Category Archives: Questions & Réponses

Conseils rapides de Kabbale du 20/08/2017

Question : Mes maladies sont-elles liées à la façon dont je communique avec mon groupe de dix ?

Réponse : Je ne le pense pas. Mais si vous vous connectez à lui correctement, vous pouvez être guéri de tout.

Question : Existe-t-il une chose telle que la médecine kabbalistique ?

Réponse : La médecine kabbalistique est une chose très simple : attirez la Lumière supérieure sur vous et vous serez guéri. Il n’y a rien d’autre.

Question : Je travaille dans une mine de charbon. La sagesse de la Kabbale peut-elle restaurer ma santé ?

Réponse : C’est une question très difficile et la réponse n’est pas simple du tout. Tout dépend de la société dans laquelle vous êtes. Vous pouvez sûrement être guéri, mais dans quelle mesure, je ne peux pas le dire.

Cela dépend du groupe, de l’endroit où vous êtes, de la façon dont vous étudiez. Je recommanderais que vous approfondissiez cela et que vous voyiez comment de nouvelles forces internes se révèlent en vous.

Question : Les malformations congénitales comme la cécité et la surdité peuvent-elles entraver l’apprentissage de la sagesse de la Kabbale ?

Réponse : Les défauts congénitaux ne sont pas un obstacle à l’étude de la sagesse de la Kabbale. Je crois au pouvoir de la Lumière supérieure, qui peut changer absolument tout, mais lorsqu’il s’agit d’une anomalie corporelle, le changement ne peut plus être dans cette incarnation, dans cette vie.

Extrait de la leçon de Kabbale en russe, le 20/08/2017

La Kabbale et la santé

Question : Comment la Kabbale se rapporte-t-elle à un mode de vie sain ?

Réponse : La Kabbale se réfère à la santé très simplement, de manière pratique et normale. Elle dit : « Si vous avez un esprit sain, alors vous aurez aussi un corps sain. » Après tout, le corps est une continuation de l’esprit. Cependant, cela est l’idéal.

Ce n’est pas facile parce que l’esprit unique, l’âme unique, nous connecte les uns les autres. Tant que l’humanité est dans un état brisé, même le plus grand kabbaliste, connecté au monde entier par le don sans réserve et l’amour, sera également malade et souffrira puisque le « corps commun » de l’humanité est frappé d’égoïsme.

Extrait de la leçon de Kabbale en russe, le 20/08/2017

La différence entre la Kabbale et la psychologie

Remarque : Il y a beaucoup de psychologues qui suivent nos cours de Kabbale. L’une des conférences est même consacrée à expliquer la différence entre la Kabbale et la psychologie parce que ce n’est pas si évident.

Mon Commentaire : La psychologie traite du comportement d’une personne, d’un être égoïste de notre monde. Elle étudie la façon dont il réagit aux choses qui lui arrivent.

La Kabbale consiste à révéler qui influence une personne, ce qui lui arrive et ce qui est sous influence, comment elle devrait se préparer à sa réaction, et ainsi de suite. A savoir, c’est un niveau complètement différent.

Un kabbaliste et un psychologue ont non seulement des objectifs différents, mais aussi des publics différents. L’un s’occupe de gens ordinaires dans notre monde et l’autre s’occupe des gens qui étudient la Kabbale.

Question : Pensez-vous que celui qui est attiré par la psychologie matérielle ordinaire ne sera pas attiré par la Kabbale ?

Réponse : Laissez-le étudier la psychologie et ne l’embrouillez pas avec la Kabbale. Cela ne fera que lui nuire.

Extrait de la leçon de la Kabbale en russe, le 03/09/2017

De quoi dépend la force vitale ?

Question : Qu’est-ce qui détermine la puissance de la force vitale d’une personne ?

Réponse : Cela dépend uniquement de la Lumière supérieure. La puissance de la force vitale matérielle de l’homme dépend aussi de la Lumière supérieure, mais il existe une certaine corrélation entre elles.

Question : Vous dites souvent que la fatigue n’existe pas. Qu’entendez-vous par là ?

Réponse : La fatigue n’existe pas car elle dépend de la façon dont la Lumière vous influence. C’est pourquoi la puissance de la force de vie peut être absolument infinie.

Pour le dire simplement, nous sommes créés afin qu’il y ait une alternance entre le fait d’être éveillé et endormi, mais cela n’a rien à voir avec la fatigue. Certains signaux baissent en nous qui nous font dormir, nous fatiguent, nous font nous réveiller, pas parce que le corps en a besoin.

Les lois de la nature sont organisées ainsi. Cela vient des mondes supérieurs.

Extrait de la leçon de Kabbale en Russe, le 12/03/2017

Comment être heureux éternellement ?

Question : Qu’est-ce qu’un plaisir éternel ? Comment être heureux éternellement ?

Réponse : Le plaisir éternel est un état dans lequel vous renouvelez constamment vos connexions avec les autres. C’est ainsi que vous renouvelez la satisfaction de ces désirs et ressentez ainsi une joie éternelle.

Extrait de la leçon en russe du 12/03/2017

Ma lettre hébraïque préférée

Question : Quelle lettre parmi les lettres de l’alphabet hébreu vous plaît plus que les autres ?

Réponse : Je pense que c’est la lettre « ».

C’est la cinquième lettre de l’alphabet et elle symbolise le Kli final, qui a été entièrement corrigé, l’âme qui est prête à commencer à absorber la Lumière.

En dehors de  ceci, Bina et Malkhout sont indiquées par cette lettre, et elles donnent ensemble la lettre « Youd », et il s’agit de la dixième.

Extrait de la leçon de Kabbale en russe, le 22/01/2017

Quelle langue parlaient les Babyloniens ?

Question : Quelle langue les habitants de Babylone parlaient-ils et écrivaient-ils ?

Réponse : Les Babyloniens parlaient l’araméen. Nous utilisons cette langue dans la Kabbale avec l’hébreu. Seuls ceux qui ont atteint le monde supérieur parlaient hébreu parce que c’est le langage de la Lumière, et l’araméen est la langue du Kli (récipient), ce qui signifie des désirs qui révèlent la Lumière.

Les deux langues sont complètement identiques et en même temps complètement opposées l’une de l’autre. Par exemple « Lumière » en hébreu se dit « Ohr », et la nuit en araméen est « Orta ». Autrement dit, les deux langues utilisent le même mot mais avec une signification complètement opposée.

Question : Quelle langue Terach, le père d’Abraham, parlait-il ?

Réponse : Terach parlait l’araméen et Abraham est passé à l’hébreu. Ils connaissaient les deux langues.

Comme les publications modernes le confirment, à partir de ces deux langues anciennes qui se complètent, une écriture globale s’est développée. Après tout, les deux langues sont construites sur la coïncidence de deux forces, le don sans réserve et la réception, le plus et le moins. C’est précisément de là que sont venus les éléments horizontaux et verticaux des lettres qui sont la base de l’écriture dans n’importe quelle langue.

Extrait de la leçon de Kabbale en russe, le 22/01/2017

Une question de la prison

Question : Je vais passer le reste de ma vie en prison. J’essaie d’oublier ce que j’ai fait, mais je ne peux pas. Que devrais-je faire ?

Réponse : Vous n’avez pas besoin d’oublier quoi que ce soit. Vous ne devriez pas du tout y penser. Nos étudiants enseignent la méthode de l’éducation intégrale dans les prisons. Essayez d’écouter ce qui vous est enseigné et de vous immerger complètement dans cette sagesse.

Vous allez vous hisser au niveau suivant de votre existence et vous ne ressentirez pas que vous êtes en prison. Au contraire, vous ressentirez que vous êtes libre et que le reste du monde est emprisonné.

Je vous conseille de le faire. C’est un état étonnant.

Vous remercierez le Créateur d’avoir commis tous ces méfaits. À la fin de la journée, ce n’est pas vous qui l’avez fait, mais le Créateur qui ainsi vous a donné cette opportunité d’atteindre maintenant et calmement le monde supérieur.

Par conséquent, vous pouvez transformer votre peine de prison en véritable liberté.

Extrait de KabTV, « L’Actualité avec Dr. Laitman » du 15/02/2017

Vivre à l’intérieur de vos limites

Question de Facebook : Vous dites toujours qu’un kabbaliste doit se limiter au minimum nécessaire. Mais ce minimum est différent selon les personnes. Comment est-il possible d’en déterminer la limite ?

Réponse :
Une personne détermine cette limite elle-même en dirigeant toutes ses pensées et ses caractéristiques vers l’union avec les autres et à travers elles vers l’unité avec le Créateur. En même temps, il est naturel que le reste des petits désirs, des instincts et des intérêts s’annuleront.

Même si je me considère comme étant un kabbaliste et je suis particulièrement impliqué en cela la plupart du temps, je dois écrire et expliquer la sagesse de la Kabbale aux gens.

Ainsi, j’écoute les infos et regarde des émissions scientifiques populaires afin de mener mes conférences et discussions sur ces sujets.

En plus, j’aime les bonnes blagues et les histoires parce que cela montre combien l’intellect humain peut tout retourner et découvrir l’union des contraires. En principe, c’est exactement ce qui se trouve dans une bonne blague.

Question : Les nécessités minimales sont-elles une égalité forcée, afin que tout le monde soit au même niveau ?

Réponse : Non. En aucune façon. La chose principale est que la personne trouve un but important dans la vie et tout le reste qu’elle fait y sera subordonné. Tout le reste sera secondaire. Alors tout s’accordera bien, devenant naturel.

J’ai appris cela de mon professeur. Il aimait marcher dans le parc, bien manger, aller au sauna et à la plage. Mais tout cela était si mineur comparé à ses recherches spirituelles, à la hauteur à laquelle il était, cela était perçu comme concomitant.

Une personne doit déterminer et définir le but précisément. Ensuite, les nécessités s’organiseront d’elles-mêmes.

Extrait de KabTV, « L’Actualité avec Michael Laitman » du 30/01/2017

Le but de la vie

Question : Quel est le but de la vie ?

Réponse : Le but de la vie est d’atteindre le centre de la connexion entre nous afin de ressentir la sortie dans la prochaine dimension.

Question : Qui détermine le but de notre développement ?

Réponse : La nature nous pousse à atteindre le but. La Kabbale aide à le révéler, à nous faire davantage avancer afin que nous accomplissions notre mission plus rapidement sans que la nature ait à nous pousser dans ce système en nous frappant avec un bâton.

Extrait d’une leçon virtuelle, le 30/10/2016