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C’est à nous et non à nos dirigeants d’améliorer le monde

electUne question qu j’ai reçue: Les dirigeants du G20, y compris Obama, Poutine et autres, n’arriveront jamais à un accord, sauf s’ils sont touchés directement par les problèmes dans le sens physique du terme. Ainsi si le Créateur veut qu’ils parviennent à un accord, pourquoi ne les fait-Il pas souffrir suffisemment?

Ma réponse: Les dirigeants politiques sont simplement activés d’en haut pour apporter au peuple ce dont il a besoin à un moment donné et ils ne sont pas considérés de façon personelle par la Providence Supérieure. C’est pourquoi la correction doit commencer et conduite d’en bas- le peuple, plutôt que les dirigeants.

Que se passera-t-il quand les gens comprendront la notion d’unité ?

unitéQuand l’idée de la Kabbale viendra au monde,  le processus se déroulera de lui-même;  les gens commenceront simplement à comprendre chaque chose et à agir en conséquence. Tout ira de l’avant, comme si l’humanité était aspirée dans  » un vortex spirituel « . L’idée de restaurer et de corriger le seul corps humain, Adam, deviendra tout doucement une réalité.

Des gens éminents dans le monde entier commenceront à en parler et à propager cette idée. Ils créeront différents comités et forums, et toutes les chaînes de media en parleront. Tous les gens verront que le monde est globalement interconnecté. Ils adhéreront sans problème à cette idée et ils sauront quoi faire.

Cela peut arriver très rapidement : en un seul jour, les gens du monde entier peuvent se réveiller. Des organismes aussi importants que les Nations Unies, l’UNESCO et la Banque Mondiale, accepteront cette idée et commenceront le processus de réorganisation de leurs relations. Les financiers, politiciens, et leaders du G20 commenceront à voir cela clairement, et se rassembleront pour en discuter.

La méthode dont nous parlons constamment dans la Kabbale refera surface en eux. Cela arrivera simplement, parce que nous y avons travaillé. Et alors, le monde mettra en oeuvre cette idée – les gens commenceront à aspirer correctement au Créateur. Ils sauront déjà comment faire, et reconnaîtront que le chemin réside dans l’unité entre les gens. Les gens sauront quoi faire parce qu’ils sauront comment s’unir les uns aux autres.

Dès que le monde commencera à comprendre et désirer cette idée, tout dans le monde changera en un instant. Il n’est pas nécessaire de prendre des mesures pratiques, car nous parlons des désirs et des intentions des gens, lesquels sont immédiatement exprimés et réalisés. Quand les relations interpersonnelles commenceront à s’inspirer de cette méthode, soudainement tout commencera à fonctionner. La Nature sera complaisante envers les gens, et chacun passera à un chemin de bon, correct et paisible développement.

Un nombre record de 32,2 millions d’Américains ont recours aux bons alimentaires

infoAux infos ( de Reuters ) :  » Un américain sur 10 reçoit une aide de l’Etat américain pour acheter de la nourriture « . Les bons alimentaires, programme majeur de la lutte contre la faim aux USA, aident les gens pauvres à faire leurs achats de tous les jours. Le gouvernement a annoncé jeudi dernier, un nombre record de 32,2 millions de personnes ( soit un américain sur 10 au dernier décompte ) ayant reçu des bons alimentaires : le reflet de la récession, à présent est dans son 16ème mois.
Mon commentaire : nous sommes donc entrés dans les sept années de famine et nous découvrons maintenant que nous sommes esclaves de notre égoïsme qui nous a poussé dans cette crise. Mais même en le reconnaissant, nous ne savons pas quoi faire. D’ailleurs, lors de leur récent sommet, les membres du G20 ont bien démontré leur incapacité à agir.

Lettre ouverte aux dirigeants du G20 : un plan pour sortir de la crise

Lettre ouverte aux dirigeants du G20

Objet : En réponse à l’état du monde

Chers dirigeants du G20,

Je m’appelle Michaël Laitman, je suis professeur d’ontologie, docteur en philosophie et en Kabbale,  et maître es sciences en biocybernétique médicale.

Je suis le fondateur et le président de Bnei Baruch, une organisation internationale basée en Israël avec des branches dans toute l’Amérique du Nord et le Canada, l’Amérique centrale et du sud, et l’Europe. Sur mon site Internet, www.kabbalah.info, j’enseigne quotidiennement la Kabbale et la spiritualité à une audience d’environ deux millions de personnes à travers le monde. Cet enseignement, d’accès libre et gratuit, est diffusé en direct et traduit en 7 langues : anglais, espagnol, hébreu, russe, français, turc et allemand. Je suis également propriétaire de la chaîne 66  du fournisseur satellite israélien YES.

Je vous écris en me sentant sincèrement concerné par l’avenir du monde. La raison pour laquelle  je m’adresse à vous est ma conviction que vous êtres les seuls qui puissent nous conduire vers un le monde plus sur où tous les hommes, quelque soit leur religion, leur race, leur sexe, ou nationalité puissent mener une vie de paix, de santé et de suffisance.

Je voudrais commencer en exprimant mon plus profond respect et mon admiration pour les initiatives que vous mettez en œuvre à un niveau national et international pour résoudre la crise multidimensionnelle qui nous touche aujourd’hui. Comme vous en avez souvent fait mention dans vos discours respectifs, la particularité de cette crise réside dans sa globalité. Par conséquent, une solution globale doit être envisagée. Pourtant, avant de présenter mes suggestions pour une solution, je voudrais expliquer brièvement ce qui cause la crise.

La racine de la crise – L’égoïsme global

Si  nous analysons l’histoire humaine, il est évident que l’humanité a progressé par le pouvoir du désir égoïste qui a grandi en e nous à travers les âges. Au fur et à mesure que ces désirs ont grandi, nous avons développé des moyens de plus en plus sophistiqués pour les satisfaire.

Cependant, au 21ème siècle les règles du jeu ont changé. Nous avons évolué d’un système de développement personnel vers un système intégré, dans lequel toutes les parties sont interdépendantes. L’égoïsme, qui a été notre force motrice, est devenu un ego global, nous enfermant tous dans un cercle vicieux… A partir du moment où le système est devenu global et intégral, comme n’importe quel système clos présent dans la nature, notre force et notre pérennité relève désormais de la responsabilité de chacun les membres de l’humanité.

Un problème a surgi : alors que nos relations se sont globalisées, nous sommes encore en train d’essayer de nous conduire de façon individualiste, malgré la crise.

La solution – l’éducation

La civilisation, en devenant un système clos, nous oblige à reconnaître l’importance de la participation consciente de tous les citoyens du monde… Notre interdépendance nécessite que nous comprenions tous ce système et que nous nous comportions en prenant les autres en considération.

Ainsi, la solution à la crise implique une prise de conscience de chaque habitant de ce monde. Chacun doit reconnaître que dans le système intégré de notre village global, notre destinée dépend de notre attitude envers les autres.

De la même façon que nous avons établi un système éducatif qui prépare nos enfants à la vie, nous devons maintenant établir un système global qui explique comment les gens devraient conduire leur vie dans ce nouveau monde global- en adhérent au principe « aime ton prochain comme toi-même », partagé par toutes les religions. Lorsque nous commencerons à établir un tel système, nous sentirons immédiatement que le processus de guérison de la société a commencé, puisque le respect des lois du nouveau monde rendra  les gens dépendant les uns des autres d’une manière tout à fait nouvelle – celle de l’attention aux autres.

Nous n’avons pas besoin de refaire les systèmes économiques et politiques, car ces systèmes s’ajusteront d’eux mêmes selon la perception que nous aurons de notre interconnexion. Nous sommes confrontés à une crise globale aux multiples facettes. Alors, nous avons besoin d’une éducation globale, pour répondre à la mesure de la complexité de cette crise.

Le plan de travail

Puisque les gens sont fortement affectés par l’opinion publique, pour les sensibiliser au changement vers un état d’esprit constructif, nous devons utiliser le pouvoir qu’a la société à construire un nouveau système de valeurs.

Basé sur cela, je propose les étapes décrites ci-dessous :

  • Etablir un centre d’éducation international et apolitique qui rassemblera les scientifiques du monde entier, renommés dans les sciences dures et politiques du monde. Ces experts développerons une variété de contenu explicatif sur la nouvelle phase dans laquelle se trouve notre monde, et collaboreront avec les medias pour diffuser leurs points de vue.
  • Construire une équipe de travail pour promouvoir des plans en vue de renforcer la conscience sociale à l’ère de la mondialisation.
  • Déterminer comme principe que chaque média doit produire des programmes pour informer les gens de notre inter-connectivité, au moins 30 minutes par jour en prime time.
  • Mettre en garde chaque gros annonceur que si ses produits commerciaux ont un effet négatif sur la société, ils ne seront pas diffusés sur les télévisions publiques ni à la radio.
  • De plus, nous devrions commencer une campagne soutenue par le gouvernement pour fournir des informations qui ouvrent les yeux des gens sur la complexité du réseau de liens qui nous unis.
  • Obliger chaque école à inclure dans son programme des références aux nouvelles règles découvertes dans la société humaine. A côté de cela, il devrait y avoir une heure par jour pour que les étudiants discutent des relations humaines qui devraient prévaloir dans l’ère mondiale.
  • Accorder des subventions et autres avantages financiers pour des travaux en littérature, art, théâtre, cinéma et journalisme, seulement en fonction du montant de l’avantage qu’ils apportent à la société.

Vous êtes les leaders des plus grand pays, et vous avez la possibilité de mettre en place ce système éducatif global dont le monde a besoin si désespérément aujourd’hui. En agissant ainsi, vous ne démontrerez pas seulement votre attention envers l’humanité, mais vous faites également aller celle-ci en avant.

Sincères salutations,

Michaël Laitman

Les chefs d’Etat du G20 sont comme des enfants qui essayent de construire une maison

criseDeux questions que j’ai reçues à propos du prochain sommet du G20 :

Question : Les chefs d’Etat du G20 devraient-ils aboutir à une sorte d’accord mutuel, qui aidera le monde à avancer ?

Ma réponse : Bien sûr ! La situation les poussera à une forme d’accord, mais de quelle sorte ?  Les pauvres garçons n’ont pas de solution ! Aucun d’entre eux n’a quelque chose à dire ! Obama  n’est même pas venu au dernier sommet, donnant pour excuse qu’il venait juste de prendre son poste.

Personne ne peut offrir de solution car personne n’a de plan ! S’ils avaient eu un plan, à présent, quelque chose aurait alors été publié, quelque chose aurait été fait. Mais ce n’est pas le cas ! Ils ne peuvent rien faire selon les conditions de la globalisation car ils n’ont pas la « colle » – la force de se connecter les uns aux autres. Même Gordon Brown et d’autres économistes importants, comprennent qu’il est nécessaire de s’unir, ne savent pas comment le faire.

Cette situation me fait penser à des enfants qui veulent construire une maison mais ne savent pas comment accomplir cette tâche. Ils crient : « Nous voulons construire une belle maison où tout le monde sera heureux ! » Tous sont assemblés sur l’aire de jeux, tout le monde est excité, mais ils ne savant pas quoi faire et donc, ils sont tous désemparés avec ce problème entre leurs mains.

Question : Que leur manque-t-il ? 

Ma réponse :  Il leur manque la connexion à la seule Force qui puisse créer l’unification. Cependant, comme ils sont en train d’acquérir une certaine compréhension des systèmes du monde, ils réaliseront au moins qu’ils n’ont pas la connexion, ni cette Force.

Ils sont littéralement comme des enfants qui veulent construire une maison. Et après ? Comment devraient-ils la construire ? Cela ils ne savent pas. Ils savent qu’une maison a des murs et un toit, mais ne savent pas comment l’assembler, car il n’y a pas de programme, de plan, ni de force. Pour accomplir cette tâche, ils ont besoin de comprendre la structure entière, mais ceci est quelque chose qu’ils n’ont pas non plus. Personne ne les envie et personne ne voudrait être à leur place pour l’instant.  
(De la leçon sur l’article du Baal HaSulam : « Un  Précepte  » du 8 mars 2009).

Les chefs d’état du G20 ont beaucoup à craindre

G20Question reçue : Bientôt se tiendra un nouveau sommet international du  » Groupe des 20  » (G20) , où les chefs d’état des pays les plus développés seront présents. Mais chacun d’entre eux cache un couteau dans sa poche…

Ma réponse : je ne crois pas qu’ils cachent des couteaux. Chacun d’entre eux fait face à tellement de problèmes dans son propre pays, qu’ils n’ont pas le temps de se confronter entre eux. Ils ont peur de leurs concitoyens et d’être détrônés. La peur d’un soulèvement interne est beaucoup plus grande que la peur de ses voisins. C’est pour cela, que cette fois-ci, ils viennent au sommet avec un sentiment différent.

Jusqu’à présent, chaque chef d’Etat était occupé à coordonner la vie de son propre pays, mais aujourd’hui, ils ont tout simplement peur pour eux-mêmes. Ils ressentent littéralement cette peur au niveau animé, et sont en train de se demander : «  Comment puis-je me préserver et résoudre ce problème ? »

De nombreux pays connaissent déjà des troubles publics, et ils ne peuvent rien faire pour les arrêter avec leur police ou leurs armées, car il s’agit de leurs propres citoyens. En plus de tous leurs autres problèmes, ils ont maintenant peur pour eux-mêmes et leurs propres vies, et c’est pourquoi, les participants au sommet y viennent dans un état d’esprit complètement différent. Ils sont déjà en train de penser à comment corriger la situation et résoudre le problème, même si ce n’est que pour leur bien.

(De la leçon sur l’article du  Baal HaSulam : « Un Précepte », le  08-03-2009)

Le G20 ne résoudra pas la crise

Dans la presse (Extrait de l’Earth Times): Le président tchèque Vaclav Klaus, dont le pays est actuellement à la présidence de l’UE, a été cité jeudi par un hebdomadaire français comparant les 27 États membres de l’Union européenne à l’ancienne Union soviétique. « Une chose est certaine, tout comme il a été en URSS, des décisions très importantes ne sont pas prises dans les pays qu’elles concernent. ». Klaus a déclaré qu’il espérait, qu’il n’y aurait jamais de super-État européen, ce qui est le but de ceux qu’il décrit comme des «euro-nihilistes ».

Klaus a déclaré que le prochain sommet du G20 à Londres était une mauvaise idée. « La crise est un phénomène économique avec sa propre dynamique interne », a-t-il dit. « C’est une erreur de vouloir changer le monde afin de le résoudre … Je ne pense pas que vous trouver une solution par l’organisation d’un sommet de 20 dirigeants. »

Mon commentaire : Le fait que les gens critiquent l’«union » européenne indique qu’il désir une réelle intégration. Nombreux sont ceux qui commencent déjà à comprendre que les changements doivent être faits à l’intérieur de la société humaine, et qu’ils ne doivent pas être politiques ou économiques, mais purement sociaux.

Nous devons commencer par reconnaître que notre nature est l’égoïsme, et qu’elle est mauvaise. La phase suivante sera de corriger notre nature en la surmontant : «s’éloigner du mal » et « faire le bien. » Toutefois, ceci ne peut se faire que par le biais de la force de correction, celle qui nous touche lors de l’étude du système des mondes qui nous a été révélé par la Kabbale. En fait, même «la connaissance du mal » est impossible sans l’étude de la Kabbale, car sinon, nous ne pouvons que révéler notre propre mal-être personnel, plutôt que le mal inhérent à l’ensemble du système.

En effet, ce que nous devons révéler est le mal qui nous empêche de nous unir. Nous devons réaliser que c’est le véritable mal, plutôt que toutes les choses qui nous dérangent. En bref, dans l’avenir, le G-20 aura à étudier la structure et le système du monde, comme expliqué par la Kabbale. Alors seulement, ils trouveront la bonne solution à la crise.