirituelles supérieures spécifiques. Elles ne peuvent pas être annulées ni modifiées, et il n’y a pas d’autre moyen de les interpréter. Une personne qui atteint le niveau comprend ce qu’elles signifient.

De KabTV, « Les Secrets du Livre Éternel » du 17/12/14

Regarder le monde à travers le prisme du désir

laitman_928La Torah, « Lévitique », 27:11-27:12 : « Si c’est quelque animal impur, dont on ne puisse faire offrande au Seigneur, on amènera l’animal en présence du Prêtre : celui-ci l’estimera d’après ses qualités bonnes ou mauvaises ; l’estimation du Prêtre fera loi. »

Cela parle des désirs du niveau animé. En chaque personne il y a un grand nombre de désirs : minéral, végétal, animé et parlant, c’est-à-dire, cinq niveaux de zéro à quatre. Chacun des désirs doit être intégré avec les autres pour travailler en plein don sans réserve avec une intention pour l’amour du Créateur.

Mais certains d’entre eux ne peuvent pas être corrigés afin qu’ils travaillent avec une intention pour l’amour du don par eux-mêmes. Ils ne peuvent pas agir directement, mais alternativement. Disons que l’âne est un animal impur qui ne peut pas être amené au Temple comme sacrifice. De ce fait, il peut participer au système général d’administration en effectuant sa tâche, et c’est ainsi concernant toute chose dans la nature.

Rien ne doit être annihilé ; il est seulement nécessaire d’utiliser ce qui se présente à nous de la bonne manière. Puisque la Torah parle de nos désirs intérieurs, nous devons les examiner à l’intérieur de nous, les classifiant et les différenciant selon leur caractère et les corrigeant progressivement de sorte que chacun d’entre eux soit dirigé vers le don sans réserve d’une certaine façon.

Tous les désirs doivent passer par l’examen du Cohen (Prêtre). Le Cohen est le point de contact avec le Créateur. Ainsi, une personne a besoin de trouver le Cohen en elle-même, ce qui est le plus haut point de son état, et de voir le monde à travers cela. C’est seulement alors qu’elle examinera et clarifiera tout correctement.

Voir le monde à travers le Cohen signifie que je regarde le monde à travers la caractéristique du don sans réserve et je vois que tout le monde sauf moi est dans un état corrigé. Et je continue donc sans cesse à voir clairement que le monde entier dépend de moi et comment je dois lui donner sans réserve, parvenir à la coopération mutuelle correcte avec toute l’humanité. Et ceci est le point du Cohen. Ainsi, il devient un enseignant. Il est dit : « Et vous serez pour Moi un royaume de Prêtres… » (Exode 19: 6), ce qui signifie des enseignants qui sont préoccupés par toute l’humanité.

De KabTV, « Les Secrets du Livre Éternel » du 10/12/14

Le peuple d’Israël : le point de connexion entre les mondes

Dr. Michael LaitmanLa Torah, « Lévitique », 26:44 : « Et pourtant, même alors, quand ils se trouveront relégués dans le pays de leurs ennemis, Je ne les aurai ni dédaignés ni repoussés au point de les anéantir, de dissoudre Mon alliance avec eux ; car Je suis le Seigneur, leur Dieu ! »

La tâche spirituelle placée sur la partie de l’humanité appelée le « peuple d’Israël » n’est pas transmise aux autres peuples et ne peut pas leur être transférée.

Cela dépend du fondement intérieur de l’âme dans tous les peuples. S’il est créé à partir de cette partie de l’illumination de l’âme collective (Galgalta ve Eynaim) qui a une fois répondu à l’appel d’Abraham, il ne peut être modifié ou détruit. Cette partie est dans chaque génération et elle crée un corps physique autour d’elle. De cette manière, tout progresse de l’avant. Même si le peuple d’Israël le voulait, il ne pourrait pas y renoncer ou le nier. C’est impossible. Il s’agit d’une partie constante du désir général créé par le Créateur appelé Galgalta ve Eynaim, qui est la plus petite partie, la plus claire et la plus proche de la caractéristique du don sans réserve.

Elle doit accomplir son destin. Il n’y a pas d’échappatoire ; c’est une loi physique. Le peuple d’Israël est le point de connexion entre notre monde et le monde supérieur.

De KabTV, « Les Secrets du Livre Éternel » du 10/12/14

La valeur du désir

Dr. Michael LaitmanLa Torah, « Lévitique », 27:1-27:4 ; 27:7 : Le Seigneur parla à Moïse en ces termes : « Parle aux enfants d’Israël et dis-leur : Si quelqu’un promet expressément, par un vœu, la valeur estimative d’une personne au Seigneur, appliquée à un homme de l’âge de vingt à soixante ans, cette valeur sera de cinquante sicles d’argent, au poids du sanctuaire ; et s’il s’agit d’une femme, le taux sera de trente sicles.

Depuis l’âge de soixante ans et au delà, si c’est un homme, le taux sera de quinze sicles et pour une femme il sera de dix sicles.

La valeur se réfère à la taille du désir, à son intensité, qu’une personne doit exprimer dans sa relation avec le Créateur. La signification de « Si quelqu’un promet expressément, par un vœu, la valeur estimative d’une personne au Seigneur » est en fonction de cette valeur.

Un shekel symbolise le désir qui est requis d’une personne appelée un homme ou une femme d’un certain âge. Ceci est déterminé en fonction de l’intensité de leur travail dans le but de donner sans réserve et selon qu’ils ont ainsi semblable au Créateur et connectés à Lui.

De KabTV,  « Les Secrets du Livre Éternel » du 10/12/14

Dans le cadre des lois de la nature

laitman_558La Torah, « Lévitique », 26:37-26:38 : « … et ils trébucheront l’un sur l’autre comme à la vue de l’épée, sans que personne les poursuive. Vous ne pourrez vous maintenir devant vos ennemis ; vous vous perdrez parmi les nations, et le pays de vos ennemis vous dévorera. »

Si nous ne nous engageons pas dans le travail spirituel, tout ce qui est en nous va disparaître : le désir pour le Créateur, pour le don sans réserve et la capacité de monter spirituellement. Tout sera englouti, mais l’ego deviendra encore plus fermé et scellé.

Nous sommes à l’intérieur du cadre des lois de la nature, dans sa matrice, dans sa formule. Si nous y sommes incorporés correctement, alors en conséquence notre sortie sera correcte : ce sera bon pour nous et pour le monde entier et souhaitable pour le Créateur. Autrement la nature répondra par une corrélation négative.

C’est la seule chose dont parle la Torah. Cependant, elle ne nous parle pas exactement et concrètement de tous les critères, mais les présente plutôt allégoriquement, avec des métaphores.

Si nous les traduisons de la signification simple en une signification kabbalistique (en nombres, en niveaux, en cadres et en forces), nous verrons que les grandes forces feront pression sur nous, nous amenant à de grandes souffrances. Cela continuera jusqu’à ce que nous commencions à nous équilibrer avec l’appel de la nature, avec le Créateur.

La nation d’Israël s’est mélangée avec les autres nations durant deux mille ans pour commencer sa correction maintenant, afin de les corriger et ensuite de permettre au Créateur de se révéler en elles, puisque le Créateur ne peut être révélé en nous. Nous sommes appelés les récipients du don sans réserve, et nous symbolisons les attributs dans lesquels le Créateur ne peut être révélé parce qu’ils sont très faibles. Nous avons effectivement besoin de l’Aviout (épaisseur), des désirs, des lacunes et des grands pouvoirs du monde entier, que nous devons corriger et offrir au Créateur afin qu’Il puisse être révélé.

De KabTV, « Les Secrets du Livre Éternel » du 10/12/14