Ne cherchez pas les analgésiques, optez plutôt pour le traitement

Dr. Michael LaitmanQuestion: souffrira-t-on jusqu’à la fin de la correction?

Réponse: La souffrance détecte les zones internes non corrigées. Dès que je commence à les voir correctement, je ne les considère plus comme étant une souffrance, mais plutôt, je ressens une immense gratitude envers la lumière, parce qu’elle me montre ce que je peux corriger en moi-même.

La douleur est un appel à l’action. Une blessure non douloureuse est très dangereuse, car je peux laisser la maladie s’installer. Mais si elle fait mal, cette maladie (pas la plaie elle-même) m’oblige à commencer à chercher un traitement.

Eh bien, la douleur est-elle une bonne ou une mauvaise chose? Il est possible d’endormir un quelconque centre nerveux dans votre cerveau et d’arrêter complètement la sensation de douleur. Si vos jambes prennent feu, vous n’aurez même pas l’impression que vous brûlez. Si votre bras est coincé dans une machine, vous ne le remarquerez même pas. La douleur est l’aide qui nous permet de révéler les défauts! Par conséquent, nous devons la voir comme un moyen de correction.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 06/05/2011, Écrits du Rabash

Vivre en vue de l’instant

Dr. Michael LaitmanLe monde tel qu’il est aujourd’hui est en pleine perdition. Nous détruisons la nature en épuisant ses ressources et nous ruinons la société humaine dans tous les domaines (de la vie). En outre, nous ne pouvons pas l’arrêter. Peu importe, nous essayons toujours d’avancer dans le même sens égoïste.
Si vous n’avez pas le point dans le cœur, si vous n’attirez la lumière supérieure, vous ne vous laissez aucune chance de vous comparer à elle, pour pouvoir trouver ce qui ne va pas avec vous. Vous fonctionnez comme une machine branchée à un seul fil électrique. De la même manière, un lapin mécanique continue à faire des bonds, totalement inconscient du fait que chaque fois qu’il saute, il tombe. S’il n’y a pas de force pouvant me montrer ce mal, je n’en deviendrai pas conscient: «C’est bien, ça n’est pas arrivé aujourd’hui, mais peut-être demain. »

C’est le problème des «réformateurs du monde », dont traite le Baal HaSoulam dans ses écrits. Nous parlons d’un concept spirituel, dérivant de l’idée que le plaisir, la Lumière, ne reste jamais dans notre désir égoïste. Nous faisons constamment des efforts pour cela, mais rien n’y fait. Et nous échouons, car nous sommes opposé à la Lumière et n’en percevons rien.

Après avoir à peine touché un désir, le plaisir aussitôt disparaît, et je dois recommencer à le chercher pour un fragile instant de contact entre la lumière et le désir. Je vis uniquement pour ce moment. Si seulement nous pouvions voir ce processus de côté: un désir, une goutte de plaisir, un désir, une goutte de plaisir. Afin de puiser en lui, je ne cesse « d’appuyer sur le bouton », comme un animal expérimental, sans libre arbitre. Toute notre vie tourne autour de cela, ce qui ne nous a rien appris au cours des milliers d’années d’évolution.

Ainsi, les «réformateurs du monde» représentent une notion philosophique très profonde. C’est la forme correcte, égoïste, et unique de développement. C’est un attribut implanté dans notre nature, et il n’y a pas moyen d’y échapper. Ce n’est que lorsque le point dans le cœur apparaît chez une personne et qu’elle commence à se développer correctement, conduite par son nouveau désir, qu’elle pourra acquérir une force pouvant s’opposer au mécanisme du désir et du plaisir: la force de la Lumière. Cette lumière fait qu’une personne sent qui lui manque un troisième élément: une nouvelle intention, un calcul, un écran.

Le but de cette recherche est qu’elle est dirigée contre «les correcteurs du monde » au sein d’une personne. Il s’avère qu’il y a quelqu’un d’autre au-dessus de vous, et que ce quelqu’un crée en premier lieu la faille, puis la corrige.

 

C’est le processus que nous devons subir. Et nous voyons encore ses effets sur le développement humain. Comme le Baal HaSoulam le décrit, tout le monde attend que les autres admettent eux-mêmes de s’être trompé et reconnaissent que les premiers ont raison. Mais cela n’arrivera jamais, et tout le monde continuera à persister dans leurs propres opinions. L’humanité prendra ce chemin: Les parties adverses continueront à se battre jusqu’au bout. Et il n’y a aucune issue; cela nous conduira à des guerres et à l’auto-destruction.

Si nous ne nous opposons pas à ce processus avec la diffusion de la Kabbale, la lutte ne s’arrêtera jamais. La seule question est la suivante: Vont-ils nous entendre avant que la destruction massive commence ou après, lorsque seule une petite partie de l’humanité survivra?

La correction se produira encore selon la méthode de la Kabbale, mais arrivera-t-elle à des catastrophes, la disparition de milliards d’êtres, et des conditions de survie extrêmes pour le reste de ceux qui écouteront la méthode et commenceront à la réaliser, poussé dans l’urgence par une horrible douleur ? Ou, allons-nous parvenir à expliquer cette méthode au monde avant qu’il n’arrive à l’extrême?

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale 04/05/2011, «La paix dans le monde »

L’unité comme un récipient

Dr. Michael LaitmanQuestion: Dans notre diffusion, peut-on décrire le Créateur comme une force d’union et peut-on utiliser l’unité des organes de notre corps comme un exemple?

Réponse: Non, l’union est un moyen, pas la fin en soi. Tous les organes du corps sont soudés ensemble, travaillant en harmonie, et se complétant les uns les autres, et chacun s’annule pour s’unir et servir les autres.
Pour cette raison, le corps devient un système complet, éveillant une force spéciale qui appartient à une dimension supérieure: la force de vie. Ce n’est pas simplement une existence matérielle au  niveau animal, mais un état supérieur de l’être, la réalisation de la plénitude du corps et du but.

D’où cela vient-il? Initialement, à travers les quatre phases de la Lumière Directe, tout est descendu de la phase racine à la quatrième phase. Et puis, en atteignant l’union, le quatrième état s’élève vers la force qui au commencement a créé ce tout, c’est-à-dire, qu’il retourne à la phase racine.

Il s’agit d’une règle universelle: En accomplissant un degré inférieur, vous atteigniez le début du degré suivant. C’est pourquoi, lorsque nous nous unissons, nous atteignons une force supérieure. Le complétude est un récipient, et la force que nous révélons en lui est le Créateur.

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale du 03/05/2011 l’importance de la diffusion de la Kabbale

Le groupe de Rabbi Shimon est composé de plusieurs millions de membres

Dr. Michael LaitmanLa Lumière supérieure est placée à un endroit appelé « Shekhina, » qui est l’union entre les âmes. Grâce à nos efforts, nous devons atteindre l’unité entre nous. Nous révélerons alors la Lumière qui construit, crée, corrige, et remplit toute la création.

Cette Lumière est toujours présente dans le Shekhina, dans l’ensemble des âmes qui aspirent au Créateur (la Knesset) Israël), dans l’union entre nous.

Le Zohar est la même source de Lumière, mais à condition d’imaginer que nous soyons nous-mêmes (et il peu importe le grand nombre nous sommes) le groupe de Rabbi Shimon, qui siégeait avec dix personnes, reliées entre elles, et qui reçut cette lumière appelée « Zohar » – « . l’illumination supérieure » C’est la lumière qui nous influence, nous corrige, et nous élève.

De la 2e partie du cours quotidien de Kabbale 5/4/11, Le Zohar

La science qui étudie le moi

Dr. Michael LaitmanLa Kabbale est une science sur la réalité. L’homme est une créature qui cherche à comprendre pourquoi et dans quel but il existe et comment il peut atteindre la vérité. Il aspire à découvrir le sens de notions telles que «vérité», «faits», «but» ou «atteinte de l’objectif. » Il est fait pour demander ce type de satisfaction.

Le plus grand besoin de l’homme est de savoir qui il est, comme il est dit: «De ma chair, je verrai le Créateur. » En effet, pour apprendre qui je suis, j’ai besoin de savoir qui est le Créateur. Cette nécessité implique des recherches.

La sagesse de la Kabbale est entièrement dédiée à l’étude de l’homme car hormis lui, rien n’existe. Toute la réalité est dans l’homme, et tout se passe uniquement en lui. Je ne vois rien d’autre au monde que moi. Tout ce qui se passe autour de moi est perçu en moi. Je n’ai pas la moindre idée de ce qui se passe en dehors de moi.

Cela signifie que la Kabbale est l’étude de soi, de l’auto-réalisation, de la conscience de soi. Tous les autres livres décrivent une sorte d’illusions, comme s’il y a une réalité extérieure qui nous entourait. Par conséquent, tous exceptés ces livres sacrés ne sont que mensonges constitués par l’homme, ils sont le fruit de son imagination.

Nous ne réalisons d’ailleurs pas le caractère unique de ces livres, dans la mesure où la vérité est concernée, nous n’avons rien à quoi nous accrocher. Sans ces livres, nous existerions dans ce monde comme des petits insectes, qui ne vivent que pour un temps alloué. Seulement avec l’aide de ces livres, nous pouvons nous développer progressivement et commencer à examiner, mesurer, et apprendre « qui et ce que nous sommes. »

Ainsi nous découvrons que nous contenons le monde entier, Partsoufim, Sefirot, et de nombreuses pièces qui semblent étrangères à nous, qui à la fin se révèlent être des parties de votre propre âme. Ceci est votre désir même partagé en inanimé, végétal, animal, et également humain. Et lors du dernier, du quatrième degré, nous devons recueillir ensemble toutes ces parties, afin de parvenir à l’intention de «donner», ce qui est obligatoire pour cette étape quatrième étape finale de la création.

Quand j’obtiens cette intention de donner pour toutes les parties de la création, je saurai enfin qui je suis, je me connaitrai. Et il n’y a rien d’autre à étudier dans la réalité.

De la 3e partie du cours uotidien de Kabbale du 02/05/2011, Talmud Esser Sefirot

Unir en nous les deux forces de la nature

Dr. Michael LaitmanIl n’y a que deux forces dans le monde: la force du don et celle de la réception. En interagissant avec l’autre, elles doivent parvenir à l’équilibre,  à l’adhésion, et à l’unité.

Le désir de recevoir commence à se former à l’intérieur du désir de donner, la Lumière. La lumière influence constamment le désir de recevoir en le développant, tandis que celui-ci répond à la Lumière. Ainsi, ils commencent à interagir. En conséquence, le désir de recevoir du plaisir évolue vers une capacité à agir par lui-même, à expérimenter, à penser et à réagir au désir de donner.

Ainsi, ces deux désirs diminuent progressivement, descendent de plus en plus bas. A la fin, cela nous permet d’analyser des détails très subtils, qui combinés, nous permettent de construire le système complet. C’est comme si d’une analyse globale, nous passions à une recherche très fine (comme si nous utilisions des pincettes), nous permettant d’obtenir des informations non disponibles dans une approche générale. Et la lettre fournit ce qu’il manque aux détails.

Par conséquent, nous devons parvenir à un état où le général et le particulier soient analysés et complètement corrigés. C’est pourquoi il y eut la descente des mondes spirituels à ce monde, suivi par le développement de ce dernier. Dans le cadre de son développement, notre monde passe par les quatre mêmes étapes et arrive à la création du désir de donner: de bas en haut, afin de retourner dans le monde de l’Infini.

Les kabbalistes s’appliquent à nous expliquer ce processus. Tout d’abord, ce sont des scientifiques, et c’est la physique de deux forces agissant dans la création, expliquant comment ces forces viennent jusqu’à nous, pour que nous puissions nous connecter et commencer à travailler avec elles. Après tout, elles ne se réalisent que dans nos désirs, nos intentions, et nos discernements.

Dans la nature, ces deux forces sont équilibrées. Mais nous sommes censés passer entre elles et de les assembler,  en les intégrant complètement à l’intérieur de nous-mêmes. Comme la nature, le Créateur, se compose de ces deux forces, Sa propre Force de don et la force de la réception, par laquelle Il nous influence, nous devons ainsi nous construire nous-mêmes à l’aider de ces deux forces. C’est ce qu’implique l’ensemble du programme de création et d’évolution.

De la 3e partie du cours suotidien de Kabbale du 02/05/2011 , Talmud Esser Sefirot

Ne pas tirer de conclusions hâtives

Dr. Michael LaitmanBaal HaSoulam, «La paix dans le monde »: Quand un élément nous apparaît mauvais et dangereux, ce n’est qu’un auto-témoignage de cet élément, c’est qu’il est encore en phase de transition, dans le processus de son développement. Par conséquent, nous ne pouvons pas décider que c’est mauvais et il n’est pas sage pour nous de lui accorder un défaut.Ce passage parle de gens réfléchis et non pas de ceux qui, comme les animaux, ne savent pas où ils vivent, pourquoi et dans quel but. Contrairement à ces derniers, les personnes qui souhaitent se découvrir elles-mêmes et la nature viennent à la conclusion que nous vivons dans le monde qui évolue, en commençant par le Big Bang jusqu’à ce jour. Les niveaux du minéral, du végétal, de l’animal, et de l’être parlant se développent progressivement, des formes les plus simples aux plus complexes.

Par conséquent, nous ne pouvons pas faire une estimation absolue de toute chose, de toute créature, acte, ou événement puisque nous ne pouvons pas voir à la fin ce qui va sortir de là. Ce n’est que lorsque le fruit mûrit complètement sur l’arbre que nous pouvons comprendre que cette pomme juteuse et sucrée est prête à nous ravir.

Ensuite, nous verrons pourquoi elle a dû subir toutes les étapes précédentes et comment elle devrait être utilisé. On ne peut apprendre que par l’observation de toutes les formes intermédiaires, en,parvenant à la phase finale, en voyant la forme finale, et en trouvant comment l’appliquer. Si, toutefois, nous n’avons pas atteint la fin de notre développement, même aux niveaux minéral, végétal, ou animé, nous ne pouvons pas dire que nous savons déjà ce qui se passe. Après tout, tout est pesé et évalué exclusivement par le résultat final.

Tout est appris de l’expérience. Un sage ne se faufile pas dans l’avenir, mais fait plutôt des conclusions fondées sur le chemin qu’il a parcouru. Par conséquent, il est dit: « Le sage est celui qui a l’expérience ». Donc, il n’y a rien de mal ou de bien dans le monde, tout est nécessaire.

Tout a sa place, son temps, sa raison, et a besoin d’exister, et seulement à la fin nous apprenons que tout devait être de la façon dont c’était. C’est seulement à la ligne d’arrivée que nous pouvons conclure au sujet de quoi que ce soit.

Cela s’applique à toutes les parties de la réalité et encore plus à nous-mêmes. Ce n’est que dans la dernière étape de l’évolution que l’on peut tirer des conclusions et exprimer des opinions sur nous-mêmes: Qui et qu’est-ce que nous sommes, pourquoi et dans quel but.

Dans le même temps, de toutes ces clarifications, nous acquérons de l’expérience et apprenons de nos erreurs. Nous comprenons finalement que rien dans la nature ne devrait être supprimé car nous ne comprenons pas les raisons de tous les phénomènes. Auparavant, l’homme a voulu transformer la nature, la « plier » pour l’adapter à lui-même, ce qui ne conduit qu’au pire.

Nous devrions être en interférence avec la nature aussi peu que possible et la traiter avec un soin extrême. En d’autres termes, nous devrions limiter notre égoïsme et utiliser la nature exclusivement en tant que de besoin, comme les animaux. Après tout, dans ce monde, dans notre corps, nous sommes semblables à eux. Et donc, nous ne pouvons pas prendre de la nature plus que notre corps a besoin. Ensuite, nous allons y évoluer correctement, sans lui nuire.

Dans la « Préface du Livre, Panim Meirot ouMasbirot », le Baal HaSoulam explique que même les sages non-kabbalistes, comme Platon et Aristote, avaient l’habitude d’avertir de ne pas transmettre des connaissances scientifiques aux masses. Ils craignaient que les gens commencent à développer des technologies pour obtenir de la nature plus qu’il n’était nécessaire à leurs corps de sorte qu’ils épuiseraient la Terre.

Par conséquent, nous devons être en harmonie avec la nature afin de nous développer correctement dans son environnement .

De la 4ème partie du cours quotidien de Kabbale du 01/05/2011 «La Paix dans le Monde »

Ne désespérez pas de Sa misérocorde

Dr. Michael LaitmanQuestion: Comment pouvons-nous nous éveiller à la connexion avec le Supérieur plus vite à chaque fois?

Réponse: Vous devez être conscients et accepter avec reconnaissance ce qui se passe en vous. Et tout dépend des pensées et des désirs de l’environnement. Si vous parlez de ma participation personnelle à hâter le travail, elle réside dans mon engagement dans l’environnement qui me fournit en permanence le «carburant» afin que je puisse avancer.

Il me permet de garder une connexion constante avec la force supérieure et de me rendre compte que cela ne compte pas vraiment comment je ressens dans mon désir égoïste tout ce que j’ai reçu de lui: bon ou mauvais, agréable ou désagréable. De toute évidence, les choses les plus désagréables sont les plus authentiques, car je réside dans mon égoïsme et l’utilise pour vérifier et évaluer la façon don je suis heureux ou non. Je dois être prêt à accepter tout ce qui se passe avec moi, comme il est dit: « Même si une épée tranchante, se pose sur vous, ne désespérez pas dans sa bonté ».

En d’autres termes, ce que je ressens n’a pas d’importance, ce qui compte, c’est que je ne perds pas le désir pour le Créateur. Après tout, « il n’y a rien hormis Lui, le bien qui fait le bien», en se séparant de Lui c’est le pire malheur qui puisse m’arriver. Je ne m’occupe plus de rien d’autre, je ne veux que m’assurer que je ne me suis pas retiré loin de Lui, et c’est ce que je prends l’habitude de vérifier tout le temps.

Et même après que j’ai réussi à saisir la connexion avec Lui, malgré les difficultés et les problèmes, je continue à essayer de voir tous les obstacles et les difficultés comme des motifs de notre connexion. Après tout, c’est le point à partir duquel je peux venir à elle.

Cela signifie que je suis déjà dans le bon état et que j’ai seulement une vision erronée de cela en raison de mon être imparfait. Ainsi, je travaille jusqu’à ce que je justifie pleinement cet état et que j’expérimente une grande joie. Mais ce qui importe le plus, malgré la grande crainte, l’inquiétude, les problèmes et difficultés que j’éprouve, est que je n’ai toujours pas abandonné la pensée du Créateur. Dans ce point de ma connexion avec Lui, à laquelle je tiens, je commence à construire correctement mon état.

Cela prouve que le Créateur éveille une personne avec toutes les opportunités, chances que ce dernier lui présente. Ces chances sont délibérément désagréables pour une personne de sorte qu’une personne puisse faire marche arrière et ne chercher qu’elles.

Ce sera la preuve que je me suis élevé au- dessus de mon ego, au-dessus de mon mal être, vers l’adhésion. Et alors je ne verrai plus cette situation comme désagréable, mais plutôt comme une condition qui a conduit à notre unité. Je ressentirai que cela comprend en lui -même tous les préparatifs et les conditions préalables, qui m’ont réveillé et m’ont donné la détermination, tous les composants de cet état exalté.

Par ailleurs, existe t-il autre manière qui soit d’atteindre le premier point de contact avec le Créateur tout en passant au dessus de son égoïsme?

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale du 01/05/2011, Lettre 19 du Baal HaSoulam.

« La grâce est trompeuse et la beauté est vaine »

Dr. Michael LaitmanBaal HaSoulam, Lettre 19: «Dans la même femme …» «… la grâce est trompeuse et la beauté est vaine; mais une femme qui craint le Seigneur, elle sera louée ». Cela signifie que lors de la préparation, la beauté et la grâce comparaissent et l’essence de la perfection à laquelle on aspire et que l’on désire. Cependant, au moment de la correction, lorsque «la terre sera remplie de la connaissance du Seigneur», alors, « j’ai vu un monde inversé », parce que la peur et le désir sont l’essence même de la perfection désirée. Ensuite, on sent que pendant le temps de la préparation, on s’était menti à soi-même.

Question: Pourquoi est-il dit que pendant le temps de préparation, nous nous mentons à nous-mêmes?

Réponse: Il en est ainsi parce que j’avais envie de quelque chose qui était un mensonge. Et tandis que je souffrais, je ne savais pas que cette souffrance était vraiment l’accomplissement. Cela signifie que dès que je change mon attitude envers les choses désirées, je découvre que je suis dans le monde de l’Infini. Cela est considéré comme « Vous mangerez ce qui est vieux. » Je révèle un accomplissement infini dans mon état actuel.

Il est décrit que précédemment vous vous mentiez à vous-même, pensant que vous n’avez pas la réalisation souhaitée et que vous avez besoin d’y parvenir. Mais vous n’avez pas à obtenir quoi que ce soit, sauf la correction de vos désirs. Vous êtes déjà dans le même état parfait et ne pouvez seulement pas le voir puisque vous n’avez pas les propriétés de la perception, les désirs corrigés.
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De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale du 01/05/2011, Lettre n°19 du Baal HaSoulam

L’éveil de l’amour

Dr. Michael LaitmanBaal HaSoulam Lettre n°19, p. 70: « . « Connais le Dieu de ton père et sers Le » Connaître signifie la reconnaissance, car une âme qui ne sait pas ce n’est pas bon. Cela signifie que si une personne ne connaît pas son maître, même si elle a une âme et aspire et désire Le servir, ce n’est pas bon.Même si on a une âme, on n’est pas prêt à Le connaître, «Jusqu’à ce que l’esprit soit versé sur lui d’En haut ». Toutefois, il faut prêter l’oreille et écouter les paroles des sages et croire en eux de tout cœur.

Il a déjà été écrit: « le bonheur et la grâce m’accompagneront certainement tous les jours de ma vie. » Le Baal Shem Tov interprète: « Le Seigneur est ton ombre » Comme l’ombre qui suit ses mouvements, ses inclinations se penchent à chaque direction que prend la personne, ainsi est l’homme selon le Créateur. Cela signifie que quand l’amour pour le Créateur réveille quelqu’un, il faut voir que le Créateur l’a éveillé avec un désir intense, etc.

Même si le point dans le cœur apparaît chez quelqu’un , il ne sait pas comment se réveiller et ne peut pas le faire de lui -même,seul. On est réveillé par la Lumière supérieure, le Créateur, alors que de tous ces réveils agréables et désagréables, on est censé comprendre et apprendre comment le Créateur nous traite. On doit apprendre à parler la langue du Créateur pour communiquer avec Lui.

Nous avons besoin de parvenir à un désir, une intensité, une nostalgie, qui correspond à ce qui est après, ce qui signifie le premier degré spirituel qui existe au dessus de nous, ou la dernière étape de l’échelle qui s’étend jusqu’à nous, le long de laquelle notre âme était descendue du monde de l’Infini il y a longtemps. C’était le barreau où nous étions encore liés avec le Créateur, et donc aujourd’hui, nous sommes censés atteindre le même genre de détermination, d’intensité, le désir, qui nous connecte avec Lui là-bas.

Nous en venons à ce genre de désir en utilisant les exercices que le Créateur nous donne dans le temps considéré comme des « roues » (Ofanim). Il nous présente diverses possibilités de se connecter à Lui, et nous ne savons pas pourquoi cela devrait être sous cette forme spécifique et dans ce genre de situation. Il nous rappelle soudain qu’Il existe, et nous commençons à sentir qu’Il nous manque.

À ce stade, il est nécessaire de comprendre qui a causé cet éveil. Me suis-je réveillé de mon propre chef, ou était-ce le Créateur qui m’a réveillé? Que suis-je censé faire? Dois-je rendre grâce à mon réveil ou Lui reprocher de ne pas m’appeler et de n’avoir rien eu du tout? Dans la mesure où une personne est au courant de tout ce processus et s’efforce constamment de recevoir un désir d’unité, elle pzrviendra à la réussite.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale du 01/05/2011, Lettre n°19 du Baal HaSoulam