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Comment atteindre les Mondes Supérieurs

Laitman_524_01Question : Jusqu’à présent, je ne peux pas dire que j’ai étudié la Kabbale. J’écoute votre programme radio, regarde la télévision et les films. Je ne peux pas obtenir de réponse à une question. Dans votre livre, La Kabbale pour Débutants, vous avez écrit que le processus de l’étude de la Kabbale concerne la lecture des sources, la contemplation et la participation de groupe…

Qu’est-ce qui justement nous élèvera vers le Créateur ? Comment les mondes seront-ils divulgués à un être humain ? Cela arrivera-t-il à travers la lecture, la réflexion et l’interaction ? Y a-t-il des pratiques qui enseignent la contemplation, les prières, l’interprétation des rêves ? Est-il possible de susciter ou de modifier certains désirs en nous ?

Réponse :
L’atteinte du monde supérieur se produit en développant notre propriété du don sans réserve. A l’intérieur de cette propriété, nous serons en mesure de sentir la nature supérieure « du don et de l’amour ». Afin de développer une telle propriété, nous avons besoin de rejoindre un groupe (de préférence de 10 personnes) et de travailler sur la construction de ces types de relations entre nous. L’ensemble de la Kabbale et de la Torah en général ne parlent que de ce processus !

La Bible n’est pas ce que vous pensez…

Dr. Michael LaitmanQuestion : Qu’est-ce que la Bible ? Je n’ai rien trouvé de surnaturel en elle. Bien que l’idée du livre soit assez originale !

Réponse :
Ce livre n’a pas besoin de l’approbation de qui que ce soit. Le personnage principal du livre est le Créateur. Le thème majeur est la condition par laquelle nous pouvons nous « réconcilier » avec le Créateur, ce qui signifie trouver la voie vers un monde plus élevé avant de mourir, de notre vivant, une fois que nous parvenons à atteindre au moins une similitude minime avec le Créateur.

Nous atteignons le domaine supérieur sensuellement, et pourtant physiquement nous restons dans ce monde. L’espace se dilate.

Selon le degré de notre capacité à mettre en œuvre le principe « Aime ton prochain », une personne acquiert la similitude avec le Créateur et Le révèle. Finalement, notre perception de ce monde change de façon spectaculaire, et nous percevons des couches multiples, l’Infini, l’intemporalité.

Un temps terrestre et spirituel

laitman_281_02Question: Je vous ai envoyé un tableau couvrant l’époque de la reine Esther. J’aimerais connaître votre opinion sur le bien-fondé de ces dates.

Réponse: Il n’y a presque pas de dates de certains événements dans les sources kabbalistiques. Sinon, nous n’aurions pas de doutes et aurions quelque chose à compter.

Le fait est que les sages ne prennent pas en compte les dates terrestres, et tout ce qui se passe dans la Kabbale se réfère au monde spirituel, c’est le monde intérieur d’une personne. Par conséquent, je n’ai jamais été intéressé par les faits et les dates historiques et ne les ai pas vu dans les livres kabbalistiques.

Croire ce qui est écrit

laitman_533_01Question: De quelle façon pouvons-nous attirer le public si un événement de ce genre nécessite beaucoup plus d’investissements matériels que nous avons? Comment pouvons-nous faire pour que tout le monde s’asseye en cercle?

Réponse: Quoi que nous fassions, nous devons attirer les gens de façon telle qu’ils ne se sentiront pas sous pression, mais seulement voudront venir en vu d’une meilleure vie. Comment fait-on cela? Creusez- vous les méninges et cherchez. Nous devons le faire. Nous n’avons pas le choix. Nous devons chercher comment atteindre les gens dans les bons moments, de sorte que les mauvais moments n’arrivent pas, à Dieu ne plaise.

Je ne pense pas qu’il soit nécessaire de faire des programmes de télévision de divertissement avec une « chasse au trésor. » Je pense qu’une telle formule ne cache la vérité au lieu d’attirer quelqu’un à elle. Il me semble impensable que nous puissions réussir ainsi. Les gens ne feront pas attention au message intérieur et ne regarderont que le décor.

Nous devons tout d’abord décrire notre situation actuelle, la transformer en un état dramatique, puis montrer comment il est possible d’éviter la souffrance, et plus que cela, d’atteindre le succès. C’est la tâche de diffusion.

Pour cela, je pense qu’il est préférable de faire un petit livret, accessible avec des explications. Ces vingt dernières années la télévision et l’Internet ont évolué si vite qu’ils nous ont poussé à vouloir tout voir sur nos écrans. Mais je pense que, après l’enthousiasme initial et l’excitation pour ce nouveau type de médias, les gens vont revenir à la lecture.

C’est parce que la lecture peut organiser l’esprit sous une forme, chose que ne peut pas l’image. Lorsque nous lisons, nous obtenons des informations à travers lesqueles nous pouvons organiser et modifier notre façon de penser, nos cellules du cerveau, et notre approche et cenous-mêmes; ce qui signifie que nous nous formatons.

Il est impossible de transmettre ces informations oralement, car cela ne rentre pas de cette façon. Seul un très petit pourcentage peut être absorbé par l’ouie, ainsi que par la vue. En particulier, l’information est saisie quand on lit. Les lettres sont quelque chose que nous ne pouvons pas laisser partir. La vérité doit être écrite.
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De la 2ème partie du cours quotidien de Kabbale 06/06/14, Écrits du Rabash

Deux nouveaux livres sur la crise publiés à Taiwan

Deux livres sur la crise, écrit en caractères chinois traditionnels, sont publiés à Taiwan: La crise: Voulez-vous savoir pourquoi? et le salut: Comment survivre à la crise mondiale.

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Quand le cœur est silencieux

Dr. Michael LaitmanQuestion : Il y a un sentiment de très forte unité dans notre « dix », mais en même temps, il y a une sensation comme si le cœur était recouvert d’une croûte, et rien ne peut la secouer. Que faisons-nous avec cela ?

Réponse : Embrassez cet état de la façon dont on embrasse le bâton qui nous frappe.

En fait, c’est une merveilleuse révélation, mais une personne la perçoit comme un état désagréable car, avec elle, vous tombez dans un désespoir morne et silencieux.

En outre, le concept du Créateur est flou d’une certaine manière. Vous semblez entendre ce qui se dit à propos de Lui, mais vous ne ressentez rien. À l’heure actuelle, c’est une certaine notion abstraite pour vous, mais non pas des propriétés et des forces. Vous ne pouvez pas L’attacher à quoi que ce soit parce que le Pharaon (ego) remplit votre cœur commun.

Néanmoins, il y a un petit point à partir duquel vous déterminez que vous êtes sous l’influence de Pharaon, et il s’agit en fait de l’état de désespoir dont, apparemment, il n’y a aucun moyen de sortir. Il vaut mieux oublier, tout effacer, appuyer sur une certaine touche à l’intérieur de vous-même, et se retrouver dans un pays lointain, très lointain.

De tels états vont continuer à s’emparer de vous encore et encore. Cela continue au-delà de l’exode d’Égypte parce que vous devez attacher tous ces désirs égoïstes à vous pendant les quarante années d’errance dans le désert et l’ascension vers Bina, et en conquérant la terre d’Israël, qui est le travail avec les récipients (Kélim) de réception. Vous aurez toujours ces descentes, et à chaque fois elles seront de plus en plus profondes.

Que pouvons-nous faire ? Dans de tels cas, nous commençons immédiatement à lire nos sources. Si possible, on devrait immédiatement se ruer vers le groupe. C’est la chose la plus efficace possible. On peut se livrer à toute forme de diffusion, mais la meilleure de toutes est le contact physique. Si vous êtes seul et qu’il n’y a pas d’autres options, alors essayez d’écouter ou de lire, mais faites-le très clairement et intensément. Nous avons besoin de labourer notre égoïsme.

Du congrès de Saint-Pétersbourg, « Deuxième Jour », Leçon n°3 du 20/09/14

Élargir notre esprit et nos sens

Dr. Michael LaitmanQuestion : Comment les mélodies des mondes spirituels (supérieurs) aident-elles les élèves qui se sont engagés dans la méthode de l’atteinte des mondes supérieurs depuis longtemps ?

Réponse : En écoutant ces mélodies de temps en temps, ils y trouvent constamment des profondeurs, toujours plus récentes et introspectives.

Il se trouve que les gens qui étudient la méthode du Baal HaSoulam le considèrent comme leur Enseignant. Ils entrent dans le monde qu’il a découvert, et il les conduit et le leur révèle. Ils le suivent en étudiant ses articles, ses lettres, et les nombreux volumes de travaux en plusieurs tomes, comme le Talmud Esser Sefirot (TES, L’étude des Dix Sefirot) par exemple.

Le Professeur Kfitza a comparé ce livre à un livre de physique classique de Landau-Lifshitz pour les ados de 16-17 ans. Il m’a dit une fois que c’était la base de la physique spirituelle.

En outre, le travail le plus sérieux du Baal HaSoulam est le Commentaire sur le Livre du Zohar, qu’aucun grand maître spirituel avant lui n’aurait pu écrire depuis 2000 ans.

C’est une information très intéressante qui décrit de la manière la plus précise et particulière la connexion entre l’esprit et les sens, lorsque vous devez examiner vos sensations avec l’esprit et élargir l’esprit avec vos ressentis, ce qui vous permet alors d’examiner et de clarifier vos sensations.

Ainsi, vous travaillez sur deux lignes : avec l’aide de la ligne de vos sensations, vous développez votre esprit et avec l’aide de l’esprit, vous comprenez les nouvelles sensations qui émergent en vous. Quand elles se fondent en une seule, les deux lignes vous aident à ressentir la Providence supérieure.

Par conséquent, tous les élèves du Baal HaSoulam ressentent ces mélodies différemment avec la nouvelle perception qui se créé en eux, par le récipient de la providence supérieure, le sixième sens. Ils les jouent déjà sur leurs émotions développées, avec l’aide de l’esprit, et comprennent dans leur esprit avec l’aide des nouvelles sensations.

La musique apparemment simple des mondes supérieurs soulève les couches les plus profondes d’émotions et une nouvelle compréhension supérieure chez une personne. Elle inclue miraculeusement à la fois l’esprit et les sens.

De KabTV, « Conversations avec Michael Laitman » du 09/02/14

La marque de la Torah

Dr. Michael LaitmanQuestion : Pourquoi est-ce que dans la Torah tout semble exister séparément : Esaü est à part, Jacob est à part, Jacob a peur d’Esaü.

Réponse : Il était un temps où j’ai étudié la musique. Que voyez-vous lorsque vous regardez une partition ? Vous voyez ce que vous devez reproduire. Vous voyez des signes : des mesures, des notes, des pauses, piano, forte. Tout cela est dessiné pour la personne qui les jouera.

J’ouvre la Torah. En elle il est écrit : Jacob, Esaü, Israël, Sichem, Benjamin, Dina. A quoi tous ces noms font-ils allusion ? Ce sont des notes que j’ai besoin de jouer. Ces notes sont mes propriétés et mes forces  internes ; elles existent en moi et sont appelées anges. Les anges sont des forces de la nature que le Créateur m’a données afin que je sois capable de m’organiser avec leur aide et de devenir égal à Lui. Pourquoi ai-je besoin de faire cela ? Parce que dû à cela, je deviens indépendant ; j’acquiers vraiment le statut du Créateur.

C’est pourquoi la Torah est appelée à la fois la Lumière et l’instruction. Je lis ces instructions et travaille selon elles. Jacob, Esaü, Dina, Sichem, âne, sont autant de forces de mon âme, et la Torah me révèle ce que je dois faire avec elles. Elle me décrit exactement ces processus que j’ai besoin d’effectuer ; l’interaction de ses personnages est la corrélation de nos propriétés internes, de nos désirs. Quand je lis, je ressens littéralement comment ces propriétés s’entremêlent en moi, passent par différents changements, comment je travaille avec elles, comment je dois les connecter, et  comment tout ceci doit finir.

Je regarde le texte de la même manière que vous regardez une partition de sorte que vous pouvez chanter ou jouer, même maintenant sans instrument, en utilisant seulement vos cordes intérieures. C’est la seule façon pour nous de percevoir la Torah, et c’est la seule raison pour laquelle elle a été donnée.

De la Portion Hebdomadaire de la Torah du 18/11/2010

La base de l’indépendance est le détachement du Créateur

Dr. Michael Laitman« L’Indroduction à la Kabbale » – est une introduction très importante écrite par Baal HaSoulam pour préparer l’homme à l’étude du livre du Zohar avec le commentaire Soulam. Grâce à cette introduction l’homme peut au moins se rapprocher d’une certaine manière de ce commentaire, sinon sans le commentaire Soulam, le livre du Zohar nous serait absolument incompréhensible. Cette introduction comprend l’ensemble de la Kabbale liée à la propagation des mondes de haut en bas et dévoilée par Ari dans son livre « L’arbre de la Vie. »

Cette propagation des mondes a été découverte déjà par Abraham, puis décrite dans la Torah par Moïse, mais sous une forme dissimulée, cryptée.

Tandis qu’aujourd’hui nous l’étudions pour son application pratique et pour cela nous devons la découvrir sous une forme claire, adaptée à la réalisation et à l’utilisation.

Pour cette raison le Baal HaSoulam explique toute cette science depuis le début, depuis la Source qui génère l’idée de la création et de quelle manière, suivant cette idée, la création a été créé et matérialisée. Le Créateur, la force supérieure de don et d’amour créé quelque chose en dehors de Lui-même qui doit être Son contraire. Si le Créateur – est la force de don, il doit créer la force de réception.

Aussitôt après sa création, la force de réception disparaît à l’intérieur de la force de don, c’est-à-dire qu’elle est contrôlée par celle-ci à cent pour cent. Et pour cette raison la création semble ne pas exister. Puisque ce n’est pas le matériel qui compte, mais l’existence d’une indépendance du Créateur – mais elle ne l’a pas.

Alors la question se pose, comment peut-elle exister? Comment est-il possible de générer quelque chose qui peut devenir ensuite entièrement indépendant? Tout ce qu’il a – il l’a de Moi et ce fil ne peut pas être coupé. Ce n’est pas possible que la création ait quelque chose de nouveau, car d’où elle peut le recevoir ? – c’est aussi de Moi. Il n’y a rien qui existe dans le monde en dehors de Moi.

Alors, comment est-il possible d’amener la création à l’indépendance? C’est comme si ça niait et détruisait l’unicité du Créateur dans l’univers. C’est paradoxal, car s’il n’existe qu’une seule Source qui génére tout et qu’il n’y a rien au monde hormis cette source, alors comment cela peut-il se faire que la création aurait une certaine indépendance, à tel point qu’elle pourrait même être contre son Créateur, et non pas artificiellement, mais véritablement de son propre gré ?

Ici se cache une très grande profondeur qui nous est incompréhensible.

Nous pourrons comprendre cette indépendance qu’à la fin de la correction.

Pour l’ínstant nous devons étudier toutes les étapes suivant lesquelles le Créateur a créé la création de telle manière pour pouvoir lui donner la liberté.

Cette indépendance consiste en ce que la création est coupée du Créateur, mais toutefois elle possède ses propres forces, ses sentiments et sa propre raison, tout ce qui est nécessaire pour exister de façon indépendante. Et de ne pas exister tout simplement, mais de déterminer ses actions, son autonomie d’une telle manière pour arriver à s’éléver au niveau du Créateur. Un tel processus et un tel résultat nous paraît absolument irréalisable.

Par conséquent, le désir de recevoir créé par le Créateur comme Son opposé et entièrement dirigé par Lui doit passer par une suite de transformations pour obtenir une autonomie, une force qui lui permettra d’établir son indépendance selon son esprit et ses sens.

Pour ce faire, le désir de recevoir se détache du Créateur et après adhère à Lui de nouveau, se détache et adhère à Lui plusieurs fois – c’est-à-dire passe des montées et des descentes. Grâce à ça, nous commençons à comparer ces états, à apprendre un état de l’autre: d’abord nous comparons chaque montée et chaque descente et après toutes les montéees et toutes les descentes les unes par rapport aux autres.

C’est de toute cette expérience progressive de comparaison des montées et des descentes et de l’analyse des états suivants par rapport aux états précédents que notre esprit et notre perception se forment. La comparaison de toutes sortes de montées et de descentes et de toutes sortes de corrélations qui s’entrelacent entre elles, développe nos sensations et notre esprit.

En fin de compte, l’étude du Créateur conduit la créature à l’indépendance, comme il est dit : « grâce à Tes actions nous Te connaîtrons. » La création étudie comment le Créateur la traite et se forme en fonction de ça. Il s’avère alors que la base de l’indépendance – c’est le détachement du Créateur !

De l’article  » Introduction à la Kabbale>>, p.4 . Etant donné que la lumière et le récipient sont étroitement liés entre eux, le désir de recevoir s’annule par rapport à la lumière. Le récipient ne prend une forme déterminée qu’après la première expulsion de la lumière, puisque aussitôt après la sortie de la lumière le récipient commence à éprouver un désir ardent pour qu’elle revienne.

C’est ce désir ardent qui détermine la forme appropriée du désir de recevoir. Après que la lumière revient dans le récipient à nouveau (c-a-d que le lien entre le Créateur et la création se renouvelle), ils devienent déjà des objets différents – le Créateur et la créature, (la création reçoit déjà son indépendance) le récipient et la lumière ou un corps et la vie. Prêtez bien attention à ça – puisque ce sont des concepts les plus profonds.

 

De la leçon sur <<Introduction à la Kabbale (Ptiha), 02/03/2014

 

Un mixeur de ciment

Dr. Michael LaitmanLa fondation du groupe est la leçon quotidienne matinale. Quelqu’un qui ne s’y joint pas  au moins pendant les heures qui lui conviennent, ne peut tout simplement pas se connecter à moi. Et aussi la leçon elle-même doit devenir une opération courante de « mélange » tous ensemble afin de nous voir comme un tout et de s’attendre à ce que lumière s’ouvre entre nous.

La leçon doit être très difficile  comme dans un mélangeur de ciment où vous devez tourner toute cette masse à travers laquelle le sable  le ciment et l’eau sont mélangés jusqu’à ce qu’ils soient complètement connectés . C’est ainsi que nous devons ressentir la leçon avec beaucoup de difficulté et avec beaucoup d’effort. Si une personne ne sent pas cette difficulté ni une opposition , alors elle ne construit pas le Kli , elle n’attire pas la lumière. Cet effort doit être ressenti tout le temps, avec la tension et la pression.

Adhérer auRav, au supérieur n’indique pas l’adhésion à une personne en particulier. Le supérieur n’est pas une personne , mais plutôt , c’est un concept car dans cette personne la connexion est attirée vers ce qui est plus élevé. Par conséquent, je tiens à préciser :

Pourquoi a-t-ilété choisi pour être pour moi mon supérieur?

Que signifie exactement ce terme  » supérieur » à qui je dois adhérer ?

Et comment, à travers cette forme extérieure de l’adhésion, par laquelle je souscris au supérieur, vais -je obtenir l’adhésion interne àLui ?

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 27/02/14 , sujet de la leçon : « le professeur »