Pourquoi ne ressentons-nous pas la Lumière supérieure ?

Question : Si nous parlons de la Lumière, alors quelle est la souffrance que je ressens ?

Réponse : Cela dépend de la souffrance : l’amour ou la haine.

La souffrance est l’absence de ce qui est désiré. Si je veux donner à quelqu’un, faire plaisir, et que je ne peux pas, c’est un type de souffrance. Si, au contraire, je veux recevoir et ne reçois pas, c’est un autre type de souffrance.

Question : Il est dit que si la Lumière de la vie n’est pas revêtue dans la Lumière de la miséricorde, c’est comme un couteau bien aiguisé. Qu’est-ce que cela veut dire ?

Réponse : Toute Lumière venant à nous devrait être revêtue de la qualité du don sans réserve, pour la transmettre aux autres, et ainsi ce sera pour notre bénéfice. Nous devons nous préparer pour cela, sinon la Lumière ne viendra pas.

Nous ne ressentons pas la Lumière supérieure parce que nous n’avons pas le désir de la transmettre aux autres. Dès que je me transforme en conducteur de Lumière, alors la Lumière supérieure s’ouvre immédiatement à moi dans la mesure où je suis ouvert aux autres.

Question : Pouvons-nous alors dire que lorsque je ressens la douleur et la souffrance, cela signifie que la Lumière de la vie (Hokhma) n’est pas revêtue de la Lumière de la miséricorde (Hassadim), dans mon don sans réserve ?

Réponse : Oui, je me ferme et elle fait pression sur moi souhaitant entrer.

Extrait de la leçon de Kabbale en russe, le 15/04/2018

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