Category Archives: travail intérieur

Qu’est-ce qu’un besoin spirituel?

Dr. Michael LaitmanQuestion: Qu’est-ce qu’un besoin spirituel?

Réponse: Un besoin spirituel est le sentiment à l’intérieur de moi, que je manque d’aspiration pour le prochain, pour le Créateur. C’est la sensation d’être toujours sans connexion avec l’intérieur du système, que j’imagine comme étant notre volonté commune, un cœur uni « comme un seul homme dans un seul cœur. »

Je suis tourmenté pour connaître à quelle distance je me trouve encore de cet état et de la révélation du Créateur, à l’intérieur de ce cœur commun. C’est exactement sur ce point, que doivent porter toutes mes souffrances. Et je dois sans cesse essayer de vérifier et de voir à quel point j’aspire à cela  et à quel vitesse je désire atteindre cela.

De toute évidence, l’environnement doit m’aider à faire cela. Il doit être imprégné par l’atmosphère d’une recherche spirituelle commune, où simplement, nous nous évertuons tous à atteindre cet objectif. Et cela n’a aucun rapport, avec ce qu’il nous arrive dans notre vie ordinaire en ce monde. C’est une aspiration intérieure très profonde et une voie intérieure pour vérifier une personne et le groupe.
De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 28/4/11, Écrits du Rabash

Le début de la naissance

Dr. Michael LaitmanJe pense que les jours d’union pendant la Pâque se sont très bien passés pour nous. Dans l’essentiel, nous avons révélé un moment très important dans le développement spirituel de l’homme, qui marque le début de sa naissance spirituelle, le début de la sortie hors de l’exil spirituel: Le «lieu» de l’unité du groupe, des amis, fut découvert en chacun de nous.

Cette sensation spirituelle du lieu unique doit se développer. Il s’agit de la nouvelle réalité. Quand une personne ne renonce pas à se préoccuper de ce «lieu», elle  accomplit rapidement des progrès pour sa réalisation. A la fin, il va devenir le lieu de la révélation du Créateur et se développera davantage en un point d’union complète entre l’être créé et le Créateur: le monde de l’Infini.

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale 24/04/2011, «parler à mots couverts »

Vous souhaitez connaître le Créateur ? marché conclu!

Dr. Michael LaitmanIl est nécessaire de comprendre que nous sommes face au Créateur, force qui est bonne et qui fait le bien, et qu’il n’y a rien hormis Lui. Que lui demander? Il vous traite bien à 100% et ne change pas. Que pouvez-vous lui demander, qu’il vous traite bien à 101%?

Notre prière pour le Créateur est en fonction du développement de nos organes sensoriels. Puis, en reformant notre désir, en le moulant constamment dans une forme plus correcte, nous atteindrons un état où nous connaîtrons le Créateur dans toute sa totalité, dans sa forme authentique. Ceci est considéré comme une prière, nous permettant de connaître le Créateur.

Nous ne commandons aucune action du Créateur. Après tout, il est «l’un, l’unique et unis » et « il n’y a rien hormis Lui. » On peut dire qu’Il agit en permanence ou pas du tout, alors que nous résidons en Lui et c’est tout; Il ne change pas. Tout dépend de notre façon de voir le Créateur.

Ainsi, prier, en hébreu, signifie «se juger soi-même. » Nous nous jugeons ou changeons, et grâce à nos transformations internes, nous ressentons une toute nouvelle et autre réalité. Ainsi, on parle toujours des désirs (Kelim), tandis que la lumière, ou le Créateur, est au repos absolu.

Par conséquent, une prière pour le Créateur reflète uniquement à quel point je me suis corrigé et à quel point j’ai acquis de nouveaux organes de  perception, dans lesquels j’atteins la révélation de « Il n’y a rien hormis Lui, le bien qui fait du bien. » Et aucune action ne dérive jamais du Créateur.
De la 1ère partieu cours quotidien de Kabbale 26/04/2011, Shamati n°1

Avant la percée désirée

Dr. Michael LaitmanIl est écrit que tout le monde traverse la mer Rouge: hommes, femmes, personnes âgées, enfants, bétail, etc. Nous aussi, nous devons rassembler toutes nos forces, chacun d’entre nous et tous ensembles. Si nous mettons en avant cet effort, nous entrerons avec certitude dans le royaume spirituel.

Il n’est jamais arrivé auparavant et cela n’arrivera jamais qu’une personne soit prête pour l’exode. En effet, l’exode d’Egypte est un coup du Ciel, qui nous prend d’un endroit et nous transporte à un autre. Une personne ne peut pas identifier cet état à l’avance et n’a aucune chance de l’atteindre de manière indépendante. Cela n’est pas mesurable ni prévisible.
Nous avons seulement besoin d’unir nos forces et de faire pression, de pousser, jusqu’à ce que cela survienne. De plus, cela se produira sans avertissement, avec force, «dans la hâte». Cela peut arriver demain, après-demain ou dans une semaine, ce n’est pas important. Nous devons seulement anticiper le salut, et nous l’acquerrons.

Laissez-moi plonger dans le passé, dans l’enfer égyptien, encore et encore, sans percevoir aucun progrès. Que les efforts exercés à l’instant tombent à l’eau, que je me sente à nouveau faible et désespéré! Laissez-moi encore rassembler mes forces à chaque fois, afin d’aspirer à l’union. Malgré tout cela, je dois continuer à essayer avec de plus en plus de hargne.

Baal HaSoulam écrit qu’un vrai désir, de valeur et inébranlable se construit progressivement. En surmontant les difficultés, nous atteignons finalement une force, qui tire notre désir comme une flèche et qui reçoit une réponse. C’est la seule façon d’échapper à l’égoïsme.

Par conséquent, ne pensez pas que nous travaillons pour rien. Pas du tout. C’est juste que nos efforts s’accumulent et finissent par produire un résultat. Nous devons seulement certains que nous réunissons nos efforts,  pour qu’à la fin, ils atteignent la dimension nécessaire et nous rapprochent de la percée souhaitée.

Je pense que nous sommes très proches. Nous devons seulement l’anticiper à chaque instant.

De la discussion pendant le repas de fête 22/04/2011

Au seuil de la porte

Dr. Michael LaitmanQuestion: Que veut signifie «les secrets de la Torah »?
Réponse: Un «secret» est quelque chose, que je ne peux pas révéler, même si je sais pertinemment qu’il existe. J’ai la sensation d’un « secret ».  Lorsque je me trouve au seuil de quelque chose de nouveau, avant d’ouvrir la porte.

A part cela,  sans rapport avec moi, « les secrets de la Torah » sont les lumières cachées par Atik. Ils sont dans la tête de Arikh Anpin, sous la forme d’une sagesse cachée. Ces lumières sont cachées parce qu’en ce moment, nous n’avons pas d’écran sur eux pour nous permettre de les discerner. Cependant, pour moi, ils ne sont pas des secrets, parce que je ne les ressens pas.

Le vrai secret est l’écran que je ressens. Par exemple, l’exil est l’anticipation du salut, qui est ressenti comme extrêmement nécessaire, mais pas encore acquis. A l’intérieur de la sensation même de vacuité, je dessine déjà les contours de l’accomplissement futur. Cela signifie se sentir en exil: je comprends et ressens ce que je veux, et tout ce qu’il me manque est la mise en œuvre.

C’est aussi vrai concernant le «secret»: je sens qu’il me manque l’attribut du don, pour qu’à l’intérieur de sa lumière de Hassadim, je puisse révéler la lumière de Hokhma. La connaissance que fait que cette lumière me soit cachée.

De la 4e partie du  cours quotidien de Kabbale 4/26/11, «parler à mots couverts »

Mettez-vous dans la peau d’un autre

Dr. Michael LaitmanQuestion: Quand on soulage la souffrance de quelqu’un l’éloigne-t-on ainsi de la spiritualité?

Réponse: Il semble que la personne souffre moins, mais alors elle ne se demandera pas pourquoi la souffrance existe. Est-ce à dire que si je souhaite du bien aux gens, je dois les forcer à souffrir?
Fondamentalement, le commandement principal de la Torah est «aime ton prochain comme toi-même. » Il suffit de vous mettre dans la peau de cette personne. Par exemple, pensez à ce que vous feriez si c’était votre jeune enfant adoré? Ainsi, vous ferez le bon choix.
De Leçon 7,  03/04/2011 Convention WE

A propos des conventions virtuelles et de la vraie connexion

Dr. Michael LaitmanQuestion: Au sujet de la prochaine convention à Moscou, vous avez dit que c’était le moment de nous habituer à des congrès virtuels et à sentir une plus grande connexion assis derrière des écrans d’ordinateur. Qu’est-ce que cela signifie?

Réponse: Les conventions représentent un bond en avant. Mais en plus d’elles, nous devons maintenir le lien entre nous quotidiennement et constamment l’améliorer. Grâce aux conventions, nous créons des impulsions à l’union, et entre les intervalles, il est essentiel de maintenir une connexion permanente et de la renforcer de jour en jour.
Il n’y a pas d’autre choix, nous devons parvenir à un monde « rond », globalisé et intégral. Il ne s’agit pas de simples mots. Nous ne pouvons pas rompre la connexion après les trois jours de la convention, la connexion doit être à la base de l’agenda quotidien du monde. C’est ce que nous devons faire.

Par conséquent, nous devons cultiver de telles relations entre nous, qui nous permettront de maintenir la connexion même virtuellement, sans nous voir, ni nous entendre les uns les autres. C’est pourquoi Internet a  été créé en premier lieu: Il est destiné à aider le monde entier à se lier dans une interconnexion totale et à passer de l’union physique, à une virtuelle, puis à une union spirituelle. Et nous sommes sur cette voie médiane.

Par conséquent, je suggère que nos futures conventions devraient être petites, pour environ mille ou deux mille amis se réunissant dans la même région. Et le reste y participerait virtuellement, cela ne leur portera pas préjudice. Au contraire, tout le monde vivrait dans un état collectif, et les participants «virtuels» ne  ressentiraient pas la moindre difficulté à s’unir aux participants se trouvant sur le site physique.

Cela nous permettrait d’avoir de nombreuses conventions durant l’année, et d’ailleurs, nous pourrions maintenir un lien indissoluble chaque jour de l’année. Arrêtons de dépenser beaucoup d’argent pour deux énormes conventions annuelles, après lesquelles nous ressentons encore une chute et une descente dans l’état antérieur. Je désire transférer l’importance d’une convention physique à une convention interne, et de la convention interne à une interconnexion intérieure quotidienne. C’ est extrêmement important. Sinon, nous ne serons pas en mesure de construire le lieu de la révélation du Créateur entre nous.

De la 4ème partie du cours quotidien de Kabbale 18/04/2011, Lettre n°10 Baal HaSoulam

Quatre cents ans à la montagne de la haine

Dr. Michael LaitmanQuestion: Toutes nos intentions vont-elles directement dans la bouche du Pharaon, pour le nourrir?

Réponse: Tout dépend des intentions. Pharaon est une force spéciale, l’ego qui se dévoile par opposition à la Lumière. C’est une réserve d’égoïsme, le désir de recevoir, que nous devons construire.

Dans la sagesse de la Kabbale, il n’y a pas de «Pharaon» sans «Israël», c’est-à-dire il n’y a pas d’acharnement du Créateur à l’égard de l’homme, qui s’efforce de s’unir avec les autres et à atteindre l’attribut de don. Ainsi, dans la mesure de son aspiration vers l’attribut du don, une personne construit Pharaon, cultive en lui-même ses désirs (Kelim), d’où plus tard, il fuira et qu’il corrigera par la suite, recevant ainsi une récompense.

Tout le travail en Egypte est d’organiser Pharaon et de le faire grandir, de le rendre puissant et riche, c’est-à-dire  accroître notre ego en partant du minuscule point de notre égoïsme naturel jusqu’au statut du Créateur. Après tout, qu’est-ce que tout cet égoïsme nous donne? Il nous donne les désirs de nourriture, de sexe, d’argent, de célébrité et de connaissance, un petit ego de notre monde, un ego corporel, qui n’a rien à voir avec la spiritualité. Cet ego terrestre n’a même pas besoin de correction.

En commençant à travailler sur notre union, nous découvrons le ressentiment, la séparation, l’indifférence à notre union. Essentiellement, c’est la révélation du mal, mais seulement si une personne le voit comme tel. Après tout, elle peut dire qu’elle ne peut pas s’unir avec les autres et que ce travail n’est pas pour elle, avant même de l’entreprendre. Et certaines commencent, mais s’affaiblissent, tombent, et «meurent en terre d’Egypte. »

Mais il y a des personnes qui le supportent, en comprenant qu’il n’y a pas d’autre choix. Elles ne cessent de faire des efforts, encore et encore, bien qu’elles voient qu’elles continuent de perdre. Et elles essaient, autant que possible, de s’unir avec les amis, de renforcer le groupe, et en dépit de leurs efforts, elles voient que rien ne fonctionne. Au contraire, elles éprouvent le désir de critiquer les amis et de les éloigner tous d’elles. Et une fois de plus, elles surmontent ce flash d’égoïsme.

Ainsi, à chaque fois, tout ce qu’une personne a obtenu, tous ses efforts sont consommés par son ego, Pharaon, qui grandit et se réjouit. Une personne construit elle-même en son sein tous ces attributs, mais par ses propres efforts. Ensuite, elle arrive à l’état où elle ne supporte plus son ego. Et c’est à ce moment qu’elle reçoit tous les récipients de Pharaon (Kelim), tous les désirs.

En d’autres termes, l’exil égyptien commence seulement avec les efforts de la personne vers l’union avec les amis. En fait, que méritent Israël après leur fuite d’Egypte, d’où le Créateur les libère? Ils méritent l’union au Mont Sinaï (la montagne de la haine), tous comme «un homme dans un seul cœur, ne serait-ce que pour un instant, jusqu’à ce qu’ils sculptent le «veau d’or » et tombent encore une fois. Mais ces chutes sont d’une autre nature maintenant, dans l’or qu’ils ont transporté d’Egypte, dans les « récipients égyptiens» emportés avec eux, afin de les séparer d’eux et de les corriger.

Mais encore, que veulent-ils pendant toutes ces années d’exil? Ils voulaient créer l’union entre eux qu’ils ont finalement atteint au Mont Sinaï. Et sans ces efforts incessant en vue de résister au Mont-Sinaï, les «400 ans d’exil égyptien » ne seraient pas passés pour vous.
De la 2ème partie du cours quotidien de Kabbale 21/04/2011, Le Livre du Zohar

Avancer de l’opposé

Dr. Michael LaitmanNotre désir commence à prendre la forme correcte. Nous désirons nous unir, pour révéler une traction vers l’unité à l’intérieur de chaque personne, malgré l’égoïsme. Ceci est très important: En dépit de mon égoïsme, je fais des efforts pour aspirer intérieurement vers les amis et me rapprocher d’eux, pour les garder tous dans une étroite connexion, comme les gens qui me sont proches en pensée et par le but.

La chose la plus importante pour moi est maintenant de pouvoir leur faire confiance: Si nous sommes unis, ils s’assureront alors que je n’oublie pas notre chemin et que je devienne seulement plus fort dans la consolidation commune.

J’aspire à m’unir avec les amis et j’espère que cette aspiration va me permettre de recevoir d’eux un désir insatiable d’unité. C’est tout ce qu’il faut. Dès le début et jusqu’à la fin de la correction, c’est la seule chose qui nous soit demandée.

C’est pourquoi il est écrit qu’aimer son prochain comme soi-même, est la règle générale résumant toute la Torah. Il n’y a rien de plus que cela, et nous devons prendre notre chemin uniquement dans cette direction. A quel point, cela nous répugne n’est pas important. Si nous voulons réaliser le programme de la création de manière accélérée, alors il n’existe qu’une possibilité: partir de l’opposé, de l’état ​​le plus odieux et répugnant, et de là, marcher vers l’amour du prochain.
De la 1ère partie du cours quotidien de e Kabbale 21/4/11, Écrits du Rabash

Mission possible

Dr. Michael LaitmanLa célébration de Pessakh (Pâque) est un moment privilégié. C’est comme si nous étions enveloppés dans un brouillard subtil causé par l’épuisement et que nous sortions de notre état habituel. C’est un moment privilégié dans le monde entier, quand les Lumières Environnantes font le travail selon l’ordre découlant de la loi de la branche et de la racine.Par ailleurs, nous entrons dans la fête qui se rapporte directement à nous. Il n’y a pas de racine spirituelle plus proche et plus vitale pour nous que Pâque. C’est tout ce que nous voulons. Après être sorti de l’égoïsme, nous devons à plusieurs reprises nous rappeler l’exode d’Égypte et le corriger, encore et encore sur tout le chemin restant, jusqu’à la fin de la correction. Après tout, nous devons nous séparer complètement de l’Egypte, au point de le transformer en son contraire: le don sans réserve.

À ce moment, nous pouvons faire un bond, et c’est notre tâche pour le moment. Cela n’a pas d’importance si nous sommes petits et que nous ne comprenions pas tout. Et c’est normal que nous manquions de quelque chose, ce sera toujours ainsi. Le sentiment de l’obscurité, de l’enchevêtrement, de la confusion des sensations et de l’esprit, tout cela est nécessaire. Nous devons être distraits -cela est fourni en abondance. Nous nous sentons tous confus, stupéfaits, affaiblis et ainsi de suite, tout le monde veut juste dormir. C’est le meilleur état, l’état optimal pour nous.

Mais dans le même temps, nous devons exercer strictement des efforts vérifiés et précis destinés à notre union. Si vous tombez de sommeil, dormez, mais avec une intention correcte. Même dans cette action, vous devriez communiquer avec les points dans le cœur, puis dériver dans le sommeil, tout en maintenant la connexion interne les uns avec les autres. La singularité doit être « pressée à travers ». Allez à l’intérieur, en dépit de votre somnolence, et vous commencerez à recevoir l’éveil venant des autres.

Chacun d’entre nous manque d’inclusion mutuelle. Si je suis connecté avec tous les autres et eux avec moi, cela me donne la force de centaines de milliers de personnes. C’est le résultat de la garantie mutuelle. Si nous ne l’employons pas, nous ne réussirons pas. Nous devons nous motiver pour la réalisation de l’unité.

Ce soir, partout dans le monde, on va s’asseoir ensemble à la table de fête, et nous ne nous concentrerons pas sur ce que nous mangeons et buvons, non sur le dîner de la Pâque en tant que tel. C’est tout simplement une tradition, mais ce qui importe vraiment est de savoir si nous avons l’intention de nous élever au-dessus de notre égoïsme vers l’amour et l’unification.

C’est ce que l’exode d’Egypte signifie. Et le reste c’est seulement des interprétations. Tous les attributs de fête ne sont pas plus que des signes, les symboles d’un effort unifié. Si je me mets la pression avec tous les autres, ce faisant, je passe par toute la fête de Pâque. Elle se révèle à moi.

Par conséquent, nous avons besoin d’un puissant réveil maintenant. Et nous sommes vraiment capables de faire une percée. Après tout, nous assistons à la façon dont la force supérieure nous pousse en avant, organise en permanence, et tend vers nous. Maintenant, il faut pousser de notre côté, et je ne vois pas d’obstacles à cela. Des sensations un peu floues -est-ce vraiment Pharaon?

N’attendez pas que cela devienne facile à un moment donné. Nous devons toujours aller contre les désirs et les pensées. Le sommeil va continuer à tomber sur vous, une affaire urgente vous distraira, et la confusion restera toujours. Telle est la voie.

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale du 18/04/2011, Lettre n°10 du Baal HaSoulam