Category Archives: travail intérieur

Faire un Shish-Kebab de désirs

Dr. Michael LaitmanQuestion : J’ai une question à propos de la déconnexion de cette vie. Ce qui se passe est que le désir pour le Créateur éloigne une personne de la matérialité. Il semble que je me force à aimer mon enfant, mon mari, ma famille et à aller au travail, parce que je suis censé le faire. J’ai l’impression de jouer un jeu. Pour une femme, c’est un tourment sans fin, signifiant qu’intérieurement, vous êtes dans un état ​​de désir, mais vivez dans ce monde comme si vous jouiez un jeu.
Réponse: Effectivement il en est ainsi. Une personne ne peut se déchirer entre deux, trois ou cinq désirs, car le désir ne peut être qu’un. Quelle est donc la solution ?

J’ai entendu la même question aussi bien des hommes, que des femmes : «Comment puis-je continuer sans perdre le désir pour ce monde, pour mon travail, pour ma famille et pour d’autres choses importantes ? Comment puis-je faire face à tout cela, si un plus grand désir consume, exerce des pressions ou annule le plus petit ?  »

Cela se produit, si vous ne reliez pas tous ces désirs à la même source et ne les acceptez pas comme venant de la même source. Vous devez les rassembler, les relier et en faire un tel « mélange », qui effacera complètement toute différence. Le désir pour l’enfant, pour le mari, pour le Créateur, pour le groupe, pour les parents, et pour le but même de la création doit être unifié. Il doit ficeler tous ces désirs comme si c’était un shish-kebab.

Si ce n’est pas le cas, alors votre travail n’est pas complet, et vous n’êtes pas complet dans votre désir.  On nous a donné sur terre une telle diversité de désirs pour que nous puissions les rassembler et les voir comme un seul.

De la leçon 7 du 10/06/11 à la Convention de Moscou

La vieillesse est un vêtement pour la sagesse

Dr. Michael LaitmanQuestion: Que signifie devenir un sage, dans la Kabbale?

Réponse: Un «sage» est une personne qui a acquis la sagesse (Hokhma). Cependant, la lumière de Hokhma reste au repos absolu, et afin de l’obtenir, nous devons posséder la lumière de Hassadim (miséricorde), les « vêtements ». Cela signifie qu’un «sage» est à l’honneur non pas pour sa « sagesse », mais parce qu’il s’est fait un vêtement de la Lumière de Hassadim, avec lequel la « sagesse », la lumière de Hokhma, a pu se revêtir.

Nous considérons le Créateur comme le sage. Un homme sage est considéré comme « Talmid Hakham », «un disciple du sage», car il apprend à obtenir la sagesse (Hokhma) pour laisser le Créateur se revêtir en lui. Nous honorons les kabbalistes pour les écrans anti-égoïstes et la foi qu’ils ont acquis, grâce au fait que la sagesse du Créateur se soit revêtue en eux. Ils ne sont pas tout simplement devenus plus intelligents naturellement. C’est pourquoi ils sont appelés les «disciples du sage», le Créateur.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 28/04/2011, Écrits du Rabash

Le bon stimulus

Dr. Michael LaitmanLa science de la Kabbale a une section intéressante sur la manière dont nous percevons l’univers, sur la façon dont l’homme atteint le monde dans lequel il vit. Pourquoi ressentons-nous le monde précisément de cette manière ? Notre monde est-il vraiment comme nous le percevons, ou est-il complètement différent ? En réalité, après avoir traversé nos cinq sens, il acquiert une forme spécifique dans notre perception. Nous observons précisément cette image, plutôt que d’avoir une perception directe et objective du monde réel.

Aujourd’hui, les scientifiques recherchent comment le monde est perçu par les papillons, les abeilles, les serpents et les chiens. Chaque créature le voit à sa manière, selon différentes gammes, à travers un schéma de couleur ou de parfum, etc. Chaque créature a son propre type d’orientation dans le monde et voit sa propre image, qui diffère de ce que les autres voient.

Alors, pourquoi cette image se manifeste précisément de cette manière à nos yeux ? Et à quoi ressemble-t-elle vraiment objectivement ? Peut-on même atteindre une réelle vision objective de la vision du monde ? C’est ce dont traite la section de la Kabbale appellée «perception de la réalité » .

Cependant, la partie la plus importante de la Kabbale n’est pas la descente de haut en bas du monde de l’infini à notre monde, mais ce qui arrive ensuite. La chose la plus importante pour nous est la Makhsom et le chemin d’élévation subséquent. C’est ce à quoi nous sommes aujourd’hui confrontés, ce que nous devons maintenant traverser. Nous devons passer par là, dans la pratique, non pas en théorie, et nous devons prendre ce chemin tous ensembles.

Nous devons mettre en œuvre cela aussi vite que possible pour que la force négative du développement n’exerce pas de pression sur nous par derrière, nous donnant un stimulus négatif. Dans la Rome antique, stimulus était un bâton pointu, servant à piquer les ânes pour qu’ils avancent. Ainsi, il est important que nous ne ressentions pas cette stimulation sur notre chair, mais que nous aspirions vers l’avant de nous-mêmes, avec l’aide de la force positive qui nous est donnée pour l’instant.

C’est essentiellement la raison pour laquelle nous sommes rassemblés ensembles. Nous pouvons nous unir et nous organiser, et nous pouvons commencer à nous ressentir mutuellement intérieurement, même sans contact physique. Sentir que par l’union avec l’autre, nous devenons semblables à la nature commune mondiale ! Alors, au sein de notre union, nous révélerons le domaine commun et aurons le sentiment que nous nous élevons légèrement plus haut. Ceci est réaliste et j’espère que vous le ferez et que je le fairai.
De la 1ère leçon du 10/06/11 à la Convention de Moscou

La formule de la vie

Dr. Michael LaitmanQuestion: Qu’est ce que le don sans réserve?

Réponse: Le don sans réserve est appelé l’état lorsque j’accepte que vos désirs soient les miens et que je commence à les remplir. En d’autres termes, mon désir existe uniquement pour générer l’accomplissement de votre désir. Cela signifie que par rapport à vous, je réalise l’action de don sans réserve, parce que je vous aime.

Dans la Sagesse de la Kabbale, nous étudions que dans toute la réalité il y a seulement deux éléments: le désir et l’accomplissement. Ainsi, là encore, la nature végétale, et animale sont créées. Nos cellules, molécules, atomes, pensées et champs de force agissent à partir du désir (le besoin d’accomplissement) pour son accomplissement.

Cela se manifeste à différents niveaux: biologique, physique, dans les pensées et les désirs. Il n’y a rien dans la nature en dehors du manque et de l’atteinte Donc, si je me transforme en un dispositif de vos accomplissements, cela signifie que je vous donne sans réserve.

Ainsi, nous nous unissons: je me connecte avec vous, et vous pouvez faire la même chose avec à moi. Nous construisons l’endroit entre nous dans lequel nous pouvons révéler la Lumière supérieure, l’accomplissement ultime: vous de moi et moi de vous. C’est ce qu’on appelle la sensation de la vie spirituelle.
De la leçon 1, la convention en Espagne, 03.06.2011

Quel désir parle en moi?

Dr. Michael LaitmanQuestion: Comment puis-je clarifier de quel désir je dois me servir?

Réponse: Si vous n’internalisez pas le désir du groupe volontairement et consciemment, vous vivez sans doute selon les ordres de désirs étrangers. Vous suivez les ordres de la mode, les directives établies par les médias, et tout ce qui vous atteint des quatre coins du monde: «Allez là, pensez de cette façon, achetez ça, » et ainsi de suite.

Un seul désir est le vôtre: C’est lorsque vous faites appel au groupe et que vous voulez recevoir le désir de vos amis. Dans ce cas, vous êtes la personne qui choisit leur désir, et cela vous conduit à la révélation de votre âme.

En dehors de cela, vous n’aurez jamais votre propre désir. Seul le Créateur a un désir authentique qui a son origine à l’intérieur de lui même et n’a jamais été dans d’autre personne. Nos désirs viennent toujours de l’extérieur.

Par conséquent, mon choix est de décider à quel désir je donne la juste expression: une tendance vaine ou un désir particulier d’un groupe particulier, qui vise à une direction particulière. J’ai fait des efforts afin d’être imprégné de ce désir et de travailler selon lui. C’est mon seul choix. Le désir lui-même n’est jamais le mien à l’origine: il est soit apporté par les vents du monde ou acquis auprès du groupe, de l’environnement correct.

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale 06/06/2011, Écrits du Rabash

Un enfant intelligent jouant à donner

Dr. Michael LaitmanLa seule création est le désir, né « de l’absence » en vertu de la Lumière, et qui atteint peu à peu sa condition. Au début, il veut simplement profiter de tout, mais plus tard il commence à comprendre qu’il est totalement sous la domination de ce désir.

C’est ainsi que le désir grandit petit à petit jusqu’à ce qu’il réalise pleinement son opposition à la Lumière. La première fois, cela survient au cours de la 4ème phase de l’expansion de la lumière directe, dans l’état appelé Malkhout du monde de l’Infini.

La créature ne peut pas supporter cet état et se restreint. Cela la force à établir une nouvelle relation avec le Créateur. Elle se sent obligée de devenir comme lui et s’efforce de le faire, jusqu’à ce que toutes ses tentatives la conduisent à ce qu’ils pénètrent réciproquement l’un dans l’autre, ce qui est appelé « la brisure des désirs. »

Il nous semble que la rupture est quelque chose de négatif. Mais en réalité, c’est l’inverse. Grâce à cette brisure, la créature comprend son incapacité totale à être comme le Créateur.

Pour devenir un donneur et être semblable au Créateur dans l’état de rupture, il ne lui manque que des efforts. Plus tard, elle sera capable d’atteindre l’attribut du don et de s’élever d’un état bien pire. Cependant, elle doit d’bord faire l’expérience de la réalisation du mal, de la prière, du travail, des bonnes actions, et tant qu’elle n’acquière pas toutes ces choses, elle ne sera pas capable de devenir égale au Créateur et d’être comme lui.

Tant que la créature n’a pas obtenu le récipient spirituel, c’est-à-dire, tant qu’elle n’a pas obtenu la compréhension et ressenti son propre effort et la réalisation du désir, il est impossible de dire que la créature est semblable au Créateur. Un petit ne peut pas être un donneur. Il peut faire quelque chose de petit, jouer avec ses jouets. Mais s’il veut vraiment devenir comme un adulte, il doit développer une variété de sensations en lui-même.

Ainsi, après tout le développement spirituel et historique qui nous est donnée comme une préparation d’En Haut, on découvre que deux désirs sont coexistants au sein de nous-mêmes s: notre propre désir et un désir supplémentaire. Un être humain à l’intérieur de nous commence par ça. Le désir propre d’une personne, son désir naturel amène une personne vers les plaisirs qu’elle voit devant elle. Le désir supplémentaires l’attire vers des plaisirs spéciaux, des sortes de plaisir spirituel, mais elle ne peut pas ressentir que le plaisir et rien d’autre.

Nous percevons une personne de notre monde dans un corps matériel, un corps physique. Il ne s’agit pas de cela, mais il s’agit du désir la tirant dans deux directions. L’une de ces directions va vers ce que révèle les cinq sens d’une personne. L’autre est appelée « le point dans le cœur», et la personne ne sait toujours pas clairement où ce désir la conduit et même s’il vaut la peine de l’utiliser.

Dès que ces deux désirs se manifestent chez une personne, elle est alors appelée un homme. Grâce à ces deux états, elle peut devenir semblable au Créateur (Edome), c’est-à-dire qu’elle peut alors être appelée un homme (Adam du mot hébreu « Domeh » ou similaire). Il suffit à une personne de se renseigner sur les moyens, pour apprendre à utiliser ces deux désirs éveillés en elle.

L’un des désirs est vieux et est appelée un « vieux roi insensé », l’autre est nouveau et se développe comme un « enfant intelligent. » Si l’on veut les utiliser correctement, ce n’est possible qu’avec l’aide de la force supérieure. Ainsi, on ne peut pas avancer tout seul et on a besoin d’un mentor.

Tout est donné d’En-Haut: les individus sont amenés à la bonne place pour étudier; toutes les conditions nécessaires sont créées pour qu’ils puissent accepter cette guidance et l’utiliser. Tout est donné d’En-Haut, sauf l’effort que nous devons, nous, ajouter! Ces efforts construisent un être humain.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 07/06/2011, Shamati # 161

De la séparation à l’unité

Dr. Michael LaitmanLa société humaine est divisée en deux parties. Les personnes, dont le point dans le cœur s’est éveillé, et qui comprend une petite partie de l’humanité, c’est nous. Le reste de la population, qui n’a pas le point dans le cœur, mais un puissant désir égoïste se concentrant notamment en elle.

Deux forces, positives et négatives, agissent en nous. Nous avançons en créant un lien entre notre ego et le désir d’atteindre le monde spirituel, que nous développons à travers l’étude et les forces reçues de l’environnement. La connexion construite en combinant ces deux forces est appelée la ligne médiane.

Le reste de la population, comme la science de la Kabbale l’explique, se joindra progressivement à nous, sentant qu’il n’y a pas d’autre alternative : leur égoïsme, exigeant sans cesse satisfaction, va en souffrir. Au cours du développement humain, l’égoïsme de l’homme s’est constamment renforcé et travaillait dur pour se satsifaire autant que possible. Aujourd’hui, alors que l’ego de l’homme a perdu l’espoir d’obtenir satisfaction, il est confronté à une crise.

Cela encourage les gens à se rapprocher de nous, mais ils ne savent pas vers qui et comment ? Pour faciliter leur chemin, nous devons faire circuler la sagesse de la Kabbale et expliquer qu’il existe une méthode pour corriger la crise. Quand ils se joindront à nous, ensemble, nous commencerons alors à travailler sur la ligne médiane, et ainsi nous atteindrons le monde de l’Infini.

Quel résultat obtiendrons-nous ? Nous atteindrons l’éternité et la perfection. Nous nous éléverons au-dessus de notre réalité, au-dessus du point de la création de notre univers et de tout notre monde – vers la réalité supérieure.

Aujourd’hui, le point dans le cœur s’éveille chez beaucoup de personnes : elles sont déjà des millions. Et les personnes, dont le point dans le cœur n’a pas encore été révélé, ressentent la crise, en plus de l’égoïsme. Ils sentent qu’il leur manque la force positive, sans laquelle ils ne peuvent vivre. Ils savent qu’ils doivent corriger la crise, ils estiment que la solution se cache dans l’unité, mais ne comprennent pas comment la réaliser.

Dans un monde global et intégré, tout doit être unifiée ; ainsi que nous le montre la nature. Aujourd’hui, elle nous montre que nous devons atteindre le monde de l’infini, que nous sommes un tout. C’est précisément ce vers quoi la crise pointe secrètement et ce vers quoi elle nous oriente.

From Separation to Unity

Dans les personnes devant conduire l’humanité vers cet objectif, la crise révèle le point dans le cœur, une force positive, qu’elles peuvent obtenir dans un groupe et par l’étude. Avec son aide, elles peuvent se déplacer vers le monde de l’infini de façon indépendante. Et ceux, à qui la crise ne donne pas la force de s’unir, mais qui sentent qu’il leur manque cette force, vont progressivement obtenir des explications de ceux, qui ont le point dans le cœur éveillé, et ils se joindront à eux, pour ensemble viser le même objectif.

De la leçon 2, Convention en Espagne, 04/06/2011

L’unité du monde réside dans l’harmonie entre hommes et femmes

Dr. Michael LaitmanNous ne devrions jamais percevoir la relation entre les hommes et les femmes comme antagonistes. Au contraire, nous devons nous voir les uns les autres comme des aides. Si nous parlons de l’unité du monde, alors nous parlons tout d’abord du soutien mutuel de ses deux parties- masculine et féminine.

Ces parties proviennent de la racine commune de création : le Créateur ou la Lumière, et le désir ou le récipient rempli de Lumière. En outre, ce récipient passe par toutes sortes de formes de changement. Et à l’intérieur de ce récipient, chacun de nous – la partie mâle et femelle – doivent travailler ensemble solidairement, comme dans une famille idéale.

L’image collective commune de l’homme doit collaborer avec l’image collective commune de la femme. Ils doivent travailler ensemble, conjointement, mutuellement, et clairement, chacun comprenant la nature de chacun de nous. Un homme se comprend lui-même et la nature des femmes, tandis qu’une femme se comprend elle-même et la nature des hommes, et ensemble nous agissons judicieusement et à bon escient, comme des adultes instruits et sérieux aspirant à un but commun.

L’objectif est atteint grâce à la connexion entre nous. Il est écrit : «L’homme et la femme, et la Shekhina [présence Divine] entre eux. » C’est-à-dire, la révélation du Créateur a lieu précisément dans la bonne connexion entre eux, sur l’écran qui apparaît entre la Lumière et le désir. C’est ainsi que nous devons nous compléter les uns les autres, mutuellement et en permanence. Il n’y a aucun élément, aucun petit détail, pas un phénomène dans la nature, dans nos relations, dans notre monde et dans les mondes spirituels, qui n’ait pas de connexion mutuelle, d’union, et d’adhésion des parties mâle et femelle.

Dans notre monde, ce n’est pas du tout évident. Nous n’imaginons même pas cette connexion mutuelle, cette union, et cette adhésion. Mais dans le monde spirituel, il s’agit d’une condition nécessaire. Et selon le niveau auquel nous nous trouvons, ces niveaux sont précisément déterminés par la connexion mutuelle et l’union, jusqu’à ce que nous nous unissions.

Par conséquent, la bonne compréhension de notre travail commun est la condition la plus importante de notre succès. Je dirais qu’aucun problème ne peut être résolu séparément par les hommes ou par les femmes. Les problèmes sont toujours résolus l’un par l’autre, ce qui signifie que les problèmes des femmes sont résolus par les hommes, et les problèmes des hommes sont résolus par les femmes. Ce manque de compréhension, la conviction qu’il est possible d’exister séparément, «Pourquoi devrais-je m’occuper d’elles ! » (Généralement, c’est la façon dont les hommes perçoivent les femmes), et « Nous résoudrons tout par nous-mêmes et ferons tout nous-mêmes ! « Cette attitude que les hommes ont tendance à avoir est complètement erronée. Et, naturellement, de la part des femmes, il est également faux de croire que «les hommes feront quelque chose, ils vont tout régler, et tout sera en ordre, et nous recevrons quelque chose en étant à côté d’eux. »

Initialement, depuis la toute première étape, le contact doit être clairement interne. Il ne doit pas être extérieur, physique, visuel, ou même verbal, mais précisément un contact intérieur, qui se produit par la force supérieure, par le niveau suivant, au lieu d’être directement entre nous. Alors ce degré supérieur sera exprimé à l’intérieur de cette unité. C’est comme un moins et un plus, et une sorte de résistance ou de dispositif entre les deux, qui commence à travailler précisément de cette manière, en vertu des pôles qui sont connectés à lui.

De la 2ème leçon à la Convention de Moscou 10/06/11

Le bénéfice du doute

Dr. Michael LaitmanQuestion: Le point dans le cœur attise le doute dans une personne: «Qui et quoi suis-je? Que vais-je vivre? « Y a-t-il un point sur ​​le chemin spirituel quand une personne cesse de douter du Créateur et de Son plan, ou faut-il l’accompagner jusqu’à la fin?

Réponse: Des doutes vont sûrement apparaître tout le long car sans eux, il est impossible d’avancer et de s’examiner. Douter est un état ​​où tout est possible dans n’importe quelle direction, quand vous ne pouvez pas révéler l’ange de la mort à l’ange de la vie, le bien du mal, et le Créateur de Son opposé.

A chaque nouveau degré, dans chaque état, vous êtes censé passer à travers les Etats qui reflètent l’entier chemin, y compris le pire et le meilleur dans l’esprit et le cœur. Sans doute comme état ​​intermédiaire, nous ne réussirions pas.

Comme il est écrit: « . Et il y eut un soir et il y eut un matin, un jour  » Chaque nouveau degré commence par une soirée, ce qui signifie de l’assemblage de choses que je ne peux pas révéler: « Cela ressemble à la lumière, mais ce n’en n’est pas …. Il semble que je suis dans les ténèbres, mais ce n’est pas si sombre ». « Tout est flou à mes yeux. »

Ainsi, lorsque vous tombez dans la confusion et le doute, vous devriez savoir qu’un nouvel État approche: « . Tout est brumeux à nouveau, j’ai oublié, même les choses les plus simples que j’ai apprises, ou il n’y a rien que je puisse tenir  » Voici comment vous passez d’un degré à l’autre. Profitez de ce passage.

 

De la 4e partie de la leçon quotidienne Kabbale 07/06/2011, Écrits du Rabash

L’écran révélant le Créateur

Dr. Michael LaitmanQuestion : Dans les conventions à venir, que devons-nous demander, si nous voulons que le Créateur se révèle ?

Réponse : La révélation du Créateur est l’amour et le don, qui se dévoilent entre les êtres humains. Dans cet attribut, nous trouvons notre source, la force supérieure qui nous a créés, et nous le percevons à l’intérieur de nous-mêmes.

 

Ainsi, le nom du Créateur est « Boré, signifiant « Bo ou Ré » ou « viens et vois »,  découvre. Vous découvrez le Créateur en vous-mêmes, dans vos attributs corrigés. Ils servent d’écran, de moniteur, où vous pouvez trouver votre monde.

De la leçon virtuelle sur les fondements de la Kabbale 29/05/2011