Tout est déterminé par le degré humain

Dr. Michael LaitmanAu niveau animal, nous transplantons et clonons des organes ;au niveau végétal , nous employons les nouvelles technologies agricoles .Si nous n’avions pas modifié génétiquement les produits que nous cultivons nous n’aurions pas beaucoup à manger.

Dans le passé, les fruits et légumes pourrissaient en quelques jours, mais aujourd’hui, vous pouvez utiliser une tomate pour jouer au football avec et la manger une semaine plus tard. Malgré tous les inconvénients, il faut bien comprendre que cela sert à sauver le monde. D’une part nous avons «corrompu» ce que la nature a créé, de l’autre, nous effectuons une correction.

Par conséquent, aux niveaux minéral, végétal et animal nous  parvenons à rendre la vie plus confortable et agréable pour notre égoïsme. En effet, nous pouvons modifier les niveaux antérieurs de l’évolution pour  les adapter à nos besoins en créant un environnement confortable. Nous ne vivons plus dans des cabanes dans les d’arbres, des tipis, et les igloos, mais nous construisons des maisons avec des systèmes de chauffage et d’électricité pour nous-mêmes. Nous modernisons les premiers stades et voyons combien c’est bénéfique pour nous. Mais le bénéfice expire lorsque nous transférons notre approche au niveau de «l’homme».

Les gens ne voient pas cette frontière, tandis que sur le plan humain, nous n’avons pas les moyens pour corriger la situation. Par conséquent, en employant les mêmes méthodes, nous détruisons tout. En ne corrigeant pas le degré de l’homme, nous provoquons la corruption dans les échelons inférieurs. En conséquence, bien que nous pourrions réussir, dans une plus grande mesure nous ne le faisons pas, et la situation s’aggrave.

En essayant comme nous pourrions d’améliorer et moderniser notre vie, nous en souffrons tout de même. Après tout, le degré de l’homme en nous est au-dessus de tous les autres, ce qui entraîne leur chute sous sa pression. C’est pourquoi le Baal HaSoulam écrit dans l ‘«Introduction à la sagesse de la Kabbale », il ne sert à rien de prendre en considération les échelons inférieurs, car ils montent et descendent en même temps que l’homme. En outre, cela n’implique pas la plupart du temps le monde extérieur, mais surtout nos degrés internes de développement.

De la 4 ème partie du cours quotidien de kabbale du 22/12/2010, « La paix »

Que signifie s’unir avec le Créateur ?

Dr. Michael LaitmanQuestion: Que signifie s’unir avec le  Créateur ?

Réponse: Avec l’aide des amis et de l’étude, en raison de la Lumière environnante , j’obtiens l’aspiration pour le Créateur, le désir de Lui donner sans  réserve, pour être dans le don sans réserve, déconnecté de moi-même de sorte que ce n’est plus mon «moi», et je suis tout entier dans cette propriété du don sans réserve . Puis, je découvre que je deviens semblable à Lui, car Il est le désir même du don sans réserve, pas un corps, ni un objet ou une  entité.

Ainsi, le Créateur commence à me paraître de plus en plus comme étant la propriété de la force du don sans réserve régissant l’Univers. Et quand je m’élève au-dessus de moi et sors de moi-même, je découvre que, en l’essence, je suis une force, un désir, l’aspiration elle-même. Et puis je perds le sentiment de mon corps, et je pense qu’il y a seulement deux désirs mutuels : le Sien et le mien.

De la 1 ere partie du cours quotidien de Kabbale du 09/02/2012, Shamati N°16

Êtes-vous prêt à donner sans réserve?

Dr. Michael LaitmanA la fin du chemin spirituel, nous découvrons l’amour. Une expression de l’amour est le don sans réserve.

Si je découvre l’amour envers moi-même, alors je fais l’expérience la haine envers l’autre. Je cherche une occasion de me faire plaisir partout, peu importe aux dépens de qui. Je prends en compte les autres seulement quand c’est nécessaire. Ainsi, d’abord nous nous aimons puis nous haïssons les autres.

Puis, je commence à travailler dans le groupe, à étudier, à m’impliquer dans la diffusion, et à attirer ainsi la Lumière qui ramène vers le bien. C’est seulement Elle qui me change et m’améliore. Maintes et maintes fois, je change jusqu’à ce que soudain je commence à sentir le respect pour la qualité du don sans réserve.

Puis, je dois relier cette propriété au groupe d’amis, car elle est réalisée entre eux. C’est déjà la prochaine étape: ici, j’ai besoin de travailler contre mon égoïsme. Maintenant, il ne suffit pas d’être inspiré par la Lumière supérieure. Oui, je voudrais donner sans réserve, et c’est merveilleux, cela ajoute du carburant et élève, mais si vous le voulez vraiment, essayez de le montrer dans le groupe, dans vos relations avec vos amis.

« Oui, je suis prêt! J’ai déjà une bonne attitude envers eux! »

« Vraiment? Voyons. Tout d’abord, combien de fois les oubliez-vous ? »

En effet, dans la vie quotidienne, si j’aime quelqu’un, je pense à lui tout le temps. Une mère n’oublie pas son bébé: il est constamment dans ses pensées, ses sentiments. Voici un test pour vous: combien de fois par jour vous souciez-vous du groupe d’amis et de leur unité? Combien de fois voulez-vous vous sentir en relation avec eux afin de révéler la Lumière qui corrige et le désir d’aimer?

Rappelez-vous, vous avez besoin de mettre tous les morceaux ensemble: le désir d’aimer et le groupe.

De la  4 ème partie du cours quotidien de Kabble du 09/02/2012, « Introduction à l’étude des Dix Sefirot »

Le contour du monde opposé est à l’horizon

Dr. Michael LaitmanQuestion: Comment combinez-vous « la foi au dessus de la raison» et le principe selon lequel« vous ne pouvez juger que ce que vos yeux voient »?

Réponse: Vous ne devez fonder votre évaluation critique que sur vos sensations réelles, comme il est écrit: «Un juge ne ​​juge que ce que ses yeux peuvent voir » et non pas sur ce qui est écrit que je pense, ce qu’on m’a appris, ou ce que quelqu’un a dit. Qu’est-ce qui importe, c’est ce qu’une personne ressent dans ses désirs et ce qu’il comprend avec son esprit.

Il s’agit de notre fondation: je n’ai pas plus que ce que je ressens maintenant. Et maintenant j’ai besoin de voir comment je peux m’élever au-dessus. C’est parce que toute croissance spirituelle est fondée sur l’élévation à un nouveau degré à chaque fois. Mais comment puis-je passer à un nouveau degré? Dans la vie matérielle nous montons les degrés grâce à nos désirs égoïstes et des pensées plus profondes, plus compréhensives, en d’autres termes par la croissance du cœur et de l’esprit. Mais quand il s’agit de l’ascension spirituelle ce qui importe n’est pas la croissance quantitative, mais des qualités élevées.

C’est pourquoi je ne travaille pas sur la croissance de mon esprit et de mes sentiments. Je ne cherche pas à sentir plus et à mieux comprendre dans mes études et dans la vie ordinaire. Ce n’est pas que je me limite ; ce n’est tout simplement pas la direction que je vois pour moi-même. Après tout ce que je veux c’est acquérir une nouvelle qualité qui n’est pas à l’intérieur du vieux cœur et du vieil esprit.

J’ai besoin d’un cœur et d’un esprit différents ! C’est comme deux images différentes. Le cœur et l’esprit qui opèrent dans la nouvelle image du monde, prennent en charge autrui, même si je ne sais pas encore ce que c’est. Mais dans  la vieille photo c’est l’inverse, je ne prends soin que de moi.

Et ces deux images ont un droit d’exister absolument égal. Mais j’ai besoin de révéler cette deuxième photo, la seconde réalité. Et il est impossible de l’imaginer jusqu’à ce qu’elle se révèle. Nous ne faisons que nous préparer pour cela. La Lumière nous vient de cette image nouvelle, selon les efforts que nous faisons pour l’atteindre à partir de notre position précédente. Cette Lumière forme progressivement la capacité pour nous de commencer à distinguer cette image de loin et peu à peu imaginer ce que c’est. Mais ce qui se passe là que nous appelons la «connaissance supérieure», au-delà de notre esprit, comme il est écrit: «J’ai vu un monde opposé ».

De la 1 ere partie du cours quotidien de Kabbale du 09/02/2012, Shamati n°16

Comment sortir de la « cage » des stéréotypes ?

каббалист Михаэль ЛайтманQuestion: La plupart des gens ne sont pas en mesure d’exprimer leurs désirs et leurs pensées. Ils ont seulement un ensemble des clichés donnés. Une personne ne pense pas à l’expression de soi, elle pense plutôt à ne pas parler trop.

Dans le cadre d’une éducation intégrale, nous pouvons parler de l’importance de l’auto-expression, parce que tout ce que je pense, tout ce que je ressens, tout ce que je crois et vois est plus important que l’ensemble de stéréotypes et de clichés?

Réponse: Je m’approche du monde, en voyant tous les gens avec des œillères: ils sont fermés, ne veulent pas s’ouvrir aux autres, ils ont peur de s’ouvrir, parce qu’ils reçoivent un impact négatif.

À cet égard, il faut les laisser en paix. Que chaque homme vive en lui-même, comme il est. Pas besoin de le briser, de le tirer de sa « cage », s’il résiste. Il ne veut pas sortir, et nous, on a ouvert la porte, et on le tire de sa « cage ». Et lui, il se bute.

Ce n’est bon pour personne. En faisant cela on provoque la résistance, les gens ne vous font plus confiance. On envahit la vie privée d’une personne: on ne la facilite pas, on ne l’améliore pas, on ne fait que la compliquer. Il se cachait toute sa vie, il sait que s’ouvrir aux autres – cela signifie s’exposer à des impacts négatifs.

Qu’est ce qu’on peut faire? Il faut créer un niveau intégral général à l’extérieur, en dehors de nous, et alors on peut se mettre facilement à ce niveau. Je reste avec moi-même, avec mes qualités, et en même temps je me relie avec les autres dans ce niveau général. Je peux parler de l’amour universel, de l’interaction, de la garantie mutuelle, car ils ne sont pas égoïstes. Pour le moment, nous ne parlons pas d’égoïsme.

C’est comme si on les emmenait dans un voyage en vaisseau spatial magique, et ils participent à ce jeu. Ils sont d’accord pour jouer, pour se lever, pour parler. Cela ne les oblige pas de s’ouvrir aux autres, ne les oblige pas de s’exposer à des impacts négatifs, aller à l’encontre de leur égoïsme.

Donnez-leur de ressentir cet état graduellement, d’exister un peu dans cet état. Laissez-les  se réchauffer, se fondre en lui un peu, sentir les uns les autres, pour qu’ils puissent comprendre que c’est possible. Alors, ils commenceront à se changer eux-mêmes.

Ils découvriront soudain qu’ils n’ont pas besoin de prendre soins de la « cage », dans laquelle ils existaient, où ils se cachaient toute leur vie. Elle a cessé d’être importante pour eux. Mais ça, ils vont le décider eux-mêmes.

Question: Alors, de quoi parler avec les gens?

Réponse: Parler des objectifs communs, de ce qui nous attend. Il faut donner de l’importance à  l’objectif, d’être attirés par des changements positifs qui nous attendent et  ne pas être poussés en avant par malheur!

Une personne se développe lorsqu’on la nourrit, quand on prend soin d’elle. Alors elle devient « grassouillette » comme un enfant, et elle grandit. Elle a besoin d’impressions positives.

D’une «Discussion sur l’éducation intégrale » n°8, 15.12.2011

D’une graine sèche à un arbre fruitier

каббалист Михаэль ЛайтманUne personne passe par différentes étapes dans son développement spirituel. Au début, tandis qu’elle est au niveau minéral, une personne n’est pas capable d’une action indépendante, elle ne comprend pas où elle est ; par conséquent, elle s’inclut dans le groupe et commence à effectuer son développement.

Quelques années passent jusqu’à ce qu’une personne se rende compte que sa participation active est requise. Il y a du travail pour elle et elle a besoin d’être active. Elle doit toujours clarifier dans quelle direction  elle se dirige. A partir de ce moment-là, elle avance du niveau minéral au niveau végétal. Elle commence à grandir  comme résultat de prendre soin d’elle-même, de la connexion avec d’autres, de suivre les conseils de l’enseignant, et d’accorder une attention particulière à sa trajectoire.

Elle se soumet à l’influence de l’environnement parce qu’elle se rend compte qu’un groupe n’est pas seulement un rassemblement de personnes, mais qu’il possède une force intérieure unique, dont elle a besoin pour se développer. Elle devient une «plante» et le groupe devient son «sol», dont elle puise la force pour se développer et de plus se comprendre elle -même dans le groupe. Elle se rend compte que seul un arbre adulte peut produire des fruits et que l’arbre ne peut croître que si une personne s’inclut dans le groupe.

En grandissant, elle souhaite recevoir les fruits, qui sont la connexion, l’amour, et la révélation de la force du don sans réserve mutuel, où le Créateur se révèle. Pour le moment tout est sur le plan végétal.

Puis il y a le niveau animal. C’est à ce moment qu’une personne peut influencer les choses et prend partiellement sur  elle de s’occuper de la connexion entre tout le monde. Elle n’est plus un «arbre» ​​qui est collé au sol et qui est passif par rapport à la personne qui prend soin de lui.

Le niveau humain dans un être humain est l’endroit où l’on prend soin de l’arbre. Mais le niveau animal au sein d’un humain est plus qu’un arbre, car il s’efforce aussi de croître et de participer activement à l’ensemble du système. Une personne voit les défauts généraux et tente de les corriger. Elle voit non seulement la façon de se corriger et de s’inclure elle-même passivement dans le système, mais aussi voit comment aider les autres; ainsi, elle entre dans les connexions générales et les corrections. Cela peut être attribué au niveau animal.

Le niveau humain est là où l’on adhère au Créateur en tant que résultat de ses actions. Ainsi, il s’avère que la base de notre développement est de prendre soin de l’«arbre»

Il suffit principalement de diviser votre vie en matériel et spirituel. Vous devez donner à la matérialité ce qui est nécessaire, ni plus ni moins, et donner le reste à votre travail spirituel sans aucune limite.

De la 1 ere partie du cours quotidien de Kabbale du 08/02/2012, Écrits du Rabash

La correction n’est pas pour nous, mais pour le monde

Dr. Michael LaitmanQuestion: Faut-il se sentir responsable pour le monde? Quel désir pouvons-nous obtenir à partir du monde d’aujourd’hui pour aspirer à la qualité du don sans réserve parmi nous?

Réponse: Le monde a besoin de la correction, et nous devons prendre soin de lui. Et pour cela, nous devons nous corriger afin d’être prêt à apporter la méthode de la correction au monde. C’est la première raison  pour laquelle nous allons dans le désert d’Arava.

Après tout, le Créateur souhaite la correction des récipients ou des désirs qui sont les plus éloignés de Lui, jusqu’à ce que tous se rassemblent en un seul ensemble. Et nous devons comprendre que nous sommes des envoyés effectuant sa volonté, des travailleurs, des mentors, des éducateurs. En bref, nous travaillons dans un monde qui est destiné à la correction, et tout dépend de nous.

Alors que nous nous préparons pour les conventions, nous devons souligner cette responsabilité que nous avons pour tout le monde. La partie des femmes de notre groupe mondial est également très préoccupée par ce travail et y prend part, prête à nous aider de quelque façon possible. Les femmes se préparent pour notre voyage et sont toujours avec nous, de tout  leur cœur et de toute leur âme.

Nous ne pouvons rien oublier de tout cela. Après tout, notre correction entière est nécessaire afin de la transmettre au monde.

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale du 09/02/2012, « Introduction à l’étude des Dix Sefirot »

L’argent ne fait pas le bonheur !

каббалист Михаэль ЛайтманAux  nouvelles (Global Barometer of Hope and Despair): La plupart des habitants de la Terre (53%) se considèrent comme heureux ce qui est quatre fois plus que les gens malheureux (13%).

La Russie, le Pakistan, Hong Kong – 40ème et 31ème places dans le classement du niveau de bonheur parmi les 58 pays participants à l’enquête. États-Unis – 38ème place. Heureux: Fidji, Nigéria, Pays-Bas, la Suisse et le Ghana – 89% de la population.

L’enquête mondiale a montré que:

– L’Etat de bonheur est une caractéristique culturelle du pays et ne dépend pas de sa situation économique réelle et les attentes connexes.

–  C’est plutôt  le statut socio-économique dans la société qui apporte le bonheur.

– Au sommet de l’échelle socio-économique dans une même société on a deux fois plus des gens heureux que parmi ceux qui occupent les échelons inférieurs, indépendamment du revenu. Que les pays soient riches ou pauvres.

Commentaire: Nous percevons la crise de la même manière – par rapport aux autres. Si tout le monde souffre – je ne la ressens presque pas, si ce n’est que moi qui souffre – je la ressens beaucoup plus fort. Par conséquent, les mouvements de protestation dépendent des différences de revenus entre riches et pauvres, et des manifestations de la crise dans les différentes parties de la société.

La Belgique touchée par une grève générale

Dr. Michael LaitmanAux nouvelles (Tiré de « The New York Times »): « La Belgique a été paralysée par une grève nationale lundi [30 janvier] alors que les syndicats, en colère sur les mesures d’austérité, ont programmé la protestation pour qu’elle coïncide avec une réunion d’une journée des dirigeants de l’Union européenne ici dans la capitale.

« Le réseau ferroviaire a été fermé et les vols ont été gravement perturbés … les services de tram, de bus et de métro à Bruxelles ont été suspendus, ont déclaré les responsables du transport. Les trains internationaux à grande vitesse, comme l’Eurostar de Londres et le Thalys de Paris, étaient parmi ceux qui ont été annulés.

«Les médias belges ont indiqué que la plupart des bâtiments gouvernementaux et de nombreuses écoles ont été fermés et que les services postaux ne fonctionnaient pas. Beaucoup de magasins étaient fermés, et les travailleurs en grève ont érigé des barrières pour bloquer l’accès aux zones industrielles. …

« La Belgique est l’un des nombreux pays européens qui luttent pour contrôler son budget, et les syndicats sont en colère contre les plans de réduction des dépenses et d’augmentation des  impôts. »

Commentaire : Tout est possible à accomplir grâce à la simple discussion, à l’explication douce, et à l’accord du public à la table ronde, comme une seule famille, ce que les gens en général veulent-et  en venir à la nécessité d’une éducation intégrale afin de parvenir à une répartition équitable

Le mal au service du bien

Dr. Michael LaitmanQuestion: Comment est-ce possible d’organiser correctement des éclaircissements dans le groupe  afin de ne pas être impliqué avec notre ego et ne pas tourner le mal en  Klipa (écorce)?

Réponse: Quand je clarifie mes relations avec vous, je n’atteins que le point de la brisure, et je demande immédiatement la correction. Et le groupe a besoin de participer à cela. Après tout, je ne viens pas seulement de découvrir le mal entre vous et moi, mais je veux que cela soit un gain général de telle sorte que nous allons découvrir le lien entre nous.

C’est que spécifiquement ces transgressions sont le lieu au-dessus duquel l’amour est découvert, et sans transgressions  il ne peut pas y avoir d’amour. Tout le système de travail dans les trois lignes est assemblé à partir de ceci, qui n’apparaît pas dans quelque religion ou foi que ce soit. Nous utilisons notre ego, nous l’utilisons de façon particulière, et nous ne le détruisons pas.

Et en principe, la Klipa est le manque de désir d’utiliser l’ego. Toutes les erreurs commises par les religions, les croyances, et en général, toutes les erreurs dans la vie se résument par une personne qui ne comprend pas que dans la force du mal réside le secret de la vie. Il vous est interdit de dissimuler, d’effacer ou de modifier quoi que ce soit. Vous avez seulement besoin de le recouvrir avec une bonne attitude et c’est tout. Les formes du mal  demeurent ; vous les couvrez seulement avec l’attribut de Hassidim(miséricorde) et  vous recevez le Kli de la sainteté, le Kli du don sans réserve.

Mais je ne  ais pas que réveiller le mal en moi: « où est ma haine pour tout le monde? » L’approche correcte est que nous aspirions au bien, et ne descendions pas vers le mal. Il n’y a pas de Mitsva  (commandement) pour réveiller les querelles. Nous avons besoin d’ajouter plus d’aspiration pour la connexion, et alors nous allons certainement découvrir la dépréciation. Seul le désir pour l’ascension est nécessaire, et en fonction de cela nous allons découvrir la descente.

Mais si nous n’aspirons pas à ce qui est au-dessus, alors d’en haut il nous sera montré les corruptions, et elle peuvent être de différentes sortes: un désagréments soudain dans la famille ou entre  les amis du groupe; tout est possible. Mais tous ces éléments sont des signes que le groupe ne s’efforce pas vers le haut, alors les problèmes et les tragédies sont révélés au niveau corporel. Même si le groupe n’est pas assez uni, mais qu’il aspire à l’unité, alors le défaut de la connexion sera révélé. Et s’il n’aspire pas assez pour le niveau supérieur, alors  les carences au niveau corporel, seront révélées  et même plus bas que cela.

A partir de la 2 ème partie du cours quotidien de kabbale du 06/02/2012, Le Zohar