Category Archives: Antisémitisme

Le 14 juillet : révolutions d’hier, révolutions de demain

Mon article pour le 14 juilllet  publié dans le Times of Israel en français

Cette année la France va célébrer son 14 juillet après une première moitié de 2019  tumultueuse : entre les gilets jaunes, l’antisémitisme croissant, la cathédrale de Notre Dame en flamme, la canicule et les conflits sociaux qui s’accumulent, certaines publications dans la presse française ont même été jusqu’à mentionner une atmosphère propice à une révolution.

En effet, la Révolution française, qui fête ses 230 ans cette année, reste à bien des égards, un symbole de la lutte pour la liberté et d’égalité pour tous. Pour rappel, c’est la révolution française qui a amené les Juifs de France à sortir des ghettos et à acquérir un statut de citoyen à part entière.

Il est donc intéressant de s’interroger sur l’héritage de ces valeurs dans la société française d’aujourd’hui qui doit faire face à son plus grand défi: maintenir une cohésion sociale – laquelle est fortement ébranlée par les vagues migratoires auxquelles toute l’Europe fait face.

Pour chaque pays, la bonne intégration de ses habitants est ce qui assure son identité, sa force et son unité. La France a déjà dû faire face par le passé à des vagues migratoires, lesquelles se sont toutes relativement bien intégrées, après un certain temps, notamment grâce aux valeurs universelles de liberté, d’égalité, de respect transmises par l’existence d’un système d’éducation laïque accessible à tous.

Cependant aujourd’hui ceci ne semble plus suffisant.

A titre de comparaison, Israël, pays construit sur l’immigration des Juifs du monde entier est un pays d’une grande diversité culturelle qui n’est pas toujours facile à vivre au quotidien, mais les racines communes permettent de faciliter le processus d’intégration.

La différence, si c’en est une, entre ces deux pays est que l’unité du peuple Juif repose sur son héritage du judaïsme au cours des milliers d’années d’exil. La France quant à elle, doit son unité à l’adhésion de ses membres à ses valeurs universelles. Si une communauté n’adhère pas, l’intégration échoue.

En fait, peu importe où nous vivons, nous voyons que la fracture sociale est en fonction de l’existence de valeurs communes qui encouragent au vivre ensemble.

Israël a son principe tiré de la Torah “Aime ton prochain comme toi-même”, et la France a sa devise “liberté, égalité, fraternité” mais au-delà des slogans et des belles phrases, le monde a besoin d’un vrai contrat social basé sur l’unité, la solidarité et sur le souci de l’autre.

Ce contrat social n’est possible que grâce à une éducation qui amène les gens à comprendre la nécessité du vivre ensemble et enseigne comment l’appliquer réellement, sans devenir une philosophie moralisatrice stérile.

Si révolution il doit y avoir, où que ce soit dans le monde, la seule approche constructive est une révolution des relations humaines basée sur un enseignement adéquat pour tous.

 

Israël 2019 : L’espoir est toujours là

Mon article publié dans Times of Israêël en français

 

Israël 2019 : L’espoir est toujours là

A l’approche de la fête nationale et alors que les drapeaux israéliens flottent dans tout le pays, une question se pose : Pourquoi l’existence même d’Israël est-elle remise en cause ?

Le sionisme et la haine

L’idéal sioniste voulait qu’existe un foyer national pour tous les Juifs de la Diaspora. Les vagues d’Alya ont formé le pays : par conviction, pour fuir l’antisémitisme ou tout simplement pour vivre mieux.

L’esprit des pionniers a permis la création d’un Etat démocratique, rassemblant tous les Juifs autour d’un idéal : être libre sur notre terre, comme le rappelle l’hymne national HaTikva (l’espoir).

Aujourd’hui, nous pouvons voir ce que nous ont légué nos ancêtres : Une terre, un idéal politique, économique, religieux, spirituel. Chacun choisit en fonction de ses convictions, mais une chose est sûre, nous avons hérité de valeurs universelles telles que la cohésion sociale, la fraternité, le respect d’autrui, l’amour, la liberté. Alors pourquoi tant de haine à l’encontre d’Israël ?

C’est parce que nous ne sommes pas à la hauteur de ces mêmes valeurs que nous sommes censés porter. Le monde attend d’Israël un comportement exemplaire, non tant dans ses relations avec leurs voisins frontaliers, mais tout d’abord au sein de la société, chacun avec son prochain.

Un exemple de cohésion sociale

Pour parvenir à vivre ensemble, nous devons faire prévaloir notre unité au-dessus de nos différences et différends et ainsi être un exemple pour le reste de monde, comme le voulait tant de penseurs juifs tels Ahad Ha Am, le Rav Kook ou le kabbaliste Yéhouda Ashlag. Cela nous permettrait de comprendre notre mission de « peuple élu », celui qui se doit d’être « la lumière des nations ».

C’est notre propre remise en cause de notre héritage spirituel qui ouvre la porte à la remise en cause de notre héritage de la terre, et le Zohar d’ajouter (Yevamot 63) « toutes les calamités au monde ne viennent que pour Israël » pour nous amener à nous remettre en question.

« Si vous le voulez, ce n’est pas un rêve »

Cette célèbre phrase de T. Herzl n’a jamais été autant d’actualité, la prise de conscience et la compréhension de l’antisémitisme nous permettrait de lutter efficacement contre celui-ci, et plus personne ne nous haïrait ni ne remettrait en cause notre légitimité. Bien au contraire, comme le prophète Isaïe l’a dit, les nations du monde porteront les enfants d’Israël à Jérusalem.

Alors, célébrer l’indépendance d’Israël prendrait une toute autre dimension. Mais pour cela, il nous faut construire tous ensemble cette réalité d’un peuple d’Israël qui vit à la hauteur de l’idéal qu’il est censé incarner et transmettre, uniquement ainsi l’indépendance d’Israël sera respectée, et “si vous le voulez ce n’est pas un rêve… “

 

Yom HaShoah

Mon article publié dans Dreuz

Yom HaShoah 2019 : se souvenir et après ?

Depuis la fondation de l’Etat d’Israël en 1948, en mémoire des 6 millions de juifs qui ont péri dans les camps, la journée en mémoire de la Shoah a été instaurée pour ne pas oublier les horreurs du passé. Des témoignages bouleversants de survivants, de militaires, de résistants sont diffusés à la télévision. Une cérémonie nationale a lieu et la sirène retentit, immobilisant tout le pays pour une minute, afin de ne jamais oublier le massacre orchestré d’une main de maître par les nazis, plus connu sous le nom de la « Solution finale »,  officialisant les camps de la mort et le nettoyage ethnique de l’Europe.

Il semblerait que la sympathie suscitée après la Shoah soit arrivée « à prescription » légitimant la remise en cause de l’existence d’Israël et les attaques antisémites dans le monde. Il est presque devenu « banal » de taguer de croix gammées les stèles, les vitrines, les voitures, les boites aux lettres. Peu semblent s’en offusquer, les premiers à réagir sont toujours les juifs que l’on accuse de lobbying. On pourrait même se demander si les documentaires filmés à la libération des camps ont encore un impact sur les gens et que seule la propagande antisioniste et antisémite ait lieu d’être.

En plus du devoir de mémoire, il semblerait que le temps d’agir soit venu. Cependant, quelle action entreprendre quand le virus de la haine se propage à nouveau ? Faut-il protester, s’indigner ou se résigner ? Nous pouvons néanmoins y réfléchir. En effet, comment après 2000 ans de persécutions et d’humiliations, le juif se retrouve-t-il toujours sur le banc des accusés ?

Certes, cela est presque flatteur qu’une si petite minorité soit le centre d’intérêt permanent des médias, mais en réalité, c’est fatiguant. Après tout, le juif aspire comme n’importe qui à vivre paisiblement.

Cependant, le monde semble vouloir autre chose, ne nous laissant pas la possibilité d’oublier notre identité. Les contributions technologiques, informatiques, scientifiques des juifs sont incontestables, mais n’ont pas fait taire les revendications, c’est même l’inverse.

Il serait bon que les juifs se demandent s’ils n’ont pas un autre rôle à jouer, ils portent le nom de peuple élu, de peuple du Livre et cela implique des responsabilités.

Quoi qu’il en soit, pour cette journée de l’Holocauste, nos pensées sont avec ceux que la haine irrationnelle a exterminés. Nous, qui sommes en vie, semblons être poussés par le reste du monde vers un destin auquel il serait bon de réfléchir sérieusement, afin d’éviter que le passé ne se répète.

 

L’antisémitisme expliqué par le Dr Laitman

Propagande antisémite

Dr. Michael Laitman

Les caricatures et les slogans antisémites sont une expression de la dépendances des antisémites envers les Juifs et qu’ils ne veulent plus.

Nous devons tous comprendre que la fin de la haine et de la dépendance dépend de l’élévation de toute l’humanité au dessus de l’égoïsme qui nous sépare et fait que nous nous disputions: Juifs et non Juifs.

L’union de l’humanité est la seule solution à tous les malheurs et les souffrances dans le monde.

La sagesse de la Kabbale explique les raisons de l’antisémitisme, et comment parvenir à l’union, la prospérité.

Journée internationale dédiée aux victimes de la Shoah

Mon article sur notre devoir de mémoire.

http://www.michaellaitman.com/fr/articles/quel-devoir-de-memoire-pour-la-journee-internationale-dediee-aux-victimes-de-la-shoah/

Mieux vaut tard que jamais : Le premier ministre canadien présente ses excuses aux juifs refoulés en 1939

Mon article publié dans Unitingeurope

Pour tenter d’échapper aux atrocités de l’Allemagne nazie, environ 900 réfugiés juifs ont embarqué à bord du Saint Louis avec en tête la liberté. Ces derniers se sont vus refuser l’entrée au Canada le 7 juin 1939. C’était l’une des nombreuses demandes d’asile rejetées sur le continent nord-américain, avant que le paquebot ne renvoie les personnes en Europe. Malheureusement, 254 de ses passagers ont péri plus tard dans l’Holocauste.

Le périple de ces juifs ne faisait que commencer : le Saint Louis appareille le 13 mai 1939, il quitte Hambourg, en Allemagne, avec comme destination Cuba. Mais le gouvernement cubain n’a pas laissé les passagers débarquer en dépit du fait qu’ils détenaient des visas légaux précédemment acquis.

Après le refus, le bateau s’est rendu sur les côtes de Floride à la recherche d’un asile américain, mais le président Franklin D. Roosevelt a rejeté l’appel. Le gouvernement a fait valoir que les réfugiés à bord du navire devaient attendre leur tour comme n’importe qui d’autre dans une longue file de demandeurs d’asile. Après le rejet, le Saint-Louis a commencé à retourner en Europe.

Conscients de l’urgence humanitaire, un groupe de Canadiens a tenté sans succès de convaincre leur gouvernement d’accepter les réfugiés alors que le paquebot était au large d’Halifax. La réponse officielle a été qu’aucun pays ne pouvait ouvrir ses portes assez largement pour accueillir les centaines de milliers de Juifs qui voulaient quitter l’Europe.

Le navire a ensuite poursuivi sa route vers le Vieux Continent et a accosté en Belgique, d’où les passagers ont été dispersés en France, aux Pays-Bas et au Royaume-Uni. Pendant la Seconde Guerre mondiale, des centaines de passagers ont été envoyés dans des camps de concentration et sont morts.

“Nous nous excusons auprès des 907 Juifs allemands à bord du Saint Louis, ainsi que leurs familles pour cette injustice » a déclaré récemment le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, à la Chambre des communes. “Nous avons utilisé nos lois pour masquer notre antisémitisme, notre antipathie et notre ressentiment.” Il a ajouté : « Nous sommes désolés de l’insensibilité de la réponse du Canada. Et nous sommes désolés de ne pas nous être excusés plus tôt. »

Le mea culpa de Trudeau survient au moment où l’antisémitisme connait une brusque recrudescence à l’échelle mondiale, le Canada et les États-Unis ne faisant pas exception. L’attaque meurtrière de la synagogue Tree of Life à Pittsburg n’était pas un incident isolé aux États-Unis. L’antisémitisme dans les universités et grandes écoles, sur Internet, les attaques physiques continues, le vandalisme dans les synagogues et les maisons ne sont que quelques-unes des manifestations de la haine de plus en plus répandue en Amérique du Nord contre les Juifs.

Avec la création de l’État d’Israël, le peuple juif peut croire qu’il existe un refuge sûr. En effet, l’histoire nous a enseigné qu’à l’aube d’une crise, aucun pays, pas même les États-Unis ni le Canada, ne défendra nos intérêts et ne nous protégera des menaces existentielles antisémites. Les vagues d’antisémitisme moderne qui frappent aujourd’hui les Juifs en Europe devraient nous rappeler notre mission : nous unir. C’est notre seule assurance vie.

Nous n’avons personne d’autre sur qui compter à part nous-mêmes. Tout dépend de nous. Les Juifs sont responsables de tout ce qui se passe dans le monde, que ce soit pour le meilleur ou pour le pire. Comme il est écrit (Yévamot 63) : “Il n’y a pas de calamité qui ne vienne au monde sauf pour Israël.”

En attendant, nous ne le pensons pas, mais la sagesse de la Kabbale explique que c’est ainsi que le système de communication humaine est construit de l’intérieur. Le Livre du Zohar compare la connexion entre Israël et le monde aux organes du corps humain : « Israël parmi les autres nations, est comme un cœur parmi les organes, tout comme les organes du corps ne pourraient exister dans le monde ne serait-ce qu’un instant sans le cœur, de même aucune nation ne peut exister dans le monde sans Israël. » Toutes les accusations, toutes les persécutions, et toutes les menaces expriment l’exigence du monde envers le peuple juif, où qu’il soit, pour qu’il remplisse son rôle et conduise l’humanité au bonheur et à une vie ayant un sens.

Inconsciemment, l’humanité sent que les Juifs ont la solution à tous ses problèmes et la clé de son bonheur. La pression mondiale sur Israël est guidée par le programme de développement humain défini dans la nature.

Si tel est le cas, la nation juive doit tôt ou tard remplir son rôle envers l’humanité et être une “Lumière pour les nations”, c’est-à-dire servir d’exemple d’une société civile où chacun vit dans la solidarité mutuelle et l’amour fraternel au-dessus de toutes les différences et différends. Ce n’est qu’alors que nous nous dirigerons vers un nouveau monde.

Quelle leçon tirer du discours de Netanyahou à l’ONU?

laitman_204Mon article a été publié dans le Times of Israël édition française

Le discours du Premier ministre Benyamin Netanyahou à l’Assemblée Générale des Nations Unies a été remarquable. Bien que l’on puisse le critiquer, il remplit à merveille son rôle de représentant de l’État d’Israël dans le monde.

Et Bibi n’est pas le seul qui mérite d’être félicité. Derrière lui se cachent des esprits brillants au service du renseignement et de la sécurité israéliens, des génies qui font d’Israël une superpuissance technologique, des chercheurs et des entrepreneurs talentueux qui ont permis d’énormes progrès dans les domaines de l’irrigation, de l’agriculture, de la cyber sécurité et de la santé, et j’en passe.

Mais même lorsque Netanyahou a exposé le site nucléaire secret de Téhéran, les usines de missiles de précision de Beyrouth, le fait que l’Iran n’a jamais abandonné son programme d’armes nucléaires, il n’a pas laissé l’impression souhaitée, le monde ne le croit pas.

« Je suis fils d’historien », a déclaré Netanyahou lors de son discours à l’ONU, s’adressant aux dirigeants européens qui ont promis de donner plus d’argent à l’Iran. « Je ne le demande pas simplement en tant que fils d’historien, en tant que juif, en tant que citoyen du monde, en tant qu’individu ayant vécu le XXe siècle : les leaders européens n’ont-ils tiré aucune leçon de l’histoire ? Comptent-ils se réveiller un jour ? »

Avec tout le respect que je dois à l’histoire représentée par les historiens, il y a aussi des kabbalistes – une poignée de personnes qui ont atteint un niveau spirituel et ont une vision plus profonde de la réalité.

Les kabbalistes signalent une tendance claire dans l’attitude des nations du monde envers Israël. Ils s’attendent à une vague d’antisémitisme qui balayera tous les juifs du monde entier, une haine qui atteindra de nouveaux sommets – tant envers les juifs qu’envers l’État d’Israël.

La Kabbale est la seule sagesse qui explique la haine irrationnelle envers les juifs. Elle décrit le phénomène de l’antisémitisme comme une loi qui découle de la nature de la réalité et qui prend un nouveau visage à chaque génération. Plutôt que d’essayer de le nier, nous devrions apprendre comment cela sert le but de la Création.

Selon les kabbalistes, le peuple juif a un attribut unique, le potentiel d’apporter l’unité à toute l’humanité. Une fois qu’il mettra en œuvre ce potentiel, non seulement il neutralisera l’antisémitisme, mais il permettra aussi à l’humanité entière de s’élever au-dessus de l’ego humain et de découvrir une vie  harmonieuse.

Voici la découverte sans précédent d’Abraham : quand les êtres humains font un effort commun pour construire des relations positives au-delà de leur égoïsme inhérent, un nouvel espace spirituel s’ouvre entre eux, où ils peuvent sentir l’intégralité et l’harmonie de la nature. C’est le vrai sens de « Aime ton prochain comme toi-même » et c’est l’essence même de la sagesse de la Kabbale.

« Am Israël » – le peuple d’Israël – est né d’un groupe de kabbalistes qui s’est rassemblé autour d’Abraham dans l’ancienne Babylone il y a environ 4 000 ans. Ces personnes étaient, en fait, les représentants des différentes tribus et nations qui existaient à l’époque. Par conséquent, le peuple juif est comme un représentant de toutes les civilisations de l’humanité, conçu pour permettre l’unité mondiale.

Si nous nous aimons les uns les autres, alors l’amour prévaudra dans le monde et inversement la haine gratuite entre nous, fera que le monde nous haïra. L’humanité ne hait pas Israël par choix, l’Iran d’aujourd’hui ne fait que jouer un rôle principal dans le mouvement anti-israélien international, comme les sages ont écrit « il y a des calamités dans le monde que pour Israël » (Massekhet Ivamot 63), afin que ce dernier s’unisse au-delà des différences et des différends.

Inconsciemment, l’humanité attend de nous que nous soyons plus qu’une superpuissance technologique. Elle veut que nous soyons une superpuissance spirituelle, et c’est le seul rôle d’Israël, être la lumière des nations et ainsi mériter pleinement son titre de Peuple élu.

 

 

Quand le terrorisme prendra-t-il fin ?

Question : Récemment, les soldats de Tzahal ont tué un commandant militaire dans la bande de Gaza. Par conséquent, les Palestiniens menacent de représailles avec des actes de terreur en disant qu’ils n’abandonneront jamais. Combien de temps cela peut-il durer ?

Réponse : Cela se poursuivra jusqu’à ce que la nation d’Israël commence à remplir sa mission historique.

Nous avons la méthode de correction pour toute l’humanité et notre rôle est de l’amener jusqu’au meilleur et plus haut état, mais nous ne l’accomplissons pas et de ce fait nous attirons toutes ces forces négatives de la nature.

Question : Êtes-vous en train de promettre que tout cela s’arrêtera, que nos ennemis disparaîtront et se transformeront en amis si nous commençons à remplir notre mission ?

Réponse : C’est le seul moyen. Qui plus est, tout le monde nous aidera. Le Hamas et ses commandants militaires viendront et diront : « Dites-nous ce que nous devrions faire ! »

L’holocauste : du souvenir à la prémonition

http://www.dreuz.info/2017/04/24/lholocauste-du-souvenir-a-la-premonition/