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Utiliser au maximum ce qui nous est donné d’En haut

Dr. Michael LaitmanDe l’étude des dix Sefirot, partie 6, «réflexion intérieure, « Chapitre 7: L’amincissement de l’écran n’affecte pas les désirs, ni ne crée des changements en eux. Les désirs gardent la même profondeur qu’ils avaient avant l’affaiblissement de l’écran.

Par conséquent, nous n’essayons jamais de corriger le désir lui-même : sa profondeur (Aviout) ne change pas, seul l’écran change. Nos qualités intrinsèques ne changeront jamais. Les qualités avec lesquelles vous êtes nés, à la fois bonnes et mauvaises, resteront avec vous pour toujours.

La personnalité que vous aviez enfant restera inchangée jusqu’à la vieillesse. Une personne ne fait qu’apprendre tout au long de sa vie quelles qualités mettre en œuvre et à quel degré. Toutefois, l’ensemble de ses qualités intrinsèques sont à jamais intégrées en elle.

Nous ne faisons que corriger la mise en œuvre de nos qualités, de nos désirs et penchants. Nous devons amener chaque qualité dans son utilisation maximale tout en préservant un équilibre naturel entre l’ensemble de nos qualités et nos désirs. Après tout, il n’y a « pas de contrainte en spiritualité. » La seule chose est que nous devons utiliser toutes ces qualités pour donner à notre camarade et, ainsi pour donner au Créateur.

De la 3e partie du cours quotidien de Kabbale du 16/02/12, «Étude des dix Sefirot »

Construire le lego des morceaux de l’âme

Dr. Michael LaitmanQuestion : Notre objectif est l’adhésion au Créateur, c’est la priorité absolue pour nous tous. Conformément à la loi de l’équivalence de forme, le but lui-même nous unit déjà. Mais nous voyons que ce n’est pas suffisant pour avancer, et que nous devrions faire davantage d’efforts dans la connexion. Tous ces efforts sont-ils les seuls moyens que nous avons pour progresser vers l’objectif, ou y en a-t-il d’autres ?

Réponse : Tout d’abord, la fin de l’action se trouve dans la pensée initiale. Le résultat final est l’adhésion au Créateur. Cela signifie que nous devons être en équivalence de forme avec Lui, parce que l’adhésion s’obtient seulement en fonction de l’équivalence de forme.

L’équivalence de forme signifie être comme Lui. Comme Lui, c’est être pur don. Cela signifie que je dois traverser les phases de correction, par lesquelles j’avance progressivement vers l’état de « comme Lui. » Pour lui, cela représente 100% de désir de donner et pour moi, cela s’exprime par la réception dans le but de donner, qui est le niveau le plus élevé. En-dessous de ce niveau se trouve donner dans le but de donner. Mais maintenant, je suis encore bien plus bas, je suis dans le don dans le but de recevoir et même de recevoir dans le but de recevoir.

A mon niveau actuel, au lieu de découvrir l’unité, la connexion, le système unique des âmes appelé «Adam», dans lequel je sens le Créateur et toutes Ses délices, Sa révélation totale, je découvre un monde brisé, confus, et détruit. Mais je dois comprendre qu’il m’a été donné comme un lego à construire, comme un puzzle à assembler. Après tout, « on voit à travers ses propres défauts” : je vois devant moi ce monde brisé, parce que je suis brisé, c’est pourquoi il me semble que le monde est brisé.

Je dois donc percevoir tout ce qui est devant moi comme une copie de mon système interne, de mon sentiment et de mon esprit – dans la mesure où je suis brisé, ce monde m’apparaît brisé – au lieu de percevoir tout ce qui est devant moi comme un système supérieur divin, qui y opère et y existe.

Cela signifie que tout notre travail doit être mené de l’intérieur, car tout ce qui semble exister à l’extérieur est l’empreinte de mes attributs internes. Je dois me corriger, et le monde sera ainsi corrigé. Il ne faut pas procéder à une réforme ici et là, comme les « réformateurs du monde» le prétendent. On ne peur rien faire d’autre dans le monde, que de diffuser la méthode de correction et de l’éducation intégrale.

En fait, quand je dissémine et m’occupe de l’éducation, je prends également soin des parties de mon âme, qui, pour l’instant je ressens comme détachées de moi. Par conséquent, je devrais prendre soin d’elles de cette façon, comme si elles étaient à l’extérieur, et devrais leur apporter les connaissances, et la méthode de l’éducation. Mais ensuite, je découvrirai que tout le monde est comme mon groupe, des parties inséparables de l’UN, un système unifié, et forme tous ensembles un tout avec moi.

Par conséquent, nous devrions essayer de voir le monde entier intérieurement. Après tout, tout cela est Un, un tout ; il n’y a pas ce monde et le monde spirituel, mais plutôt un seul système, qui me semble en attendant être hors d’état de fonctionner. Alors, que dois-je faire afin de le voir comme un seul récipient ? C’est ce à quoi doivent tendre nos actions. Si nous nous approchons ainsi de notre plan de travail, de notre diffusion, de notre travail interne, et des différentes connexions entre nous – nous y parviendrons.

Du cours quotidien de Kabbale Du 26/02/12, « Le but de la société »

Ranimer le cœur brisé

Dr. Michael LaitmanQuestion: Que signifie le Créateur aime l’homme qui brise son cœur afin d’atteindre le «palais» du roi? Qui me brise le cœur et pourquoi? Qu’est-ce que fait une personne à ce moment-là?

Réponse: Bien sûr, nous ne parlons pas du cœur comme un «moteur» qui fonctionne comme une pompe. Le cœur est notre désir égoïste. Tous les désirs égoïstes sont appelés le «cœur».

«Briser» le cœur signifie atteindre ce même point dans lequel nous étions une image unique et unifiée de Malkhout, puis brisée en de nombreuses parties. Mon sentiment de détachement de toutes les autres est appelé mon «cœur brisé».

C’est l’état que nous devrions atteindre. A partir de là, une personne commence sa correction. Comment? Le Créateur est appelé « le guérisseur des cœurs brisés. » Le Créateur est la Lumière, l’attribut de don sans réserve, unissant nos cœurs, et ils retournent à la vie. Il les fait revivre, et puis ces cœurs deviennent un navire, un désir.

De la conférence sur la Journée de l’Unité « acquérir une volonté de donner » 29/01/2012

Scier la souche de mon égoïsme

Dr. Michael LaitmanUne personne devrait atteindre un état dans lequel elle ressent qu’elle est le partenaire du Créateur: je fais la moitié du travail et Il fait l’autre moitié. La moitié pour moi et l’autre moitié pour Lui. Il est comme une scie à deux poignées que deux personnes détiennent, chacun à son tour tire de son côté: Une fois la première personne, puis l’autre personne, et elles scient la souche.

Une personne doit également ressentir qu’ils agissent en alternance: Une fois, elle agit et une fois le Créateur agit. Bien sûr, je ne fais pas le travail par mes propres forces. Le pouvoir vient d’en Haut. Le Créateur exécute l’action et la demande vient de moi, puis de nouveau une action de sa part et une demande de ma part. Ainsi, nous nous complétons l’un l’autre à chaque fois.

Le meilleur état, c’est quand une personne ressent qu’elle peut effectuer cette rotation, sans s’arrêter. Cela signifie que nous sommes en train de travailler « face à face», et c’est comme ça qu’un « cheval et son cavalier» travaillent ensemble comme un tout à un point tel qu’une personne commence à ressentir de plus en plus quel pouvoir, elle recevra, et exactement ce qu’elle devra donner de son côté.

Après tout, nous élevons une prière, MAN, jusqu’au monde de Ein Sof (Infini), jusqu’à ce que le dernier accouplement avant Gmar Tikoun (la fin de la correction), qui est l’accouplement de « Rav Pealim Mekabtziel » dans lequelle toutes les prières antérieures se réunissent. A chaque étape de l’échelle spirituelle, la prière devient de plus en plus précise, plus détaillée et plus claire, parce qu’une personne comprend et ressent davantage. C’est toute l’atteinte.

Elle ne ressent plus aucune honte, car elle donne sa part et c’est pourquoi elle est la première partenaire du Créateur, dans l’adhésion. Ainsi, elle permet de surmonter les « juges et policiers » qui la rejettent et la séduisent, et elle les rend ses assistants. Elle ressent déjà leurs actions comme de l’aide.

Nous pouvons décrire cela si une personne et le Créateur travaillent ensemble sur le désir de recevoir. Une personne ressent qu’elle est ensemble avec le Créateur au-dessus de ce désir, ou que ce désir est entre eux, que la personne est d’un côté et le Créateur est de l’autre côté, et entre eux est le désir de recevoir qui les sépare. Une personne ne voit pas le désir d’elle-même. La véritable première chose est de se déconnecter du désir égoïste et de recevoir au-dessus de lui, pour être séparé de lui.

Ensuite, nous devrions déjà voir l’ego qui nous sépare, ce qui est entre les amis et une personne et le Créateur, comme notre obstacle commun. Par conséquent, nous travaillerons dessus ensemble quand nous nous connectons avec le Créateur ou des amis afin de travailler ensemble contre l’ego qui nous dérange, sans essayer de l’effacer parce que nous ne pouvons pas faire sans lui, mais j’aspire à m’élever au-dessus.

De la 1ère partie du cours quotidien de Kabbale 21/02/12,

Avant la naissance spirituelle

Dr. Michael LaitmanQuestion: Ces jours avant la convention d’Arava, les amis connaissent une forte pression et la peur de l’inconnu. Comment puis-je les aider pendant la leçon pour concentrer cette pression dans la bonne direction?
Réponse: Une personne devrait atteindre un tel niveau de peur et de pression comme au pied du mont Sinaï: « Vous pouvez soit vous connecter ou ici sera votre lieu de sépulture. » C’est parce qu’une personne devrait oublier son désir de recevoir, ne pas s’identifier à lui et s’élever au-dessus. C’est ce qu’on appelle la réception de la Torah. Elle demande à la Lumière d’effectuer une action qui est à l’opposé de l’enterrement. Mais il faut bien voir que c’est ce qu’il veut faire avec son ego afin de se connecter avec les autres et de parvenir au don sans réserve.

Bien sûr, dans le même temps, il doit sentir la tension et la pression. Il n’y a pas de situation plus tendue dans toutes nos vies que ce passage. Elle est la naissance et la naissance est un processus plus naturel, mais dans le même temps, elle est l’événement le plus dangereux et  le plus spectaculaire dans la vie d’une personne.

De la 2ème partie du cours quotidien de Kabbale 21/02/12, Le Zohar

Ressentir le cœur de l’ami

Dr. Michael LaitmanNous pouvons parler de chiffres, à propos de ce qui peut être mesuré. Nous pouvons parler de l’influence de la Lumière en tant qu’une certaine force, concernant les gènes d’information, la quantité, quelque chose qui peut être mesuré sans aucun lien avec le désir, vers le récipient.

Tout le monde devrait grimper tous les échelons de l’échelle spirituelle, mais chacun les gravit, selon son propre point dans le cœur, et il est donc possible de mesurer son impression que par l’évaluation générale qui se rapporte à tout le monde. Le sentiment personnel, cependant, n’est pas transmis à quiconque. Il est impossible d’expliquer avec des mots que le blanc est blanc ou que le noir est noir est, ou combien l’obscurité est sombre ou comment quelque chose est sucré, amer, salé, chaud, humide ou froid.

Nous ne pouvons pas mesurer une impression parce que c’est personnel. Vous pouvez peser les choses: combien de livres, quels sont les gènes d’information, ou ce que la force de la Lumière est. Cependant, puisque d’autres ont un désir différent, un élément différent, il est impossible d’avoir une impression d’eux, même si on peut le mesurer en interne. Par conséquent, une personne, étant dans les mêmes conditions que les autres, est marquée différemment, à sa manière.

Nous devons prendre cela en compte, même si nous ne pouvons pas le corriger jusqu’à ce que nous atteignons l’inclusion universelle dans l’autre. Quand tout le monde est inclus dans tout le monde, ce que nous appelons «comme un seul homme avec un cœur», quand tous les désirs et les pensées deviennent entremêlés, la Lumière de « Rav Pealim Mekabtziel » arrive et soude tout le monde en un seul système intégré.

Nous ne savons pas comment cela sera, mais il se pourrait que nous commencions tous à ressentir ce que d’autres se ressentent alors …. Jusque-là, c’est absolument impossible. Ce n’est que par l’évaluation quantifiables que nous pouvons en quelque sorte estimer ce qui se passe avec les autres. Mais en attendant, il est impossible de ressentir cela.
De la préparation au cours du 13/02/2012

Ne jouez pas avec le feu

Dr. Michael LaitmanLe Baal HaSoulam, « Introduction à l’étude des dix Sefirot, » Point 97: Pour cette raison, nos sages nous ont avertis dans de nombreux cas sur la condition nécessaire à la pratique de la Torah, qu’elle serait spécifiquement Lishma, d’une manière que l’on nous attribuera vie grâce à elle, car elle est une Torah de vie, et c’est pourquoi elle nous a été donné, comme il est écrit, « Choisis donc la vie. »

Il s’agit d’une condition très importante et je dirais une condition très effrayante. Il y a un avertissement très sérieux dans ce qu’il est interdit d’utiliser la Torah, ce qui signifie la méthode de la Kabbale, dans le mauvais sens. Après tout, il y a la Lumière dans tous les livres de Kabbale, et si une personne l’utilise à contre sens, au lieu de la potion de vie, il reçoit la potion de la mort. C’est une arme très puissante qui est comme un rayonnement qui peut être utilisé avantageusement dans les différentes techniques et dans la médecine, mais qui peut aussi tuer. Trop de Feu peut être destructeur, d’une part tandis que de l’autre, il peut nous aider et nous réchauffer.

La puissance de la Lumière est la plus grande puissance dans la nature. Nous devons savoir comment l’utiliser. Par conséquent, les premiers sages interdisaient l’enseignement de la sagesse de la Kabbale à tout le monde, sauf pour ceux qui avaient l’intention altruiste de Lishma (don sans réserve).

Mais comment peut-on passer à cette intention? Il y a plusieurs conditions préalables ici.

Sur le plan humain en général, les gens n’ont pas besoin d’étudier la méthode de la Kabbale. Mais parfois, la question se pose: « Quel est le sens de la vie? », Puis je me tourne vers la Kabbale. Puis une autre question se pose: « Qui suis-je l’étudier, est-ce dans le but égocentrique pour me sentir bien ou pour que je puisse parvenir à Lishma?

Dans un premier temps une personne veut savoir quel est le sens de la vie. Elle ne sait pas beaucoup plus sur les intentions pour le moment. Le Baal HaSoulam dit que seule l’intention de Lishma, qui est en vue de donner sans réserve, est la condition qui permet d’enseigner à une personne la méthode de la Kabbale. Dans un tel cas, il ne fait aucun doute qu’elle va étudier correctement. Bien que personne ne commence à partir de ce niveau, elle devrait l’atteindre!

Par conséquent, une personne doit se joindre à un groupe où elle trouve un enseignant et les livres. Si tous ces facteurs sont réunis correctement, alors même si une personne n’est pas encore digne, elle peut être autorisé à se connecter avec la méthode de la Kabbale, qui peut alors l’amener à l’intention de Lishma.

Donc il doit y avoir un cadre très clair: les amis, un enseignant, et l’étude. Ensuite, une personne n’aura pas de confusions et ne s’écartera pas de la bonne voie. Sinon, « l’élixir de vie » va devenir la « potion de la mort » pour elle.

En ce qui concerne le reste de l’humanité, elle ne se sent pas la nécessité pour cela. Abraham en son temps a donné aux fils des concubines « cadeaux », qui étaient les pratiques de l’Est qui correspondaient à leur niveau de développement. Il les a ensuite envoyés à l’Est de faire ces choses que nous appelons aujourd’hui «New Age».

De là, nous devons comprendre comment les choses se sont développées. À la suite de l’éclatement, la Torah a été diffusée parmi tous les peuples et est resté avec le peuple d’Israël. Mais quel genre de Torah est-ce? Comment la méthode de la Kabbale peut-elle être étudiée lors de l’exil, dans l’intention égoïste?

Enfin, depuis que nous sommes en exil, nous n’avons pas eu la vraie Torah, mais son « prototype. » Nous continuons à appeler les livres kabbalistiques « livres saints », mais il n’y a pas de lumière dans cette Torah. Rabbi ‘Haïm Vital a écrit à ce sujet de même que le Baal HaSoulam.

Mais si une personne a besoin de la Torah, afin de passer à l’intention de Lishma, elle est attirée vers la sagesse de la Kabbale dans laquelle il n’y a vraiment la Lumière qui ramène vers le bien. Il a été interdit d’utiliser cette sagesse pendant le temps de l’exil afin de ne pas porter la Lumière à une personne avec la possibilité qu’elle devienne la potion de mort pour elle.

Ce n’est que maintenant, quand nous avons atteint l’éclatement général et la dernière couche de la volonté égoïste que nous pouvons découvrir la sagesse de la Kabbale et l’étudier. Le Baal HaSoulam a écrit à ce sujet dans les articles « Le temps d’agir », «Le Shofar du Messie, » et dans d’autres articles. Il s’agit de cette partie de la Torah qui transmet la Lumière qui ramène vers le bien. Notre génération est déjà dans les « jours du Messie » quand nous devons  utiliser cette méthode.

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale 15/02/12 e, « Introduction à l’étude des dix Sefirot »

Mon pays est ma famille

Dr. Michael LaitmanQuestion: Comment pouvons-nous atteindre l’unité dans un monde  tellement diversifié?

Réponse: Il doit y avoir un nouveau principe ici: l’unité au-dessus de toutes les différences. Nous ne cherchons pas à corriger les différences entre nous ou pour approfondir dans les détails des courants différents, des parties différentes, ou toute autre différence. Il peut y avoir de nombreux peuples et de nombreuses cultures dans un même état, et cela ne devrait pas nous déranger. L’histoire européenne, par exemple, est pleine de guerres, de haine et de doléances réciproques qui existent depuis des siècles. Mais par-dessus toutes les différences et les conflits, nous ouvrons un parapluie de l’unité. Nous savons que nous sommes tous différents, et nous travaillons sur un très haut niveau.

Il devrait y avoir une approche systématique, au niveau d’un plan national: Nous avons abattu les frontières de haut en bas et peu à peu nous parvenons à une répartition juste et équitable des ressources. Même si cela arrive dans deux cents ans à partir de maintenant-ce n’est pas grave. La chose principale est que le processus ait commencé. D’abord, nous devons élever tous les pauvres au-dessus du seuil de pauvreté. Soucions-nous de cela.

L’éducation est nécessaire ici. Si nous commençons à préserver à l’échelle nationale tout comme nous préservons à la maison, nous n’aurons pas besoin de plus que cela. Il suffira de soulever tout le monde au-dessus de la pauvreté. En ce qui concerne les ressources économiques, il existe des données très intéressantes: par exemple 17% de la nourriture produite est jetée tout en restant dans les emballages d’origine.

Donc, tout est une question d’attitude: Si nous fournissons un « parapluie » général, alors il y aura un peu d’ordre. Nous devons seulement changer notre attitude: La nation est la famille. Dans la famille je préserve, je me préoccupe, je garde, je soutiens, je concède … voilà comment nous devrions vivre au niveau national, mais sans l’isolement et les parasites, sans déchets et sans protectionnisme. Tout le monde est égal, et tout le monde se connecte à la ligne commune.

Question: Est-ce que cette connexion peut démarrer en Israël?

Réponse: Non seulement elle peut commencer ici, mais elle le doit.

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale 16/02/12, « Introduction à l’étude des dix Sefirot »

Traitement de choc

Dr. Michael LaitmanIl n’y a rien, sauf l’âme, la seule « partie » du désir de recevoir, qui est rempli de Lumière. La lumière commence à fonctionner à l’intérieur, elle stimule le désir et « il se réchauffe », elle le met hors de l’équilibre, et se révèle à lui progressivement. Tout au long du processus, les Lumières et les récipients s’influencent les uns les autres et descendent de Ein Sof (Infini).

Prenons un système, n’importe quel système, mécanique, électrique, ou hydraulique. S’il reçoit un choc électrique, il est mis hors équilibre d’ «un seul coup», et commence à se calmer progressivement jusqu’à ce qu’il  retourne à l’état précédent d’équilibre.

C’est ce qui s’est passé avec Malkhout de Ein Sof: le système a reçu un « coup » quand il a découvert le contraste entre la lumière et le récipient, l’horrible décalage entre l’infiniment plus petit (récipient) et l’infini plus grand(Lumière). Ce cauchemar est terrible pour le désir, et il ne peut pas supporter et digérer cela. Par conséquent, il se restreint et passe à la chaîne suivante d’actions. Le désir ne se calme pas jusqu’à ce qu’il les réalise. Après la décision qui a été prise dans Ein Sof, toutes les autres décisions viennent automatiquement, tout le chemin de haut en bas, jusqu’à notre monde.

Maintenant, notre travail commence, le travail de la monté de retour à Ein Sof. Le chemin du retour correspond tout à fait à la descente qui l’a précédée: Nous passons par les mêmes étapes, mais dans un ordre opposé et selon notre volonté, comme nous demande la correction (MAN) en premier. C’est toute la différence.

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale 12/02/12, « Introduction à l’étude des dix Sefirot »

L’intégrale des désirs

Dr. Michael LaitmanDans la Kabbale, par rapport à d’autres sciences, il ne suffit pas qu’une personne puisse tout simplement étudier et comprendre la matière étudiée, même si elle la ressent d’une manière régulière, généralement acceptée. L’unité de la sagesse de la Kabbale est qu’une personne sente des changements internes en elle. En fait, elle modifie les fondements de son désir, l’esprit et le cœur. Un nouveau désir se révèle à elle, composé de 613 désirs et 613 pensées connectés et en harmonie permettant la réalisation du désir. En général, ces désirs et ces pensées comprennent l’âme de la personne. C’est ce que nous révèlent les études.

Avant cela, une personne a seulement un point, le plus petit Reshimo (gène d’information) existant en elle des étapes précédentes du développement, que nous allons atteindre par la suite. Dans tous nos travaux, la seule chose qui puisse faciliter notre auto-développement est l’élaboration et l’augmentation de la force de la Lumière influençant le point dissimulé à l’intérieur de nous au maximum, le développant le plus rapidement possible.

Cela ne signifie pas que nous pouvons simplement ouvrir le robinet de sorte que la Lumière se répandra plus rapidement. Afin d’accélérer notre développement, nous devons être prêts à changer.

Nous ne détenons pas un bouton dans nos mains, qui régule la Lumière venant du Créateur vers la Menorah. Je ne peux tourner ce bouton que de l’intérieur avec le point dans mon cœur. Essayez de discerner si le point dans votre cœur est connecté à la prise. Vous n’avez pas le contrôle, et la seule option est d’être inclus dans un groupe. C’est parce que dans ce système, la Lumière complète et résume à partir des flux Infinis. Ainsi, afin de réguler, il doit y avoir un total (Σ),une intégrale (∫) des efforts pour atteindre l’infini. C’est seulement en étant inclus dans tous les amis de plus en plus, que je serai en mesure de tournerl’interrupteur et augmenter la Lumière en conformité avec la loi de l’équivalence de forme.

The Integral of Desires

Qu’est-ce que cette loi? Je ne suis pas en équivalence de forme avec la prise, la force absolue du Créateur. Cependant, à mon niveau, je peux le faire fonctionner dans une certaine mesure. La différence (Δ) entre nous reste, et une sorte d’adaptation ou d’équivalence existe dans tous.

Question: Est-ce que cette prise est personnelle pour chacun de nous ou commune à tous?

Réponse: Commune. Ce qui fonctionne seulement c’est la prière de beaucoup, le désir commun.

Question: Comment pouvons-nous créer une connexion permanente entre le point et la prise?

Réponse: C’est impossible. Parce qu’être en connexion permanente symbolise le manque de mouvement, dans un tel cas vous ne pourrez pas vous développer. Vous serez toujours écarté de la voie par les mauvais désirs.

Dans l ‘«Introduction à l’étude des dix Sefirot » Point 17, le Baal HaSoulam apporte les mots du Talmud: «Si tu viens vers ce scélérat, tire le vers Beit Midrash (la maison de l’étude) dans un endroit où nous demandons tous le Créateur, ce qui signifie un groupe, la force collective dissimulée parmi les amis.

De la 4e partie du cours quotidien de Kabbale 07/02/12, « Introduction à l’étude des dix Sefirot »