La famille et le mariage, partie n°2

La famille est-elle une combinaison d’opposés ?

Question : Si une famille est une combinaison de deux opposés, alors afin de créer une bonne famille, auriez-vous besoin de trouver quelqu’un opposé à vous dans le but de parvenir à une meilleure connexion ?

Réponse : Non, pas nécessairement. Cela dépend du niveau dont nous parlons.

Si nous parlons de l’humain, c’est-à-dire de l’animal, du niveau matériel, alors il n’y a pas besoin d’improvisation. Au contraire, il devrait y avoir une similitude, et plus c’est proche, mieux c’est.

Mais si nous parlons du développement qui ne peut pas exister au niveau animalier (corporel), alors bien sûr, la contradiction est nécessaire.

Du point de vue de la Kabbale, si les gens veulent s’unir entre eux dans une famille, ils devraient être aussi semblables que possible de par leur mode de vie, leur langue et tout ce qui est possible.

Question : Si nous parlons de la famille en tant que nation ou de l’humanité tout entière, devons-nous alors être différents ?

Réponse : Oui. Si nous parlons de réunir tout le monde, comme on dit, au sein d’une même famille, c’est donc le système d’Adam HaRishon.

Il existe déjà plus de pluralisme et d’éloignement mutuel, mais en même temps, on s’accorde sur le fait qu’il est nécessaire de s’unir pour résoudre tous les problèmes et désaccords autant que la société s’élève.

Extrait de KabTV, « Les Fondamentaux de la Kabbale » du 01/01/2019

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