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Gérer le passé, le présent et l’avenir

Dr. Michael LaitmanNotre vie est mesurée par le ratio entre les trois Lumières: il y a le Reshimo (la réminiscence) de l’état précédent, il y a la Lumière intérieure et la Lumière environnante en l’état actuel avec le Massakh (l’écran) entre elles qui sépare la Lumière qui vient de ces deux Lumières.

La Lumière intérieure nous donne le sentiment du présent. La Lumière environnante, qui reste à cause de ce que nous ne pouvons pas encore surmonter afin de donner sans réserve, nous donne le sentiment de l’avenir. Le Reshimo, la base sur laquelle je fais ce calcul, me donne le sentiment du passé.

Mon égoïsme non corrigé est ce qui divise  pour moi le temps en passé, présent et futur. Si je recevais un Massakh de 100% pour tous mes désirs, je n’aurais plus l’expérience des moments différents. La notion de temps cesserait d’exister et seul  le monde de l’Ein Sof existerait.

Cela signifie que le passé, le présent et le futur n’existent pas par eux-mêmes! Nous avons simplement pris l’habitude de percevoir et de sentir ces influences de cette façon, mais ce n’est qu’un problème psychologique. Il n’y a pas de temps, il y a seulement l’état de l’âme, qui sent l’influence de la Lumière qui change constamment. C’est pourquoi il nous semble que le temps passe.

Quand je passe de la notion de temps corporel au temps spirituel, au ratio entre le Reshimo, la Lumière intérieure, et la Lumière environnante, qui détermine le passé, le présent et le futur, je commence à  me relier différemment à cette condition. Il devient clair pour moi que le temps n’existe pas, et que tout ne dépend que de moi. Je  peux accélérer le temps si je me dépêche et que j’approche le présent à partir du passé, et à partir du présent, j’approche de l’avenir de plus en plus étroitement.

Tout dépend seulement de la vitesse à laquelle j’acquière le Massakh, le développe, clarifie ma situation, et en réalise des actions  afin de donner sans réserve dans les dix Sefirot de mon âme. C’est tout notre travail, car il n’y a rien d’autre que nous devrions faire, sauf gagner du temps.

Si nous «appuyons sur la pédale de l’accélérateur », nous avançons rapidement et nous raccourcissons notre chemin, et le rendons agréable, en le menant vers le but désiré. Puis nous le parcourons avec joie et plaisir tandis que nous justifions le Créateur et le remercions d’être bon et bienveillant, pour organiser pour nous un tel chemin merveilleux.

Mais si nous ne faisons pas assez d’efforts pour avancer, si nous n’appuyons pas sur l’accélérateur, mais que nous sommes plutôt poussés par derrière par les souffrances, nous  avançons au rythme naturel de l’évolution,quand tout se passe en  «son temps». Par conséquent, cette progression est ressentie comme désagréable et provoque de grandes souffrances parce que la Lumière qui vient ne trouve pas les désirs qui sont prêts à La recevoir et Elle est donc obligée de rester à l’extérieur et de faire pression sur nous et de nous causer des douleurs et des souffrances.

Dans ce cas, toute la Lumière vient sans «édulcorants», mais comme Elle est, et Elle se révèle comme Guévourot, comme un feu ardent. Tout vient de la Lumière, mais Elle peut être reçue par des désirs qui sont prêts pour cela et qui L’invite, et Elle peut venir selon le processus naturel, en son temps. Donc, la chose principale est de hâter notre travail.

 De la 1 ère partie du cours quotidien de Kabbale du 12/01/2012, Shamati # 35

Descendre pour s’élever

Dr. Michael LaitmanBaal HaSoulam, « La liberté »: Cependant, quand il atteint le but de la Création et que le Créateur reçoit du plaisir de lui, puisque Sa volonté est faite, il est accordé à l’essence de l’homme, qui se revêt dans Son contentement, l’éternité complète, comme Lui. Ainsi, il a été récompensé d’être libéré de l’ange de la mort.

Le Baal HaSoulam explique la liberté dans le contexte de la perception de la réalité. Nous vivons dans un monde de forces. Il n’y a pas de matière ; elle nous est seulement représentée sous l’influence de différentes forces qui stabilisent pour nous ce sentiment.

Je perçois la nature inanimée  sous toutes ses formes et sous toutes ses  manières et aussi le végétal, les niveaux animal et humain de la nature. Ces quatre catégories qui remplissent mon domaine de sentiment sont des forces qui sont dépeintes dans mon désir et qui  dessinent, comme sur un écran, l’image  du monde en trois dimensions, variées.

Cela arrive parce que mon désir de recevoir divise le don général sans réserve, appelé Lumière, en de nombreux types et degrés de réactions internes. Cela représente en entier l’image du monde  où je sens et vois toutes ces actions.

Donc dès le départ, on m’a donné un sentiment pour lequel je n’ai pas à me préparer. J’ai déjà le désir de recevoir et en lui, je ressens le monde. A côté de cela je vois un processus à grande échelle dans la nature inanimée, végétale, et animale  et aussi entre ces niveaux. En fait il s’agit de notre monde intérieur, mais nous prenons en lui les noms des objets et des phénomènes à partir du niveau le plus bas selon le principe des branches et des racines. (suite…)

L’allure du mystère

Dr. Michael LaitmanQuestion: Est-ce que la créativité dépend du bon contact avec l’environnement?

Réponse: La puissance et la créativité dépendent de combien une personne identifie les formes les plus avancées de développement sur son chemin et découvre le moyen par lequel elle s’élève vers  eux.

A chaque instant, comme un petit enfant, elle cherche de nouvelles formes afin de découvrir le monde, et non pas ce monde prosaïque, mais le monde caché mystérieux.

Après tout, aux yeux d’un enfant, tout semble mystérieux et il cherche de nouvelles opportunités de découvrir davantage le monde. Pour lui, le monde est divisé en ce qui est  révélé et ce qui est caché: il voit quelque chose et autre chose, il ne remarque pas, il entend quelque chose et autre chose passe juste par ses oreilles. Parfois, il attrape quelques mots sur ce qui est dit, parfois il se concentre sur quelque chose et tout le reste demeure en dehors de sa vue. Il essaie constamment de découvrir ce qui est caché de lui.

C’est ce qui nous manque … nous offrons aux enfants des jeux et des moyens nécessaires, et nous devons prendre soin de nous par nous-mêmes. Nos moyens sont l’environnement, et c’est  grâce à lui que nous avançons. L’environnement doit être l’image du prochain niveau pour moi. Je ne suis pas d’accord avec ce que je vois, mais je suis incorporé dans le groupe et j’oblige tous les amis à prendre des formes plus récentes et plus avancées. C’est tout notre travail.
De la 4e partie de la Leçon quotidienne Kabbale de 10/01/12, « La Liberté »

Du plus éloigné du Créateur à la complétude

Dr. Michael LaitmanNous commençons par le point le plus bas, le plus éloigné. Il n’y a rien de plus éloigné du Créateur que l’homme.

L’attribut du Créateur est le don sans réserve, tandis que l’attribut de la création appartient au niveau inanimé. Il n’y a guère de différence entre les deux, à l’exception du fait que le niveau inanimé est sous le contrôle absolu du Créateur et est à 100% en  auto-négation, car il n’a rien en propre.

Puis les niveaux du végétal et de l’animal apparaissent. Ils sont quelque peu différents du niveau inanimé, non  pas dans leurs intentions et leurs désirs, mas dans leur mouvement qui semble être à l’opposé du Créateur.

Les niveaux du végétal et de l’animal croissent, se déplacent et se développent, et donc poussent en s’éloignant du Créateur. Ils n’ont toujours pas quitté son contrôle, mais tout simplement le Créateur leur « permet » d’être incorporés dans les deux forces et de se développer en étant sous Son contrôle. C’est pourquoi tous ces niveaux sont appelés la nature.

Ensuite, le niveau de l’homme apparaît et il va également à travers les étapes du minéral, végétal, et animé et parlant. C’est à ce dernier niveau que le libre arbitre commence.

La liberté est un concept relatif et dépend de l’objet observé. Nous ne jugeons pas les pierres ou les arbres, mais nous jugeons les animaux, ce qui nous permet de les former et ainsi de les utiliser. L’homme peut déjà être  jugé dans le plein sens.

Finalement l’homme se retrouve le plus éloigné du Créateur; il est tellement éloigné  que nous appelons cette nature « le mauvais penchant», tandis que les étapes précédentes sont appelées nature, c’est-à-dire sous le contrôle du Créateur.

Donc la question est: si la plupart des gens appartiennent au niveau naturel du développement, comment vont-ils progresser? Après tout, nous commençons tous à partir du niveau inanimé.

Pour ce faire, il y a un outil spécial: la souffrance. Cet outil fonctionne sur nous et nous fait avancer. Nous associons la souffrance avec un mauvais sentiment, mais nous devrions comprendre que ce n’est pas seulement un outil mais tout un système qui initie le développement. Grâce à elle, tout se développe vers la complétude.

Ainsi, dans les prochaines étapes, notre développement est dans ce sens aussi, plus loin du Créateur, selon notre libre arbitre. Dans notre nature, dans le mauvais penchant, nous croissons  plus loin du Créateur, et nous devons donc nous rapprocher de Lui avec l’aide de l’intention. A partir d’un certain point appelé « Lishma » (En Son nom), nous commençons à nous rapprocher du Créateur et à rentrer en Lui.

C’est dans ce point de départ de l’intention altruiste que nous avons d’abord le véritable libre choix , alors que précédemment nous avions seulement le substitut égoïste.

De la 4 ème partie du cours quotidien de Kabbale du 04/01/2012, «La liberté »

Atteindre mon futur moi

Dr. Michael LaitmanBaal HaSoulam, « La liberté »: Le désir général de recevoir, qui est l’essence même de l’homme, n’apparaît et n’existe qu’en se revêtant dans les formes des objets qui sont susceptibles d’être reçues. Nous appelons cette action, «la vie», ce qui signifie le gagne-pain de l’homme. Comme nous l’avons expliqué dans l’acte que nous appelons, «désir».

En conséquence, avec la disparition du désir vient la mort. Nous vivons toujours dans l’attente de l’avenir souhaité et non pas dans le présent. S’il n’y a rien à espérer dans l’avenir, nous atteignons le désespoir, jusqu’à ce que le corps cesse de fonctionner et qu’une personne meurt.

Ainsi nous devons donc créer pour nous-mêmes des formes de développement plus avancées. Cela  ne peut être fait que par l’influence de l’environnement adéquat. Sinon, un mauvais environnement, qui me remplit de mauvaises formes, prend sa place, et ensuite je m’incorpore en eux et les veux.

Par exemple, je ne peux pas diriger sans les médias. L’égoïsme croissant m’a obligé à m’habituer à eux. Il y a mille ans, tout était différent: avec les désirs du niveau animé en moi, j’ai vécu paisiblement et sans les médias. Aujourd’hui, je ne peux pas vivre sans télévision, sans le flux d’informations qui m’inonde. J’ai constamment besoin de voir les futures formes qui me donnent le pouvoir de la vie et le sentiment de la vie.

Quel genre de vie? Nous savons déjà … et donc nous avons besoin de construire un environnement nous étant favorable qui assumera le rôle des médias. Dans ce cas, je crée mes formes futures par moi-même, et personne ne me les dicte ni ne me les impose. C’est là que réside mon libre choix: je choisis un meilleur environnement qui me montre les bonnes formes et dirige mon désir vers l’objectif, de sorte qu’il sera équilibré avec la nature, en ligne avec le Créateur.

Grâce à ceci je vis dans les formes dans lesquelles la lumière qui ramène vers le bien est cachée et qui plus tard devient le remplissage. Cela me donne le sentiment de la vie jusqu’à ce que j’atteigne l’existence éternelle. Peu à peu mes formes tirent loin de la découverte corporelle, qui ne peut exister que dans le monde corporel, et je peux grimper vers les formes de développement spirituel.

Ensuite, je ne suis plus lié en aucune façon aux formes corporelles qui apparaissent devant moi. Je ne ressens rien en eux sauf pour les besoins de base du niveau animé en moi. Mais je ne m’en inquiète pas non plus car je suis déjà de «l’autre côté ».

Et ainsi petit à petit, une personne se déplace de la construction de la force potentielle pour atteindre la force d’exécution et commencer le soi spirituel. Ceci est toujours réalisé en augmentant la qualité du désir: Je crée ma future forme, ma forme plus avancée, et je suis attiré par elle, jusqu’à ce que je l’approche et l’atteigne

De la 4 ème partie du cours quotidien de Kabbale du 10/01/2012, « La liberté »

Un engagement silencieux

Dr. Michael LaitmanAfin de comprendre quoi que ce soit, il faut soit commencer dès le tout début ou à la fin – à partir du début de la création ou de son but final. Après tout, ce qui est dans le milieu appartient à notre travail, au libre choix. En analysant le début et la fin, nous devons comprendre ce que nous avons à faire au milieu.

La différence entre le début et la fin du chemin réside dans l’acquisition de l’intention du don sans réserve. Il n’y a que cela qui change en réalité. En changeant l’intention, nous atteignons notre différence par rapport au Créateur et la corrigeons. Par conséquent, il est clair que notre tâche ne réside que dans la réalisation de cette bonne intention.

Chaque action se compose de la pensée, de la parole et de l’action. La pensée est le plan qui précède tout, qui comprend d’abord le résultat de l’action. Et au milieu, entre le plan et l’exécution, il y a la parole, ce qui signifie le discernement.

Et afin de faire le discernement approprié, il doit y avoir la concentration. C’est pourquoi les kabbalistes ont coutume de se taire, ce qu’on fait aussi dans ce monde. Quand une personne est sur le point de participer un événement important et veut comprendre comment le faire, elle se concentre sur elle-même, exigeant le silence, et en essayant de se fermer afin de n’être pas gênée par les conversations externes. Elle se prépare intensément pour mener à bien l’action correctement.

C’est pourquoi nous voulons passer le week-end dans le silence, dans le calme et réfléchir à comment nous pouvons atteindre la bonne action. Au lieu de parler, nous allons faire des discernements dans le silence.

De la préparation au cours quotidien de Kabbale du 10/01/2012

Médecine: un business rentable

Dr. Michael LaitmanQuestion : L’immunisation contre diverses maladies est l’une des réalisations sensationnelles de la médecine. Un grand nombre de vies humaines a été sauvé, mais des vagues d’objections surgissent constamment à l’encontre de l’immunisation des enfants et des adultes. Pourquoi des choses qui ont déjà été prouvées invitent-elles à de pareilles objections ?

Réponse : A un moment les gens n’avaient pas confiance dans les médicaments et les vaccins, et maintenant ils ne font pas confiance aux  médecins. Après tout, aujourd’hui, les médecins se consacrent à l’argent, pas à la santé.

La médecine s’est transformée en une entreprise et la plupart des médicaments sont produits dans le but d’obtenir des bénéfices, et non la guérison. Bien sûr, notre monde est égoïste, mais dans ce domaine, les gens sont particulièrement sensibles.

La vie est le bien le plus précieux pour le commun des mortels. Mais, il ne peut pas la confier entre les mains d’un médecin parce que le médecin ne pense pas à sa santé, mais à l’argent. La médecine a été  transformée en un énorme business.

Comment est-ce possible qu’une personne puisse être guérie en fonction de sa capacité financière? Après tout, les corps sont égaux ? Mais non, le médecin examine savamment l’épaisseur du portefeuille du patient et lui suggère vivement des choses sur lesquelles il est muet pour les autres cas. Tout est pourri dans le monde d’aujourd’hui, et la médecine ne fait pas exception.

 De la 4ème partie du cours quotidien de Kabbale du 03/01/2011, « La liberté »

La garantie mutuelle au-dessus de nos différences

Dr. Michael LaitmanIl n’y a pas de bien sans mal et il n’y a pas de mal sans bien. Ce n’est que lorsque les deux sont équilibrés que le sentiment de la vie surgit entre eux, la prospérité. Nous voyons cela dans chaque «création». Même en musique, les notes mineures et majeures ne  vont pas les unes sans les autres. À la jonction des notes c’est constamment une palpitation et une résistance dans chaque accord, la dissonance et la consonance coexistent. L’harmonie, tel est le juste rapport entre les sons discordants.

Même à la maison vous ne serez pas en mesure de parvenir à un accord si vous n’amenez  pas deux opposés ensemble. Comment pouvez-vous atteindre la paix intérieure? Après tout, la paix est la plénitude, la ligne médiane, qui est composé de deux contrastes. Ils ont progressivement augmenté et le contraste entre eux devient plus fort ; vous ne les annulez pas, mais plutôt  vous les connectez, et les amenez ensemble au sommet.

Ceci est la garantie mutuelle : malgré les différences, nous recherchons la force supérieure commune qui nous relie les uns aux autres. Nous voulons seulement l’invoquer, pour la tirer de sorte qu’elle soit parmi nous.

En fait «cela» est le futur « nous ». Maintenant nous ne pouvons pas nous traiter les uns les  autres correctement et nous voulons dnc que la puissance du don sans réserve mutuel soit habillé en nous, soit réveillé en nous.

 De la  4 ème partie du cours quotidien de Kabbale du 02/01/2012, « La liberté »

La première lueur de lumière

Dr. Michael LaitmanQuestion : Baal HaSoulam écrit dans « La liberté » que la méthode de la Kabbale est destinée à la purification d’Israël, et que cela renvoie à la reconnaissance du mal. Comment sont-ils reliés l’un à l’autre ?

Réponse : réalisez-vous vraiment quelque chose de bien, en reconnaissant votre propre mal ? Bien sûr, parce que cela vous a conduit à la purification, vous devenez meilleurs, plus réceptifs ; vous ressentez plus, comprenez mieux, vous pénétrez dans la matière de votre désir. Avant, cela revenait à de bonnes ou mauvaises sensations, et vous n’aviez connaissance de rien d’autre. Vous ne faisiez que de réagir à des stimuli comme un animal très primitif. Tout comme la jambe d’une grenouille se contracte automatiquement sous l’influence d’une impulsion électrique.

Maintenant vous avez des questions : «Pourquoi dois-je faire cela? D’où cela vient-il ? Dans quel but ? Est-ce bien ou mal ? « Vous vous élevez au-dessus de votre nature, en analysant la situation, et en quelque sorte c’est comme si vous sortiez de votre nature. Comme un ver dans une pomme, vous commencez à faire votre chemin vers la lumière.

Imaginez une pomme rouge et juteuse, et que vous êtes à l’intérieur de celle-ci. Une ouverture vers l’extérieur apparaît. Même si vous n’êtes pas encore passés par là, vous avez déjà commencé à distinguer que la lumière est là, et qu’il fait sombre ici. Différencier les deux devient votre reconnaissance de mal.

Ceci est une énorme réussite, de la taille de la création, qui nous sert de « pomme » ….

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale 05/01/12 « La liberté »

Mon cœur a besoin de bons propriétaires

Dr. Michael LaitmanUne prière est un désir qui apparaît dans le cœur à chaque instant. Le travail principal réside dans la compréhension de votre prière: ce que je veux, ce que je devrais  souhaiter, et si ma prière est parvenue à la hauteur de nos ancêtres. En d’autres termes, j’examine ce que mon cœur ressent. Après tout, je ne suis pas son propriétaire, et je dois placer des dispositifs sévères et protecteurs sur lui pour le regarder et construire un système qui l’influence.

Seul mon environnement, mes amis, règnent sur mon cœur. Si je crée cet environnement, il sera capable de le contrôler, mais je ne peux pas le contrôler de  moi-même. Ceci est ma seule liberté de choix.

Il s’ensuit que ma prière dépend entièrement de l’environnement, et elle doit atteindre ma «demi pièce de monnaie » avec son aide, un désir à cent pour cent vers la Lumière, le don sans réserve. Pour cette raison, avec une attitude correcte envers l’environnement et une demande pour eux de convaincre mon cœur d’avoir le désir de donner sans réserve (c’est-à-dire de l’importance de celui -ci), ils vont créer la prière correcte en moi. C’est de cette manière que je vais terminer ma moitié de pièce de monnaie et terminer mon travail.

Il s’avère qu’au lieu de travailler sur le respect et avec mon cœur directement, je travaille avec l’environnement, en le dirigeant de telle manière qu’il va influencer mon cœur pour vouloir faire le bon type de réalisation, c’est-à-dire devenir rempli avec la qualité du don sans réserve  à accorder, l’amour pour son prochain. C’est exactement ce qui me manque maintenant. Lorsque j’aurai terminé ce processus, je trouverai  la « seconde moitié de la pièce », la satisfaction

Et voici «le général et le particulier sont égaux », tout le monde est absolument égal. Après tout, chaque élément est tout aussi important dans un système intégré analogique. Nul n’est grand ou petit, riche ou pauvre, chacun doit gagner sa moitié de  pièce et atteindre un désir spécifique complet qui leur est uniquement attribué.

C’est pourquoi nul n’est plus spécial que d’autres, plus ou moins grand dans ce genre de travail, tous les amis sont absolument égaux. Après tout, si la moindre envie correcte  manque, nous n’allons pas atteindre la moitié parfaite de la pièce de monnaie. Et c’est pourquoi il est nécessaire de se soucier de tout le monde. 

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale du 05/01/2012, Écrits du Rabash