Daily Archives: 27 mars 2021

Ce à quoi vous devez penser à chaque minute

204Question: Un élève a écrit: « J’ai vu une vidéo sur YouTube » intitulée : Comment surmonter la honte? « Dites-moi, s’il vous plaît, que dois-je faire? À cause du coronavirus, j’ai perdu mon entreprise et je suis surendetté; je loue un appartement et j’ai un petit enfant. Comment ne pas perdre mon humanité? Avec le stress, la dépression, les crises de panique et l’insomnie, comment gérer une situation de vie passablement difficile? Vous avez décrit avec précision mon état d’esprit.

Réponse: Je vous conseille de tout mettre en veilleuse et d’agir absolument mécaniquement, rationnellement. Ce que la vie exige de moi aujourd’hui, je dois le faire, sans faire attention à ce qui va se passer après-demain et même, peut-être, demain. L’essentiel, c’est aujourd’hui! Comprenez-moi bien, et vous comprendrez alors comment notre monde vous apparaitra.

Nous ne devons pas penser à demain ou après-demain, nous ne devons pas faire de plans sur la comète. Nous devrions simplement réfléchir à la façon dont nous pouvons à chaque instant être utiles à nous-mêmes et à nos proches, et si nous avons la bonne compréhension du monde futur, le partager en quelque sorte avec les autres.

Restez aussi simple que possible, sans fabrications trop raisonnables et philosophiques,.

Et vous verrez un nouveau chemin, le long duquel vous pouvez marcher en toute sécurité, comme dans un parc, et personne ne vous dérangera. Et si vous êtes dérangé, plongez plus profondément dans cette voie. Vous verrez comment tout se résoudra et fera place à une vie plus simple. Et ainsi vous sortirez de tous ces problèmes.

L’essentiel est de vivre sans complication à notre époque, dans cette pandémie. Et cette attitude vous mènera aux pensées et aux actions les plus sages.

Tiré de « l’actualité avec Michaël Laitman » de KabTV 01/02/21

Qu’y a-t-il derrière les images de notre monde?

207Zohar pour tous, Exode, point 81: Il est écrit: «Il prit ces flèches et les abaissa jusqu’à ses narines. Du sang est sorti de ses narines, impliquant Dinim de couleur rouge. »

Question: Comment devrions-nous comprendre ces phrases: «flèches», «du sang est sorti de ses narines»?

Réponse: Beaucoup de termes du Livre du Zohar nous semblent étranges parce que derrière toutes les images du monde physique se trouvent des forces supérieures, et nous les nommons par les noms de notre monde.

Les kabbalistes ont pris le langage terrestre pour parler des forces supérieures, de leurs états, de leurs relations et de leurs combinaisons. Ils n’ont pas d’autre moyen de décrire le monde supérieur, parce qu’il n’y a pas de mots là-bas. Mais les forces en descendent vers notre monde et nous pouvons prendre des noms de notre monde pour décrire les forces et les propriétés du monde spirituel.

Par conséquent, il est dit allégoriquement «trois flèches», «narines», etc. Et immédiatement, il y a une transition vers une autre langue purement kabbalistique: HGT de Zeir Anpin. Ainsi, le livre du Zohar nous parle de tout dans un mélange parce qu’il veut vous faire sortir de ce monde afin que vous entriez dans la prochaine représentation, le monde spirituel.

C’est comme s’il plaçait devant vous deux écrans. Vous regardez automatiquement l’image qui représente des images de notre monde. Pourtant, en fait, vous devriez essayer à travers eux de pénétrer à l’intérieur et de voir la combinaison de deux forces, celle qui accorde (Israël) et celle qui reçoit (Rome), et dans quelle position elles se trouvent l’une avec l’autre.

Lorsqu’une personne les reconnaît correctement, elle devient la troisième force entre elles.

Extrait de «La force du livre du Zohar» de KabTV # 8

Conscience et subjectivité du monde

592.01Commentaire: Au sujet de la définition de la conscience, vous avez dit que c’est une image du champ d’information qui nous influence.

Ma réponse: Bien sûr, après tout, je suis un produit de ce domaine. Cela vient en premier, et je ne suis qu’un dérivé.

En gros, qui suis-je? Nous disons que tout ce qui existe dans mes sensations est ce que je ressens, et c’est pourquoi cela existe. Sans moi, il n’existerait pas car ce qui n’existe n’est que par rapport à moi. Il s’avère que le monde est absolument subjectif. Ainsi, nous parlons de nous-mêmes comme n’étant que conscience et rien de plus.

Question: Alors pouvons-nous dire que ma conscience travaille contre la conscience qui est représentée par le champ d’information?

Réponse: D’une certaine manière, oui parce que, à la fin, ce champ veut que nous utilisions la conscience qu’il créée en nous pour interagir correctement avec lui.

Tiré des «Rencontres avec la Kabbale» de KabTV, le 03/01/19