Category Archives: Média

La nourriture est-elle le sens de la vie ?

293Commentaire : Les gens passent la majeure partie de leur vie à manger, tout tourne autour de la nourriture. Pourquoi le système est-il construit de telle manière que le processus de nutrition occupe pratiquement toute notre vie ?

Ma Réponse : Que feriez-vous d’autre ?

Si nous avions organisé la vie dans notre monde correctement, conformément aux racines spirituelles supérieures, nous nous occuperions de la question de manger au maximum deux heures par jour pour une autosuffisance normale et rationnelle, et nous consacrerions le reste du temps à notre développement et à notre épanouissement spirituels.

Au lieu de cela, nous passons notre temps à fabriquer des choses inutiles, à se les vendre, à les jeter rapidement et à en fabriquer de nouvelles.

En principe, le sommeil, l’alimentation et le travail spirituel sont ce dont une personne a besoin dans cette vie pour commencer rapidement à ressentir une portion minimale d’un nouveau monde spirituel et passer à l’éternité, à la perfection.

De quoi d’autre avons-nous besoin ? Pourquoi devrions-nous nous attarder ici, à ce point de passage ?

Extrait de KabTV, « J’ai reçu un appel – La nourriture est le sens de la vie » du 27/09/2012

Un groupe puissant contre le Créateur

293À notre époque, une hiérarchie s’est formée dans le monde où il n’y a qu’une douzaine de familles ou de personnes qui contrôlent le monde et font tout ce qu’elles souhaitent pour elles-mêmes. Il semble qu’elles aient des capacités illimitées, elles contrôlent l’humanité et la limitent dans l’obtention de vraies informations.

En outre, elles nous empêchent d’obtenir des médicaments, une alimentation normale et une énergie bon marché qui aurait pu être utilisée il y a longtemps à la place du pétrole, et elles font cela sur la base de leur égoïsme et de leur position.

Rien ne peut être fait différemment jusqu’à ce que l’humanité atteigne un degré tel d’intégration interne qu’elle commencera à ressentir la force supérieure, la gouvernance supérieure. C’est seulement à partir de ce moment que le monde cessera d’être contrôlé par une poignée de personnes. Elles ne pourront pas s’opposer à la gouvernance supérieure et limiter notre monde dans son développement positif.

Bien entendu, ces personnes sont elles aussi des anges, c’est-à-dire qu’elles sont gouvernées par la force supérieure. Elles sont comme l’ombre de nos défauts. Lorsque nous commencerons à nous unir entre nous, nous les neutraliserons. Mais pour l’instant, dans notre déconnexion, dans notre égoïsme, c’est comme si nous les soutenions ; nous sommes leur source d’énergie et nous créons les conditions de leur existence.

Extrait de KabTV, « J’ai reçu un appel – Les kabbalistes contre les médiums » du 14/07/2012

Il n’y a rien dont nous pouvons être fiers

547.05Commentaire : Vous dites qu’un héros est quelqu’un qui fait constamment des efforts, et bien qu’il perde tout le temps, néanmoins, il reste un héros.

Ma Réponse : Il ne perd pas ! Il considère que sa nature lui est imposée à dessein et qu’elle lui est donnée pour qu’il la change et la transforme ! Alors que faire s’il se sent faible face à cette nature ? Et qui est-il ? Il a été créé comme ça !

Si une personne s’est engagée dans un but supérieur, alors elle a la force de l’étape suivante. Et si elle ne le fait pas, alors elle n’est qu’un petit animal de notre monde qui pollue notre pauvre petite planète, et c’est tout. Regardez à quoi elle ressemble de l’extérieur.

De quoi devrions-nous être fiers ? De quoi une personne devrait-elle être fière ? Du fait qu’elle peut soulever 150 kilos ? En grandeurs proportionnelles, un moustique peut soulever plus qu’une personne. Disons que vous êtes plus intelligent que tout le monde, mais à quoi gaspillez-vous votre esprit ?

Les animaux l’utilisent pour survivre, pour exister et pour développer une descendance. Et vous faites exactement le contraire ! Vous vous détruisez vous-même, votre progéniture, tout le monde et tout le reste. Aucun des animaux ne défèque là où il vit. Ils ne se détruisent pas. Et une personne agit de façon absolument anormale. Il n’y a rien dont nous pouvons être fiers !

Les gens sont des créatures dotées d’une telle intelligence et de telles capacités ! Et ils les utilisent de manière tout à fait opposée. Alors est-ce que cela mérite des éloges ?

Extrait de KabTV, « J’ai reçu un appel – Qui est le vrai héros ? » du 28/01/2012

Pourquoi maigrir ?

629.4Question : Pourquoi les gens veulent-ils toujours perdre du poids ?

Réponse : Parce que les produits pour maigrir sont plus chers que les produits pour grossir. Et de ce fait, quelqu’un en profite.

Question : Mais en réalité, quel est le problème de l’excès de poids ?

Réponse : Il est très facile de grossir avec les produits d’aujourd’hui, mais il est très difficile de perdre du poids. Par conséquent, la perte de poids est considérée comme un culte, comme une sorte d’exploit.

En fait, cela n’a aucun rapport avec quoi que ce soit, et les gens ne vivent pas plus longtemps, ne sont pas en meilleure santé. C’est juste considéré comme une forme de culte. Je pense que cela va bientôt passer. Toute forme de violence contre soi-même n’est pas bonne. Une personne devrait être normale. Mais personne ne connaît cette norme et ne peut l’établir. C’est juste qu’une personne devrait manger normalement.

Si nous nous débarrassons de tous les excès qui inondent nos marchés alimentaires et tout le reste, et que nous arrivons à un mode de vie rationnel, alors tout le monde aura un poids normal. Eh bien, vous ne pèserez pas soixante kilogrammes mais soixante-dix. Vos mensurations ne seront pas 90-60-90 mais quelques centimètres de plus. Et alors ? Vous n’aurez pas recours à la chirurgie plastique parce que vous commencerez à voir non pas l’apparence d’une personne mais son monde intérieur.

Extrait de KabTV, « J’ai reçu un appel – Pourquoi maigrir » du 03/03/2013

Une nouvelle forme de pouvoir sur l’individu

448.8Question : Aujourd’hui, à l’ère du néolibéralisme, le pouvoir de l’État sur l’individu s’amenuise progressivement. Est-ce une bonne ou une mauvaise chose pour le développement de l’humanité ?

Réponse : Je ne pense pas que le pouvoir diminue car l’État n’abandonne pas ses positions, son pouvoir, et ne les transfère pas à l’individu.

Commentaire : Mais l’individu se sent plus libre qu’il y a quelques centaines d’années.

Ma Réponse : Il se sent ainsi uniquement parce qu’il invente sans cesse toutes sortes de machines mécaniques, de jouets, d’outils qui lui donnent l’illusion de la liberté, mais rien de plus. Sommes-nous libres ? Aujourd’hui, je dépends de tout le monde : on m’écoute, tout le monde peut voir où je suis, ce que je suis, etc. Où est cette liberté ?

Commentaire : De toute façon, il y a quelques centaines d’années, tout dirigeant pouvait faire ce qu’il voulait d’un individu sans aucune sanction. De nos jours, cela n’existe pas dans les pays démocratiques.

Ma Réponse : Cela ne veut rien dire. La liberté que nous avions auparavant a pris une forme différente aujourd’hui. Mais cela ne signifie pas que nous sommes libres. De même que vous laissez un enfant s’échapper de vos bras, il court sur la pelouse et il lui semble qu’il est libre. Mais vous le surveillez.

En d’autres termes, la nature de l’homme n’a pas changé, seul le pouvoir sur les gens a pris d’autres formes, encore plus définies, rigides et restrictives. Ils vous observent, ils voient clair dans votre jeu !

Extrait de KabTV, « Les États Spirituels » du 22/03/2022

Ce dont le cinéma est capable

922Question : Quel est votre film préféré ? Parfois durant le cours, vous utilisez Harry Potter comme exemple, en particulier la scène où il traverse le mur à la gare. Pourquoi êtes-vous si impressionné par cela ?

Réponse : Je donne cette scène en exemple : si une personne va vraiment de l’avant, comme à travers un mur, alors elle franchira tous les obstacles.

En général, je n’ai pas de films préférés. Il y a des scènes que j’ai vues, et par conséquent je peux les citer en exemple.

Question : Quel rôle aimeriez-vous jouer ? Peut-être un personnage du Tanakh (acronyme de TorahNéviim et Ktouvim, c’est-à-dire le Pentateuque, les Prophètes et les Hagiographes, ndt) ?

Réponse : Il n’y a pas de tels rôles. J’ai juste besoin d’être corrigé.

Question : Si vous aviez toutes les ressources du monde, quel film feriez-vous et sur quel sujet ?

Réponse : Je ferais un film, et plus d’un, sur le rôle de l’homme, sur la possibilité de parvenir à découvrir le Créateur, sur la façon de créer de telles conditions pour que les gens se développent spirituellement, sur la façon d’élever correctement les enfants, sur la façon de maintenir une famille de la bonne manière, et ainsi de suite. En pratique, ce sont des films éducatifs. Ils sont éducatifs à la fois dans notre monde et dans le monde spirituel.

Question : Pensez-vous que c’est exactement par un tel transfert d’informations que l’on peut expliquer la spiritualité à une personne ?

Réponse : Oui. Bien sûr, la spiritualité ne peut être révélée. Mais vous pouvez configurer une personne pour qu’elle ait envie de la découvrir. L’industrie du cinéma en est capable.

Extrait de « Les États Spirituels » sur KabTV, le 10/09/2021

L’affirmation du « moi » de chacun

592.04Question : Comment pouvons-nous nous unir ? Pour une personne ambitieuse et naturellement forte, il n’y a rien de plus détestable que l’égalité sociale.

Réponse : Elle peut rester comme elle est. Personne ne lui prend rien. Qui lui interdit d’être riche ? Qui lui interdit de se réaliser dans la politique, dans l’art, dans la science, dans quoi que ce soit ? Pourquoi devrait-elle tomber dans la classe moyenne ? Elle n’est pas obligée de le faire.

Nous parlons d’égalité sociale. Mais ce n’est pas que tout le monde sera égal. Nous n’avons pas non plus été créés égaux par nature. Nous sommes égaux en ce sens que chacun doit comprendre sa place dans le système intégral et interagir avec les autres.

Il y a ceux parmi nous qui appartiennent à la tête, aux mains, au tronc ou aux jambes du corps commun de notre société. Chacun d’entre nous est différent. Cette différence continuera à s’appliquer à l’avenir. Une cuisinière (une personne non qualifiée) ne dirigera pas l’État. Elle ne sera pas capable de le faire, et il n’est pas nécessaire de la forcer à le faire.

Et les gens qui peuvent diriger dirigeront. Et ils en seront fiers ! Le fait est que celui qui est au sommet et qui veut diriger en retire du plaisir ou de l’épanouissement.

Donnez-lui cette opportunité, apprenez-lui simplement à diriger correctement. Et à côté de cela, il sera comblé par tous les autres.

Une personne a besoin d’un épanouissement intérieur. Même ses millions à la banque ne lui donnent que la sensation d’être rassasiée, une sensation, rien de plus ! Donnez-lui cette sensation par son travail, par la créativité.

Les politiciens aiment créer, car la politique est le même art. Cependant, comme la science, la finance et tout le reste, les gens font cela pour se sentir comme des créateurs dans cette vie.

Cela les intéresse. Et les zéros à la banque ou les diplômes d’études supérieures parlent simplement de ce qu’ils ont fait dans la vie. C’est une affirmation de leur « moi ».

Extrait de « Gros Plan – L’Espoir de la Paix » sur KabTV

A la croisée des chemins

235Nous avons besoin d’un sérieux changement de notre attitude envers les enfants – pas seulement une réforme du système éducatif de l’enseignement lui-même ou de l’éducation, mais en général, de toute notre vie dans laquelle les enfants apprennent de nous, prennent toutes sortes d’exemples avec lesquels ils ne peuvent pas être d’accord et qu’ils ne peuvent pas appliquer.

Autrefois, un garçon regardait son père, une fille sa mère. Si le père était cordonnier ou tailleur, quoi qu’il arrive, l’enfant savait : « Je vais grandir et devenir moi aussi cordonnier ou tailleur. » À l’époque, les enfants n’avaient pas d’exigences internes.

Les métiers ont été transmis de génération en génération. Les enfants vivaient avec leurs parents. Ils n’aspiraient pas à être différents. A cette époque, tous les exemples que les parents leur donnaient : comment vivre, comment communiquer, tout cela était normal, tout cela convenait aux enfants.

Aujourd’hui, non ! Aujourd’hui, les enfants nous regardent et se sentent dans un monde vide. Ils n’ont aucun exemple. Ils doivent inventer leur propre monde. Et nous, les idiots, nous ne comprenons pas pourquoi ils se livrent à toutes sortes de fanatismes, consomment des drogues et tout le reste. Tout cela arrive parce que nous ne sommes pas prêts à leur donner des exemples de vie correcte.

Nous ne sommes pas d’accord sur le fait qu’ils soient différents. C’est notre point le plus fondamental. Nous devons prendre en compte qu’ils sont différents, qu’ils ont des âmes différentes. Et nous devons vivre pour eux, pas pour nous-mêmes. En vivant pour eux, nous nous corrigerons aussi. Ainsi il est dit : « Voici, je vous enverrai Élie, le prophète, avant l’avènement du grand et redoutable jour du Seigneur, afin qu’il ramène le cœur des pères par les enfants, et le cœur des enfants par leurs pères, de peur que je ne vienne frapper la terre d’une destruction totale. » Ce qui signifie que les enfants doivent nous enseigner.

Lorsqu’une femme devient mère, l’enfant a comme besoin de grandir pour qu’apparaisse en elle une tout autre attitude face à la vie. Il en va de même ici. Nous devons comprendre qu’en ayant des enfants, nous devons être plus responsables. Et ce sont eux qui doivent nous dicter comment nous devons être.

Tout d’abord, nous devons étudier la prochaine étape dans laquelle nos enfants devraient vivre. Ils le demandent, mais nous ne le comprenons pas. Nous sommes dans une telle génération, dans de tels « ciseaux », dans un tel processus de transition, que nous nous trouvons à la croisée des chemins.

Extrait de « Close-up » de KabTV

Texte imprimé, support audio ou vidéo?

219.01Question: Y a-t-il une différence dans la façon de lire un livre ou un autre? Par exemple, le Talmud des dix Sefirot ou le livre du Zohar.

Réponse: Comme dans toute science, il existe certaines règles et approches ici. Au cours des 30 années de fonctionnement de notre organisation, nous avons beaucoup fait à ce sujet.

J’ai publié mon premier livre en 1983 et je l’avais écrit deux ans plus tôt. Aujourd’hui, il existe d’autres médias en plus du texte imprimé, mais cela reste le principal.

Par conséquent, vous pouvez écouter toutes mes conférences et tous mes cours – et il y en a beaucoup, des milliers – en format audio ou les regarder en format vidéo, c’est-à-dire en ayant pleinement l’impression d’être présent à la leçon, en classe et voyez comment tout cela se passe. Nous faisons ces enregistrements depuis vingt ans.

J’ai été l’une des premières personnes du pays à avoir créé mon propre site Web: kabbalah.info.

Question: Cela concerne les leçons. Et les livres? Y a-t-il une différence entre les recevoir via d’autres médias ou lire un texte imprimé?

Réponse: En fait, nous ne lisons pas mes livres. J’enseigne uniquement à partir de sources originales, des œuvres du Baal HaSoulam et du Rabash. Et les livres écrits autour de sources primaires sont pour tout le monde.

Les sources primaires que nous étudions sont destinées aux personnes qui commencent à étudier la Kabbale. Elles leur présentent mieux cette science.

Une personne qui commence à lire ces livres, voit que la Kabbale l’invite à se familiariser avec le monde dans lequel nous existons mais que nous ne ressentons pas.

Il existe en dehors de nous, il nous influence et nous l’influençons. Nous respirons en quelque sorte avec, travaillons à l’unisson. Tout ce que je fais est donné d’en haut. Même les mouvements que je fais avec mes mains maintenant, ainsi que mes pensées, sont contrôlés d’en haut.

Ayant également construit une certaine attitude envers le monde supérieur, je peux également l’influencer, c’est-à-dire entrer dans une connexion correcte avec lui, ressentir ce que le système supérieur veut de moi et comment je peux changer mon destin.

Question: Supposons qu’une personne lise une source principale ou l’écoute en audio. Il y a des insertions musicales, des pauses, etc. Quel format l’influencera le plus?

Réponse: Cela dépend de la personne. Si elle étudie correctement, peu importe le format qu’elle utilise. Tout cela la mènera à un concept commun. C’est la même chose que lorsque nous regardons un tableau; ses couleurs et sa composition nous influencent tous ensemble. Nous ne savons peut-être même pas comment.

From KabTV’s “Questions à propos des livres de Kabbale” 22/10/19

Dialoguer avec soi-même

568.01Question : Ce n’est un secret pour personne que 95 à 99% du temps, nous le passons dans le dialogue interne avec nous-mêmes. Les scientifiques affirment que, d’une part, c’est mauvais parce qu’une personne y dépense une énorme quantité d’énergie. En revanche, sans une telle réflexion, il est impossible d’absorber l’expérience qu’une personne acquiert tout au long de sa vie.

Comment peut-on arrêter ce dialogue interne ?

Réponse : Il n’est pas nécessaire de l’arrêter. Au contraire, c’est ce dialogue interne qui favorise la croissance de l’homme en un être humain. La seule chose que nous devons faire est de vérifier d’où nous obtenons de la motivation, de quelles sources, livres, télévision, etc.

Je suis favorable à ce qu’une personne vérifie toujours ce qui la touche, quelles sources d’informations scientifiques, sensorielles, techniques ou autres peuvent en fin de compte la former et l’influencer correctement.

Et le plus important est l’environnement : les amis, les collègues et les connaissances. Il faut bien vérifier avec qui on communique afin de pouvoir se développer sous la bonne influence qui lui montre le chemin vers une bonne connexion avec les autres. Quoi que ce soit, c’est ce qui prévaut.

Extrait de KabTV, « La Kabbale Expresse » du 27/09/2020